Visage du temps : photos-poèmes [texte imprimé] / Nemesio Sánchez, Auteur ; Jean Lacroix, Préfacier, etc. ; Coleen Duffy, Traducteur ; Nemesio Sánchez, Traducteur . - Caja Salamanca y Soria, DL 1997 . - 1 vol. (125 p.) : ill., couv. ill. ; 21 cm. ISBN : 978-84-87132-63-6 Langues : Français ( fre) Espagnol ( spa)
Catégories : |
77 Photographie 779 Collections d'images photographiques 82-1 Poésie
|
Index. décimale : |
82 Fictions : roman, théâtre, poésie, bande dessinée adulte |
Résumé : |
4ème couv.:
La photographie est-elle "le présent du passé" ? De même que veut dire pour nous "Mon paletot aussi devenait idéal" ? Aujourd'hui la photographie a complètement saturé notre quotidien et les paletots ne se vendent même plus au kilo. Nemesio Sánchez, derrière son "drapeau noir", a les narines larges. Il n'a que faire de ce temps idéal, il est pléthorique, il ne travaille pas dans le cristal: il aime la broussaille, l'excès, la peau plissée, le fameux "pli", les reflets, la lèvre charnue. Pour nous il se tâte en son dedans, là où les sentiments se gravent, là où le voyeur est l'instrument d'une réflexion. Pas de flou artistique, ni de phrases divinatoires, il ne manque pas un caillou ni un adjectif. Ses photos ont des odeurs, ses textes comblent les vides. Bref, il aime. |
Note de contenu : |
Table des matières :
-Préface
-Ferme les yeux
-En regardant l’horizon du temps
-Je lutte
-Quand je me réveille
-Vivre c’est mourir
-La mémoire est souffrance
-Je me souviens de toi…
-Près du feu
-Ferraille noire
-A la tombée du jour
-De ses yeux lassés d’espérer
-Ses mains ridées tremblent
-Ses mains n’étaient pas de cire
-Ainsi je me souviens de toi…
-Tu naquis
-Je m’en souviens
-Toujours elle parla
-Les langues se lurent au firmament…
-Navires qui chavires
-Tu es la mémoire d’images sans visage
-La mémoire demeure
-Le même soleil
-Le temps n’existe pas…
-Les chemins ne mènent nulle part
-Tu es terre…
-La fugacité se confond avec l’éternité
-Rien n’est plus éphémère
-« Une tempérée ! »…
-Ce qui hier se reflétait dans un miroir
-Que reste-t-il ?
-Tes vieux miroirs
-A travers des vitres opaques
-Maintenant vous gardez silence
-Peut-être pour ce…
-Tout passe…
-Je voudrais passer comme le vent
-Chaque moment nous le vivons
-Cette ombre qui chemine
-Il marche d’un pas traînant
-Pourquoi retourner sur nos pas…
-« Dieu est mort »
-Les taureaux de Guisando |
Permalink : |
https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di |
Titre : |
Visage du temps : photos-poèmes |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Nemesio Sánchez, Auteur ; Jean Lacroix, Préfacier, etc. ; Coleen Duffy, Traducteur ; Nemesio Sánchez, Traducteur |
Editeur : |
Caja Salamanca y Soria |
Année de publication : |
DL 1997 |
Importance : |
1 vol. (125 p.) |
Présentation : |
ill., couv. ill. |
Format : |
21 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-84-87132-63-6 |
Langues : |
Français (fre) Espagnol (spa) |
Catégories : |
77 Photographie 779 Collections d'images photographiques 82-1 Poésie
|
Index. décimale : |
82 Fictions : roman, théâtre, poésie, bande dessinée adulte |
Résumé : |
4ème couv.:
La photographie est-elle "le présent du passé" ? De même que veut dire pour nous "Mon paletot aussi devenait idéal" ? Aujourd'hui la photographie a complètement saturé notre quotidien et les paletots ne se vendent même plus au kilo. Nemesio Sánchez, derrière son "drapeau noir", a les narines larges. Il n'a que faire de ce temps idéal, il est pléthorique, il ne travaille pas dans le cristal: il aime la broussaille, l'excès, la peau plissée, le fameux "pli", les reflets, la lèvre charnue. Pour nous il se tâte en son dedans, là où les sentiments se gravent, là où le voyeur est l'instrument d'une réflexion. Pas de flou artistique, ni de phrases divinatoires, il ne manque pas un caillou ni un adjectif. Ses photos ont des odeurs, ses textes comblent les vides. Bref, il aime. |
Note de contenu : |
Table des matières :
-Préface
-Ferme les yeux
-En regardant l’horizon du temps
-Je lutte
-Quand je me réveille
-Vivre c’est mourir
-La mémoire est souffrance
-Je me souviens de toi…
-Près du feu
-Ferraille noire
-A la tombée du jour
-De ses yeux lassés d’espérer
-Ses mains ridées tremblent
-Ses mains n’étaient pas de cire
-Ainsi je me souviens de toi…
-Tu naquis
-Je m’en souviens
-Toujours elle parla
-Les langues se lurent au firmament…
-Navires qui chavires
-Tu es la mémoire d’images sans visage
-La mémoire demeure
-Le même soleil
-Le temps n’existe pas…
-Les chemins ne mènent nulle part
-Tu es terre…
-La fugacité se confond avec l’éternité
-Rien n’est plus éphémère
-« Une tempérée ! »…
-Ce qui hier se reflétait dans un miroir
-Que reste-t-il ?
-Tes vieux miroirs
-A travers des vitres opaques
-Maintenant vous gardez silence
-Peut-être pour ce…
-Tout passe…
-Je voudrais passer comme le vent
-Chaque moment nous le vivons
-Cette ombre qui chemine
-Il marche d’un pas traînant
-Pourquoi retourner sur nos pas…
-« Dieu est mort »
-Les taureaux de Guisando |
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