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Avec si peu d'équité arrivera-t-on à une réconciliation ? / AURORE D' HAEYER in Espace de Libertés, 332 (juin 2005)
[article] Avec si peu d'équité arrivera-t-on à une réconciliation ? [texte imprimé] / AURORE D' HAEYER, Auteur . - 2005 . - pp. 18-19.
Langues : Français (fre)
in Espace de Libertés > 332 (juin 2005) . - pp. 18-19
Catégories : 172 Citoyenneté . Civisme . Solidarité . Morale sociale . Ethique sociale. Empathie
32(64) Politique du Maroc
321.6 Régime autoritaire / Dictature / Gouvernement non démocratique / Totalitarisme
321.7 Démocratie / Démocratisation
37:17 Travail de Mémoire
94(64) Histoire du MarocRésumé : Le Maroc s'est lancé le défi de "réconcilier le peuple avec son passé". Derrière la formule de style, se cache l'Instance Equité et Réconciliation (IER) chargée de faire la lumière sur les années sombres du pays, d'écouter les victimes d'arrestations arbitraires et de les indemniser. Pari risqué. Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : Avec si peu d'équité arrivera-t-on à une réconciliation ? Type de document : texte imprimé Auteurs : AURORE D' HAEYER, Auteur Année de publication : 2005 Article en page(s) : pp. 18-19 Langues : Français (fre) Catégories : 172 Citoyenneté . Civisme . Solidarité . Morale sociale . Ethique sociale. Empathie
32(64) Politique du Maroc
321.6 Régime autoritaire / Dictature / Gouvernement non démocratique / Totalitarisme
321.7 Démocratie / Démocratisation
37:17 Travail de Mémoire
94(64) Histoire du MarocRésumé : Le Maroc s'est lancé le défi de "réconcilier le peuple avec son passé". Derrière la formule de style, se cache l'Instance Equité et Réconciliation (IER) chargée de faire la lumière sur les années sombres du pays, d'écouter les victimes d'arrestations arbitraires et de les indemniser. Pari risqué. Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in Espace de Libertés > 332 (juin 2005) . - pp. 18-19Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 40648/1 p/5273 Périodique Libre-accès Périodiques Disponible L' avenir de l'histoire / Vincent Duclert
L' avenir de l'histoire [texte imprimé] / Vincent Duclert (1961-....), Auteur . - Paris : A. Colin, impr. 2010 . - 1 vol. (223 p.) ; 21 cm.
ISBN : 978-2-200-35469-5
Bibliogr. p. 211-220
Langues : Français (fre)
Catégories : 37:17 Travail de Mémoire
930 Science historiqueIndex. décimale : 37:17 Travail de Mémoire Résumé : Site éditeur :
Penser l'avenir de l'histoire est la tâche des historiens soucieux des lendemains de leur discipline, née comme telle et comme profession dans la seconde moitié du XIXe siècle. La réflexion sur les pratiques et les formes du savoir historien aussi bien que l'analyse des conditions intellectuelles, politiques, sociologiques, d'exercice du métier, sont désormais de nécessité reconnue : l'historien se doit de se vivre et de se placer en situation de passage, de pont, de lien pour tisser et retisser les espaces de la discipline, l'écriture et le réel, la recherche et l'enseignement, le savoir et la cité, le familier et le lointain, l'individu et le social, l'événement et le temps. Dans la pensée de l'avenir, horizon somme toute paradoxal pour des spécialités tournés vers l'étude du passé, résident bien des interrogations, et peut-être des solutions, sur le rôle des savoirs savants et le progrès des sociétés humaines.
Vincent Duclert, professeur agrégé à l'École des hautes études en sciences sociales, docteur de l'université, est directeur adjoint de la Mention Histoire. Ses travaux portent sur l'histoire politique du contemporain.Note de contenu : Table :
Introduction : La tradition des historiens
Première partie : Un tournant critique
Un présent problématique
Le devoir d’histoire
Chapitre 1 : La reconquête du temps historique
À la recherche des régimes d’historicité
La montée du présentisme
Un livre pour comprendre
Chapitre 2 : La pensée des archives
Une définition actuelle
La dégradation des politiques d’archives
Un bilan sévère mais nécessaire
La « nuit des archives »
Le « moment archives » des chercheurs
Les formes de l’expérience
La valeur de l’objet archives
Le pouvoir des archives
Chapitre 3 : Entre État, politique et société
L’État, l’histoire et les historiens
Une décennie présidentielle
Des lois contre l’histoire ?
L’offensive idéologique de l’identité nationale
Chapitre 4 : La question des acteurs
Le cas des intellectuels et de leur historiographie
Une historiographie déficiente
L’occasion manquée de l’histoire culturelle
Le besoin d’histoire intellectuelle
Les promesses du contemporain
L’héritage de la philosophie
Chapitre 5 : L’histoire politique en question
La naissance de l’histoire politique ?
Une controverse emblématique
La réponse de l’histoire conceptuelle du politique
Une leçon au Collège de France
Une pensée de l’histoire
Les validations étrangères
Vers une histoire internationale
Chapitre 6 : Le défi de l’historicisation
La République en France
Le premier des génocides
L’histoire par l’image
Deuxième partie : La dignité du métier
L’assurance des historiens
Le travail biographique
Chapitre 7 : La souveraineté de l’historien
Marc Bloch face à l’événement indépassable
L’expression d’une raison combattante
Une revendication de l’ordre intellectuel
Une réappropriation de la culture combattante
La mobilisation de la pratique historienne
Un sens à la recherche et à la résistance
Chapitre 8 : La jeunesse de l’histoire
Étienne Mantoux dans la guerre
La tâche des chercheurs
La jeunesse d’un historien
Étienne Mantoux et l’ère des tyrannies
La guerre d’un intellectuel
Une pensée de la démocratie
Chapitre 9 : La politique de la vérité
L’engagement de Pierre Vidal-Naquet
Le livre d’une vie
La critique d’une tradition
Essai d’histoire et de politique contemporaines
Un engagement des savants
La soutenance de thèse in absentia
Le comité Maurice Audin
Conclusion
Sources des textes de référence
Bibliographie indicativePermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : L' avenir de l'histoire Type de document : texte imprimé Auteurs : Vincent Duclert (1961-....), Auteur Editeur : Paris : A. Colin Année de publication : impr. 2010 Importance : 1 vol. (223 p.) Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-200-35469-5 Note générale : Bibliogr. p. 211-220 Langues : Français (fre) Catégories : 37:17 Travail de Mémoire
930 Science historiqueIndex. décimale : 37:17 Travail de Mémoire Résumé : Site éditeur :
Penser l'avenir de l'histoire est la tâche des historiens soucieux des lendemains de leur discipline, née comme telle et comme profession dans la seconde moitié du XIXe siècle. La réflexion sur les pratiques et les formes du savoir historien aussi bien que l'analyse des conditions intellectuelles, politiques, sociologiques, d'exercice du métier, sont désormais de nécessité reconnue : l'historien se doit de se vivre et de se placer en situation de passage, de pont, de lien pour tisser et retisser les espaces de la discipline, l'écriture et le réel, la recherche et l'enseignement, le savoir et la cité, le familier et le lointain, l'individu et le social, l'événement et le temps. Dans la pensée de l'avenir, horizon somme toute paradoxal pour des spécialités tournés vers l'étude du passé, résident bien des interrogations, et peut-être des solutions, sur le rôle des savoirs savants et le progrès des sociétés humaines.
Vincent Duclert, professeur agrégé à l'École des hautes études en sciences sociales, docteur de l'université, est directeur adjoint de la Mention Histoire. Ses travaux portent sur l'histoire politique du contemporain.Note de contenu : Table :
Introduction : La tradition des historiens
Première partie : Un tournant critique
Un présent problématique
Le devoir d’histoire
Chapitre 1 : La reconquête du temps historique
À la recherche des régimes d’historicité
La montée du présentisme
Un livre pour comprendre
Chapitre 2 : La pensée des archives
Une définition actuelle
La dégradation des politiques d’archives
Un bilan sévère mais nécessaire
La « nuit des archives »
Le « moment archives » des chercheurs
Les formes de l’expérience
La valeur de l’objet archives
Le pouvoir des archives
Chapitre 3 : Entre État, politique et société
L’État, l’histoire et les historiens
Une décennie présidentielle
Des lois contre l’histoire ?
L’offensive idéologique de l’identité nationale
Chapitre 4 : La question des acteurs
Le cas des intellectuels et de leur historiographie
Une historiographie déficiente
L’occasion manquée de l’histoire culturelle
Le besoin d’histoire intellectuelle
Les promesses du contemporain
L’héritage de la philosophie
Chapitre 5 : L’histoire politique en question
La naissance de l’histoire politique ?
Une controverse emblématique
La réponse de l’histoire conceptuelle du politique
Une leçon au Collège de France
Une pensée de l’histoire
Les validations étrangères
Vers une histoire internationale
Chapitre 6 : Le défi de l’historicisation
La République en France
Le premier des génocides
L’histoire par l’image
Deuxième partie : La dignité du métier
L’assurance des historiens
Le travail biographique
Chapitre 7 : La souveraineté de l’historien
Marc Bloch face à l’événement indépassable
L’expression d’une raison combattante
Une revendication de l’ordre intellectuel
Une réappropriation de la culture combattante
La mobilisation de la pratique historienne
Un sens à la recherche et à la résistance
Chapitre 8 : La jeunesse de l’histoire
Étienne Mantoux dans la guerre
La tâche des chercheurs
La jeunesse d’un historien
Étienne Mantoux et l’ère des tyrannies
La guerre d’un intellectuel
Une pensée de la démocratie
Chapitre 9 : La politique de la vérité
L’engagement de Pierre Vidal-Naquet
Le livre d’une vie
La critique d’une tradition
Essai d’histoire et de politique contemporaines
Un engagement des savants
La soutenance de thèse in absentia
Le comité Maurice Audin
Conclusion
Sources des textes de référence
Bibliographie indicativePermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 46494 37:17/DUC Livre Libre-accès Adultes Disponible 107 - avril-juin 2010 - L'Aveu (Bulletin de Témoigner. Entre histoire et mémoire)
[n° ou bulletin] 107 - avril-juin 2010 - L'Aveu [texte imprimé] / Béatrice Fleury, Directeur de publication . - 2010 . - 200 p. ; 24 cm.
Langues : Français (fre)
Catégories : 343.1 Justice pénale. Instruction pénale. Procédure pénale
37:17 Travail de MémoireNote de contenu : Dossier
- Béatrice Fleury : Questionner l’aveu
I. Aux origines et fondements d'une notion
- Emmanuelle Danblon : Une rhétorique de l'aveu. Effets d'évidence et effets de sens
Cet article a pour ambition de faire le point sur l’une des grandes questions de la rhétorique, à travers l’étude de l’aveu. Peut-on établir un lien entre la validité d’un argument et la force persuasive d’une parole énoncée ? Si l’aveu ne peut remplir la fonction d’un argument, où va se nicher sa force persuasive ? Et enfin, comment l’aveu comme acte de langage apparaît-il comme plus « évident » qu’un argument construit par l’orateur ? À travers une enquête pragmatique et rhétorique, illustrée finalement par l’utilisation de l’aveu dans les tribunaux gacaca au Rwanda, on tente de rendre compte du lien technique qui s’instaure entre preuve technique et preuve extra technique, entre vérité et persuasion.
- Christian Biet : Droit et littérature sous l'Ancien Régime. Le cas de l'aveu, preuve notoire
Les dispositifs juridiques comme les phénomènes judiciaires n’existent pas en soi, et leur effectivité n’apparaît que parce qu’ils sont formellement construits et contractuellement reconnus par l’ensemble des partenaires à un moment donné de l’Histoire. Une preuve en droit n’est donc une preuve que parce qu’elle fait partie des phénomènes qui sont historiquement habilités par la loi, la morale, le bon sens, la politique, etc., à produire une vérité juridique, ou judiciaire, sur un cas. Et l’aveu, comme toute preuve, et comme tout phénomène et dispositif juridique (et judiciaire) n’échappe pas à la règle. Cependant, dans ce cadre, l’aveu a, dans le droit d’Ancien Régime, mais aussi dans le droit contemporain, une place prépondérante. Mais si prépondérant que soit l’aveu, il n’indique qu’une version de la vérité judiciaire à un moment donné du cas. Il représente une vérité judiciaire, autrement dit une version possible et jugeable de la vérité, en tant que cet aveu a été instruit à partir de procédures particulières. C’est à cette question que la littérature s’intéresse : partie des considérations du droit, la littérature en effet prend du champ, de la distance par rapport à la preuve juridique, et l’examine sur un autre terrain, doute de son caractère probant, ou redoute son application mécanique et publique ; c’est pourquoi elle prévoit les limites que le droit n’a pas à franchir et narre les silences qu’il doit supporter. Dans le roman de Madame de Lafayette, La Princesse de Clèves, l’aveu de Madame de Clèves, si probant, et propre à l’engager dans un processus de punition publique, restera secret, jugé par le mari et endossé par la coupable, renfermé dans les bornes de l’intime, et deviendra une terrible punition privée, bien plus violente ; pour les lecteurs, il donnera lieu à un examen, portant non seulement sur cet aveu-là , mais sur l’aveu en soi et en toute circonstance, comme preuve notoire et suffisante au regard de la loi comme au regard des consciences privées. La littérature, qui se sert ainsi du dispositif judiciaire et juridique de la preuve par l’aveu, ne cesse simultanément de l’analyser, de le déplacer, de l’entourer de ses autres terrains – celui de la conscience, de l’intime, ou de l’intérêt particulier – pour en saisir les failles et mettre en débat les signes tangibles de la preuve et la preuve elle-même, autrement dit la croyance qui la détermine.
II. De l'Aveu à sa mise en scène
- Ophir Levy : La forteresse et l'aveu. À propos d'Un Vivant qui passe de Claude Lanzmann
Dans le documentaire Un Vivant qui passe (1997), Claude Lanzmann se confronte au déni massif de Maurice Rossel, délégué de la Croix-Rouge qui visita le camp de TerezÃn en juin 1944. Celui-ci fut totalement dupe de la mascarade nazie consistant à maquiller l’horreur du camp sous un décor hâtivement construit en vue de l’inspection. Le film met en crise la figure du témoin et, de manière plus radicale, la notion même de visible, qui n’est plus une manifestation de la réalité, mais le lieu pervers de sa dissimulation.
- Delphine Robic-Diaz : Quand le cinéma français passe aux aveux. Les guerres de décolonisation entre indicible et inmontrable
Depuis la décolonisation, le cinéma français est régulièrement confronté au spectacle de sa culpabilité tant dans les représentations des exactions commises que dans celles de la défaite. Le motif filmique de l’aveu est ainsi devenu au fil des décennies tout autant le moyen d’expression d’une culpabilité certaine que celui d’un désir de reconnaissance envers le traumatisme subi par les combattants français.
- Alpha Ousmane Barry : Les aveux de comploteurs en Guinée : mise en scène et mensonge historique
Un quart de siècle après la mort de Sékou Touré, la Guinée a du mal à assumer son passé. Ce malaise de la mémoire empêche de recomposer les fragments éclatés de son histoire. Or, une distance sépare la mémoire officielle propagée par le régime totalitaire et la réalité historique. Dans ce tiraillement entre le besoin et le devoir de mémoire, les archives, que je replace dans le contexte de la procédure d’extorsion de l’aveu, constituent ma principale source d’information. Dans cette contribution, nous proposons d’examiner comment le contenu des dépositions, le dispositif de leur présentation et les scénographies à l’œuvre dans la trame textuelle font advenir la figure imposée du coupable sur la base d’un amas de faits et d’événements disparates.
III. Aveu et tensions mémorielles
- Béatrice Fleury : Quand la presse française s'empare du passé de Günter Grass (2006-2007). Des dits de l'autre aux dits de soi
L’analyse de la presse française commentant l’aveu de Günter Grass sur son passé dans la Waffen-SS donne à voir bien des surprises. Au choc succède un effort de contextualisation qui place la réflexion du côté de la mémoire, individuelle et collective. Ainsi les cadres de lecture du passé de Günter Grass s’ancrent-ils dans les liens qui se sont noués entre l’écrivain et une partie des intellectuels français.
- Joanna Teklik : L’affaire Popieluszko ou l'histoire d'un aveu politique singulier
En 2009 sort sur les écrans polonais un film sur le père Jerzy Popieluszko (Wieczyński, Popieluszko. La liberté est en nous) qui rappelle la figure du prêtre assassiné, devenu un des symboles de la résistance polonaise au régime soviétique. Enlevé et torturé, le père Popieluszko est assassiné le 19 octobre 1984 par trois membres des services de sécurité dépendant du ministère de l’Intérieur. « Vivant, il gênait, mort, il encombre », sa tombe devient bientôt un lieu de pèlerinage et l’opinion publique réclame sa canonisation immédiate. Face à une telle réaction, le pouvoir, embarrassé (et ceci, pour des raisons diverses), met en scène un procès, entièrement agencé, qui révèle d’un côté les dissensions au sein du Parti et d’un autre, la cohésion et la force de l’Église. Or, ce qu’il faut retenir, c’est le fait que le procès des assassins du père Popieluszko, conçu initialement pour démontrer le consensus national, tourne à la démonstration de son impossibilité radicale. L’aveu auquel on participe tout au long du procès n’est finalement qu’un aveu faussé, toujours « contrôlé » par les dirigeants en place, une sorte de fiction ayant pour but de protéger les vrais responsables. Inutile de rajouter que les assassins, condamnés et emprisonnés, ont bénéficié par la suite de remises de peine importantes. La sortie du film, les récentes publications, ainsi que la question de la future béatification du père Jerzy, font que l’affaire Popieluszko revient dans les pages des journaux et rappelle non seulement la figure du martyr polonais, mais aussi l’histoire du procès unique dans les annales des pays du bloc soviétique, et celle d’un aveu politique singulier.
Varias
- Sabina Frontera : « Un espace de liberté ». Les internés militaires italiens à Wietzendorf
Au lendemain du 8 septembre 1943, plus de 800 000 militaires italiens furent désarmés par les Allemands. On leur a demandé de choisir entre continuer la guerre au côté de l'Axe ou être faits prisonniers. La grande majorité choisit la détention en Allemagne. La naissance de la République Sociale (la République de Salò) fut compliquée politiquement par la présence des « prisonniers italiens » au sein du Reich et du fait, en accord avec Salò, de leur attribuer le statut d’internés militaires. Un bon choix pour le Reich qui parvint de cette façon à contourner les règles de la Convention de Genève de 1929 en évitant les contrôles des organisations internationales, y compris la Croix-Rouge. L’Oflag '83 de Wietzendorf fut un des camps d’internés militaires italiens (IMI) ; du point de vue structurel peu de choses le distinguait des autres Oflags et Stalags. Des baraques délabrées, surpeuplées et n’offrant que peu de protection contre les rigueurs hivernales, des installations sanitaires primitives, des soins de santé inexistants. Un camp « normal » dont l'originalité résidait dans l'expérience d’une résistance soutenue allant au-delà du rejet de la guerre, de l'univers des camps de concentration et des régimes qui les ont voulus et créés. À Wietzendorf s’est développée une profonde réflexion sur le passé, sur la période fasciste (Ventennio ou 20 ans) et son importance, et sur l'Italie que l'IMI a voulu construire au retour. Une lutte quotidienne pour conserver dans le camp un petit espace de liberté, apprendre à observer de manière critique la réalité concentrationnaire et l’idéologie qui les avait générés, et imaginer l'Italie de demain.
- Izabela Kazejak : Between Assimilation and Emigration: Jews in Wroclaw from the Second World War to 1968
Cet article présente les résultats d'une recherche effectuée dans le cadre de la bourse Fritz-Stern obtenue à Wroclaw en 2006. Ceux-ci servirent à l'élaboration d'un Master des Arts qui fut défendu en 2007 à l'Université Europa de Frankfurt (Oder) (Allemagne) au sein du département des Études culturelles. L'objectif de cette recherche était d'analyser les facteurs qui ont mené, entre 1945 et 1968, à l'émigration de Juifs de Pologne et à leur assimilation dans la culture polonaise.Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=bulletin_ [n° ou bulletin]
Titre : 107 - avril-juin 2010 - L'Aveu Type de document : texte imprimé Auteurs : Béatrice Fleury, Directeur de publication Année de publication : 2010 Importance : 200 p. Format : 24 cm Langues : Français (fre) Catégories : 343.1 Justice pénale. Instruction pénale. Procédure pénale
37:17 Travail de MémoireNote de contenu : Dossier
- Béatrice Fleury : Questionner l’aveu
I. Aux origines et fondements d'une notion
- Emmanuelle Danblon : Une rhétorique de l'aveu. Effets d'évidence et effets de sens
Cet article a pour ambition de faire le point sur l’une des grandes questions de la rhétorique, à travers l’étude de l’aveu. Peut-on établir un lien entre la validité d’un argument et la force persuasive d’une parole énoncée ? Si l’aveu ne peut remplir la fonction d’un argument, où va se nicher sa force persuasive ? Et enfin, comment l’aveu comme acte de langage apparaît-il comme plus « évident » qu’un argument construit par l’orateur ? À travers une enquête pragmatique et rhétorique, illustrée finalement par l’utilisation de l’aveu dans les tribunaux gacaca au Rwanda, on tente de rendre compte du lien technique qui s’instaure entre preuve technique et preuve extra technique, entre vérité et persuasion.
- Christian Biet : Droit et littérature sous l'Ancien Régime. Le cas de l'aveu, preuve notoire
Les dispositifs juridiques comme les phénomènes judiciaires n’existent pas en soi, et leur effectivité n’apparaît que parce qu’ils sont formellement construits et contractuellement reconnus par l’ensemble des partenaires à un moment donné de l’Histoire. Une preuve en droit n’est donc une preuve que parce qu’elle fait partie des phénomènes qui sont historiquement habilités par la loi, la morale, le bon sens, la politique, etc., à produire une vérité juridique, ou judiciaire, sur un cas. Et l’aveu, comme toute preuve, et comme tout phénomène et dispositif juridique (et judiciaire) n’échappe pas à la règle. Cependant, dans ce cadre, l’aveu a, dans le droit d’Ancien Régime, mais aussi dans le droit contemporain, une place prépondérante. Mais si prépondérant que soit l’aveu, il n’indique qu’une version de la vérité judiciaire à un moment donné du cas. Il représente une vérité judiciaire, autrement dit une version possible et jugeable de la vérité, en tant que cet aveu a été instruit à partir de procédures particulières. C’est à cette question que la littérature s’intéresse : partie des considérations du droit, la littérature en effet prend du champ, de la distance par rapport à la preuve juridique, et l’examine sur un autre terrain, doute de son caractère probant, ou redoute son application mécanique et publique ; c’est pourquoi elle prévoit les limites que le droit n’a pas à franchir et narre les silences qu’il doit supporter. Dans le roman de Madame de Lafayette, La Princesse de Clèves, l’aveu de Madame de Clèves, si probant, et propre à l’engager dans un processus de punition publique, restera secret, jugé par le mari et endossé par la coupable, renfermé dans les bornes de l’intime, et deviendra une terrible punition privée, bien plus violente ; pour les lecteurs, il donnera lieu à un examen, portant non seulement sur cet aveu-là , mais sur l’aveu en soi et en toute circonstance, comme preuve notoire et suffisante au regard de la loi comme au regard des consciences privées. La littérature, qui se sert ainsi du dispositif judiciaire et juridique de la preuve par l’aveu, ne cesse simultanément de l’analyser, de le déplacer, de l’entourer de ses autres terrains – celui de la conscience, de l’intime, ou de l’intérêt particulier – pour en saisir les failles et mettre en débat les signes tangibles de la preuve et la preuve elle-même, autrement dit la croyance qui la détermine.
II. De l'Aveu à sa mise en scène
- Ophir Levy : La forteresse et l'aveu. À propos d'Un Vivant qui passe de Claude Lanzmann
Dans le documentaire Un Vivant qui passe (1997), Claude Lanzmann se confronte au déni massif de Maurice Rossel, délégué de la Croix-Rouge qui visita le camp de TerezÃn en juin 1944. Celui-ci fut totalement dupe de la mascarade nazie consistant à maquiller l’horreur du camp sous un décor hâtivement construit en vue de l’inspection. Le film met en crise la figure du témoin et, de manière plus radicale, la notion même de visible, qui n’est plus une manifestation de la réalité, mais le lieu pervers de sa dissimulation.
- Delphine Robic-Diaz : Quand le cinéma français passe aux aveux. Les guerres de décolonisation entre indicible et inmontrable
Depuis la décolonisation, le cinéma français est régulièrement confronté au spectacle de sa culpabilité tant dans les représentations des exactions commises que dans celles de la défaite. Le motif filmique de l’aveu est ainsi devenu au fil des décennies tout autant le moyen d’expression d’une culpabilité certaine que celui d’un désir de reconnaissance envers le traumatisme subi par les combattants français.
- Alpha Ousmane Barry : Les aveux de comploteurs en Guinée : mise en scène et mensonge historique
Un quart de siècle après la mort de Sékou Touré, la Guinée a du mal à assumer son passé. Ce malaise de la mémoire empêche de recomposer les fragments éclatés de son histoire. Or, une distance sépare la mémoire officielle propagée par le régime totalitaire et la réalité historique. Dans ce tiraillement entre le besoin et le devoir de mémoire, les archives, que je replace dans le contexte de la procédure d’extorsion de l’aveu, constituent ma principale source d’information. Dans cette contribution, nous proposons d’examiner comment le contenu des dépositions, le dispositif de leur présentation et les scénographies à l’œuvre dans la trame textuelle font advenir la figure imposée du coupable sur la base d’un amas de faits et d’événements disparates.
III. Aveu et tensions mémorielles
- Béatrice Fleury : Quand la presse française s'empare du passé de Günter Grass (2006-2007). Des dits de l'autre aux dits de soi
L’analyse de la presse française commentant l’aveu de Günter Grass sur son passé dans la Waffen-SS donne à voir bien des surprises. Au choc succède un effort de contextualisation qui place la réflexion du côté de la mémoire, individuelle et collective. Ainsi les cadres de lecture du passé de Günter Grass s’ancrent-ils dans les liens qui se sont noués entre l’écrivain et une partie des intellectuels français.
- Joanna Teklik : L’affaire Popieluszko ou l'histoire d'un aveu politique singulier
En 2009 sort sur les écrans polonais un film sur le père Jerzy Popieluszko (Wieczyński, Popieluszko. La liberté est en nous) qui rappelle la figure du prêtre assassiné, devenu un des symboles de la résistance polonaise au régime soviétique. Enlevé et torturé, le père Popieluszko est assassiné le 19 octobre 1984 par trois membres des services de sécurité dépendant du ministère de l’Intérieur. « Vivant, il gênait, mort, il encombre », sa tombe devient bientôt un lieu de pèlerinage et l’opinion publique réclame sa canonisation immédiate. Face à une telle réaction, le pouvoir, embarrassé (et ceci, pour des raisons diverses), met en scène un procès, entièrement agencé, qui révèle d’un côté les dissensions au sein du Parti et d’un autre, la cohésion et la force de l’Église. Or, ce qu’il faut retenir, c’est le fait que le procès des assassins du père Popieluszko, conçu initialement pour démontrer le consensus national, tourne à la démonstration de son impossibilité radicale. L’aveu auquel on participe tout au long du procès n’est finalement qu’un aveu faussé, toujours « contrôlé » par les dirigeants en place, une sorte de fiction ayant pour but de protéger les vrais responsables. Inutile de rajouter que les assassins, condamnés et emprisonnés, ont bénéficié par la suite de remises de peine importantes. La sortie du film, les récentes publications, ainsi que la question de la future béatification du père Jerzy, font que l’affaire Popieluszko revient dans les pages des journaux et rappelle non seulement la figure du martyr polonais, mais aussi l’histoire du procès unique dans les annales des pays du bloc soviétique, et celle d’un aveu politique singulier.
Varias
- Sabina Frontera : « Un espace de liberté ». Les internés militaires italiens à Wietzendorf
Au lendemain du 8 septembre 1943, plus de 800 000 militaires italiens furent désarmés par les Allemands. On leur a demandé de choisir entre continuer la guerre au côté de l'Axe ou être faits prisonniers. La grande majorité choisit la détention en Allemagne. La naissance de la République Sociale (la République de Salò) fut compliquée politiquement par la présence des « prisonniers italiens » au sein du Reich et du fait, en accord avec Salò, de leur attribuer le statut d’internés militaires. Un bon choix pour le Reich qui parvint de cette façon à contourner les règles de la Convention de Genève de 1929 en évitant les contrôles des organisations internationales, y compris la Croix-Rouge. L’Oflag '83 de Wietzendorf fut un des camps d’internés militaires italiens (IMI) ; du point de vue structurel peu de choses le distinguait des autres Oflags et Stalags. Des baraques délabrées, surpeuplées et n’offrant que peu de protection contre les rigueurs hivernales, des installations sanitaires primitives, des soins de santé inexistants. Un camp « normal » dont l'originalité résidait dans l'expérience d’une résistance soutenue allant au-delà du rejet de la guerre, de l'univers des camps de concentration et des régimes qui les ont voulus et créés. À Wietzendorf s’est développée une profonde réflexion sur le passé, sur la période fasciste (Ventennio ou 20 ans) et son importance, et sur l'Italie que l'IMI a voulu construire au retour. Une lutte quotidienne pour conserver dans le camp un petit espace de liberté, apprendre à observer de manière critique la réalité concentrationnaire et l’idéologie qui les avait générés, et imaginer l'Italie de demain.
- Izabela Kazejak : Between Assimilation and Emigration: Jews in Wroclaw from the Second World War to 1968
Cet article présente les résultats d'une recherche effectuée dans le cadre de la bourse Fritz-Stern obtenue à Wroclaw en 2006. Ceux-ci servirent à l'élaboration d'un Master des Arts qui fut défendu en 2007 à l'Université Europa de Frankfurt (Oder) (Allemagne) au sein du département des Études culturelles. L'objectif de cette recherche était d'analyser les facteurs qui ont mené, entre 1945 et 1968, à l'émigration de Juifs de Pologne et à leur assimilation dans la culture polonaise.Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=bulletin_ Réservation
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Awans: Mémoire et vigilance [document électronique] / Pierre Beaujean, Auteur . - [2005] . - 1 site web.
consulté le 12/03/2009
Langues : Français (fre)
Catégories : 323.23 Troubles politiques . Manifestation . Commémoration
37:17 Travail de Mémoire
930.25 Archives (lieux et documents)
94(493)"19" Histoire de la Belgique au XXe siècle
Awans (Belgique)Résumé : Article de la LLB (11/03/2009):
Surfer d’une manière patriotique
Lily Portugaels
Les anciens combattants se sont mis à l’informatique et proposent leurs archives.
C’ est en cherchant des renseignements sur le monument de la place Saint-Barthélemy, érigé en l’honneur du héros de la résistance 14-18, Dieudonné Lambrecht, que j’ai trouvé le site http://awans-memoire-et-vigilance.skynetblogs.be.
En fait, il s’agit d’un blog et il ne faut donc pas faire précéder l’adresse par les habituels www.
En parcourant les autres séquences du site, je me suis aperçue qu’il y avait là pas mal de choses intéressantes à découvrir dans une série d’archives accessibles à tous. Mais comme le site ne propose aucune présentation, j’ai envoyé un mail à l’adresse qui se trouvait sur l’écran.
C’est de cette façon que j’ai appris, par Pierre Beaujean, qu’il s’agit d’un site, créé en 2005 et qui s’adresse à diverses associations patriotiques.
D’abord la section FNC "Awans-Bierset et environs" et l’Œuvre des Postiers liégeois. Mais le site est aussi ouvert à toutes les associations à caractère civique ou patriotique.
En fait, le but primitif était d’entretenir le devoir de mémoire et surtout de s’attacher aux horreurs de la Seconde Guerre mondiale. On veut aussi stigmatiser tout événement contemporain à propos de xénophobie, populisme, extrême-droite.
Un très beau et très complet reportage photographique sur les manifestations, à Liège, du 75e anniversaire de la mort du roi Albert 1er, avec la communication de travaux d’élèves de Sainte-Véronique mérite une visite.
Enfin, particulièrement intéressante est aussi l’enquête photographique dans les communes, sur les monuments commémoratifs des deux guerres.
Des citations aussi parmi lesquelles, j’ai choisi celle-ci "Faut-il laisser l’intolérance combattre l’intolérance ? Une violence encore plus meurtrière riposter à la violence ? Je pense au contraire que nous devons affirmer notre foi dans la raison, y compris quand nous avons à lutter contre la déraison." (Roger Darnton, professeur à l’Université de PrincetonEn ligne : http://awans-memoire-et-vigilance.skynetblogs.be/ Format de la ressource électronique : Site web Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : Awans: Mémoire et vigilance Type de document : document électronique Auteurs : Pierre Beaujean, Auteur Année de publication : [2005] Importance : 1 site web Note générale : consulté le 12/03/2009 Langues : Français (fre) Catégories : 323.23 Troubles politiques . Manifestation . Commémoration
37:17 Travail de Mémoire
930.25 Archives (lieux et documents)
94(493)"19" Histoire de la Belgique au XXe siècle
Awans (Belgique)Résumé : Article de la LLB (11/03/2009):
Surfer d’une manière patriotique
Lily Portugaels
Les anciens combattants se sont mis à l’informatique et proposent leurs archives.
C’ est en cherchant des renseignements sur le monument de la place Saint-Barthélemy, érigé en l’honneur du héros de la résistance 14-18, Dieudonné Lambrecht, que j’ai trouvé le site http://awans-memoire-et-vigilance.skynetblogs.be.
En fait, il s’agit d’un blog et il ne faut donc pas faire précéder l’adresse par les habituels www.
En parcourant les autres séquences du site, je me suis aperçue qu’il y avait là pas mal de choses intéressantes à découvrir dans une série d’archives accessibles à tous. Mais comme le site ne propose aucune présentation, j’ai envoyé un mail à l’adresse qui se trouvait sur l’écran.
C’est de cette façon que j’ai appris, par Pierre Beaujean, qu’il s’agit d’un site, créé en 2005 et qui s’adresse à diverses associations patriotiques.
D’abord la section FNC "Awans-Bierset et environs" et l’Œuvre des Postiers liégeois. Mais le site est aussi ouvert à toutes les associations à caractère civique ou patriotique.
En fait, le but primitif était d’entretenir le devoir de mémoire et surtout de s’attacher aux horreurs de la Seconde Guerre mondiale. On veut aussi stigmatiser tout événement contemporain à propos de xénophobie, populisme, extrême-droite.
Un très beau et très complet reportage photographique sur les manifestations, à Liège, du 75e anniversaire de la mort du roi Albert 1er, avec la communication de travaux d’élèves de Sainte-Véronique mérite une visite.
Enfin, particulièrement intéressante est aussi l’enquête photographique dans les communes, sur les monuments commémoratifs des deux guerres.
Des citations aussi parmi lesquelles, j’ai choisi celle-ci "Faut-il laisser l’intolérance combattre l’intolérance ? Une violence encore plus meurtrière riposter à la violence ? Je pense au contraire que nous devons affirmer notre foi dans la raison, y compris quand nous avons à lutter contre la déraison." (Roger Darnton, professeur à l’Université de PrincetonEn ligne : http://awans-memoire-et-vigilance.skynetblogs.be/ Format de la ressource électronique : Site web Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di Exemplaires
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[article] Babij Yar : La Mémoire de l'histoire [texte imprimé] / Boris Czerny, Auteur . - 2004 . - pp. 61-75.
Langues : Français (fre)
in Revue d'histoire de la Shoah > 181 (juillet-décembre 2004) . - pp. 61-75
Catégories : 341.485(477) Babi Iar
37:17 Travail de Mémoire
82-94 Mémoire/Historiographie
Judéocide / ShoahRésumé : A Babij Yar, l'Einsatzkommando 4a, dirigé par Paul Blobel, extermina au moins 35000 juifs les 29et 30 septembre 1941 Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : Babij Yar : La Mémoire de l'histoire Type de document : texte imprimé Auteurs : Boris Czerny, Auteur Année de publication : 2004 Article en page(s) : pp. 61-75 Langues : Français (fre) Catégories : 341.485(477) Babi Iar
37:17 Travail de Mémoire
82-94 Mémoire/Historiographie
Judéocide / ShoahRésumé : A Babij Yar, l'Einsatzkommando 4a, dirigé par Paul Blobel, extermina au moins 35000 juifs les 29et 30 septembre 1941 Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in Revue d'histoire de la Shoah > 181 (juillet-décembre 2004) . - pp. 61-75Réservation
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babij yarAdobe Acrobat PDF Permalinkles Baltes n'oublient pas / François Geoffroy in Le Vif / L'Express, 2620 ([16/05/2008])
PermalinkBandes dessinées, la résistance en images / Xavier Aumage in Les Chemins de la Mémoire, HS (Novembre 2022)
Permalink255 - Juillet/Octobre 2016 - La bataille de la Somme (Bulletin de Les Chemins de la Mémoire)
PermalinkBeitrag der illegalen Korrespondenz als Forschungsquelle zur Geschichte der deutschen NS-Konzentrationslager. Pädagogische Anwendungsmöglichkeiten / Jean-Louis Rouhart
PermalinkPermalinkBelgique-Belgïe / Olivier Luminet
PermalinkBelgique-Congo / Serge Bailly in Politique, 105 (septembre 2018)
PermalinkBelgique (épisode 2) / Kris Peeters in Témoigner. Entre histoire et mémoire, 120 (janvier-mars 2015)
PermalinkBelgique (espidode 3) / Eléonore Buyse in Témoigner. Entre histoire et mémoire, 121 (Octobre 2015)
PermalinkLa Belgique est-elle atteinte de commémorite aiguë ? / Nico Wouters in Le Vif / L'Express, 11 ([14/03/2019])
Permalink14 - décembre 2014 - La Belgique pendant la Première Guerre mondiale (Bulletin de Traces de mémoire)
Permalink2 - juin 2014 - Belgique-Rwanda-Congo (Bulletin de MICmag)
PermalinkBelgique-Rwanda-Congo, la mémoire qui flanche in MICmag, 2 (juin 2014)
PermalinkBerlin bétonne sa culpabilité / Christophe Bourdoiseau in Farde Articles 2005, 2 (2005)
PermalinkPermalinkEn bermuda dans les tranchées / Geneviève Clastres in Le Monde Diplomatique, 732 (Mars 2015)
PermalinkLa bibliothèque vide et le Mémorial de l'Holocauste de Berlin / Régis Schlagdenhauffen
PermalinkLes Blancs, les Juifs et nous / Houria Bouteldja
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