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Le Chaînon : octobre 2010 [texte imprimé] . - Bruxelles : Centre d'Action Laïque (CAL), 2010 . - 1 vol. (48 p.) : couv. ill. & ill. ; 23 cm.
Langues : Français (fre)
Catégories : 172 Citoyenneté . Civisme . Solidarité . Morale sociale . Ethique sociale. Empathie
364.23 Famine.Détresse. Pauvreté. Dette (surendettement)
Inégalités sociales / PrécaritéIndex. décimale : 364 Inégalité sociale / Exclusion / Aide Sociale / Aide Humanitaire Résumé : Site éditeur :
« Vous voulez les pauvres secourus, moi je veux la misère supprimée »
Victor Hugo
Et si l’on essayait la solidarité ?
Le « krach » historique que nous venons de vivre marque l’échec du modèle de civilisation qui a érigé « le marché » en valeur fondamentale. L’humaÂnisme s’est dissout dans l’économisme. Aujourd’hui, il importe davantage d’être rentable que d’être heureux. Or, le fossé entre les mieux nantis et les plus démunis n’a jamais été aussi grand. Moins de 20% des habitants de la planète détiennent plus de 80% des richesses du monde. Et des études ont prouvé que la richesse d’un pays n’entraînait aucune amélioration du bien-être des gens. Un tel modèle a-t-il encore un sens ? A-t-il un avenir ?
Soyons rationnels : les comportements égoïstes sont voués à disparaître, tôt ou tard. Les ressources s’épuisent : il n’y en aura pas pour tout le monde. 80% des habitants de la planète sont pauvres. Plus de 15% des Belges sont pauvres. Plus de 20% des Bruxellois sont pauvres. Les femmes en paient le plus lourd tribut. Quelle est notre responsabilité collective dans cet échec ?
Bien sûr, beaucoup de gens aisés aimeraient aider les plus pauvres. CerÂtains essaient. Le plus souvent, par des actions individuelles de souÂtien, d’aide ponctuelle, de charité. Certes, selon la Bible et le Coran, « qui sauve une vie sauve l’humanité entière ». Mais aujourd’hui, il ne suffit plus de sauver une femme, un homme ou un enfant. Le fossé est trop profond, la rupture trop forte. La souffrance et le ressentiment grandissent chez ceux qui connaissent les conditions les plus injustes.
Or aujourd’hui, que voit-on ? Pour renflouer les caisses de l’État, on détriÂcote le lien social, on taille dans les retraites et dans les salaires. Cela est-il juste ? Non, estime le Centre d’Action Laïque. Aussi réaffirmons-nous avec force que nous ne voulons pas la pitié, la charité, l’assistanat ou la comÂpassion. Nous voulons la justice. Nous voulons une société solidaire où les chances s’équilibrent, entre ceux qui ont beaucoup et ceux qui n’ont rien.
Méfions-nous des discours compassionnels, des médias qui se nourÂrissent d’émotion et des discours politiques qui font recette en déÂnonçant la misère. Plutôt que de souffrance ou de malheur, parlons d’injustice ou d’inégalité. Abandonnons l’approche sensationnaliste de la pitié pour traiter le problème politiquement et collectivement.Note de contenu : Campagne 2010 du CAL (Belgique) : vous avez aimé l'égoïsme ? Vous aller adorer la solidarité ! En ligne : http://www.ulb.ac.be/cal/presse/campagne/2010/solidarite/solidarite.html Format de la ressource électronique : présentation + documents à télécharger Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : Le Chaînon : octobre 2010 Type de document : texte imprimé Editeur : Bruxelles : Centre d'Action Laïque (CAL) Année de publication : 2010 Importance : 1 vol. (48 p.) Présentation : couv. ill. & ill. Format : 23 cm Langues : Français (fre) Catégories : 172 Citoyenneté . Civisme . Solidarité . Morale sociale . Ethique sociale. Empathie
364.23 Famine.Détresse. Pauvreté. Dette (surendettement)
Inégalités sociales / PrécaritéIndex. décimale : 364 Inégalité sociale / Exclusion / Aide Sociale / Aide Humanitaire Résumé : Site éditeur :
« Vous voulez les pauvres secourus, moi je veux la misère supprimée »
Victor Hugo
Et si l’on essayait la solidarité ?
Le « krach » historique que nous venons de vivre marque l’échec du modèle de civilisation qui a érigé « le marché » en valeur fondamentale. L’humaÂnisme s’est dissout dans l’économisme. Aujourd’hui, il importe davantage d’être rentable que d’être heureux. Or, le fossé entre les mieux nantis et les plus démunis n’a jamais été aussi grand. Moins de 20% des habitants de la planète détiennent plus de 80% des richesses du monde. Et des études ont prouvé que la richesse d’un pays n’entraînait aucune amélioration du bien-être des gens. Un tel modèle a-t-il encore un sens ? A-t-il un avenir ?
Soyons rationnels : les comportements égoïstes sont voués à disparaître, tôt ou tard. Les ressources s’épuisent : il n’y en aura pas pour tout le monde. 80% des habitants de la planète sont pauvres. Plus de 15% des Belges sont pauvres. Plus de 20% des Bruxellois sont pauvres. Les femmes en paient le plus lourd tribut. Quelle est notre responsabilité collective dans cet échec ?
Bien sûr, beaucoup de gens aisés aimeraient aider les plus pauvres. CerÂtains essaient. Le plus souvent, par des actions individuelles de souÂtien, d’aide ponctuelle, de charité. Certes, selon la Bible et le Coran, « qui sauve une vie sauve l’humanité entière ». Mais aujourd’hui, il ne suffit plus de sauver une femme, un homme ou un enfant. Le fossé est trop profond, la rupture trop forte. La souffrance et le ressentiment grandissent chez ceux qui connaissent les conditions les plus injustes.
Or aujourd’hui, que voit-on ? Pour renflouer les caisses de l’État, on détriÂcote le lien social, on taille dans les retraites et dans les salaires. Cela est-il juste ? Non, estime le Centre d’Action Laïque. Aussi réaffirmons-nous avec force que nous ne voulons pas la pitié, la charité, l’assistanat ou la comÂpassion. Nous voulons la justice. Nous voulons une société solidaire où les chances s’équilibrent, entre ceux qui ont beaucoup et ceux qui n’ont rien.
Méfions-nous des discours compassionnels, des médias qui se nourÂrissent d’émotion et des discours politiques qui font recette en déÂnonçant la misère. Plutôt que de souffrance ou de malheur, parlons d’injustice ou d’inégalité. Abandonnons l’approche sensationnaliste de la pitié pour traiter le problème politiquement et collectivement.Note de contenu : Campagne 2010 du CAL (Belgique) : vous avez aimé l'égoïsme ? Vous aller adorer la solidarité ! En ligne : http://www.ulb.ac.be/cal/presse/campagne/2010/solidarite/solidarite.html Format de la ressource électronique : présentation + documents à télécharger Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di Réservation
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Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 46865 364/CHA Documents divers Libre-accès Adultes Disponible Documents numériques
Le ChaînonAdobe Acrobat PDF Un champ professionnel en recomposition / MEJED HAMZAOUI in Agenda Interculturel, 162 (mars 1998)
[article] Un champ professionnel en recomposition : nouveau projet et travailleur dans le domaine social : des ingénieurs agronomes, licenciés en biolog [texte imprimé] / MEJED HAMZAOUI ; JACQUES MEYERS . - 1998 . - pp. 10 - 13.
Langues : Français (fre)
in Agenda Interculturel > 162 (mars 1998) . - pp. 10 - 13
Catégories : 32(493) Politique de la Belgique
364.6 Travailleurs sociaux
Exclusion socialePermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : Un champ professionnel en recomposition : nouveau projet et travailleur dans le domaine social : des ingénieurs agronomes, licenciés en biolog Type de document : texte imprimé Auteurs : MEJED HAMZAOUI ; JACQUES MEYERS Année de publication : 1998 Article en page(s) : pp. 10 - 13 Langues : Français (fre) Catégories : 32(493) Politique de la Belgique
364.6 Travailleurs sociaux
Exclusion socialePermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in Agenda Interculturel > 162 (mars 1998) . - pp. 10 - 13Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 7504/1 P/1077 Périodique Libre-accès Périodiques Disponible Changer le monde, c'est possible ! / Riccardo Petrella in Le Monde Diplomatique, 617 (août 2005)
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 40715/1 p/5318 Périodique Réserve Périodiques Disponible La chape de l’anglais / Bernard Cassen in Manière de voir, 97 (Février-Mars 2008)
[article] La chape de l’anglais [texte imprimé] / Bernard Cassen, Directeur de publication . - 2008 . - pp. 55-79.
Langues : Français (fre)
in Manière de voir > 97 (Février-Mars 2008) . - pp. 55-79
Catégories : 316.35 Groupes / Identités / Communautés
327.2 Impérialisme occidental / Politique de l'Occident
81 Linguistique Langue
Inégalités sociales / PrécaritéRésumé : Dans son Combat pour le français (Odile Jacob), Claude Hagège cite l’écrivain britannique T. B. Macaulay, qui, en 1835, assignait à la colonisation de l’Inde la mission de former « une classe d’individus indiens de sang et de couleur, mais anglais par leurs goûts, leurs opinions, leurs valeurs et leur intellect ». Un peu moins de deux siècles plus tard, l’entreprise de colonisation des esprits des « élites » — qui disent aux peuples ce qu’ils doivent penser — est devenue planétaire. Elle sert moins les intérêts politiques du Royaume-Uni que ceux des Etats-Unis, en tant que promoteurs et premiers bénéficiaires de la mondialisation néolibérale. Mais elle a toujours comme principal vecteur la diffusion de l’anglo-américain. Hagège montre bien la « solidarité naturelle » qui, depuis Adam Smith et David Ricardo, « unit l’idéologie libre-échangiste et la langue anglaise ».
Ces « assises libérales communes » sont confortées par les actions volontaristes de la nébuleuse des décideurs politiques et économiques anglo-saxons qui, eux, ont parfaitement compris les avantages — en premier lieu le formatage des esprits sur leur « modèle » — et la rente financière qu’ils retirent de l’imposition d’une langue unique mondiale, la leur.
Il est dans l’ordre des choses que ces actions soient relayées et exaltées par tous ceux qui, par intérêt ou par conviction idéologique, aspirent à la servitude volontaire au sein de l’Empire. Il est, en revanche, ahurissant que des forces et des individus se réclamant de l’antilibéralisme n’aient toujours pas compris le rôle que l’anglo-américain joue — à leur détriment — dans les combats qu’ils mènent.
En France, il faut chercher la clé de cette myopie dans leur rapport à la langue française : n’a-t-elle pas été celle de la colonisation et de la marginalisation des langues dites « régionales » ? Dans ces conditions, elle serait, par essence, « répressive », alors que l’anglais serait « neutre » puisqu’il ne leur donne aucune mauvaise conscience. Avec de telles analyses, le néolibéralisme a de beaux jours devant lui...
La langue-dollar
B. C.
L’utile avant le beau, un choix de civilisation
Philippe Lalanne-Berdouticq
Un abus de position dominante
Pierre Lelong
La hantise des laboratoires : « to be » ou ne pas être ?
Philippe Lazar
Sarcasmes médiatiques contre la loi Toubon
B. C.
La science comme elle se parle...
Jean-Marc Lévy-Leblond
Anglicisation forcenée dans les entreprises
B. C.Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : La chape de l’anglais Type de document : texte imprimé Auteurs : Bernard Cassen, Directeur de publication Année de publication : 2008 Article en page(s) : pp. 55-79 Langues : Français (fre) Catégories : 316.35 Groupes / Identités / Communautés
327.2 Impérialisme occidental / Politique de l'Occident
81 Linguistique Langue
Inégalités sociales / PrécaritéRésumé : Dans son Combat pour le français (Odile Jacob), Claude Hagège cite l’écrivain britannique T. B. Macaulay, qui, en 1835, assignait à la colonisation de l’Inde la mission de former « une classe d’individus indiens de sang et de couleur, mais anglais par leurs goûts, leurs opinions, leurs valeurs et leur intellect ». Un peu moins de deux siècles plus tard, l’entreprise de colonisation des esprits des « élites » — qui disent aux peuples ce qu’ils doivent penser — est devenue planétaire. Elle sert moins les intérêts politiques du Royaume-Uni que ceux des Etats-Unis, en tant que promoteurs et premiers bénéficiaires de la mondialisation néolibérale. Mais elle a toujours comme principal vecteur la diffusion de l’anglo-américain. Hagège montre bien la « solidarité naturelle » qui, depuis Adam Smith et David Ricardo, « unit l’idéologie libre-échangiste et la langue anglaise ».
Ces « assises libérales communes » sont confortées par les actions volontaristes de la nébuleuse des décideurs politiques et économiques anglo-saxons qui, eux, ont parfaitement compris les avantages — en premier lieu le formatage des esprits sur leur « modèle » — et la rente financière qu’ils retirent de l’imposition d’une langue unique mondiale, la leur.
Il est dans l’ordre des choses que ces actions soient relayées et exaltées par tous ceux qui, par intérêt ou par conviction idéologique, aspirent à la servitude volontaire au sein de l’Empire. Il est, en revanche, ahurissant que des forces et des individus se réclamant de l’antilibéralisme n’aient toujours pas compris le rôle que l’anglo-américain joue — à leur détriment — dans les combats qu’ils mènent.
En France, il faut chercher la clé de cette myopie dans leur rapport à la langue française : n’a-t-elle pas été celle de la colonisation et de la marginalisation des langues dites « régionales » ? Dans ces conditions, elle serait, par essence, « répressive », alors que l’anglais serait « neutre » puisqu’il ne leur donne aucune mauvaise conscience. Avec de telles analyses, le néolibéralisme a de beaux jours devant lui...
La langue-dollar
B. C.
L’utile avant le beau, un choix de civilisation
Philippe Lalanne-Berdouticq
Un abus de position dominante
Pierre Lelong
La hantise des laboratoires : « to be » ou ne pas être ?
Philippe Lazar
Sarcasmes médiatiques contre la loi Toubon
B. C.
La science comme elle se parle...
Jean-Marc Lévy-Leblond
Anglicisation forcenée dans les entreprises
B. C.Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in Manière de voir > 97 (Février-Mars 2008) . - pp. 55-79Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 43847 man Périodique Réserve Adultes Disponible A Chaque portefeuille son école : l'invention de la citoyenneté / NATHALIE BABISTA in C4, 84-85 (mai-juin 2001)
[article] A Chaque portefeuille son école : l'invention de la citoyenneté : Les écoles pour les riches et les écoles pour les pauvres existent bel et bien. [texte imprimé] / NATHALIE BABISTA ; MARILYN MAHY ; EMMANUELLE RENARD . - 2001 . - pp. 6 - 7.
Langues : Français (fre)
in C4 > 84-85 (mai-juin 2001) . - pp. 6 - 7
Catégories : (493) Belgique
37 Education Enseignement Loisirs
37.06 Problèmes sociaux (enseign.)
371 Organisation de l'éducation et de l'enseignement
Inégalités sociales / PrécaritéPermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : A Chaque portefeuille son école : l'invention de la citoyenneté : Les écoles pour les riches et les écoles pour les pauvres existent bel et bien. Type de document : texte imprimé Auteurs : NATHALIE BABISTA ; MARILYN MAHY ; EMMANUELLE RENARD Année de publication : 2001 Article en page(s) : pp. 6 - 7 Langues : Français (fre) Catégories : (493) Belgique
37 Education Enseignement Loisirs
37.06 Problèmes sociaux (enseign.)
371 Organisation de l'éducation et de l'enseignement
Inégalités sociales / PrécaritéPermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in C4 > 84-85 (mai-juin 2001) . - pp. 6 - 7Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 21658/1 P/2825 Périodique Réserve Périodiques Disponible PermalinkLes chemins de traverse pris par Mon ami Paco / Michel Recloux in Aide-Mémoire, 66 (octobre-décembre 2013)
PermalinkLe Chercheur : porteur d'interrogations... / MEJED HAMZAOUI in Agenda Interculturel, 181 (février 2000)
PermalinkChercheurs et opérateurs de terrain : en quête du politique / ELIANE DE ROSEN in Agenda Interculturel, 181 (février 2000)
PermalinkChère santé... in Espace de Libertés, 350 (février 2007)
PermalinkChez nous / Vinciane Fonck
PermalinkChez toi / Sandrine Martin
PermalinkChiapas : une détermination intacte in No Pasaran !, 20 (mai 2003)
PermalinkChiapas : la lutte continue in No Pasaran !, 61 (novembre 1998)
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