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321:172 Idéologie - Utopies
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Sous cette vedette sont entrés les ouvrages qui traitent du concept d'idéologie qui a trois sens : la science des idées (au sens de Destutt de Tracy et des idéologues du 18e siècle), l'ensemble des croyances s'exerçant sur les individus et les aliénant (Marx) et l'ensemble de croyances, mythes, idées de la société (idéologie sociale, politique)
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Entretien avec Raffaele Simone / Raffaele Simone in Le Vif / L'Express, 49 ([05/12/2014])
[article] Entretien avec Raffaele Simone : "La gauche a perdu son électorat naturel et ses idéaux" [texte imprimé] / Raffaele Simone, Personne interviewée ; Gérald Papy , Intervieweur . - 2014 . - p. 10-14.
Langues : Français (fre)
in Le Vif / L'Express > 49 [05/12/2014] . - p. 10-14
Catégories : 321:172 Idéologie - Utopies
329.14 Tendance socialiste/gauche
329.14(091) Histoire des partis de gauche, du socialisme
329.14(493) Parti Socialiste belge francophone (PS)
330.82 Libéralisme - CapitalismeRésumé : INTRODUCTION
Le linguiste et philosophe italien Raffaele Simone est un des meilleurs analystes de l’idéologie de gauche. En 2010, il secouait le Landerneau intellectuel en assénant que l’Occident était durablement voué à élire des dirigeants de droite parce que la culture de masse mondialisée, qu’il appelait « Le Monstre doux », représentait un écueil trop grand pour la gauche, sociale et solidaire. Faut-il y voir un signe ? Les élections législatives du 25 mai ont mis fin à un quart de siècle de présence socialiste au sommet du pouvoir en Belgique. Cette éviction a suscité une opposition virulente dans laquelle d’aucuns ont perçu des relents de populisme. La gauche européenne n’est guère plus fringante. Ce constat pousse Raffaele Simone à une critique cinglante. La gauche a perdu ses idéaux et les dirigeants actuels, y compris le Premier ministre italien Matteo Renzi, se fourvoient dans des politiques centristes.Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : Entretien avec Raffaele Simone : "La gauche a perdu son électorat naturel et ses idéaux" Type de document : texte imprimé Auteurs : Raffaele Simone, Personne interviewée ; Gérald Papy , Intervieweur Année de publication : 2014 Article en page(s) : p. 10-14 Langues : Français (fre) Catégories : 321:172 Idéologie - Utopies
329.14 Tendance socialiste/gauche
329.14(091) Histoire des partis de gauche, du socialisme
329.14(493) Parti Socialiste belge francophone (PS)
330.82 Libéralisme - CapitalismeRésumé : INTRODUCTION
Le linguiste et philosophe italien Raffaele Simone est un des meilleurs analystes de l’idéologie de gauche. En 2010, il secouait le Landerneau intellectuel en assénant que l’Occident était durablement voué à élire des dirigeants de droite parce que la culture de masse mondialisée, qu’il appelait « Le Monstre doux », représentait un écueil trop grand pour la gauche, sociale et solidaire. Faut-il y voir un signe ? Les élections législatives du 25 mai ont mis fin à un quart de siècle de présence socialiste au sommet du pouvoir en Belgique. Cette éviction a suscité une opposition virulente dans laquelle d’aucuns ont perçu des relents de populisme. La gauche européenne n’est guère plus fringante. Ce constat pousse Raffaele Simone à une critique cinglante. La gauche a perdu ses idéaux et les dirigeants actuels, y compris le Premier ministre italien Matteo Renzi, se fourvoient dans des politiques centristes.Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in Le Vif / L'Express > 49 [05/12/2014] . - p. 10-14Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire L'État islamique est une révolution / Scott Atran
L'État islamique est une révolution : Suivi de Notes de terrain, la bataille de Kudilah [texte imprimé] / Scott Atran, Auteur ; Pascal Riché, Traducteur . - [Paris] : Les liens qui libèrent, 2016 . - 1 vol. (155 p.) ; 19 cm.
ISBN : 979-10-209-0398-3
Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng)
Catégories : 297 Islam & Intégrisme islamique (islamisme)
321:172 Idéologie - Utopies
329.3:297 Djihad islamique
343.917 Délinquance politique Terrorisme
Daech / Etat Islamique (EI)Index. décimale : 32 Politique Résumé : Site Éditeur
Alors que beaucoup réduisent l’islam radical à un simple "nihilisme", les travaux de Scott Atran et de son équipe démontrent que nous sommes en présence d’un phénomène bien plus menaçant : un projet profondément séduisant, visant à changer et sauver le monde.
Mais quel est le carburant révolutionnaire qui alimente Daesh ? Comment expliquer et endiguer ce soutien croissant de la jeunesse pour ces valeurs mortifères ? Quels sont d’ailleurs, les mécanismes d’abnégation à « la cause » qui motivent leur départ? Et qui sont-ils, ces volontaires étrangers qui rejoignent tous les jours plus nombreux les rangs de l’E.I. ?
Cet ouvrage répond aux nombreuses questions qu’il est légitime et important de se poser sur ce que représente aujourd’hui la révolution de l’État islamique. Car réduire Daesh à une simple déclinaison du terrorisme ou de l’extrémisme violent serait masquer la véritable menace qu’il représente.
Le Califat est, de fait, un mythe mobilisateur. Et il faut aujourd’hui, devant l’inefficacité persistance des mesures sécuritaires et militaires, porter notre attention sur les questions psychologiques et sociales qui sous-tendent ce phénomène. C’est aussi sur le terrain des valeurs qu’il nous faut combattre, celles que nous pensions acquises et sur lesquelles nous avons la conviction que le monde est fondé. Plus que la menace que font peser les djihadistes, toutes ces questions représentent le principal problème existentiel de nos sociétés ouvertes.Note de contenu : http://politique-etrangere.com/2016/10/18/letat-islamique-est-une-revolution/
Cet ouvrage regroupe trois textes de natures différentes de Scott Atran, anthropologue franco-américain, directeur de recherche au CNRS et enseignant à l’université du Michigan. Le premier est un essai sur la nature de Daech. La thèse défendue a donné son titre au livre: L’État islamique est une révolution. Prenant le contre-pied des travaux de Dounia Bouzar, Atran affirme que l’EI n’est pas une secte qui laverait le cerveau des âmes faibles. C’est, au contraire, un puissant mouvement politico-religieux dont les membres se perçoivent comme une avant-garde révolutionnaire. Ils sont soudés par une cause sacrée – la volonté de mettre en place un nouvel ordre moral –, pour laquelle ils sont prêts à se sacrifier. L’esprit de fraternité qui anime cette avant-garde est une force qui assure à Daech une résilience importante. L’EI compense la supériorité matérielle de ses adversaires par une motivation hors du commun.
Le deuxième texte est une mise en pratique de la thèse qui vient d’être exposée. Il s’agit d’une étude de terrain réalisée dans le nord de l’Irak au début de l’année 2016. Atran a assisté à la bataille de Kudilah. Il en fait une description tactique précise et cherche à en tirer des enseignements stratégiques. Cette bataille est présentée comme une sorte de test miniature permettant d’évaluer l’état des troupes avant une éventuelle tentative de reprise de la ville de Mossoul. Le résultat n’est guère concluant. En large infériorité numérique, les combattants de l’EI réussissent à tenir tête à un adversaire hétéroclite composé de membres de tribus arabes sunnites, de peshmergas, d’unités de l’armée irakienne, sans oublier le soutien aérien des Américains. Les combattants kurdes apparaissent comme très déterminés, mais ils ne sont vraisemblablement pas prêts à s’engager massivement au-delà des limites du Kurdistan. Quant aux tribus arabes sunnites, elles se révèlent faibles et déchirées. Atran constate : « Sous cette bataille contre l’EI affleuraient d’autres conflits peut-être plus inquiétants encore: ceux qui étaient internes à la coalition. On a vu ressortir des querelles historiques, les ambitions rivales, des accusations de lâcheté, chacune des trois grandes forces (armée irakienne, peshmergas, tribus sunnites) ayant l’impression d’être trahie par les deux autres…» Il faudra attendre la fin mars 2016 – et le déploiement de plusieurs milliers de soldats irakiens épaulés par 200 Marines – pour que le village de Kudilah soit repris.
Enfin, le troisième texte est la retranscription d’une allocution de Scott Atran à l’Organisation des Nations unies. L’anthropologue y esquisse trois pistes pour éviter que les jeunes ne soient attirés par l’EI, décrit comme le «premier mouvement de contre-culture au monde ». Tout d’abord, il estime qu’il faut redonner «un sens à leur vie à travers la lutte, le sacrifice et la fraternité». Ensuite, il suggère d’offrir à ces jeunes «une vision positive et personnelle, susceptible d’être concrétisée». Enfin, il propose de mettre l’accent sur les initiatives locales, et donne l’exemple du projet Seeds of Peace, créé par deux adolescents au Pakistan et qui consiste à former de jeunes ambassadeurs de la paix. Le plus important, écrit Atran, «c’est le temps que des jeunes consacrent régulièrement à d’autres jeunes».Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : L'État islamique est une révolution : Suivi de Notes de terrain, la bataille de Kudilah Type de document : texte imprimé Auteurs : Scott Atran, Auteur ; Pascal Riché, Traducteur Editeur : [Paris] : Les liens qui libèrent Année de publication : 2016 Importance : 1 vol. (155 p.) Format : 19 cm ISBN/ISSN/EAN : 979-10-209-0398-3 Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) Catégories : 297 Islam & Intégrisme islamique (islamisme)
321:172 Idéologie - Utopies
329.3:297 Djihad islamique
343.917 Délinquance politique Terrorisme
Daech / Etat Islamique (EI)Index. décimale : 32 Politique Résumé : Site Éditeur
Alors que beaucoup réduisent l’islam radical à un simple "nihilisme", les travaux de Scott Atran et de son équipe démontrent que nous sommes en présence d’un phénomène bien plus menaçant : un projet profondément séduisant, visant à changer et sauver le monde.
Mais quel est le carburant révolutionnaire qui alimente Daesh ? Comment expliquer et endiguer ce soutien croissant de la jeunesse pour ces valeurs mortifères ? Quels sont d’ailleurs, les mécanismes d’abnégation à « la cause » qui motivent leur départ? Et qui sont-ils, ces volontaires étrangers qui rejoignent tous les jours plus nombreux les rangs de l’E.I. ?
Cet ouvrage répond aux nombreuses questions qu’il est légitime et important de se poser sur ce que représente aujourd’hui la révolution de l’État islamique. Car réduire Daesh à une simple déclinaison du terrorisme ou de l’extrémisme violent serait masquer la véritable menace qu’il représente.
Le Califat est, de fait, un mythe mobilisateur. Et il faut aujourd’hui, devant l’inefficacité persistance des mesures sécuritaires et militaires, porter notre attention sur les questions psychologiques et sociales qui sous-tendent ce phénomène. C’est aussi sur le terrain des valeurs qu’il nous faut combattre, celles que nous pensions acquises et sur lesquelles nous avons la conviction que le monde est fondé. Plus que la menace que font peser les djihadistes, toutes ces questions représentent le principal problème existentiel de nos sociétés ouvertes.Note de contenu : http://politique-etrangere.com/2016/10/18/letat-islamique-est-une-revolution/
Cet ouvrage regroupe trois textes de natures différentes de Scott Atran, anthropologue franco-américain, directeur de recherche au CNRS et enseignant à l’université du Michigan. Le premier est un essai sur la nature de Daech. La thèse défendue a donné son titre au livre: L’État islamique est une révolution. Prenant le contre-pied des travaux de Dounia Bouzar, Atran affirme que l’EI n’est pas une secte qui laverait le cerveau des âmes faibles. C’est, au contraire, un puissant mouvement politico-religieux dont les membres se perçoivent comme une avant-garde révolutionnaire. Ils sont soudés par une cause sacrée – la volonté de mettre en place un nouvel ordre moral –, pour laquelle ils sont prêts à se sacrifier. L’esprit de fraternité qui anime cette avant-garde est une force qui assure à Daech une résilience importante. L’EI compense la supériorité matérielle de ses adversaires par une motivation hors du commun.
Le deuxième texte est une mise en pratique de la thèse qui vient d’être exposée. Il s’agit d’une étude de terrain réalisée dans le nord de l’Irak au début de l’année 2016. Atran a assisté à la bataille de Kudilah. Il en fait une description tactique précise et cherche à en tirer des enseignements stratégiques. Cette bataille est présentée comme une sorte de test miniature permettant d’évaluer l’état des troupes avant une éventuelle tentative de reprise de la ville de Mossoul. Le résultat n’est guère concluant. En large infériorité numérique, les combattants de l’EI réussissent à tenir tête à un adversaire hétéroclite composé de membres de tribus arabes sunnites, de peshmergas, d’unités de l’armée irakienne, sans oublier le soutien aérien des Américains. Les combattants kurdes apparaissent comme très déterminés, mais ils ne sont vraisemblablement pas prêts à s’engager massivement au-delà des limites du Kurdistan. Quant aux tribus arabes sunnites, elles se révèlent faibles et déchirées. Atran constate : « Sous cette bataille contre l’EI affleuraient d’autres conflits peut-être plus inquiétants encore: ceux qui étaient internes à la coalition. On a vu ressortir des querelles historiques, les ambitions rivales, des accusations de lâcheté, chacune des trois grandes forces (armée irakienne, peshmergas, tribus sunnites) ayant l’impression d’être trahie par les deux autres…» Il faudra attendre la fin mars 2016 – et le déploiement de plusieurs milliers de soldats irakiens épaulés par 200 Marines – pour que le village de Kudilah soit repris.
Enfin, le troisième texte est la retranscription d’une allocution de Scott Atran à l’Organisation des Nations unies. L’anthropologue y esquisse trois pistes pour éviter que les jeunes ne soient attirés par l’EI, décrit comme le «premier mouvement de contre-culture au monde ». Tout d’abord, il estime qu’il faut redonner «un sens à leur vie à travers la lutte, le sacrifice et la fraternité». Ensuite, il suggère d’offrir à ces jeunes «une vision positive et personnelle, susceptible d’être concrétisée». Enfin, il propose de mettre l’accent sur les initiatives locales, et donne l’exemple du projet Seeds of Peace, créé par deux adolescents au Pakistan et qui consiste à former de jeunes ambassadeurs de la paix. Le plus important, écrit Atran, «c’est le temps que des jeunes consacrent régulièrement à d’autres jeunes».Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 50368 32/ATR Livre Libre-accès Adultes Disponible 313 - Avril 2019 - Etre un homme aujourd'hui (Bulletin de Sciences Humaines)
[n° ou bulletin] 313 - Avril 2019 - Etre un homme aujourd'hui [texte imprimé] . - 2019 . - 74 p.
Langues : Français (fre)
Catégories : 316 Sociologie
316.6 Psychologie sociale
321:172 Idéologie - UtopiesNote de contenu : Sommaire partiel :
ACTUALITÉ
Éthologie - A l'écoute des animaux
Environnement - La justice au service du climat
POINT SUR...
La pauvreté en France
ENTRETIEN AVEC...
Philippe Meirieu : "La pédagogie n'est pas une science"
DOSSIER
Être un homme aujourd'hui / coordonné par Martine Fournier
. Le masculin en réécriture / par Martine Fournier
. Etudes masculines: les principaux courants / par Maud Navarre
. Alpha mâle, une virilité conquérante / par Frédérique Letourneux
. La ville appartient-elle aux hommes ? / par Yves Raibaux
. L'école préfère-t-elle les filles ? / par Marie Duru-Bellat
. Vers de nouveaux modèles paternels / par Marc Olano
. Est-ce qu'ils ne pensent qu'à ça ? / entretien avec Janine Mossuz-Lavau
RÉFÉRENCE
. Thomas More, l'inventeur de l'utopiePermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=bulletin_ [n° ou bulletin]
Titre : 313 - Avril 2019 - Etre un homme aujourd'hui Type de document : texte imprimé Année de publication : 2019 Importance : 74 p. Langues : Français (fre) Catégories : 316 Sociologie
316.6 Psychologie sociale
321:172 Idéologie - UtopiesNote de contenu : Sommaire partiel :
ACTUALITÉ
Éthologie - A l'écoute des animaux
Environnement - La justice au service du climat
POINT SUR...
La pauvreté en France
ENTRETIEN AVEC...
Philippe Meirieu : "La pédagogie n'est pas une science"
DOSSIER
Être un homme aujourd'hui / coordonné par Martine Fournier
. Le masculin en réécriture / par Martine Fournier
. Etudes masculines: les principaux courants / par Maud Navarre
. Alpha mâle, une virilité conquérante / par Frédérique Letourneux
. La ville appartient-elle aux hommes ? / par Yves Raibaux
. L'école préfère-t-elle les filles ? / par Marie Duru-Bellat
. Vers de nouveaux modèles paternels / par Marc Olano
. Est-ce qu'ils ne pensent qu'à ça ? / entretien avec Janine Mossuz-Lavau
RÉFÉRENCE
. Thomas More, l'inventeur de l'utopiePermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=bulletin_ ContientRéservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 52022 SCI Périodique Libre-accès Périodiques Disponible Eurasisme, revanche et répétition de l’histoire / Bernard De Backer in La Revue Nouvelle, 3 (mars 2015)
[article] Eurasisme, revanche et répétition de l’histoire [texte imprimé] / Bernard De Backer, Auteur . - 2015 . - p. 68-75.
Langues : Français (fre)
in La Revue Nouvelle > 3 (mars 2015) . - p. 68-75
Catégories : 32(091) Histoire des doctrines politiques
32(47) Politique de la Fédération de Russie
321:172 Idéologie - Utopies
329.17 Tendance nationalisteRésumé : INTRODUCTION
Depuis la fin de l’Union soviétique et la chute des régimes communistes vassaux, les tensions entre le monde euroatlantique et la Fédération de Russie furent longtemps et communément perçues ou interprétées à travers le prisme des luttes géostratégiques, des intérêts économiques divergents et des enjeux de pouvoir. L’idéologie alternative du communisme s’étant évaporée, il semblait que la Russie s’était grosso modo convertie à la « démocratie-économie-de-marché », même si cette conversion se faisait à son rythme et selon ses modalités propres. Nous étions encore dans le récit populaire ou savant de la « fin de l’Histoire » (Hegel, Kojève, Fukuyama…), de l’extension irrésistible d’un modèle supposé universel, né en Europe occidentale, version libérale du défunt millénium marxiste. C’est cependant à La Revanche de l’histoire, titre d’un ouvrage du néo-eurasiste Alexandre Panarin, que l’on semble avoir progressivement assisté.Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : Eurasisme, revanche et répétition de l’histoire Type de document : texte imprimé Auteurs : Bernard De Backer, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : p. 68-75 Langues : Français (fre) Catégories : 32(091) Histoire des doctrines politiques
32(47) Politique de la Fédération de Russie
321:172 Idéologie - Utopies
329.17 Tendance nationalisteRésumé : INTRODUCTION
Depuis la fin de l’Union soviétique et la chute des régimes communistes vassaux, les tensions entre le monde euroatlantique et la Fédération de Russie furent longtemps et communément perçues ou interprétées à travers le prisme des luttes géostratégiques, des intérêts économiques divergents et des enjeux de pouvoir. L’idéologie alternative du communisme s’étant évaporée, il semblait que la Russie s’était grosso modo convertie à la « démocratie-économie-de-marché », même si cette conversion se faisait à son rythme et selon ses modalités propres. Nous étions encore dans le récit populaire ou savant de la « fin de l’Histoire » (Hegel, Kojève, Fukuyama…), de l’extension irrésistible d’un modèle supposé universel, né en Europe occidentale, version libérale du défunt millénium marxiste. C’est cependant à La Revanche de l’histoire, titre d’un ouvrage du néo-eurasiste Alexandre Panarin, que l’on semble avoir progressivement assisté.Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in La Revue Nouvelle > 3 (mars 2015) . - p. 68-75Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 49279 REV Périodique Libre-accès Périodiques Disponible L' extrémisme / Christophe Bourseiller
L' extrémisme : une grande peur contemporaine [texte imprimé] / Christophe Bourseiller (1957-....), Auteur . - Paris : CNRS, impr. 2011 . - 1 vol. (302 p.) : couv. ill. ; 22 cm.
ISBN : 978-2-271-06949-8
Bibliogr. p. 281-288. Index
Langues : Français (fre)
Catégories : 03 Dictionnaire. Référence. Adresses. Définitions
321:172 Idéologie - Utopies
329 Mouvements/Partis politiques
329.15 Tendance communiste / Communisme (politique) / extrême gauche
329.18 Tendance d'extrême droiteIndex. décimale : 329.18 Extrême droite, nationalisme, populisme Résumé : Site éditeur :
Pieuvre géante, Golem envahissant,fantasme collectif et nouvelle grande peur des bien-pensants, l’extrémisme sculpte l’actualité. Mais qui sont les extrémistes ? Les mécontents, les ennemis du système, les contestataires, les destructeurs, les nihilistes, les terroristes, les rebelles ?Extrémistes, les militants du Front national, les néo-royalistes, les catholiques intégristes ? Extrémistes, les trotskystes, les maoïstes, les nostalgiques de Staline, les nationaux communistes ? Toujours invoqué mais rarement défini, l’extrémisme serait-il la nouvelle hydre de Lerne des sciences politiques ? En répondant à ces questions, et à beaucoup d’autres, Christophe Bourseiller décrypte un phénomène politique majeur. Il montre que les extrémistes se distinguent par leur incapacité à tolérer l’ambiguïté et l’incertitude. Fascinés par la violence, allergiques au présent, ils militent pour un changement radical de société et perçoivent leurs adversaires comme intrinsèquement maléfiques. Et, par-delà les programmes, les manifestes, les excommunications,en appellent à l’avènement d’authentiques contre-cultures.Note de contenu : Table :
préface
L'animal insaisissable
I. Les extrêmes gauches
- introduction. Les ravages de la nostalgie
1. Les trotskismes
2. les stalinismes
3. les gauches "italiennes"
4. les anarchismes
5. "l'ultra-gauche"
II. Les extrêmes droites
Introduction. Un courant en pleine évolution
6. Les contre-révolutionnaires
7. les révolutionnaires
Conclusion. de l'extrémisme politique à la pensée radicale
Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : L' extrémisme : une grande peur contemporaine Type de document : texte imprimé Auteurs : Christophe Bourseiller (1957-....), Auteur Editeur : Paris : CNRS Année de publication : impr. 2011 Importance : 1 vol. (302 p.) Présentation : couv. ill. Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-271-06949-8 Note générale : Bibliogr. p. 281-288. Index Langues : Français (fre) Catégories : 03 Dictionnaire. Référence. Adresses. Définitions
321:172 Idéologie - Utopies
329 Mouvements/Partis politiques
329.15 Tendance communiste / Communisme (politique) / extrême gauche
329.18 Tendance d'extrême droiteIndex. décimale : 329.18 Extrême droite, nationalisme, populisme Résumé : Site éditeur :
Pieuvre géante, Golem envahissant,fantasme collectif et nouvelle grande peur des bien-pensants, l’extrémisme sculpte l’actualité. Mais qui sont les extrémistes ? Les mécontents, les ennemis du système, les contestataires, les destructeurs, les nihilistes, les terroristes, les rebelles ?Extrémistes, les militants du Front national, les néo-royalistes, les catholiques intégristes ? Extrémistes, les trotskystes, les maoïstes, les nostalgiques de Staline, les nationaux communistes ? Toujours invoqué mais rarement défini, l’extrémisme serait-il la nouvelle hydre de Lerne des sciences politiques ? En répondant à ces questions, et à beaucoup d’autres, Christophe Bourseiller décrypte un phénomène politique majeur. Il montre que les extrémistes se distinguent par leur incapacité à tolérer l’ambiguïté et l’incertitude. Fascinés par la violence, allergiques au présent, ils militent pour un changement radical de société et perçoivent leurs adversaires comme intrinsèquement maléfiques. Et, par-delà les programmes, les manifestes, les excommunications,en appellent à l’avènement d’authentiques contre-cultures.Note de contenu : Table :
préface
L'animal insaisissable
I. Les extrêmes gauches
- introduction. Les ravages de la nostalgie
1. Les trotskismes
2. les stalinismes
3. les gauches "italiennes"
4. les anarchismes
5. "l'ultra-gauche"
II. Les extrêmes droites
Introduction. Un courant en pleine évolution
6. Les contre-révolutionnaires
7. les révolutionnaires
Conclusion. de l'extrémisme politique à la pensée radicale
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Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 47493 329.18/BOU Livre Libre-accès Adultes Disponible PermalinkFéminin/masculin
PermalinkLes fondements imaginaires du massacre / Jacques Sémelin in Sciences Humaines, 263 (octobre 2014)
PermalinkLa Force de l'utopie associative : l'exemple de la construction européenne / ERIC DACHEUX in Politique, 21 (novembre 2001)
PermalinkDe Fourier à Godin / Stephen Mac Say
PermalinkFraternités / Jacques Attali
Permalink4 - avril 2016 - La gauche en ruines (Bulletin de La Revue Nouvelle)
PermalinkLa Globalisation va-t-elle unifier le monde ? / Denis Duclos in Le Monde Diplomatique, 569 (août 2001)
PermalinkLa grande saga du bonheur / Martine Fournier in Les Grands Dossiers des Sciences Humaines, 35 (juin-juillet-août 2014)
PermalinkGroot-Nederland als utopie en mythe / Bruno De Wever in Cahiers d'Histoire du Temps Présent (CHTP), 3 (1997)
PermalinkGuerre et exterminations à l'Est / Christian Baechler
PermalinkHabiter l'utopie / Thierry Paquot
PermalinkHervé Hasquin / Hervé Hasquin in Le Vif / L'Express, 13 ([28/03/2019])
PermalinkHistoire des futurs / Bernard Cazes
Permalink124 - août-septembre 2012 - Histoire des gauches au pouvoir (Bulletin de Manière de voir)
PermalinkHistoire de l'utopie planétaire / Armand Mattelart
PermalinkHistoire des utopies
PermalinkL'homme qui veut changer le futur / Kim Stanley Robinson in Philosophie magazine, 177 (mars 2024)
PermalinkHors des décombres du monde / Yannick Rumpala
PermalinkPermalink