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Auteur Charles Jacquier |
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Culture prolétarienne / Marcel Martinet
Culture prolétarienne [texte imprimé] / Marcel Martinet (1887-1943), Auteur ; Charles Jacquier, Préfacier, etc. . - Marseille : Agone, 2004 . - 1 vol. (185 p.) : couv. ill. ; 21 cm. - (Mémoires sociales, ISSN 1626-1828) .
ISBN : 2-910846-87-3
Langues : Français (fre)
Catégories : 316.7 Sociologie de la Culture / Vie Intellectuel
323.27 Révolution . Putsch . Coup d'état
323.4 Lutte des classes
329.15 Tendance communiste / Communisme (politique) / extrême gauche
37 Education Enseignement LoisirsRésumé : Site éditeur :
Écrites entre 1918 et 1923, ces pages publiées en 1935 et dédiées à la mémoire de Fernand Pelloutier, « serviteur de la classe ouvrière », s’inscrivent dans la tradition d’auto-émancipation du prolétariat du syndicalisme révolutionnaire français. Réédité en 1976 par François Maspero, et depuis longtemps épuisé, ce livre est « tout entier occupé par les problèmes que pose cette nécessité de la culture ouvrière ».
Écrivain, poète et militant révolutionnaire, Marcel Martinet (1887-1944) collabora à La Vie ouvrière et à L’École de la fédération durant la Première Guerre mondiale. Premier directeur littéraire de L’Humanité (1921-1923), il quitta le PCF en 1924 et participa aux combats du petit noyau de militants syndicalistes groupés avec Pierre Monatte autour de la revue La Révolution prolétarienne.
« Comme toutes les époques d’écroulement social, la nôtre pourrait être également une époque de reconstruction. Cela dépend des hommes. Mais il faut que ces hommes soient des hommes : non des machines, non des soldats, non des esclaves. Il faut que chaque individu soit une personne libre et voulant accomplir le maximum de son destin dans une société riche qui permettra à tous les hommes ce maximum d’accomplissement. La révolution prolétarienne, c’est cela. Pour qu’elle triomphe, il faut que les hommes appelés à sauver le monde en se sauvant eux-mêmes, il faut que les hommes de la classe ouvrière s’instruisent et s’éduquent, méditent et développent leur capacité ouvrière et sociale. Pour acquérir cette culture nécessaire, ils ne peuvent compter que sur eux-mêmes : “Ni dieu, ni césar, ni tribun.” »Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : Culture prolétarienne Type de document : texte imprimé Auteurs : Marcel Martinet (1887-1943), Auteur ; Charles Jacquier, Préfacier, etc. Editeur : Marseille : Agone Année de publication : 2004 Collection : Mémoires sociales, ISSN 1626-1828 Importance : 1 vol. (185 p.) Présentation : couv. ill. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-910846-87-3 Langues : Français (fre) Catégories : 316.7 Sociologie de la Culture / Vie Intellectuel
323.27 Révolution . Putsch . Coup d'état
323.4 Lutte des classes
329.15 Tendance communiste / Communisme (politique) / extrême gauche
37 Education Enseignement LoisirsRésumé : Site éditeur :
Écrites entre 1918 et 1923, ces pages publiées en 1935 et dédiées à la mémoire de Fernand Pelloutier, « serviteur de la classe ouvrière », s’inscrivent dans la tradition d’auto-émancipation du prolétariat du syndicalisme révolutionnaire français. Réédité en 1976 par François Maspero, et depuis longtemps épuisé, ce livre est « tout entier occupé par les problèmes que pose cette nécessité de la culture ouvrière ».
Écrivain, poète et militant révolutionnaire, Marcel Martinet (1887-1944) collabora à La Vie ouvrière et à L’École de la fédération durant la Première Guerre mondiale. Premier directeur littéraire de L’Humanité (1921-1923), il quitta le PCF en 1924 et participa aux combats du petit noyau de militants syndicalistes groupés avec Pierre Monatte autour de la revue La Révolution prolétarienne.
« Comme toutes les époques d’écroulement social, la nôtre pourrait être également une époque de reconstruction. Cela dépend des hommes. Mais il faut que ces hommes soient des hommes : non des machines, non des soldats, non des esclaves. Il faut que chaque individu soit une personne libre et voulant accomplir le maximum de son destin dans une société riche qui permettra à tous les hommes ce maximum d’accomplissement. La révolution prolétarienne, c’est cela. Pour qu’elle triomphe, il faut que les hommes appelés à sauver le monde en se sauvant eux-mêmes, il faut que les hommes de la classe ouvrière s’instruisent et s’éduquent, méditent et développent leur capacité ouvrière et sociale. Pour acquérir cette culture nécessaire, ils ne peuvent compter que sur eux-mêmes : “Ni dieu, ni césar, ni tribun.” »Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Histoire du premier mai / Maurice Dommanget
Histoire du premier mai [texte imprimé] / Maurice Dommanget (1888-1976), Auteur ; Charles Jacquier, Préfacier, etc. . - Marseille : Le Mot et le Reste, 2006 . - 1 vol. (520 p.) ; 21 cm. - (Attitudes, ISSN 1952-0077) .
ISBN : 2-915378-23-1
index des noms
Langues : Français (fre)
Catégories : 316.4 Processus sociaux. Changement dans la société
316.48(091) Histoire des conflits sociaux , des luttes sociales
323.4 Lutte des classes
331 Travail Organisation du travailRésumé : Site éditeur :
L’Histoire du Premier Mai de Maurice Dommanget est le seul ouvrage majeur réalisé, en langue française, par un témoin contemporain sur cette vaste manifestation. Il y développe une réflexion sur les luttes socio-politiques qui ont amené cette date à être la journée internationale des travailleurs à partir de 1889, puis la fête du travail, jour chômé. Un important travail de recherche lui a permis de nous donner à lire les heures sombres et glorieuses de ces manifestations, commémorations du 1er Mai sanglant de 1886 à Chicago. Au travers de cette réédition, c’est tout un pan de l’histoire sociale du XXe siècle qui se déroule sous nos yeux, jusqu’aux années soixante-dix.
Maurice Dommanget, (1888-1976) est l’auteur de plus d’une cinquantaine d’ouvrages importants d’histoire sociale. Parmi les plus connus nous pouvons citer L’Histoire du drapeau rouge, Les Grands Socialistes et l’éducation, Le Curé Meslier, Saint Just, Blanqui, etc… À son décès, il lègue ses archives à l’Institut français d’histoire sociale, à Paris. Son oeuvre disparaît de la circulation malgré son ampleur inégalée, notamment dans ses études des grands mouvements sociaux. Instituteur, pédagogue, syndicaliste actif et un chercheur dont il devient important d’exhumer et de réhabiliter les ouvrages qui sont la mémoire des luttes sociales, et de valider ses travaux de recherche historique.
Le 1er Mai, en dépit de ses points faibles, de sa tendance à des manifestations stériles, conventionnelles, infécondes, d’une part, à des manifestations bruyantes, spectaculaires, sectaires d’autre part, comme à ces déformations qui, en le sclérosant, l’éloignent de son principe originel, reste une des plus nobles aventures qui aient traversé notre époque. On peut ne pas croire à l’éternité des choses, et il faut convenir que les bouleversements formidables en perspective balaieront bien des institutions et des expériences. Il est néanmoins difficile d’admettre que dans une société où le travail, toujours indispensable, sera devenu souverain, la journée qui lui est consacrée disparaîtra. Elle prendra des formes nouvelles, voilà tout, et la sève qu’elle porte s’accordera avec les exigences d’un corps social en continuelle transformation. Le passé enseigne l’avenir. Le 1er Mai, qui, pendant plus de soixante ans, a su résister à toutes les bourrasques et a su élargir considérablement le champ de son activité, saura se dépasser en se renouvelant. [...] C’est qu’il y a dans chacunes des éclipses de cette épopée vécue par l’âme ouvrière un secret qui, pour être profondément enfoui, n’en est toujours pas moins toujours vivant et se révèle avec éclat après les années de cauchemar. On croit mort le 1er Mai et il n’est que replié sur lui-même. Et, de même, au plus fort de ses meurtrissures et de ses déformations, le peuple lui garde sa vertu. Aucune tendance centrifuge ne peut remettre en question ce qui est acquis. Il laisse des assises si fortement ancrées dans la conscience populaire, il porte en lui un si haut souvenir et un espoir si tenace qu’il conserve, malgré tout, sa raison d’être. On doit donc reconnaître et affirmer fortement qu’il y a quelque chose d’irréductible et de permanent dans le 1er Mai et, en ce sens, on peut dire que c’est un grand jour promis à l’avenir. (Maurice Dommanget)
L’amalgame libéral/liberté est un des principaux lieux communs qui fait des libertés fondamentales un élément consubstantiel de l’économie de marché. Un simple regard en arrière suffirait pour voir qu’elles n’ont pas été généreusement octroyées par les classes dominantes mais conquises de haute lutte durant deux siècles, si « les travestissements de l’histoire » ne les avaient pas fait passer aux oubliettes. « Parmi ceux qui défilent paisiblement le 1er Mai, combien savent qu’ils commémorent la grève sanglante de 1886 aux usines McCormick à Chicago ? » Nul doute qu’ils ne soient guère nombreux. Mais pour que les premiers intéressés — ces travailleurs, syndiqués ou non, qui défilent le 1er Mai — puissent l’apprendre, encore aurait-il fallu que cette histoire-là soit accessible aux lecteurs. Une grande histoire du 1er Mai avait bien été écrite par Maurice Dommanget, mais ce livre n’était depuis longtemps plus disponible.
[...] S’il est encore trop tôt pour juger du devenir, de l’élargissement et de l’enracinement de cette initiative, elle illustre parfaitement la nécessité d’un renouvellement de la problématique du 1er Mai tenant compte des modifications de fond du salariat et du système capitaliste — certains s’interrogent sur la naissance d’un précariat en passe de le remplacer. Si d’autres journées de contestation tentent de s’imposer, comme, par exemple, la journée sans achat, au mois de novembre de chaque année, elles sont encore loin de pouvoir rivaliser avec le 1er Mai qui garde le bénéfice d’une existence séculaire et d’une symbolique forte. Pour revenir à ses orgines subversives, il lui faudra avant tout adopter une revendication unifiante, telle celle des huit heures au XIXe siècle, autour de laquelle une classe salariale morcelée et précarisée pourrait se retrouver majoritairement afin d’imposer de nouveaux droits, indispensable premier pas non seulement pour arrêter les reculs sociaux enregistrés depuis une vingtaine d’années, mais aussi pour refonder en actes l’espoir d’une autre société enfin humaine et solidaire. (Charles Jacquier)Note de contenu : Table :
- Introduction
- Les 8 heures : des origines lointaines à la Commune
- Agitation pour les 8 heures et naissance du 1er mai en Amérique
- La manifestation française des 10 et 24 février 1889
- Jean Dormoy et Raymond LAvigne
- le 1er mai au congrès socialiste international de 1889
- le 1er mai 1890
- le 1er mai 1891
- le 1er mai 1892
- le 1er mai 1893
- Dix années ternes de 1894 à 1904
- Le réveil français de 1905-1906
- Nouvelles années ternes : de 1907 à 1914
- les 1er mai de guerre
- de 1919 à 1933
- de 1934 à 1939
- Années noires - résurrection
- La Fête du travail
- Le 1er mai dans la chanson et la poésie populaires
- Aspects, passé et avenir du 1er mai
Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : Histoire du premier mai Type de document : texte imprimé Auteurs : Maurice Dommanget (1888-1976), Auteur ; Charles Jacquier, Préfacier, etc. Editeur : Marseille : Le Mot et le Reste Année de publication : 2006 Collection : Attitudes, ISSN 1952-0077 Importance : 1 vol. (520 p.) Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-915378-23-1 Note générale : index des noms Langues : Français (fre) Catégories : 316.4 Processus sociaux. Changement dans la société
316.48(091) Histoire des conflits sociaux , des luttes sociales
323.4 Lutte des classes
331 Travail Organisation du travailRésumé : Site éditeur :
L’Histoire du Premier Mai de Maurice Dommanget est le seul ouvrage majeur réalisé, en langue française, par un témoin contemporain sur cette vaste manifestation. Il y développe une réflexion sur les luttes socio-politiques qui ont amené cette date à être la journée internationale des travailleurs à partir de 1889, puis la fête du travail, jour chômé. Un important travail de recherche lui a permis de nous donner à lire les heures sombres et glorieuses de ces manifestations, commémorations du 1er Mai sanglant de 1886 à Chicago. Au travers de cette réédition, c’est tout un pan de l’histoire sociale du XXe siècle qui se déroule sous nos yeux, jusqu’aux années soixante-dix.
Maurice Dommanget, (1888-1976) est l’auteur de plus d’une cinquantaine d’ouvrages importants d’histoire sociale. Parmi les plus connus nous pouvons citer L’Histoire du drapeau rouge, Les Grands Socialistes et l’éducation, Le Curé Meslier, Saint Just, Blanqui, etc… À son décès, il lègue ses archives à l’Institut français d’histoire sociale, à Paris. Son oeuvre disparaît de la circulation malgré son ampleur inégalée, notamment dans ses études des grands mouvements sociaux. Instituteur, pédagogue, syndicaliste actif et un chercheur dont il devient important d’exhumer et de réhabiliter les ouvrages qui sont la mémoire des luttes sociales, et de valider ses travaux de recherche historique.
Le 1er Mai, en dépit de ses points faibles, de sa tendance à des manifestations stériles, conventionnelles, infécondes, d’une part, à des manifestations bruyantes, spectaculaires, sectaires d’autre part, comme à ces déformations qui, en le sclérosant, l’éloignent de son principe originel, reste une des plus nobles aventures qui aient traversé notre époque. On peut ne pas croire à l’éternité des choses, et il faut convenir que les bouleversements formidables en perspective balaieront bien des institutions et des expériences. Il est néanmoins difficile d’admettre que dans une société où le travail, toujours indispensable, sera devenu souverain, la journée qui lui est consacrée disparaîtra. Elle prendra des formes nouvelles, voilà tout, et la sève qu’elle porte s’accordera avec les exigences d’un corps social en continuelle transformation. Le passé enseigne l’avenir. Le 1er Mai, qui, pendant plus de soixante ans, a su résister à toutes les bourrasques et a su élargir considérablement le champ de son activité, saura se dépasser en se renouvelant. [...] C’est qu’il y a dans chacunes des éclipses de cette épopée vécue par l’âme ouvrière un secret qui, pour être profondément enfoui, n’en est toujours pas moins toujours vivant et se révèle avec éclat après les années de cauchemar. On croit mort le 1er Mai et il n’est que replié sur lui-même. Et, de même, au plus fort de ses meurtrissures et de ses déformations, le peuple lui garde sa vertu. Aucune tendance centrifuge ne peut remettre en question ce qui est acquis. Il laisse des assises si fortement ancrées dans la conscience populaire, il porte en lui un si haut souvenir et un espoir si tenace qu’il conserve, malgré tout, sa raison d’être. On doit donc reconnaître et affirmer fortement qu’il y a quelque chose d’irréductible et de permanent dans le 1er Mai et, en ce sens, on peut dire que c’est un grand jour promis à l’avenir. (Maurice Dommanget)
L’amalgame libéral/liberté est un des principaux lieux communs qui fait des libertés fondamentales un élément consubstantiel de l’économie de marché. Un simple regard en arrière suffirait pour voir qu’elles n’ont pas été généreusement octroyées par les classes dominantes mais conquises de haute lutte durant deux siècles, si « les travestissements de l’histoire » ne les avaient pas fait passer aux oubliettes. « Parmi ceux qui défilent paisiblement le 1er Mai, combien savent qu’ils commémorent la grève sanglante de 1886 aux usines McCormick à Chicago ? » Nul doute qu’ils ne soient guère nombreux. Mais pour que les premiers intéressés — ces travailleurs, syndiqués ou non, qui défilent le 1er Mai — puissent l’apprendre, encore aurait-il fallu que cette histoire-là soit accessible aux lecteurs. Une grande histoire du 1er Mai avait bien été écrite par Maurice Dommanget, mais ce livre n’était depuis longtemps plus disponible.
[...] S’il est encore trop tôt pour juger du devenir, de l’élargissement et de l’enracinement de cette initiative, elle illustre parfaitement la nécessité d’un renouvellement de la problématique du 1er Mai tenant compte des modifications de fond du salariat et du système capitaliste — certains s’interrogent sur la naissance d’un précariat en passe de le remplacer. Si d’autres journées de contestation tentent de s’imposer, comme, par exemple, la journée sans achat, au mois de novembre de chaque année, elles sont encore loin de pouvoir rivaliser avec le 1er Mai qui garde le bénéfice d’une existence séculaire et d’une symbolique forte. Pour revenir à ses orgines subversives, il lui faudra avant tout adopter une revendication unifiante, telle celle des huit heures au XIXe siècle, autour de laquelle une classe salariale morcelée et précarisée pourrait se retrouver majoritairement afin d’imposer de nouveaux droits, indispensable premier pas non seulement pour arrêter les reculs sociaux enregistrés depuis une vingtaine d’années, mais aussi pour refonder en actes l’espoir d’une autre société enfin humaine et solidaire. (Charles Jacquier)Note de contenu : Table :
- Introduction
- Les 8 heures : des origines lointaines à la Commune
- Agitation pour les 8 heures et naissance du 1er mai en Amérique
- La manifestation française des 10 et 24 février 1889
- Jean Dormoy et Raymond LAvigne
- le 1er mai au congrès socialiste international de 1889
- le 1er mai 1890
- le 1er mai 1891
- le 1er mai 1892
- le 1er mai 1893
- Dix années ternes de 1894 à 1904
- Le réveil français de 1905-1906
- Nouvelles années ternes : de 1907 à 1914
- les 1er mai de guerre
- de 1919 à 1933
- de 1934 à 1939
- Années noires - résurrection
- La Fête du travail
- Le 1er mai dans la chanson et la poésie populaires
- Aspects, passé et avenir du 1er mai
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Lire Orwell aujourd'hui / Charles Jacquier in Brasero, 1 (novembre 2021)
[article] Lire Orwell aujourd'hui [texte imprimé] / Charles Jacquier, Auteur . - 2021 . - pp. 174-175.
Langues : Français (fre)
in Brasero > 1 (novembre 2021) . - pp. 174-175[article]
Titre : Lire Orwell aujourd'hui Type de document : texte imprimé Auteurs : Charles Jacquier, Auteur Année de publication : 2021 Article en page(s) : pp. 174-175 Langues : Français (fre) Catégories : 32.019 Propagande / Communication politique / Médias et politique
7.05 Utilisation de l'art
929 Orwell, George (1903-1950)Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in Brasero > 1 (novembre 2021) . - pp. 174-175Réservation
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"Livrer sur demande ..." : Quand les artistes, les dissidents et les Juifs fuyaient les nazis (Marseille 1940-1941) [texte imprimé] / Varian Fry (1907-1967), Auteur ; Édith Ochs, Traducteur ; Charles Jacquier, Préfacier, etc. ; Albert Hirschman, Auteur de la postface, du colophon, etc. . - Marseille : Agone, impr. 2008 . - 1 vol. (XLI-356 p.-[16] p. de pl.) : ill., couv. ill. ; 21 cm.
ISBN : 978-2-7489-0087-3 : 23 EUR
En appendice, choix d'articles de V. Fry
Précédemment paru sous le titre : "La liste noire", Paris, Plon, 1999
Bibliogr. p. 351-352. Glossaire. Index
Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng)
Index. décimale : 940.532 Occupation / Résistance / Collaboration Résumé : Site éditeur :
En août 1940, un jeune journaliste américain, Varian Fry, est envoyé à Marseille. Sa mission : faire évader les artistes, les intellectuels et militants politiques de gauche, souvent juifs, menacés par la Gestapo.
La modeste organisation qu’il met sur pieds s’oppose à l’article 19 de la convention d’armistice entre la France et l’Allemagne : « Le gouvernement français est tenu de livrer sur demande tous les ressortissants désignés par le gouvernement du Reich. » En treize mois, avant que la police de Vichy n’expulse Varian Fry – avec l’aval des États-Unis –, le Centre américain de secours aura, par des moyens légaux ou illégaux, sauvé plusieurs milliers de personnes.
Mais cette action relève aussi de ce qu’on a appelé « la résistance avant la Résistance », et de ce qui apparaît aujourd’hui comme un mouvement de solidarité internationale impulsé par les vestiges du mouvement ouvrier. C’est l’aspect le moins connu mais aussi le mieux à même d’introduire le témoignage de Fry, et d’éclairer un moment historique singulier en même temps que l’héroïsme de l’individu ordinaire face à la déraison d’État.En ligne : http://atheles.org/agone/memoiressociales/livrersurdemande/ Format de la ressource électronique : Divers articles de presse Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : "Livrer sur demande ..." : Quand les artistes, les dissidents et les Juifs fuyaient les nazis (Marseille 1940-1941) Type de document : texte imprimé Auteurs : Varian Fry (1907-1967), Auteur ; Édith Ochs, Traducteur ; Charles Jacquier, Préfacier, etc. ; Albert Hirschman, Auteur de la postface, du colophon, etc. Editeur : Marseille : Agone Année de publication : impr. 2008 Importance : 1 vol. (XLI-356 p.-[16] p. de pl.) Présentation : ill., couv. ill. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7489-0087-3 Prix : 23 EUR Note générale : En appendice, choix d'articles de V. Fry
Précédemment paru sous le titre : "La liste noire", Paris, Plon, 1999
Bibliogr. p. 351-352. Glossaire. IndexLangues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) Index. décimale : 940.532 Occupation / Résistance / Collaboration Résumé : Site éditeur :
En août 1940, un jeune journaliste américain, Varian Fry, est envoyé à Marseille. Sa mission : faire évader les artistes, les intellectuels et militants politiques de gauche, souvent juifs, menacés par la Gestapo.
La modeste organisation qu’il met sur pieds s’oppose à l’article 19 de la convention d’armistice entre la France et l’Allemagne : « Le gouvernement français est tenu de livrer sur demande tous les ressortissants désignés par le gouvernement du Reich. » En treize mois, avant que la police de Vichy n’expulse Varian Fry – avec l’aval des États-Unis –, le Centre américain de secours aura, par des moyens légaux ou illégaux, sauvé plusieurs milliers de personnes.
Mais cette action relève aussi de ce qu’on a appelé « la résistance avant la Résistance », et de ce qui apparaît aujourd’hui comme un mouvement de solidarité internationale impulsé par les vestiges du mouvement ouvrier. C’est l’aspect le moins connu mais aussi le mieux à même d’introduire le témoignage de Fry, et d’éclairer un moment historique singulier en même temps que l’héroïsme de l’individu ordinaire face à la déraison d’État.En ligne : http://atheles.org/agone/memoiressociales/livrersurdemande/ Format de la ressource électronique : Divers articles de presse Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di Réservation
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