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Les régimes politiques occidentaux / Jean-Louis Quermonne
Les régimes politiques occidentaux [texte imprimé] / Jean-Louis Quermonne (1927-....), Auteur . - 5e éd. . - Paris : Éditions du Seuil, 2006 . - 1 vol. (337 p.) : couv. ill. en coul. ; 18 cm. - (Points. Essais, ISSN 1264-5524; 290) .
ISBN : 2-02-085775-8
Bibliogr. p. 329-337
Langues : Français (fre)
Catégories : 03 Dictionnaire. Référence. Adresses. Définitions
061.2 Institutions privées . asbl . Associations . ONG Organisation non-gouvernementale
321 Formes de l'organisation politique
321.6 Régime autoritaire / Dictature / Gouvernement non démocratique / Totalitarisme
321.7 Démocratie / Démocratisation
323.2 Relation peuple/Etat
329 Mouvements/Partis politiquesIndex. décimale : 32 Politique Résumé : 4e de couverture :
Gouvernement de la majorité dans le respect de la minorité, fondé sur des élections libres au rythme régulier de l'observance de l'état de droit : telle apparaît, aujourd'hui, la démocratie occidentale. Cette démocratie a une histoire et inspire depuis longtemps les régimes politiques de l'Europe de l'Ouest et de l'Amérique du Nord. Mais si, depuis quelques années, la plupart des pays s'en prévalent, moins d'un Etat sur dix la pratique réellement.
Les étudiants trouveront dans cette synthèse pédagogique ce qu'ils cherchent sur l'histoire, les institutions, les forces politiques et sociales qui animent les régimes politiques occidentaux. Plus ou moins d'Etat ? La division gauche-droite a-t-elle encore un sens ? Par rapport aux systèmes politiques de ses voisins, l' "exception française" existe-t-elle ? Des éléments de réponses, tirés de l'analyse comparative, sont proposés à la lecture du citoyen. Mais, en lui fournissant des connaissances, ce livre soulève aussi bien des questions.Note de contenu : Sommaire :
INTRODUCTION
Du principe de légitimité à l'aptitude à gouverner : le concept de régime politique, le principe de légitimité, la démocratie pluraliste, les régimes politiques occidentaux
LES PROCESSUS HISTORIQUES
* La fondation et l'institutionnalisation des régimes politiques
* Les crises de régime et les crises de gouvernement
* Alternance et permanence au pouvoir
* Démocratie médiatisée, démocratie directe et démocratie participative
LES INSTITUTIONS POLITIQUES
* Le constitutionnalisme et l'Etat de droit
* De la séparation des pouvoirs à l'émergence de contre-pouvoirs
* Le principe majoritaire et les modes de gouvernement
* Les modes de scrutin et la démocratie élective
LA SOCIETE CIVILE ET LES FORCES POLITIQUES
* La société civile
* Les partis politiques
* Les systèmes de partis
* Les tempéraments politiques : la droite et la gauche
L'ETAT ET L'ADMINISTRATION PUBLIQUE
* L'origine et la diversité des Etats occidentaux
* La souveraineté des Etats, le fédéralisme et la décentralisation
* L'Etat comme organisation et comme symbole
* L'Etat partisan et le pouvoir d'Etat
Conclusion : la démocratie occidentale : unité ou fractionnement ?Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : Les régimes politiques occidentaux Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Louis Quermonne (1927-....), Auteur Mention d'édition : 5e éd. Editeur : Paris : Éditions du Seuil Année de publication : 2006 Collection : Points Sous-collection : Essais num. 290 Importance : 1 vol. (337 p.) Présentation : couv. ill. en coul. Format : 18 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-02-085775-8 Note générale : Bibliogr. p. 329-337 Langues : Français (fre) Catégories : 03 Dictionnaire. Référence. Adresses. Définitions
061.2 Institutions privées . asbl . Associations . ONG Organisation non-gouvernementale
321 Formes de l'organisation politique
321.6 Régime autoritaire / Dictature / Gouvernement non démocratique / Totalitarisme
321.7 Démocratie / Démocratisation
323.2 Relation peuple/Etat
329 Mouvements/Partis politiquesIndex. décimale : 32 Politique Résumé : 4e de couverture :
Gouvernement de la majorité dans le respect de la minorité, fondé sur des élections libres au rythme régulier de l'observance de l'état de droit : telle apparaît, aujourd'hui, la démocratie occidentale. Cette démocratie a une histoire et inspire depuis longtemps les régimes politiques de l'Europe de l'Ouest et de l'Amérique du Nord. Mais si, depuis quelques années, la plupart des pays s'en prévalent, moins d'un Etat sur dix la pratique réellement.
Les étudiants trouveront dans cette synthèse pédagogique ce qu'ils cherchent sur l'histoire, les institutions, les forces politiques et sociales qui animent les régimes politiques occidentaux. Plus ou moins d'Etat ? La division gauche-droite a-t-elle encore un sens ? Par rapport aux systèmes politiques de ses voisins, l' "exception française" existe-t-elle ? Des éléments de réponses, tirés de l'analyse comparative, sont proposés à la lecture du citoyen. Mais, en lui fournissant des connaissances, ce livre soulève aussi bien des questions.Note de contenu : Sommaire :
INTRODUCTION
Du principe de légitimité à l'aptitude à gouverner : le concept de régime politique, le principe de légitimité, la démocratie pluraliste, les régimes politiques occidentaux
LES PROCESSUS HISTORIQUES
* La fondation et l'institutionnalisation des régimes politiques
* Les crises de régime et les crises de gouvernement
* Alternance et permanence au pouvoir
* Démocratie médiatisée, démocratie directe et démocratie participative
LES INSTITUTIONS POLITIQUES
* Le constitutionnalisme et l'Etat de droit
* De la séparation des pouvoirs à l'émergence de contre-pouvoirs
* Le principe majoritaire et les modes de gouvernement
* Les modes de scrutin et la démocratie élective
LA SOCIETE CIVILE ET LES FORCES POLITIQUES
* La société civile
* Les partis politiques
* Les systèmes de partis
* Les tempéraments politiques : la droite et la gauche
L'ETAT ET L'ADMINISTRATION PUBLIQUE
* L'origine et la diversité des Etats occidentaux
* La souveraineté des Etats, le fédéralisme et la décentralisation
* L'Etat comme organisation et comme symbole
* L'Etat partisan et le pouvoir d'Etat
Conclusion : la démocratie occidentale : unité ou fractionnement ?Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di Réservation
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Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 41380 32/QUE Livre Libre-accès Adultes Disponible Les religions de la politique / Emilio Gentile
Les religions de la politique : entre démocraties et totalitarismes [texte imprimé] / Emilio Gentile (1946-...), Auteur ; Anna Colao, Traducteur . - Paris : Éditions du Seuil, [s.d.] . - 301 p.. - (La couleur des idées) .
ISBN : 2-02-058045-4 : 24 EUR
index
Langues : Français (fre)
Catégories : 03 Dictionnaire. Référence. Adresses. Définitions
17 Morale Ethique Philosophie pratique Valeurs
172 Citoyenneté . Civisme . Solidarité . Morale sociale . Ethique sociale. Empathie
316 Sociologie
321 Formes de l'organisation politique
321.6 Régime autoritaire / Dictature / Gouvernement non démocratique / Totalitarisme
321.7 Démocratie / Démocratisation
323.2 Relation peuple/Etat
342.2 Structure des EtatsIndex. décimale : 321.7 Démocratie / Dictature Résumé : note de l'éditeur :
L’époque moderne se caractérise par une forme particulière de sacralisation de la politique : d’authentiques religions de la politique sont apparues, qui font de la Nation, de l’Etat ou du Parti une entité sacrée, un moteur de systèmes de croyances, de mythes, de rites et de symboles, bref un laboratoire d’hallucination collective. Entre science politique et histoire, le livre analyse les diverses formes de religions politiques, décrypte les manifestations de ferveur et renouvelle la réflexion sur le fanatisme de masse, les idéologies et le lien politique.
Extrait (vient du site du Seuil) :
Venons-en maintenant à l’argument de ce livre. La religion civile américaine est le premier exemple historique contemporain d’une religion de la politique. Notre but, en employant cette expression, est de définir une forme particulière de sacralisation de la politique qui se manifeste à l’époque moderne et s’affirme lorsque la dimension politique, après avoir gagné son autonomie institutionnelle vis-à -vis de la religion traditionnelle, acquiert une dimension religieuse propre, au sens où elle prend un caractère sacré autonome lui permettant de revendiquer la prérogative de définir le sens et la fin ultime de l’existence humaine, tout au moins sur terre, pour l’individu et la collectivité. Cela advient chaque fois qu’une entité politique - la nation, l’État, la race, la classe, le parti, le mouvement... - se transforme en une entité sacrée, c’est-à -dire qu’elle devient transcendante, indiscutable, intangible et, en tant que telle, s’affirme comme le centre d’un système plus ou moins élaboré de croyances, mythes, valeurs, commandements, rites et symboles qui en font un objet de foi, de déférence, de culte, de fidélité, de dévouement et, si nécessaire, de sacrifice humain. Dans ce cas, nous assistons à la formation d’une religion de la politique, religion désignant un système de croyances, de mythes, de rites et de symboles qui interprètent et définissent le sens et la fin ultime de l’existence humaine, en subordonnant le destin de l’individu et de la collectivité à une entité suprême.
La sacralisation de la politique est un phénomène moderne qui se distingue d’autres formes historiques de sacralisation du pouvoir politique. Au cours de l’histoire, depuis des temps très anciens, le détenteur du pouvoir politique a été auréolé de sacralité, identifié à une divinité ou considéré comme son émanation directe, tel le Pharaon de l’ancienne Égypte. Dans les villes grecques et dans la Rome républicaine, la sphère religieuse épousait parfaitement la sphère politique en s’identifiant à la religion de la cité: la sacralité du pouvoir politique faisait corps avec les institutions civiques. Dans la Rome impériale, la divinisation de l’empereur personnalisa la sacralisation du pouvoir, en se superposant aussi à la religion de la cité. L’avènement du christianisme brisa la fusion entre religion et politique et donna naissance à une nouvelle forme de sacralisation du pouvoir dérivée de la prédominance spirituelle de l’Église sur l’État. Dans les monarchies chrétiennes, depuis le Moyen Âge jusqu’à l’avènement de la souveraineté populaire, la sacralisation du pouvoir répond à la sacralité du monarque par droit divin, reconnu et légitimé par l’Église lorsqu’il n’était pas lui-même, comme dans l’Angleterre anglicane, à sa tête. D’où, de nombreux siècles durant, tensions, rivalités et conflits entre le pouvoir spirituel de l’Église et le pouvoir temporel du monarque, chacun revendiquant la primauté d’une souveraineté sacralisée par l’investiture divine.
---
Notes dans la revue Vingtième siècle n°91 (07-09/2006) :
Historien du fascisme italien dont il a démontré le fonctionnement totalitaire, Emilio Gentile s’intéressait depuis longtemps au concept de religion politique. L’Italie mussolinienne semblait parfaitement en corroborer la pertinence (La Religion fasciste, Perrin, 2002). La liturgie politique déployée autour de l’idée et du régime fascistes, de son chef, grand prêtre de cette nouvelle religion, le parti fasciste comme Église de la nouvelle foi, la déification de l’État, autant d’attributs confortant la thèse de l’existence au 20e siècle de ce que Gentile nomme la « sacralisation de la politique », fil directeur de ce brillant essai.
La religion politique est donc une forme particulière de la sacralisation de la politique. Elle présuppose l’autonomie du politique à l’égard du religieux et, dans un second temps, l’autonomie de la religiosité à l’égard du politique. La politique acquiert « un caractère sacré autonome lui permettant de revendiquer la prérogative de définir le sens et la fin ultime de l’existence humaine, tout au moins sur terre, pour l’individu et la collectivité » (p. 14). Il ne faut toutefois pas confondre religion civile et religion politique, dont l’ouvrage s’attache à souligner les différences. La première repose sur un système de croyances, de mythes, de principes et de comportements symboliques exprimant les valeurs fondamentales d’une société. Il faut remonter au 18e siècle pour en trouver les premières traces dans la pensée politique d’abord (Rousseau) puis dans la pratique. Aux États-Unis, la sacralisation des institutions de la République naissante pourrait s’expliquer par ce que Tocqueville appelait le « point de départ » : la fondation d’une civilisation où la volonté politique à la base de sa construction s’appuie sur des valeurs préétablies empreintes de religion. La Révolution française constitue bien sûr le deuxième exemple probant : de la fête de la Fédération au culte de l’Être suprême cependant, on glisse déjà de la religion civile à la religion politique. Tocqueville peut à nouveau servir de repère : « Révolution […] avait l’air de tendre à la régénération du genre humain plus encore qu’à la réforme de la France » (p. 77). On touche l’un des traits qui distinguent la religion civile de la religion politique. Celle-là suppose certes la sacralisation de la politique, mais elle maintient la pluralité des idées et la primauté de l’individu. Celle-ci évoque un monopole irrévocable du pouvoir, un monisme idéologique et la subordination de l’individu à la foi nouvelle (p. 16). La religion politique participe ainsi de la définition du totalitarisme qui acquiert, grâce à Gentile, une dimension nouvelle. Le totalitarisme est en effet l’apogée de la sacralisation de la politique, qui se caractérise par un « énorme, exubérant déploiement de mythes, rites et symboles ». Bien sûr, il n’y a pas de cloisons étanches séparant les deux formes. Le 19e siècle montre les porosités, le glissement de la religion civile à la religion politique par le culte de la foi révolutionnaire ou celui de la nation qui culmine avec la guerre régénératrice de 1914-1918.
Gentile confronte toutes les thèses sur le sujet : il fait un sort à celles qui ne voient dans cette sacralisation de la politique qu’une stratégie démagogique et nie qu’il ne s’agisse que de propagande destinée à la manipulation des masses (de fait, l’idée de religion politique est, nous semble-t-il, inséparable de celle de « consensus » dans les régimes totalitaires). D’autres sociologues ont en revanche soulevé la question de cette recherche « fébrile », lorsque décline la foi religieuse, d’un « nouveau système de croyances et de principes généraux autour desquels se regrouper, au sein duquel trouver une intime raison de vivre dignement » (Antonio Gramsci). Si la sacralisation de la politique a survécu à la seconde guerre mondiale, notamment avec le communisme, nouvelle « religion » des intellectuels occidentaux, Gentile parle de « reflux » de la religion politique à l’aube du 21e siècle.
Frédéric AttalNote de contenu : Sommaire :
Introduction : la sacralisation de la politique
1. Une religion qui n'existe pas ? Un ersatz de religion ? Une nouvelle religion ?
2. Religions civiles (démocraties) et religions politiques (totalitarismes)
3.L'Ecclesia du Léviathan : totalitarisme, une définition directrice - interprétation - masses, foi, mythes - l'esence religieuse du totalitarisme - etc
4. L'invasion des idoles
5. Vers le troisième millénaire : une guerre de religion - déifications communistes - anciennes démocraties, le reflux de la religion civile
6. Les religions de la politique : définition - conclusion - etc
notes
index de nomsPermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : Les religions de la politique : entre démocraties et totalitarismes Type de document : texte imprimé Auteurs : Emilio Gentile (1946-...), Auteur ; Anna Colao, Traducteur Editeur : Paris : Éditions du Seuil Collection : La couleur des idées Importance : 301 p. ISBN/ISSN/EAN : 2-02-058045-4 Prix : 24 EUR Note générale : index Langues : Français (fre) Catégories : 03 Dictionnaire. Référence. Adresses. Définitions
17 Morale Ethique Philosophie pratique Valeurs
172 Citoyenneté . Civisme . Solidarité . Morale sociale . Ethique sociale. Empathie
316 Sociologie
321 Formes de l'organisation politique
321.6 Régime autoritaire / Dictature / Gouvernement non démocratique / Totalitarisme
321.7 Démocratie / Démocratisation
323.2 Relation peuple/Etat
342.2 Structure des EtatsIndex. décimale : 321.7 Démocratie / Dictature Résumé : note de l'éditeur :
L’époque moderne se caractérise par une forme particulière de sacralisation de la politique : d’authentiques religions de la politique sont apparues, qui font de la Nation, de l’Etat ou du Parti une entité sacrée, un moteur de systèmes de croyances, de mythes, de rites et de symboles, bref un laboratoire d’hallucination collective. Entre science politique et histoire, le livre analyse les diverses formes de religions politiques, décrypte les manifestations de ferveur et renouvelle la réflexion sur le fanatisme de masse, les idéologies et le lien politique.
Extrait (vient du site du Seuil) :
Venons-en maintenant à l’argument de ce livre. La religion civile américaine est le premier exemple historique contemporain d’une religion de la politique. Notre but, en employant cette expression, est de définir une forme particulière de sacralisation de la politique qui se manifeste à l’époque moderne et s’affirme lorsque la dimension politique, après avoir gagné son autonomie institutionnelle vis-à -vis de la religion traditionnelle, acquiert une dimension religieuse propre, au sens où elle prend un caractère sacré autonome lui permettant de revendiquer la prérogative de définir le sens et la fin ultime de l’existence humaine, tout au moins sur terre, pour l’individu et la collectivité. Cela advient chaque fois qu’une entité politique - la nation, l’État, la race, la classe, le parti, le mouvement... - se transforme en une entité sacrée, c’est-à -dire qu’elle devient transcendante, indiscutable, intangible et, en tant que telle, s’affirme comme le centre d’un système plus ou moins élaboré de croyances, mythes, valeurs, commandements, rites et symboles qui en font un objet de foi, de déférence, de culte, de fidélité, de dévouement et, si nécessaire, de sacrifice humain. Dans ce cas, nous assistons à la formation d’une religion de la politique, religion désignant un système de croyances, de mythes, de rites et de symboles qui interprètent et définissent le sens et la fin ultime de l’existence humaine, en subordonnant le destin de l’individu et de la collectivité à une entité suprême.
La sacralisation de la politique est un phénomène moderne qui se distingue d’autres formes historiques de sacralisation du pouvoir politique. Au cours de l’histoire, depuis des temps très anciens, le détenteur du pouvoir politique a été auréolé de sacralité, identifié à une divinité ou considéré comme son émanation directe, tel le Pharaon de l’ancienne Égypte. Dans les villes grecques et dans la Rome républicaine, la sphère religieuse épousait parfaitement la sphère politique en s’identifiant à la religion de la cité: la sacralité du pouvoir politique faisait corps avec les institutions civiques. Dans la Rome impériale, la divinisation de l’empereur personnalisa la sacralisation du pouvoir, en se superposant aussi à la religion de la cité. L’avènement du christianisme brisa la fusion entre religion et politique et donna naissance à une nouvelle forme de sacralisation du pouvoir dérivée de la prédominance spirituelle de l’Église sur l’État. Dans les monarchies chrétiennes, depuis le Moyen Âge jusqu’à l’avènement de la souveraineté populaire, la sacralisation du pouvoir répond à la sacralité du monarque par droit divin, reconnu et légitimé par l’Église lorsqu’il n’était pas lui-même, comme dans l’Angleterre anglicane, à sa tête. D’où, de nombreux siècles durant, tensions, rivalités et conflits entre le pouvoir spirituel de l’Église et le pouvoir temporel du monarque, chacun revendiquant la primauté d’une souveraineté sacralisée par l’investiture divine.
---
Notes dans la revue Vingtième siècle n°91 (07-09/2006) :
Historien du fascisme italien dont il a démontré le fonctionnement totalitaire, Emilio Gentile s’intéressait depuis longtemps au concept de religion politique. L’Italie mussolinienne semblait parfaitement en corroborer la pertinence (La Religion fasciste, Perrin, 2002). La liturgie politique déployée autour de l’idée et du régime fascistes, de son chef, grand prêtre de cette nouvelle religion, le parti fasciste comme Église de la nouvelle foi, la déification de l’État, autant d’attributs confortant la thèse de l’existence au 20e siècle de ce que Gentile nomme la « sacralisation de la politique », fil directeur de ce brillant essai.
La religion politique est donc une forme particulière de la sacralisation de la politique. Elle présuppose l’autonomie du politique à l’égard du religieux et, dans un second temps, l’autonomie de la religiosité à l’égard du politique. La politique acquiert « un caractère sacré autonome lui permettant de revendiquer la prérogative de définir le sens et la fin ultime de l’existence humaine, tout au moins sur terre, pour l’individu et la collectivité » (p. 14). Il ne faut toutefois pas confondre religion civile et religion politique, dont l’ouvrage s’attache à souligner les différences. La première repose sur un système de croyances, de mythes, de principes et de comportements symboliques exprimant les valeurs fondamentales d’une société. Il faut remonter au 18e siècle pour en trouver les premières traces dans la pensée politique d’abord (Rousseau) puis dans la pratique. Aux États-Unis, la sacralisation des institutions de la République naissante pourrait s’expliquer par ce que Tocqueville appelait le « point de départ » : la fondation d’une civilisation où la volonté politique à la base de sa construction s’appuie sur des valeurs préétablies empreintes de religion. La Révolution française constitue bien sûr le deuxième exemple probant : de la fête de la Fédération au culte de l’Être suprême cependant, on glisse déjà de la religion civile à la religion politique. Tocqueville peut à nouveau servir de repère : « Révolution […] avait l’air de tendre à la régénération du genre humain plus encore qu’à la réforme de la France » (p. 77). On touche l’un des traits qui distinguent la religion civile de la religion politique. Celle-là suppose certes la sacralisation de la politique, mais elle maintient la pluralité des idées et la primauté de l’individu. Celle-ci évoque un monopole irrévocable du pouvoir, un monisme idéologique et la subordination de l’individu à la foi nouvelle (p. 16). La religion politique participe ainsi de la définition du totalitarisme qui acquiert, grâce à Gentile, une dimension nouvelle. Le totalitarisme est en effet l’apogée de la sacralisation de la politique, qui se caractérise par un « énorme, exubérant déploiement de mythes, rites et symboles ». Bien sûr, il n’y a pas de cloisons étanches séparant les deux formes. Le 19e siècle montre les porosités, le glissement de la religion civile à la religion politique par le culte de la foi révolutionnaire ou celui de la nation qui culmine avec la guerre régénératrice de 1914-1918.
Gentile confronte toutes les thèses sur le sujet : il fait un sort à celles qui ne voient dans cette sacralisation de la politique qu’une stratégie démagogique et nie qu’il ne s’agisse que de propagande destinée à la manipulation des masses (de fait, l’idée de religion politique est, nous semble-t-il, inséparable de celle de « consensus » dans les régimes totalitaires). D’autres sociologues ont en revanche soulevé la question de cette recherche « fébrile », lorsque décline la foi religieuse, d’un « nouveau système de croyances et de principes généraux autour desquels se regrouper, au sein duquel trouver une intime raison de vivre dignement » (Antonio Gramsci). Si la sacralisation de la politique a survécu à la seconde guerre mondiale, notamment avec le communisme, nouvelle « religion » des intellectuels occidentaux, Gentile parle de « reflux » de la religion politique à l’aube du 21e siècle.
Frédéric AttalNote de contenu : Sommaire :
Introduction : la sacralisation de la politique
1. Une religion qui n'existe pas ? Un ersatz de religion ? Une nouvelle religion ?
2. Religions civiles (démocraties) et religions politiques (totalitarismes)
3.L'Ecclesia du Léviathan : totalitarisme, une définition directrice - interprétation - masses, foi, mythes - l'esence religieuse du totalitarisme - etc
4. L'invasion des idoles
5. Vers le troisième millénaire : une guerre de religion - déifications communistes - anciennes démocraties, le reflux de la religion civile
6. Les religions de la politique : définition - conclusion - etc
notes
index de nomsPermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di Réservation
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Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 40610/1 321.7/GEN Livre Libre-accès Adultes Disponible La Résistance expliquée à mes petits-enfants / Lucie Aubrac
La Résistance expliquée à mes petits-enfants [texte imprimé] / Lucie Aubrac (1912-2007), Auteur . - Paris : Éditions du Seuil, 2000 . - 1 vol. (61 p.) : couv. ill. ; 19 cm.
ISBN : 2-02-036571-5
Langues : Français (fre)
Catégories : 82-93 Littérature de jeunesse - littérature pour enfants
929 Aubrac, Lucie et Raymond
94(100)"1939/45" Histoire Seconde Guerre mondiale
94(100)"1939/45" Résistance Seconde Guerre mondialeIndex. décimale : ENF.GU(9-12) guerres - enfants 9 à 12 ans Résumé : Site éditeur :
Que fut réellement la Résistance au temps de l’occupation allemande ? Comment fut-elle vécue, au jour le jour, par ces hommes et ces femmes que réunissait un même refus de la défaite et de la servitude ? Comment parvinrent-ils à créer des réseaux actifs, à diffuser une presse clandestine, à entreprendre des actions militaires ? Au-delà des polémiques et des légendes, c’est la quotidienneté d’un combat que raconte ici Lucie Aubrac. Sur un ton direct, avec clarté et patience, elle répond aux questions de ses propres petits-enfants, mais aussi à celles de milliers d’écoliers ou lycéens qu’elle rencontrait chaque année avant sa disparition en 2007.Note de contenu : Table :
Ballade de celui qui chanta dans les supplices par ARAGON, LOUIS. - pp. 57-58
Je trahirais demain par COHN, MARIANNE. - p. 59
Liberté par ELUARD, PAUL. - pp. 60-61
Que fut réellement la Résistance au temps de l'occupation allemande? Comment fut-elle vécue, au jour le jour, par ces hommes et ces femmes que réunissait un même refus de la défaite et de la servitude? Comment parvinrent-ils à créer des réseaux actifs, à diffuser une presse clandestine, à entreprendre des actions militaires? Au-delà des polémiques et des légendes, c'est la quotidienneté d'un combat que raconte ici Lucie Aubrac. Sur un ton direct, avec clarté et patience, elle répond aux questions de ses propres petits-enfants, mais aussi à celles des milliers d'écoliers ou lycéens qu'elle rencontre chaque année.Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : La Résistance expliquée à mes petits-enfants Type de document : texte imprimé Auteurs : Lucie Aubrac (1912-2007), Auteur Editeur : Paris : Éditions du Seuil Année de publication : 2000 Importance : 1 vol. (61 p.) Présentation : couv. ill. Format : 19 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-02-036571-5 Langues : Français (fre) Catégories : 82-93 Littérature de jeunesse - littérature pour enfants
929 Aubrac, Lucie et Raymond
94(100)"1939/45" Histoire Seconde Guerre mondiale
94(100)"1939/45" Résistance Seconde Guerre mondialeIndex. décimale : ENF.GU(9-12) guerres - enfants 9 à 12 ans Résumé : Site éditeur :
Que fut réellement la Résistance au temps de l’occupation allemande ? Comment fut-elle vécue, au jour le jour, par ces hommes et ces femmes que réunissait un même refus de la défaite et de la servitude ? Comment parvinrent-ils à créer des réseaux actifs, à diffuser une presse clandestine, à entreprendre des actions militaires ? Au-delà des polémiques et des légendes, c’est la quotidienneté d’un combat que raconte ici Lucie Aubrac. Sur un ton direct, avec clarté et patience, elle répond aux questions de ses propres petits-enfants, mais aussi à celles de milliers d’écoliers ou lycéens qu’elle rencontrait chaque année avant sa disparition en 2007.Note de contenu : Table :
Ballade de celui qui chanta dans les supplices par ARAGON, LOUIS. - pp. 57-58
Je trahirais demain par COHN, MARIANNE. - p. 59
Liberté par ELUARD, PAUL. - pp. 60-61
Que fut réellement la Résistance au temps de l'occupation allemande? Comment fut-elle vécue, au jour le jour, par ces hommes et ces femmes que réunissait un même refus de la défaite et de la servitude? Comment parvinrent-ils à créer des réseaux actifs, à diffuser une presse clandestine, à entreprendre des actions militaires? Au-delà des polémiques et des légendes, c'est la quotidienneté d'un combat que raconte ici Lucie Aubrac. Sur un ton direct, avec clarté et patience, elle répond aux questions de ses propres petits-enfants, mais aussi à celles des milliers d'écoliers ou lycéens qu'elle rencontre chaque année.Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di Réservation
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Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 19494/1 ENF.GU(9-12)/AUB Livre Libre-accès Enfants Sorti jusqu'au 19/02/2021 19494/2 ENF.GU(9-12)/AUB Livre Libre-accès Enfants Disponible Ressentiment et apocalypse / Philippe Burrin
Ressentiment et apocalypse : essai sur l'antisémitisme nazi [texte imprimé] / Philippe Burrin, Auteur . - Paris : Éditions du Seuil, DL 2007 . - 1 vol. (99 p.) : couv. ill. ; 18 cm. - (Points. Histoire, ISSN 0768-0457; 373) .
ISBN : 978-2-7578-0296-0 : 6 EUR
Reprend, sous une forme révisée, trois conférences données au Collège de France à l'initiative de la Fondation pour la mémoire de la Shoah, les 23 avril, 14 mai et 11 juin 2003
Bibliogr., 4 p. Index
Langues : Français (fre)
Catégories : 321.6"1933/1945" Nazisme
323.118(=924) Antisémitisme
82-4 Essais (littérature)
Judéocide / ShoahIndex. décimale : 323.12 Racisme / Antiracisme Résumé : 4ème couv.:
De grandes tragédies peuvent-elles avoir des causes simples ? Elles suscitent du moins des questions simples, comme si l'ampleur écrasante d'un événement appelait une explication taillée d'un bloc. Ces questions, il faut les affronter, en particulier quand elles portent sur le génocide des juifs d'Europe, une tragédie, s'il y en fut une, où se trouva mise en cause notre civilisation. Pourquoi l'Allemagne fut-elle le lieu de la tragédie, alors que l'aversion et l'hostilité envers les juifs étaient répandues dans toute l'Europe ? Pourquoi le préjugé antijuif est-il devenu, après 1933, une sorte de norme dans la société allemande, permettant au régime nazi de mener sa politique sans rencontrer d'obstacle sérieux ? Et pourquoi est-on allé jusqu'au massacre, alors que d'autres solutions étaient envisageables et furent appliquées ou examinées, d'un système d'apartheid à l'émigration forcée ou à la concentration sur un territoire excentré ?Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : Ressentiment et apocalypse : essai sur l'antisémitisme nazi Type de document : texte imprimé Auteurs : Philippe Burrin, Auteur Editeur : Paris : Éditions du Seuil Année de publication : DL 2007 Collection : Points. Histoire, ISSN 0768-0457 num. 373 Importance : 1 vol. (99 p.) Présentation : couv. ill. Format : 18 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7578-0296-0 Prix : 6 EUR Note générale : Reprend, sous une forme révisée, trois conférences données au Collège de France à l'initiative de la Fondation pour la mémoire de la Shoah, les 23 avril, 14 mai et 11 juin 2003
Bibliogr., 4 p. IndexLangues : Français (fre) Catégories : 321.6"1933/1945" Nazisme
323.118(=924) Antisémitisme
82-4 Essais (littérature)
Judéocide / ShoahIndex. décimale : 323.12 Racisme / Antiracisme Résumé : 4ème couv.:
De grandes tragédies peuvent-elles avoir des causes simples ? Elles suscitent du moins des questions simples, comme si l'ampleur écrasante d'un événement appelait une explication taillée d'un bloc. Ces questions, il faut les affronter, en particulier quand elles portent sur le génocide des juifs d'Europe, une tragédie, s'il y en fut une, où se trouva mise en cause notre civilisation. Pourquoi l'Allemagne fut-elle le lieu de la tragédie, alors que l'aversion et l'hostilité envers les juifs étaient répandues dans toute l'Europe ? Pourquoi le préjugé antijuif est-il devenu, après 1933, une sorte de norme dans la société allemande, permettant au régime nazi de mener sa politique sans rencontrer d'obstacle sérieux ? Et pourquoi est-on allé jusqu'au massacre, alors que d'autres solutions étaient envisageables et furent appliquées ou examinées, d'un système d'apartheid à l'émigration forcée ou à la concentration sur un territoire excentré ?Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 52243 323.12/BUR Livre Libre-accès Adultes Disponible Ressentiment et apocalypse / Philippe Burrin
Ressentiment et apocalypse : essai sur l'antisémitisme nazi [texte imprimé] / Philippe Burrin, Auteur . - Paris : Éditions du Seuil, 2004 . - 99 p. : couv. ill. en coul. ; 21 cm. - (XXe siècle) .
ISBN : 2-02-063262-4 : 10 EUR
Langues : Français (fre)
Catégories : (430) Allemagne
316 Sociologie
316.7 Sociologie de la Culture / Vie Intellectuel
321.6"1933/1945" Nazisme
323.118(=924) Antisémitisme
Judéocide / ShoahIndex. décimale : 323.12 Racisme / Antiracisme Résumé : Voir la critique par Yves Ternon dans la Revue d'Histoire de la Shoah, n°183 (2005), pp. 549-551
4e de couverture :
De grandes tragédies peuvent-elles avoir des auses simples ? Elles suscitent du moins des questions simples, comme si l'ampleur écrasante d'un événement appelait une explication taillée d'un bloc. Ces questions, il faut les affronter, en particulier quand elles portent sur le génocide des juifs d'Europe, une tragédie, s'il y en fut une, où se trouva mise en cause notre civilisation. Pourquoi l'Allemagne fut-elle le lieu de la tragédie, alors que l'aversion et l'hostilité envers les juifs étaient répandues dans toutre l'Europe ? Pourquoi le préjugé antijuif est-il devenu, après 1933, une sorte de norme dans la société allemande, permettant au régime nazi de mener sa politique sans rencontrer d'obstacle sérieux ? Et pourquoi est-on allé jusqu'au massacre, alors que d'autres solutions étaient envisageables et furent appliquées ou examinées, d'un système d'apartheid à l'émigration forcée ou à la concentration sur un territoire excentré ?Note de contenu : Reprend, sous une forme révisée, trois conférences données au Collège de France à l'initiative de la Fondation pour la mémoire de la Shoah les 23 avril, 14 mai et 11 juin 2003 Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : Ressentiment et apocalypse : essai sur l'antisémitisme nazi Type de document : texte imprimé Auteurs : Philippe Burrin, Auteur Editeur : Paris : Éditions du Seuil Année de publication : 2004 Collection : XXe siècle Importance : 99 p. Présentation : couv. ill. en coul. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-02-063262-4 Prix : 10 EUR Langues : Français (fre) Catégories : (430) Allemagne
316 Sociologie
316.7 Sociologie de la Culture / Vie Intellectuel
321.6"1933/1945" Nazisme
323.118(=924) Antisémitisme
Judéocide / ShoahIndex. décimale : 323.12 Racisme / Antiracisme Résumé : Voir la critique par Yves Ternon dans la Revue d'Histoire de la Shoah, n°183 (2005), pp. 549-551
4e de couverture :
De grandes tragédies peuvent-elles avoir des auses simples ? Elles suscitent du moins des questions simples, comme si l'ampleur écrasante d'un événement appelait une explication taillée d'un bloc. Ces questions, il faut les affronter, en particulier quand elles portent sur le génocide des juifs d'Europe, une tragédie, s'il y en fut une, où se trouva mise en cause notre civilisation. Pourquoi l'Allemagne fut-elle le lieu de la tragédie, alors que l'aversion et l'hostilité envers les juifs étaient répandues dans toutre l'Europe ? Pourquoi le préjugé antijuif est-il devenu, après 1933, une sorte de norme dans la société allemande, permettant au régime nazi de mener sa politique sans rencontrer d'obstacle sérieux ? Et pourquoi est-on allé jusqu'au massacre, alors que d'autres solutions étaient envisageables et furent appliquées ou examinées, d'un système d'apartheid à l'émigration forcée ou à la concentration sur un territoire excentré ?Note de contenu : Reprend, sous une forme révisée, trois conférences données au Collège de France à l'initiative de la Fondation pour la mémoire de la Shoah les 23 avril, 14 mai et 11 juin 2003 Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di Réservation
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