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7.05 Utilisation de l'art |
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L'Art rend libre ! [document électronique] / Souvenir de la Résistance et des Fusillés du Fort de Bondues, Éditeur scientifique ; Musée de la Résistance de Bondues, Éditeur scientifique . - 2016 . - 3 fichiers pdf(15 + 3 + 48 p.).
Langues : Français (fre)
Catégories : 070.13 Liberté de la presse Censure
323.25 Résistance passive . Désobéissance civile. Lutte non armée
37.02 Pédagogie et outils pédagogiques
7.05 Utilisation de l'art
78 Musique Chansons
94(100)"1939/45" Histoire Seconde Guerre mondiale
94(44)"1939/45" Résistance FranceRésumé : Site du musée :
EXPOSITION : « L'Art rend libre ! »
Du 30 novembre 2015 au 29 avril 2016
Durant l’occupation va se développer - à côté d’activités de Résistance classique - une forme plus intime de Résistance, la création littéraire et artistique.
Le contexte est difficile et peu favorable à la création : censure et multiplicité des contrôles, répression omniprésente et conditions matérielles difficiles. Mais quel que soit le lieu, en France occupée ou soumise au régime de Vichy, en France Libre ou à l’étranger et même dans les camps de concentration, le talent des résistants a été une arme contre la barbarie. Cette exposition vous fera découvrir l’étendu de leur talent.
Réalisée à l’initiative de l’Association « Souvenir de la Résistance et des Fusillés du Fort de Bondues », cette exposition offre des matériaux aux collégiens et aux lycéens préparant le Concours National de la Résistance et de la Déportation.
La visite s’accompagne d’un livret pédagogique réalisé par Jean-Baptiste Gardon, professeur certifié d’Histoire-Géographie, responsable du service éducatif du Musée de la Résistance de Bondues.
Note de contenu : Documents à télécharger :
- Le livret pédagogique de l'exposition - Jean-Baptiste Gardon
- Le document d’étude sur la musique comme résistance - Monique Berthe
- Le document d’étude sur la littérature comme arme - Pascale SaunierEn ligne : http://www.ville-bondues.fr/musee/ Format de la ressource électronique : Site du musée Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : L'Art rend libre ! Type de document : document électronique Auteurs : Souvenir de la Résistance et des Fusillés du Fort de Bondues, Éditeur scientifique ; Musée de la Résistance de Bondues, Éditeur scientifique Année de publication : 2016 Importance : 3 fichiers pdf(15 + 3 + 48 p.) Langues : Français (fre) Catégories : 070.13 Liberté de la presse Censure
323.25 Résistance passive . Désobéissance civile. Lutte non armée
37.02 Pédagogie et outils pédagogiques
7.05 Utilisation de l'art
78 Musique Chansons
94(100)"1939/45" Histoire Seconde Guerre mondiale
94(44)"1939/45" Résistance FranceRésumé : Site du musée :
EXPOSITION : « L'Art rend libre ! »
Du 30 novembre 2015 au 29 avril 2016
Durant l’occupation va se développer - à côté d’activités de Résistance classique - une forme plus intime de Résistance, la création littéraire et artistique.
Le contexte est difficile et peu favorable à la création : censure et multiplicité des contrôles, répression omniprésente et conditions matérielles difficiles. Mais quel que soit le lieu, en France occupée ou soumise au régime de Vichy, en France Libre ou à l’étranger et même dans les camps de concentration, le talent des résistants a été une arme contre la barbarie. Cette exposition vous fera découvrir l’étendu de leur talent.
Réalisée à l’initiative de l’Association « Souvenir de la Résistance et des Fusillés du Fort de Bondues », cette exposition offre des matériaux aux collégiens et aux lycéens préparant le Concours National de la Résistance et de la Déportation.
La visite s’accompagne d’un livret pédagogique réalisé par Jean-Baptiste Gardon, professeur certifié d’Histoire-Géographie, responsable du service éducatif du Musée de la Résistance de Bondues.
Note de contenu : Documents à télécharger :
- Le livret pédagogique de l'exposition - Jean-Baptiste Gardon
- Le document d’étude sur la musique comme résistance - Monique Berthe
- Le document d’étude sur la littérature comme arme - Pascale SaunierEn ligne : http://www.ville-bondues.fr/musee/ Format de la ressource électronique : Site du musée Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di Exemplaires
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L'art de rue entre subversion et récupération / PHILIPPE PATAUD CELERIER in Le Monde Diplomatique, 750 (septembre 2016)
[article] L'art de rue entre subversion et récupération : "enchanter lz vulgaire réalité" [texte imprimé] / PHILIPPE PATAUD CELERIER, Auteur . - 2016 . - p. 14-15.
Langues : Français (fre)
in Le Monde Diplomatique > 750 (septembre 2016) . - p. 14-15
Catégories : 323.21 Militantisme Participation Engagement
7.05 Utilisation de l'art
71(1-21) Zones urbaines (villes)
75 PeintureRésumé : INTRODUCTION
Longtemps vilipendés, les graffs, tags et dessins au pochoir ont conquis leurs lettres de noblesse. En août, des communes de Seine-Saint-Denis, en région parisienne, organisaient même une visite guidée des « plus beaux graffs du 93 ». La reconnaissance a parfois conduit les artistes de rue à abandonner toute velléité de contestation, même si la plupart continuent à rejeter la récupération marchande.Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : L'art de rue entre subversion et récupération : "enchanter lz vulgaire réalité" Type de document : texte imprimé Auteurs : PHILIPPE PATAUD CELERIER, Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 14-15 Langues : Français (fre) Catégories : 323.21 Militantisme Participation Engagement
7.05 Utilisation de l'art
71(1-21) Zones urbaines (villes)
75 PeintureRésumé : INTRODUCTION
Longtemps vilipendés, les graffs, tags et dessins au pochoir ont conquis leurs lettres de noblesse. En août, des communes de Seine-Saint-Denis, en région parisienne, organisaient même une visite guidée des « plus beaux graffs du 93 ». La reconnaissance a parfois conduit les artistes de rue à abandonner toute velléité de contestation, même si la plupart continuent à rejeter la récupération marchande.Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in Le Monde Diplomatique > 750 (septembre 2016) . - p. 14-15Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 50214 MON Périodique Réserve Périodiques Disponible
Art et totalitarisme : l'art dans l'Allemagne nazie [texte imprimé] / Territoires de la Mémoire asbl (Liège) , Directeur de publication . - Liège : Les Territoires de la Mémoire, 2014 . - 1 vol. (18 p.) : ill. ; 30 cm. - (Clés) .
Langues : Français (fre)
Catégories : 321.6"1933/1945" Nazisme
7.05 Utilisation de l'artIndex. décimale : 329FNS Totalitarismes : fascisme, nazisme et stalinisme Résumé : Extrait de l'introduction :
S’interroger sur les relations qu’entretenaient certains régimes totalitaires du XX e siècle avec le monde artistique revient en somme à se pencher sur un cas relativement précis de la longue histoire des rapports particuliers qui ont toujours existé entre l’art et le pouvoir. Pratiques artistiques et pouvoir politique ont toujours été étroitement liés. En effet, l’art, en tant que tentative personnelle de représentation ou de traduction du réel, court toujours le risque d’entrer en concurrence – voire en contradiction – avec la vision du monde véhiculée par le pouvoir en place. D’où la nécessité pour un pouvoir idéologique fort de contrôler ce moyen d’expression, notamment par une série de garde-fous destinés à baliser étroitement les schémas de pensée autorisés. Que l’on songe seulement à la censure romaine, l’Inquisition médiévale, l’Académie française de Richelieu ou celle des Beaux-Arts de Louis XIV, et l’on s’apercevra que l’Histoire fourmille d’exemples de récupération, de contrôle ou d’épuration de l’expression artistique par le politique.
La problématique n’est pas neuve. Dès lors, pourquoi s’intéresser plus particulièrement à une séquence de l’Histoire ? Sans doute parce que des régimes politiques tels que les régimes nazi, fasciste et communiste, pour ne citer qu’eux, constituent des exemples de systèmes qui poussèrent à son paroxysme la logique de mise sous tutelle des arts au profit d’une idéologie toute puissante. Ainsi, comme l’explique Lionel Richard à propos du nazisme .
Cette utilisation de la culture comme instrument et expression du pouvoir politique s’exprima, sous le Troisième Reich, selon un double mouvement : d’une part, la constitution d’une « culture » nationale, officielle, pure, et d’autre part, le rejet de toute une série de courants artistiques jugés « décadents », « dangereux », « anti-allemands ». L’art, selon les critères et les terminologies nazis, se voyait désormais défini en deux catégories bien distinctes et irréductibles : l’art « nazi » et l’art « dégénéré ».
Le présent dossier se propose d’aborder successivement l’une et l’autre de ces approches nazies de l’expression artistique, égales tant par leur absurdité que par leur violence sous-jacente. Il est une tentative de décrire le contrôle, la tutelle implacable exercés sur les créateurs artistiques, qu’ils soient peintres, sculpteurs, musiciens, compositeurs, cinéastes ou écrivains. Parce qu’ils se revendiquaient porteurs d’une nouvelle vision du monde, parce qu’ils appelaient de leurs vœux une « régénération » de l’Homme, les régimes totalitaires du XX e siècle – en tête desquels nous placerons l’Allemagne nazie – comprirent immédiatement la nécessité d’« éduquer » – ou de « rééduquer » – les masses afin, d’une part, de s’en assurer le contrôle et surtout, d’autre part, d’atteindre l’objectif idéologique de création d’un « homme nouveau ».
Note de contenu : Table :
Art et totalitarisme : L’art dans l’Allemagne nazie
Introduction
Le mythe de l’«Homme nouveau»
L’art nazi : la beauté sans sensualité
• L’esthétique nazie : une esthétique de la respectabilité
L’art dit «dégénéré» : la nervosité médicalisée
• L’exposition de l’art dit « dégénéré » (Entartete Kunst)
• Exposition sur la musique dégénérée (Entartete Musik)
• La destruction des œuvres dites « dégénérées »
• La vente de Lucerne
«Conclusion vers aujourd’hui»
Bibliographie
Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : Art et totalitarisme : l'art dans l'Allemagne nazie Type de document : texte imprimé Auteurs : Territoires de la Mémoire asbl (Liège) , Directeur de publication Editeur : Liège : Les Territoires de la Mémoire Année de publication : 2014 Collection : Clés Importance : 1 vol. (18 p.) Présentation : ill. Format : 30 cm Langues : Français (fre) Catégories : 321.6"1933/1945" Nazisme
7.05 Utilisation de l'artIndex. décimale : 329FNS Totalitarismes : fascisme, nazisme et stalinisme Résumé : Extrait de l'introduction :
S’interroger sur les relations qu’entretenaient certains régimes totalitaires du XX e siècle avec le monde artistique revient en somme à se pencher sur un cas relativement précis de la longue histoire des rapports particuliers qui ont toujours existé entre l’art et le pouvoir. Pratiques artistiques et pouvoir politique ont toujours été étroitement liés. En effet, l’art, en tant que tentative personnelle de représentation ou de traduction du réel, court toujours le risque d’entrer en concurrence – voire en contradiction – avec la vision du monde véhiculée par le pouvoir en place. D’où la nécessité pour un pouvoir idéologique fort de contrôler ce moyen d’expression, notamment par une série de garde-fous destinés à baliser étroitement les schémas de pensée autorisés. Que l’on songe seulement à la censure romaine, l’Inquisition médiévale, l’Académie française de Richelieu ou celle des Beaux-Arts de Louis XIV, et l’on s’apercevra que l’Histoire fourmille d’exemples de récupération, de contrôle ou d’épuration de l’expression artistique par le politique.
La problématique n’est pas neuve. Dès lors, pourquoi s’intéresser plus particulièrement à une séquence de l’Histoire ? Sans doute parce que des régimes politiques tels que les régimes nazi, fasciste et communiste, pour ne citer qu’eux, constituent des exemples de systèmes qui poussèrent à son paroxysme la logique de mise sous tutelle des arts au profit d’une idéologie toute puissante. Ainsi, comme l’explique Lionel Richard à propos du nazisme .
Cette utilisation de la culture comme instrument et expression du pouvoir politique s’exprima, sous le Troisième Reich, selon un double mouvement : d’une part, la constitution d’une « culture » nationale, officielle, pure, et d’autre part, le rejet de toute une série de courants artistiques jugés « décadents », « dangereux », « anti-allemands ». L’art, selon les critères et les terminologies nazis, se voyait désormais défini en deux catégories bien distinctes et irréductibles : l’art « nazi » et l’art « dégénéré ».
Le présent dossier se propose d’aborder successivement l’une et l’autre de ces approches nazies de l’expression artistique, égales tant par leur absurdité que par leur violence sous-jacente. Il est une tentative de décrire le contrôle, la tutelle implacable exercés sur les créateurs artistiques, qu’ils soient peintres, sculpteurs, musiciens, compositeurs, cinéastes ou écrivains. Parce qu’ils se revendiquaient porteurs d’une nouvelle vision du monde, parce qu’ils appelaient de leurs vœux une « régénération » de l’Homme, les régimes totalitaires du XX e siècle – en tête desquels nous placerons l’Allemagne nazie – comprirent immédiatement la nécessité d’« éduquer » – ou de « rééduquer » – les masses afin, d’une part, de s’en assurer le contrôle et surtout, d’autre part, d’atteindre l’objectif idéologique de création d’un « homme nouveau ».
Note de contenu : Table :
Art et totalitarisme : L’art dans l’Allemagne nazie
Introduction
Le mythe de l’«Homme nouveau»
L’art nazi : la beauté sans sensualité
• L’esthétique nazie : une esthétique de la respectabilité
L’art dit «dégénéré» : la nervosité médicalisée
• L’exposition de l’art dit « dégénéré » (Entartete Kunst)
• Exposition sur la musique dégénérée (Entartete Musik)
• La destruction des œuvres dites « dégénérées »
• La vente de Lucerne
«Conclusion vers aujourd’hui»
Bibliographie
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Document en pdfURL 148 - août-septembre 2016 - Artistes domestiqués ou révoltés? (Bulletin de Manière de voir)
[n° ou bulletin] 148 - août-septembre 2016 - Artistes domestiqués ou révoltés? [texte imprimé] . - 2016 . - 97 p.
Langues : Français (fre)
Catégories : 323.21 Militantisme Participation Engagement
323.25 Résistance passive . Désobéissance civile. Lutte non armée
7.0 Art en général
7.05 Utilisation de l'artRésumé : INTRODUCTION
L’art s’est-il dissous dans la culture ? De fêtes en discours officiels, la culture est partout. L’art, lui, n’est plus guère évoqué que comme agent du « lien social », facteur d’union entre les couches de la société. C’est faire jouer à l’art le rôle de pilier de l’ordre dominant : mais de quel art s’agit-il alors ?Note de contenu : SOMMAIRE
I. ÉCLATS RÉVOLUTIONNAIRES
-Un film beau comme une aurore/Lionel Richard
-Les couleurs d’un peuple/Laurent Courtens
-Gloire à ceux qui nous aident à garder des rêves/Jorge Amado
-Pour décontaminer l’imaginaire/Nira Reyes Morales
-Poètes, vos papiers/Mahmoud Darwich
-Peace and love and rock’n’roll/Thomas Sotinel
-L’ombre de l’identité culturelle/Édouard Glissant
-Comment donner forme à nos déceptions/Théo Angelopoulos
-Istanbul, l’autre côté/Ayhan Geçgin
II. LA SUBVERSION, C’EST CHIC
-L’obscénité des caniches géants/Dany-Robert Dufour
-Merci de ne rien déranger/Yves Hélias et Alain Jouffroy
-La vague qui se prenait pour l’océan/Philippe Person
-La Joconde aime les patrons/Johan Popelard
-Loin de la K-pop, vers un Bob Dylan chinois/Léo de Boisgisson
-Sur le « Titanic », de si gentils rebelles/Thomas Frank
-Des travailleurs comme les autres ?/Eugenio Renzi
-Guillaume Apollinaire, guetteur de merveilles/Laurence Campa
-Faites vos jeux/Andrew Adonis et Stephen Pollard
III. LA FÊTE DES POSSIBLES
-Panaït Istrati, la grandeur des gueux/Sébastien Lapaque
-Vérité de la légende/Graham Robb
-Ovnis dans le ciel d’Afrique/Alain Vicky
-À ceux qui entendent Bach pour la première fois/Miguel Ángel Estrella
-Le progrès à l’envers/Ignacio Ramonet
-Et Manet fit scandale/Pierre Bourdieu
-La fraternité des égarés/John Berger
-Saboter le consensus, ouvrir l’horizon/Evelyne Pieiller
-Les excentriques, le léninisme et Buster Keaton/Owen Hatherley
ALLUMER LES ÉTOILES
-« Pour un art révolutionnaire indépendant »
-Aucune écriture n’est innocente
-Pirates à l’abordage
-Quand le New Deal salariait les artistes
-La culture, opium du peuple
-Le stéréotype comme nourriture de l’âme
-Pol Cèbe et la parole ouvrière
-Génial, malgré tout
-Les vertiges du noir
-Imagine
-Jacques Rancière et le dissensusPermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=bulletin_ [n° ou bulletin]
Titre : 148 - août-septembre 2016 - Artistes domestiqués ou révoltés? Type de document : texte imprimé Année de publication : 2016 Importance : 97 p. Langues : Français (fre) Catégories : 323.21 Militantisme Participation Engagement
323.25 Résistance passive . Désobéissance civile. Lutte non armée
7.0 Art en général
7.05 Utilisation de l'artRésumé : INTRODUCTION
L’art s’est-il dissous dans la culture ? De fêtes en discours officiels, la culture est partout. L’art, lui, n’est plus guère évoqué que comme agent du « lien social », facteur d’union entre les couches de la société. C’est faire jouer à l’art le rôle de pilier de l’ordre dominant : mais de quel art s’agit-il alors ?Note de contenu : SOMMAIRE
I. ÉCLATS RÉVOLUTIONNAIRES
-Un film beau comme une aurore/Lionel Richard
-Les couleurs d’un peuple/Laurent Courtens
-Gloire à ceux qui nous aident à garder des rêves/Jorge Amado
-Pour décontaminer l’imaginaire/Nira Reyes Morales
-Poètes, vos papiers/Mahmoud Darwich
-Peace and love and rock’n’roll/Thomas Sotinel
-L’ombre de l’identité culturelle/Édouard Glissant
-Comment donner forme à nos déceptions/Théo Angelopoulos
-Istanbul, l’autre côté/Ayhan Geçgin
II. LA SUBVERSION, C’EST CHIC
-L’obscénité des caniches géants/Dany-Robert Dufour
-Merci de ne rien déranger/Yves Hélias et Alain Jouffroy
-La vague qui se prenait pour l’océan/Philippe Person
-La Joconde aime les patrons/Johan Popelard
-Loin de la K-pop, vers un Bob Dylan chinois/Léo de Boisgisson
-Sur le « Titanic », de si gentils rebelles/Thomas Frank
-Des travailleurs comme les autres ?/Eugenio Renzi
-Guillaume Apollinaire, guetteur de merveilles/Laurence Campa
-Faites vos jeux/Andrew Adonis et Stephen Pollard
III. LA FÊTE DES POSSIBLES
-Panaït Istrati, la grandeur des gueux/Sébastien Lapaque
-Vérité de la légende/Graham Robb
-Ovnis dans le ciel d’Afrique/Alain Vicky
-À ceux qui entendent Bach pour la première fois/Miguel Ángel Estrella
-Le progrès à l’envers/Ignacio Ramonet
-Et Manet fit scandale/Pierre Bourdieu
-La fraternité des égarés/John Berger
-Saboter le consensus, ouvrir l’horizon/Evelyne Pieiller
-Les excentriques, le léninisme et Buster Keaton/Owen Hatherley
ALLUMER LES ÉTOILES
-« Pour un art révolutionnaire indépendant »
-Aucune écriture n’est innocente
-Pirates à l’abordage
-Quand le New Deal salariait les artistes
-La culture, opium du peuple
-Le stéréotype comme nourriture de l’âme
-Pol Cèbe et la parole ouvrière
-Génial, malgré tout
-Les vertiges du noir
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-Jacques Rancière et le dissensusPermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=bulletin_ Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 50099 MAN Périodique Libre-accès Périodiques Disponible De artistieke reisbeurs in dienst van de Belgische koloniale propaganda / Tessa Lobbes in Cahiers d'Histoire du Temps Présent (CHTP), 21 (2009)
[article] De artistieke reisbeurs in dienst van de Belgische koloniale propaganda [texte imprimé] / Tessa Lobbes, Auteur . - 2009 . - pp.135-171.
Langues : Néerlandais (dut)
in Cahiers d'Histoire du Temps Présent (CHTP) > 21 (2009) . - pp.135-171
Catégories : 32(493) Politique de la Belgique
32.019 Propagande / Communication politique / Médias et politique
325 Colonisation
7.05 Utilisation de l'art
94(493) Histoire de la BelgiqueRésumé : LA BOURSE DE VOYAGE ARTISTIQUE AU SERVICE DE LA PROPAGANDE COLONIALE BELGE
Le Ministère des colonies et les artistes coloniaux pendant l’Entre-deux-guerres La propagande artistique coloniale constitue un aspect presque complètement oublié du passé colonial belge. La collaboration entre les artistes coloniaux belges et le Ministère des colonies dans le cadre de la propagande coloniale pendant l’Entre-deux guerres occupe une place centrale dans cet article. L’expression ‘artistes coloniaux’ renvoie principalement aux peintres et sculpteurs blancs qui au cours de la période coloniale, soit d’environ 1880 à 1960, entreprirent une mission artistique au Congo. D’un point de vue institutionnel, l’accent est surtout mis sur une caractérisation de la politique des bourses de voyage artistiques du Ministère des colonies.
L’Entre-deux-guerres constitua une période cruciale pour l’institutionnalisation de l’art africanisant comme moyen de propagande. Une première collaboration importante entre les artistes coloniaux et les autorités coloniales se manifesta déjà peu avant la Première Guerre mondiale. Mais c’est seulement dans l’Entre-deux-guerres que le Ministère des colonies élabora une politique systématique de bourses de voyage. Au cours de ces années, un vent d’africanophilie souffla sur les villes européennes. La fascination culturelle pour l’Afrique soi-disant intuitive et authentique fut ressentie comme un antidote à la mentalité rationnelle occidentale sclérosée. Autour du nombre croissant d’africanistes naquit un réseau artistico-culturel africanophile sous la forme de l’Association des écrivains et artistes coloniaux. Par le biais de cette association naquit un important réseau où des fonctionnaires coloniaux comme le mécène africanophile Gaston-Denys Périer et des artistes purent se rencontrer et se stimuler. De son côté, le Ministère des colonies renforça son rôle de diffuseur de propagande. Pendant l’Entre-deux-guerres, presque tous les partis politiques comme aussi les autorités coloniales prêtèrent attention à l’éducation populaire visuelle et à la propagande par la photographie, la cinématographie et l’art. La démocratisation fi t en sorte que les masses populaires qui souvent étaient illettrées, furent également amenées à être convaincues.
Le moteur du développement de la politique artistique coloniale ne fut cependant pas le Ministère des colonies. Le stimulant vint en effet du milieu artistico-culturel africanophile qui tint des expositions et des plaidoyers en faveur de l’institution d’une bourse de voyage. Ainsi, le Ministère des colonies devint de plus en plus convaincu de la force de l’instrument de propagande artistique. L’attrait de l’art africain reposait notamment sur le rayonnement exotique de la palette colorée et sur la possibilité, via des toiles et des images monumentales, de convaincre le peuple de la splendeur coloniale. Ce n’est qu’à la fi n des années 1920 que le réseau artistico-culturel parvint à ses fi ns. Le ministre des Colonies accorda en effet à l’époque une bourse de voyage artistique officielle aux peintres Fernand Allard l’Olivier et Henri Kerels dans le cadre des grandes missions en faveur du pavillon colonial de l’Exposition universelle d’Anvers de 1930. L’important succès public d’Allard l’Olivier, la naissance du tourisme de luxe et la plus intense collaboration entre le Ministère des colonies et l’Association des écrivains et artistes coloniaux belges, entre autres, stimulèrent le Ministère des colonies à poursuivre le développement de la politique des bourses de voyage pendant les années 1930. Cette politique des bourses de voyage brilla cependant souvent par son inconstance et son indécision. Une crise économique persistante et une retenue officielle pour développer une vraie politique en furent à la base. Les procédures informelles, l’absence de budget fixe et les préférences des fonctionnaires y contribuèrent. Néanmoins l’institution de la bourse de voyage coloniale fut une condition importante et même essentielle au développement de la propagande artistique.
À partir des années 1930, les autorités coloniales développèrent l’habitude de subsidier deux missions artistiques par an. Ainsi une dizaine d’artistes belges comme André Hallet, Clément Serneels et Jane Tercafs reçurent des bourses de voyage pour les territoires d’outre-mer. La bourse était totalement associée à la propagande coloniale puisque les autorités faisaient effectuer des missions ou acquéraient des oeuvres d’art en échange des subsides. Les thèmes officiels favoris étaient les synthèses historicisantes sur l’impact de la présence belge au Congo, des portraits et scènes ethnographiques exotiques et l’exaltation de figures coloniales et d’évènements historiques mémorables. Un aperçu de la politique des bourses de voyage coloniales pendant l’Entre-deuxguerres montre clairement que le Ministère des colonies a investi dans ce domaine culturel principalement selon un angle d’approche utilitaire et très peu pour des motifs artistiques. De cette manière, les autorités coloniales purent faire jouer un rôle à cet art exotique dans la propagande populaire visuelle moderne en faveur du Congo et du Ruanda-Urundi.
Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : De artistieke reisbeurs in dienst van de Belgische koloniale propaganda Type de document : texte imprimé Auteurs : Tessa Lobbes, Auteur Année de publication : 2009 Article en page(s) : pp.135-171 Langues : Néerlandais (dut) Catégories : 32(493) Politique de la Belgique
32.019 Propagande / Communication politique / Médias et politique
325 Colonisation
7.05 Utilisation de l'art
94(493) Histoire de la BelgiqueRésumé : LA BOURSE DE VOYAGE ARTISTIQUE AU SERVICE DE LA PROPAGANDE COLONIALE BELGE
Le Ministère des colonies et les artistes coloniaux pendant l’Entre-deux-guerres La propagande artistique coloniale constitue un aspect presque complètement oublié du passé colonial belge. La collaboration entre les artistes coloniaux belges et le Ministère des colonies dans le cadre de la propagande coloniale pendant l’Entre-deux guerres occupe une place centrale dans cet article. L’expression ‘artistes coloniaux’ renvoie principalement aux peintres et sculpteurs blancs qui au cours de la période coloniale, soit d’environ 1880 à 1960, entreprirent une mission artistique au Congo. D’un point de vue institutionnel, l’accent est surtout mis sur une caractérisation de la politique des bourses de voyage artistiques du Ministère des colonies.
L’Entre-deux-guerres constitua une période cruciale pour l’institutionnalisation de l’art africanisant comme moyen de propagande. Une première collaboration importante entre les artistes coloniaux et les autorités coloniales se manifesta déjà peu avant la Première Guerre mondiale. Mais c’est seulement dans l’Entre-deux-guerres que le Ministère des colonies élabora une politique systématique de bourses de voyage. Au cours de ces années, un vent d’africanophilie souffla sur les villes européennes. La fascination culturelle pour l’Afrique soi-disant intuitive et authentique fut ressentie comme un antidote à la mentalité rationnelle occidentale sclérosée. Autour du nombre croissant d’africanistes naquit un réseau artistico-culturel africanophile sous la forme de l’Association des écrivains et artistes coloniaux. Par le biais de cette association naquit un important réseau où des fonctionnaires coloniaux comme le mécène africanophile Gaston-Denys Périer et des artistes purent se rencontrer et se stimuler. De son côté, le Ministère des colonies renforça son rôle de diffuseur de propagande. Pendant l’Entre-deux-guerres, presque tous les partis politiques comme aussi les autorités coloniales prêtèrent attention à l’éducation populaire visuelle et à la propagande par la photographie, la cinématographie et l’art. La démocratisation fi t en sorte que les masses populaires qui souvent étaient illettrées, furent également amenées à être convaincues.
Le moteur du développement de la politique artistique coloniale ne fut cependant pas le Ministère des colonies. Le stimulant vint en effet du milieu artistico-culturel africanophile qui tint des expositions et des plaidoyers en faveur de l’institution d’une bourse de voyage. Ainsi, le Ministère des colonies devint de plus en plus convaincu de la force de l’instrument de propagande artistique. L’attrait de l’art africain reposait notamment sur le rayonnement exotique de la palette colorée et sur la possibilité, via des toiles et des images monumentales, de convaincre le peuple de la splendeur coloniale. Ce n’est qu’à la fi n des années 1920 que le réseau artistico-culturel parvint à ses fi ns. Le ministre des Colonies accorda en effet à l’époque une bourse de voyage artistique officielle aux peintres Fernand Allard l’Olivier et Henri Kerels dans le cadre des grandes missions en faveur du pavillon colonial de l’Exposition universelle d’Anvers de 1930. L’important succès public d’Allard l’Olivier, la naissance du tourisme de luxe et la plus intense collaboration entre le Ministère des colonies et l’Association des écrivains et artistes coloniaux belges, entre autres, stimulèrent le Ministère des colonies à poursuivre le développement de la politique des bourses de voyage pendant les années 1930. Cette politique des bourses de voyage brilla cependant souvent par son inconstance et son indécision. Une crise économique persistante et une retenue officielle pour développer une vraie politique en furent à la base. Les procédures informelles, l’absence de budget fixe et les préférences des fonctionnaires y contribuèrent. Néanmoins l’institution de la bourse de voyage coloniale fut une condition importante et même essentielle au développement de la propagande artistique.
À partir des années 1930, les autorités coloniales développèrent l’habitude de subsidier deux missions artistiques par an. Ainsi une dizaine d’artistes belges comme André Hallet, Clément Serneels et Jane Tercafs reçurent des bourses de voyage pour les territoires d’outre-mer. La bourse était totalement associée à la propagande coloniale puisque les autorités faisaient effectuer des missions ou acquéraient des oeuvres d’art en échange des subsides. Les thèmes officiels favoris étaient les synthèses historicisantes sur l’impact de la présence belge au Congo, des portraits et scènes ethnographiques exotiques et l’exaltation de figures coloniales et d’évènements historiques mémorables. Un aperçu de la politique des bourses de voyage coloniales pendant l’Entre-deuxguerres montre clairement que le Ministère des colonies a investi dans ce domaine culturel principalement selon un angle d’approche utilitaire et très peu pour des motifs artistiques. De cette manière, les autorités coloniales purent faire jouer un rôle à cet art exotique dans la propagande populaire visuelle moderne en faveur du Congo et du Ruanda-Urundi.
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PermalinkL’ARTIVISTE : Shepard Fairey in Le Vif / L'Express, 26 ([01/07/2016])
PermalinkArts et engagements in Pétition, 1 (Janvier-Mars 1998)
PermalinkLes Arts en prison / ALAIN HARFORD in Le Journal de Culture et Démocratie, 8 (octobre-décembre 2003)
PermalinkArts en résistance / SABINE VERHELST in Le Journal de Culture et Démocratie, 12 (octobre-décembre 2004)
Permalink- Auschwitz (Bulletin de Le Monde, [29/01/2005])
PermalinkPermalinkPermalinkBack to Black / Laurent Raphaël in Le Vif / L'Express, 41 ([14/10/2016])
PermalinkBandes dessinées, la résistance en images / Xavier Aumage in Les Chemins de la Mémoire, HS (Novembre 2022)
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