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Brésil in POUR, 272 (du 23 au 29 aout 1979)
[article] Brésil : un fascisme musclé [texte imprimé] . - 1979 . - p. 24.
Langues : Français (fre)
in POUR > 272 (du 23 au 29 aout 1979) . - p. 24[article]
Titre : Brésil : un fascisme musclé Type de document : texte imprimé Année de publication : 1979 Article en page(s) : p. 24 Langues : Français (fre) Catégories : 32(81) Politique du Brésil
94(81) Histoire du Brésil
94(81)"1964-1985" Histoire du Brésil de 1964 à 1985
Extrême droite BrésilPermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in POUR > 272 (du 23 au 29 aout 1979) . - p. 24Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 54030 POU Périodique Bureau Bureau accessible Disponible Fêtes nationales et régime dictatorial au Brésil / Maud Chirio in Vingtième siècle, 90 (avril-juin 2006)
[article] Fêtes nationales et régime dictatorial au Brésil [texte imprimé] / Maud Chirio, Auteur . - 2006 . - pp. 89-108.
Langues : Français (fre)
in Vingtième siècle > 90 (avril-juin 2006) . - pp. 89-108
Catégories : (81) Brésil
316 Sociologie
32(81) Politique du Brésil
321.6 Régime autoritaire / Dictature / Gouvernement non démocratique / Totalitarisme
323.23 Troubles politiques . Manifestation . Commémoration
94(81)"1964-1985" Histoire du Brésil de 1964 à 1985Résumé : — Le régime militaire brésilien (1964-1985) repose selon l’historiographie dominante sur la " doctrine de la Sécurité nationale ", qui suppose l’imminence d’une guerre révolutionnaire contre le communisme. Cette interprétation univoque omet l’importance d’une culture politique de longue durée des militaires au pouvoir, où l’armée est présentée comme historiquement modératrice du jeu politique et protectrice de la Nation contre les extrêmes, ce qui situe le coup d’État dans la continuité de l’histoire nationale. 1964 est donc moins une rupture qu’un aboutissement, celui d’un " destin de grandeur " du Brésil dont l’armée est le garant. Cette image du rôle de l’armée brésilienne est la base d’une stratégie de légitimation historique et nationale du régime militaire. Elle se traduit par un ensemble de politiques symboliques étudiées dans cet article, notamment la sacralisation des symboles nationaux et une inflation sans précédent des célébrations des fêtes patriotiques telle que la commémoration de l’indépendance. Celles-ci ont pour rôle, outre de placer le régime dans la tradition nationale, de construire l’image paradoxale d’un pouvoir démocratique et populaire. L’étude de la mise en scène des commémorations de l’indépendance permet donc de mieux comprendre l’ambiguïté de la dictature brésilienne : justifié par la supériorité morale et intellectuelle des militaires, seuls à même de guider la nation, il ne parvient pas à se départir d’une légitimation démocratique et populaire. Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : Fêtes nationales et régime dictatorial au Brésil Type de document : texte imprimé Auteurs : Maud Chirio, Auteur Année de publication : 2006 Article en page(s) : pp. 89-108 Langues : Français (fre) Catégories : (81) Brésil
316 Sociologie
32(81) Politique du Brésil
321.6 Régime autoritaire / Dictature / Gouvernement non démocratique / Totalitarisme
323.23 Troubles politiques . Manifestation . Commémoration
94(81)"1964-1985" Histoire du Brésil de 1964 à 1985Résumé : — Le régime militaire brésilien (1964-1985) repose selon l’historiographie dominante sur la " doctrine de la Sécurité nationale ", qui suppose l’imminence d’une guerre révolutionnaire contre le communisme. Cette interprétation univoque omet l’importance d’une culture politique de longue durée des militaires au pouvoir, où l’armée est présentée comme historiquement modératrice du jeu politique et protectrice de la Nation contre les extrêmes, ce qui situe le coup d’État dans la continuité de l’histoire nationale. 1964 est donc moins une rupture qu’un aboutissement, celui d’un " destin de grandeur " du Brésil dont l’armée est le garant. Cette image du rôle de l’armée brésilienne est la base d’une stratégie de légitimation historique et nationale du régime militaire. Elle se traduit par un ensemble de politiques symboliques étudiées dans cet article, notamment la sacralisation des symboles nationaux et une inflation sans précédent des célébrations des fêtes patriotiques telle que la commémoration de l’indépendance. Celles-ci ont pour rôle, outre de placer le régime dans la tradition nationale, de construire l’image paradoxale d’un pouvoir démocratique et populaire. L’étude de la mise en scène des commémorations de l’indépendance permet donc de mieux comprendre l’ambiguïté de la dictature brésilienne : justifié par la supériorité morale et intellectuelle des militaires, seuls à même de guider la nation, il ne parvient pas à se départir d’une légitimation démocratique et populaire. Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in Vingtième siècle > 90 (avril-juin 2006) . - pp. 89-108Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 41402 vin Périodique Libre-accès Périodiques Disponible 113 - octobre-novembre 2010 - Là où le Brésil va... (Bulletin de Manière de voir)
[n° ou bulletin] 113 - octobre-novembre 2010 - Là où le Brésil va... [texte imprimé] . - 2010 . - 98 p.
Langues : Français (fre)
Catégories : 32(81) Politique du Brésil
321.6 Régime autoritaire / Dictature / Gouvernement non démocratique / Totalitarisme
33(81) Economie politique et sociale du Brésil
929 Silva, Luiz Inácio Lula da (1945-....)
94(81) Histoire du Brésil
94(81)"1964-1985" Histoire du Brésil de 1964 à 1985
Inégalités sociales / PrécaritéRésumé :
Note de contenu :
Sommaire:
1)Graine maudite:
Résumé de cette partie:
En inaugurant, en 1964, le premier des coups d’Etat de la région, qu’on appellera « modernes », les militaires brésiliens précèdent — mais vont aussi aider — leurs homologues en Bolivie, au Chili, en Uruguay ou en Argentine. Sous l’égide de l’anticommunisme — élargi à la gauche modérée — et de la lutte antisubversive prônée par les Etats-Unis, ces derniers conspirent déjà pour mettre en place les dictatures sud-américaines des décennies 1960 à 1980 qui, méthodiquement, décapiteront leurs oppositions respectives.
Depuis la seconde guerre mondiale, les gouvernements brésiliens avaient tenté de rompre la dépendance du pays vis-à-vis des marchés financiers. Confronté à un secteur privé rachitique, l’Etat jouait le rôle de « sage-femme » et favorisait l’émergence de « champions nationaux » là où le capital brésilien n’avait pas estimé rentable de s’aventurer. A partir de 1964, sous prétexte de garantir la « sécurité nationale », la dictature intensifie la démarche : régressions salariales et répression syndicale permettent de socialiser le coût de ce développement volontariste de sociétés peu rentables dans un premier temps.
Le « miracle économique » qui s’ensuivra — largement célébré — comporte donc sa part d’ombre : aux côtés de la dette économique qu’il engendre, et que le Brésil continue de payer, il jette les bases d’inégalités sociales parmi les plus importantes du monde.
Articles:
-Idéologie de l’interdépendance et de la sécurité
A. B
-« Affaire Ballarin », le sang versé en commun
Jean Ziegler
-L’Eglise catholique face à la junte militaire
Charles Antoine
-Revers du « miracle » économique
Yves Hardy
-Quand le prolétariat s’organise
Michaël Lowy et Gilberto Mathias
-La Constituante contre l’économie
Julia Juruna
2)Urgence sociale
Résumé de cette partie:
La « Nouvelle République » promise par l’élection de Tancredo de Almeida Neves ne pouvait commencer plus mal : malade, opéré le jour même de la passation des pouvoirs, celui-ci meurt peu après. C’est finalement un pur produit de l’ancien régime militaire, M. José Sarney, qui accédera à la présidence, le 15 mars 1985.
Nouveau traumatisme quand, en décembre 1992, M. Fernando Collor de Mello, le premier chef d’Etat élu au suffrage universel direct depuis 1960, doit démissionner, accusé de « corruption passive et forfaiture ». En mars 1993, son successeur Itamar Franco reçoit une « carte de la faim » qui montre que trente-deux millions de Brésiliens vivent dans l’indigence et déclare le pays en « état d’urgence sociale ».
En dehors de la consolidation démocratique, la « Nouvelle République » affronte en effet une crise sans précédent. La dette extérieure atteint des zones stratosphériques. Aucun des plans mis en œuvre ne parvient à sortir le pays de l’hyperinflation et de la récession. Annoncé par le ministre des finances Fernando Henrique Cardoso en 1994, le plan Real est le premier qui obtiendra des résultats. Et propulsera son auteur à la présidence en octobre de la même année. Mais à quel prix...
Si le Fonds monétaire international et la Banque mondiale se félicitent de la politique néolibérale menée à Brasília, chaque jour, le tissu social se déchire un peu plus. Habitants des favelas, enfants des rues, indigènes, paysans sans terre n’en pourront bientôt plus du statu quo.
Articles:
-Trente-deux millions de gamins dans la rue
Michel Raffoul
-Dette d’hier...
Ignacy Sachs
-...et dette d’aujourd’hui
R. L.
-Mainmise sur l’Amazonie
Patrick Postal
Les Indiens et la « sécurité nationale »
Denis Ruellan
-Marqués pour mourir
Maurice Lemoine
-Une religion de l’émotion
André Corten
-Huit années qui ont laminé le pays
Emir Sader
-Irruption des mouvements noirs
Damien Hazard et Pascal Alain Kali
3)Les années "Lula":
Résumé de cette partie:
« Le marché doit comprendre que les Brésiliens ont besoin de manger trois fois par jour et que beaucoup de gens ont faim », déclare M. Luiz Inácio Lula da Silva, immédiatement après son élection, en 2002. Mi-chèvre mi-chou, sa politique sociale se traduira certes par une augmentation des revenus pour un grand nombre de pauvres, mais sans affecter les vingt mille familles qui régissent le Brésil, toujours aussi riches, et sans mécontenter le fameux marché, qui saluera sa conversion au « réalisme ».
Le Brésil de « Lula » ne s’en inscrit pas moins dans la vague de gauche qui, bousculant l’Amérique du Sud, marque sa volonté d’indépendance et son refus de l’unilatéralisme traditionnellement imposé par les Etats-Unis. Solidaire de ses voisins les plus remuants — Bolivie, Equateur, Venezuela —, il participe activement aux efforts entrepris par tous pour l’intégration du sous-continent.
En 2002, deux cent quarante et une des cinq cents plus grandes entreprises d’Amérique latine étaient mexicaines ; cent trente-six brésiliennes. En 2009, le classement n’affiche plus que cent dix-neuf sociétés mexicaines contre deux cent vingt-six brésiliennes. Mieux : le chiffre d’affaires moyen de ces dernières a augmenté de 42 % en 2009, contre 4,5 % pour les autres entreprises de la liste.
Figurant dans le club des puissances émergentes, membre du G20, le Brésil aspire désormais à un siège au Conseil de sécurité de l’Organisation des Nations unies.
Articles:
-Porto Alegre teste la démocratie participative
Bernard Cassen
-Musique et peuple mêlés
Jacques Denis
-Viva Brasil !
Ignacio Ramonet
-Le gâchis
I. R.
-« Pétrole vert » contre réforme agraire
Philippe Revelli
-Sans terre mais non sans voix
Christophe Ventura
-Un géant toujours aussi dépendant
R. L.
-Infiltré au cœur de la police
Raphael Gomide
-Prisons, du désastre social aux mafias
João De Barros
-Brasília oublie le « complexe du chien bâtard »
Lamia Oualalou
-Quel bilan social pour « Lula » ?
Geisa Maria RochaPermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=bulletin_ [n° ou bulletin]
Titre : 113 - octobre-novembre 2010 - Là où le Brésil va... Type de document : texte imprimé Année de publication : 2010 Importance : 98 p. Langues : Français (fre) Catégories : 32(81) Politique du Brésil
321.6 Régime autoritaire / Dictature / Gouvernement non démocratique / Totalitarisme
33(81) Economie politique et sociale du Brésil
929 Silva, Luiz Inácio Lula da (1945-....)
94(81) Histoire du Brésil
94(81)"1964-1985" Histoire du Brésil de 1964 à 1985
Inégalités sociales / PrécaritéRésumé :
Note de contenu :
Sommaire:
1)Graine maudite:
Résumé de cette partie:
En inaugurant, en 1964, le premier des coups d’Etat de la région, qu’on appellera « modernes », les militaires brésiliens précèdent — mais vont aussi aider — leurs homologues en Bolivie, au Chili, en Uruguay ou en Argentine. Sous l’égide de l’anticommunisme — élargi à la gauche modérée — et de la lutte antisubversive prônée par les Etats-Unis, ces derniers conspirent déjà pour mettre en place les dictatures sud-américaines des décennies 1960 à 1980 qui, méthodiquement, décapiteront leurs oppositions respectives.
Depuis la seconde guerre mondiale, les gouvernements brésiliens avaient tenté de rompre la dépendance du pays vis-à-vis des marchés financiers. Confronté à un secteur privé rachitique, l’Etat jouait le rôle de « sage-femme » et favorisait l’émergence de « champions nationaux » là où le capital brésilien n’avait pas estimé rentable de s’aventurer. A partir de 1964, sous prétexte de garantir la « sécurité nationale », la dictature intensifie la démarche : régressions salariales et répression syndicale permettent de socialiser le coût de ce développement volontariste de sociétés peu rentables dans un premier temps.
Le « miracle économique » qui s’ensuivra — largement célébré — comporte donc sa part d’ombre : aux côtés de la dette économique qu’il engendre, et que le Brésil continue de payer, il jette les bases d’inégalités sociales parmi les plus importantes du monde.
Articles:
-Idéologie de l’interdépendance et de la sécurité
A. B
-« Affaire Ballarin », le sang versé en commun
Jean Ziegler
-L’Eglise catholique face à la junte militaire
Charles Antoine
-Revers du « miracle » économique
Yves Hardy
-Quand le prolétariat s’organise
Michaël Lowy et Gilberto Mathias
-La Constituante contre l’économie
Julia Juruna
2)Urgence sociale
Résumé de cette partie:
La « Nouvelle République » promise par l’élection de Tancredo de Almeida Neves ne pouvait commencer plus mal : malade, opéré le jour même de la passation des pouvoirs, celui-ci meurt peu après. C’est finalement un pur produit de l’ancien régime militaire, M. José Sarney, qui accédera à la présidence, le 15 mars 1985.
Nouveau traumatisme quand, en décembre 1992, M. Fernando Collor de Mello, le premier chef d’Etat élu au suffrage universel direct depuis 1960, doit démissionner, accusé de « corruption passive et forfaiture ». En mars 1993, son successeur Itamar Franco reçoit une « carte de la faim » qui montre que trente-deux millions de Brésiliens vivent dans l’indigence et déclare le pays en « état d’urgence sociale ».
En dehors de la consolidation démocratique, la « Nouvelle République » affronte en effet une crise sans précédent. La dette extérieure atteint des zones stratosphériques. Aucun des plans mis en œuvre ne parvient à sortir le pays de l’hyperinflation et de la récession. Annoncé par le ministre des finances Fernando Henrique Cardoso en 1994, le plan Real est le premier qui obtiendra des résultats. Et propulsera son auteur à la présidence en octobre de la même année. Mais à quel prix...
Si le Fonds monétaire international et la Banque mondiale se félicitent de la politique néolibérale menée à Brasília, chaque jour, le tissu social se déchire un peu plus. Habitants des favelas, enfants des rues, indigènes, paysans sans terre n’en pourront bientôt plus du statu quo.
Articles:
-Trente-deux millions de gamins dans la rue
Michel Raffoul
-Dette d’hier...
Ignacy Sachs
-...et dette d’aujourd’hui
R. L.
-Mainmise sur l’Amazonie
Patrick Postal
Les Indiens et la « sécurité nationale »
Denis Ruellan
-Marqués pour mourir
Maurice Lemoine
-Une religion de l’émotion
André Corten
-Huit années qui ont laminé le pays
Emir Sader
-Irruption des mouvements noirs
Damien Hazard et Pascal Alain Kali
3)Les années "Lula":
Résumé de cette partie:
« Le marché doit comprendre que les Brésiliens ont besoin de manger trois fois par jour et que beaucoup de gens ont faim », déclare M. Luiz Inácio Lula da Silva, immédiatement après son élection, en 2002. Mi-chèvre mi-chou, sa politique sociale se traduira certes par une augmentation des revenus pour un grand nombre de pauvres, mais sans affecter les vingt mille familles qui régissent le Brésil, toujours aussi riches, et sans mécontenter le fameux marché, qui saluera sa conversion au « réalisme ».
Le Brésil de « Lula » ne s’en inscrit pas moins dans la vague de gauche qui, bousculant l’Amérique du Sud, marque sa volonté d’indépendance et son refus de l’unilatéralisme traditionnellement imposé par les Etats-Unis. Solidaire de ses voisins les plus remuants — Bolivie, Equateur, Venezuela —, il participe activement aux efforts entrepris par tous pour l’intégration du sous-continent.
En 2002, deux cent quarante et une des cinq cents plus grandes entreprises d’Amérique latine étaient mexicaines ; cent trente-six brésiliennes. En 2009, le classement n’affiche plus que cent dix-neuf sociétés mexicaines contre deux cent vingt-six brésiliennes. Mieux : le chiffre d’affaires moyen de ces dernières a augmenté de 42 % en 2009, contre 4,5 % pour les autres entreprises de la liste.
Figurant dans le club des puissances émergentes, membre du G20, le Brésil aspire désormais à un siège au Conseil de sécurité de l’Organisation des Nations unies.
Articles:
-Porto Alegre teste la démocratie participative
Bernard Cassen
-Musique et peuple mêlés
Jacques Denis
-Viva Brasil !
Ignacio Ramonet
-Le gâchis
I. R.
-« Pétrole vert » contre réforme agraire
Philippe Revelli
-Sans terre mais non sans voix
Christophe Ventura
-Un géant toujours aussi dépendant
R. L.
-Infiltré au cœur de la police
Raphael Gomide
-Prisons, du désastre social aux mafias
João De Barros
-Brasília oublie le « complexe du chien bâtard »
Lamia Oualalou
-Quel bilan social pour « Lula » ?
Geisa Maria RochaPermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=bulletin_ Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 47536 MAN Périodique Réserve Périodiques Disponible Why Brazil? / Kim Christiaens in Revue belge d'Histoire contemporaine (RBHC), XLIII, 2013, 4 ([01/10/2013])
[article] Why Brazil? [texte imprimé] / Kim Christiaens, Auteur . - 2013 . - p. 108-147.
Langues : Français (fre) Néerlandais (nla) Anglais (eng)
in Revue belge d'Histoire contemporaine (RBHC) > XLIII, 2013, 4 [01/10/2013] . - p. 108-147
Catégories : 323.21 Militantisme Participation Engagement
94(493)"19" Histoire de la Belgique au XXe siècle
94(81)"1964-1985" Histoire du Brésil de 1964 à 1985Résumé : L'auteur s'intéresse aux multiples mouvements sociaux et actions de protestation mis en oeuvre en Belgique pour dénoncer la dictature brésilienne durant les années 1970. Ces mobilisations sont emblématiques d'un activisme tiers-mondiste qui a débouché sur la constitution de groupes locaux de soutien en Belgique. Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : Why Brazil? Type de document : texte imprimé Auteurs : Kim Christiaens, Auteur Année de publication : 2013 Article en page(s) : p. 108-147 Langues : Français (fre) Néerlandais (nla) Anglais (eng) Catégories : 323.21 Militantisme Participation Engagement
94(493)"19" Histoire de la Belgique au XXe siècle
94(81)"1964-1985" Histoire du Brésil de 1964 à 1985Résumé : L'auteur s'intéresse aux multiples mouvements sociaux et actions de protestation mis en oeuvre en Belgique pour dénoncer la dictature brésilienne durant les années 1970. Ces mobilisations sont emblématiques d'un activisme tiers-mondiste qui a débouché sur la constitution de groupes locaux de soutien en Belgique. Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in Revue belge d'Histoire contemporaine (RBHC) > XLIII, 2013, 4 [01/10/2013] . - p. 108-147Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 48772 REV Périodique Libre-accès Périodiques Disponible