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Aux prises avec Vichy / Simon Schwarzfuchs
Aux prises avec Vichy : histoire politique des Juifs de France (1940-1944) [texte imprimé] / Simon Schwarzfuchs, Auteur . - Paris : Calmann-Lévy, DL 1998 . - 1 vol. (443p.) : couv. ill. ; 23 cm.
ISBN : 978-2-7021-2823-7
Notes, Index
Langues : Français (fre)
Catégories : 94(100)"1939/45" Collaboration Seconde Guerre mondiale
94(44)"1933/45" Union générale des Israélites de France UGIF
94(44)"1940-1945" Commissariat général aux questions juives (France)
94(44)"1940-1945" VichyIndex. décimale : 940.531 Camps de concentration et d'extermination / Judéocide Résumé : 4e de couv. :
Les institutions communautaires et notamment l'UGIF (Union générale des Israélites de France) ont-elles facilité le travail de l'administration dans la déportation des Juifs ? On l'a beaucoup dit depuis que Hannah Arendt a dénoncé le rôle pervers des Judenräte (Conseils juifs), créés par Heydrich dans l'Europe occupée pour « administrer » les populations juives.L'examen des archives consistoriales, inexploitables jusqu'à il y a peu et utilisées ici pour la première fois dans toute leur ampleur, montre qu'il faut réviser complètement les idées reçues en la matière : l'UGIF, créée le 29 novembre 1941, n'est jamais devenue un Judenrat, et c'est à l'action des autres instances communautaires ; le Consistoire et le Grand rabbinat ; qu'on le doit. En menant jusqu'au bout, contre toute attente, des négociations avec Vichy, les dirigeants de ces institutions ont singulièrement compliqué la tâche du Commissariat aux affaires juives, freiné l'application des mesures discriminatoires, aidé à susciter les prises de position courageuses de certains membres de l'Eglise, et, en empêchant la dérive de l'UGIF, contribué à permettre que les trois quarts de la population juive de France soient sauvés.Si leur marge de manoeuvre a été étroite, leur rôle n'en a pas moins été important. Dans ce livre qui retrace au jour le jour des pourparlers dont on n'avait pas idée, Simon Schwarzfuchs restitue une face de l'histoire contemporaine restée dans l'ombre.
Note de contenu : Table des matières
Introduction
1. Au début du siècle
2. L'entre-deux-guerre
3. Le début et la fin des premières illusions
4. Le drame de l'UGIF
5. L'unité retrouvée
6. Missions à Vichy (1941-1942)
7. Missions à Vichy (1943)
8. La dispersion
9. Les fronts communs
Conclure?Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : Aux prises avec Vichy : histoire politique des Juifs de France (1940-1944) Type de document : texte imprimé Auteurs : Simon Schwarzfuchs, Auteur Editeur : Paris : Calmann-Lévy Année de publication : DL 1998 Importance : 1 vol. (443p.) Présentation : couv. ill. Format : 23 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7021-2823-7 Note générale : Notes, Index Langues : Français (fre) Catégories : 94(100)"1939/45" Collaboration Seconde Guerre mondiale
94(44)"1933/45" Union générale des Israélites de France UGIF
94(44)"1940-1945" Commissariat général aux questions juives (France)
94(44)"1940-1945" VichyIndex. décimale : 940.531 Camps de concentration et d'extermination / Judéocide Résumé : 4e de couv. :
Les institutions communautaires et notamment l'UGIF (Union générale des Israélites de France) ont-elles facilité le travail de l'administration dans la déportation des Juifs ? On l'a beaucoup dit depuis que Hannah Arendt a dénoncé le rôle pervers des Judenräte (Conseils juifs), créés par Heydrich dans l'Europe occupée pour « administrer » les populations juives.L'examen des archives consistoriales, inexploitables jusqu'à il y a peu et utilisées ici pour la première fois dans toute leur ampleur, montre qu'il faut réviser complètement les idées reçues en la matière : l'UGIF, créée le 29 novembre 1941, n'est jamais devenue un Judenrat, et c'est à l'action des autres instances communautaires ; le Consistoire et le Grand rabbinat ; qu'on le doit. En menant jusqu'au bout, contre toute attente, des négociations avec Vichy, les dirigeants de ces institutions ont singulièrement compliqué la tâche du Commissariat aux affaires juives, freiné l'application des mesures discriminatoires, aidé à susciter les prises de position courageuses de certains membres de l'Eglise, et, en empêchant la dérive de l'UGIF, contribué à permettre que les trois quarts de la population juive de France soient sauvés.Si leur marge de manoeuvre a été étroite, leur rôle n'en a pas moins été important. Dans ce livre qui retrace au jour le jour des pourparlers dont on n'avait pas idée, Simon Schwarzfuchs restitue une face de l'histoire contemporaine restée dans l'ombre.
Note de contenu : Table des matières
Introduction
1. Au début du siècle
2. L'entre-deux-guerre
3. Le début et la fin des premières illusions
4. Le drame de l'UGIF
5. L'unité retrouvée
6. Missions à Vichy (1941-1942)
7. Missions à Vichy (1943)
8. La dispersion
9. Les fronts communs
Conclure?Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di Réservation
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Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 48075 940.531/SCH Livre Libre-accès Adultes Disponible Vichy dans la "Solution finale" / Laurent Joly
Vichy dans la "Solution finale" : histoire du Commissariat général aux questions juives, 1941-1944 [texte imprimé] / Laurent Joly, Auteur . - Paris : Bernard Grasset, 2006 . - 1 vol. (1014 p.) : ill., couv. ill. ; 24 cm. - (Documents Français) .
ISBN : 2-246-63841-0
Chronologie. - Bibliographie. - Index. - Texte remanié de : Thèse de doctorat : Histoire : Paris 1 : 2004. Vichy et le Commissariat général aux questions juives : contribution à l'histoire de la Shoah en France, 1941-1944.
Langues : Français (fre)
Catégories : 0(082) Critique / extrait document / citations
323.118(=924) Antisémitisme
34 Loi Droit Jurisprudence
930.25 Archives (lieux et documents)
94(44)"1940-1945" Commissariat général aux questions juives (France)
94(44)"1940-1945" Vichy
Judéocide / ShoahIndex. décimale : 940.531 Camps de concentration et d'extermination / Judéocide Résumé : Site éditeur :
Si, depuis une trentaine d'années, la persécution des juifs sous l'Occupation constitue un enjeu mémoriel important de la société française, il n'existe que très peu d'ouvrages analysant la politique antisémite du régime de Vichy. Se fondant sur une exploitation minutieuse de toutes les archives publiques disponibles, ayant mis au jour une série de fonds jusqu'alors inédits (archives judiciaires de la Libération, dossiers du Conseil d'État ou de la préfecture de Police de Paris, dossiers personnels de carrière des agents du commissariat général aux Questions juives, etc.) et découvert plusieurs archives familiales (dont l'exceptionnel fonds Xavier Vallat), Laurent Joly renouvelle considérablement le sujet. La création du CGQJ en mars 1941, à la demande des autorités occupantes, constitue un tournant décisif. Le vice-président du Conseil l'amiral Darlan et le premier commissaire général aux Questions juives Xavier Vallat interprètent à leur façon ce projet en affirmant ouvertement leur désir de « refouler » les juifs étrangers, polonais et autres, qui, selon les mots de Vallat, « sont venus en véritables légions sur notre pays, pour son plus grand malheur ». Dorénavant, la politique antijuive de l'État français dépend intimement de la politique nazie, dans un complexe et ambigu jeu à trois - les orientations du gouvernement de Vichy, la stratégie des autorités occupantes et les ambitions propres au CGQJ -, qui est ici analysé. Jusqu'en décembre 1941, le commissariat général aux Questions juives s'affirme comme un « véritable ministère » et obtient la promulgation d'un nombre impressionnant de lois et de décrets antisémites. À partir de l'hiver 1941-1942 puis définitivement après la rafle du Vel' d'Hiv, le CGQJ se voit marginalisé dans la conduite de la politique antijuive, désormais négociée au plus haut niveau. Son influence législative et politique est pratiquement réduite à néant. L'histoire au quotidien du CGQJ n'avait jamais été faite. Combien cette administration exceptionnelle compta-t-elle d'employés ? Qui étaient-ils ? D'où venaient-ils ? Comment se représentaient-ils leur activité professionnelle ? Quels ont été les résultats et les conséquences humaines de leur politique ? Ayant plus particulièrement étudié le parcours des 180 cadres du CGQJ, Laurent Joly analyse le profil sociologique, la mentalité et les méthodes de travail de tous ces bureaucrates et exécuteurs de la politique antijuive de Vichy.Note de contenu : Table :
1. La mise e place d'une politique antisémite (juillet-1940-été 1942)
2. Le Commissariat Général aux Questions Juives en action
3. La survie institutionnelle et symbolique du CGQj (de l'été 1942 à la Libération)
Conclusion
Annexes :
1. Texte intégral des principales lois antijuives de Vichy
2. Organigrammes du CGQJ
3. Liste nominative des 180 cadres du CGQJ
4. Tableaux récapitulatifs des législations antisémites allemandes et françaises (1933-1942)
5. Arrêté du préfet du Var prescrivant le rencensement des Juifs
6. Lettre type envoyé par le CGQJ à une personne supposée ne pas s'être déclarée
7. Application du statut des juifs dans la fonction publique
8. Organigrammes des services de l'Aryanisation économique du CGQJ (SCAP, DGAE, SCAE)
9. Nomination des administrateurs provisoires par la préfecture de Police de Paris
10. Nomination des administrateurs provisoires par le CGQJ
11. Affiche annonçant la vente d'un immeuble juif à Reims (mai 1943)
12. Note sur la mise oeuvre et les résultats de la spoliation à Paris et en zone nord
13. Procédures et résultats de la spoliation en zone sud
14. Organisation de la PQJ et de la SEC
15. Tableaux résumant l'activité de la SEC
16. Double d'un rapport d'arrestation de la SEC (remis au service des Archives du CGQJ)
17. Note sur l'UGIF et sur ses relations avec le CGQJ
18. Note historiographique sur la "solution finale de la question juive"
Chronologie du 17 juin 1940 au 30 décembre 1949Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : Vichy dans la "Solution finale" : histoire du Commissariat général aux questions juives, 1941-1944 Type de document : texte imprimé Auteurs : Laurent Joly, Auteur Editeur : Paris : Bernard Grasset Année de publication : 2006 Collection : Documents Français Importance : 1 vol. (1014 p.) Présentation : ill., couv. ill. Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-246-63841-0 Note générale : Chronologie. - Bibliographie. - Index. - Texte remanié de : Thèse de doctorat : Histoire : Paris 1 : 2004. Vichy et le Commissariat général aux questions juives : contribution à l'histoire de la Shoah en France, 1941-1944. Langues : Français (fre) Catégories : 0(082) Critique / extrait document / citations
323.118(=924) Antisémitisme
34 Loi Droit Jurisprudence
930.25 Archives (lieux et documents)
94(44)"1940-1945" Commissariat général aux questions juives (France)
94(44)"1940-1945" Vichy
Judéocide / ShoahIndex. décimale : 940.531 Camps de concentration et d'extermination / Judéocide Résumé : Site éditeur :
Si, depuis une trentaine d'années, la persécution des juifs sous l'Occupation constitue un enjeu mémoriel important de la société française, il n'existe que très peu d'ouvrages analysant la politique antisémite du régime de Vichy. Se fondant sur une exploitation minutieuse de toutes les archives publiques disponibles, ayant mis au jour une série de fonds jusqu'alors inédits (archives judiciaires de la Libération, dossiers du Conseil d'État ou de la préfecture de Police de Paris, dossiers personnels de carrière des agents du commissariat général aux Questions juives, etc.) et découvert plusieurs archives familiales (dont l'exceptionnel fonds Xavier Vallat), Laurent Joly renouvelle considérablement le sujet. La création du CGQJ en mars 1941, à la demande des autorités occupantes, constitue un tournant décisif. Le vice-président du Conseil l'amiral Darlan et le premier commissaire général aux Questions juives Xavier Vallat interprètent à leur façon ce projet en affirmant ouvertement leur désir de « refouler » les juifs étrangers, polonais et autres, qui, selon les mots de Vallat, « sont venus en véritables légions sur notre pays, pour son plus grand malheur ». Dorénavant, la politique antijuive de l'État français dépend intimement de la politique nazie, dans un complexe et ambigu jeu à trois - les orientations du gouvernement de Vichy, la stratégie des autorités occupantes et les ambitions propres au CGQJ -, qui est ici analysé. Jusqu'en décembre 1941, le commissariat général aux Questions juives s'affirme comme un « véritable ministère » et obtient la promulgation d'un nombre impressionnant de lois et de décrets antisémites. À partir de l'hiver 1941-1942 puis définitivement après la rafle du Vel' d'Hiv, le CGQJ se voit marginalisé dans la conduite de la politique antijuive, désormais négociée au plus haut niveau. Son influence législative et politique est pratiquement réduite à néant. L'histoire au quotidien du CGQJ n'avait jamais été faite. Combien cette administration exceptionnelle compta-t-elle d'employés ? Qui étaient-ils ? D'où venaient-ils ? Comment se représentaient-ils leur activité professionnelle ? Quels ont été les résultats et les conséquences humaines de leur politique ? Ayant plus particulièrement étudié le parcours des 180 cadres du CGQJ, Laurent Joly analyse le profil sociologique, la mentalité et les méthodes de travail de tous ces bureaucrates et exécuteurs de la politique antijuive de Vichy.Note de contenu : Table :
1. La mise e place d'une politique antisémite (juillet-1940-été 1942)
2. Le Commissariat Général aux Questions Juives en action
3. La survie institutionnelle et symbolique du CGQj (de l'été 1942 à la Libération)
Conclusion
Annexes :
1. Texte intégral des principales lois antijuives de Vichy
2. Organigrammes du CGQJ
3. Liste nominative des 180 cadres du CGQJ
4. Tableaux récapitulatifs des législations antisémites allemandes et françaises (1933-1942)
5. Arrêté du préfet du Var prescrivant le rencensement des Juifs
6. Lettre type envoyé par le CGQJ à une personne supposée ne pas s'être déclarée
7. Application du statut des juifs dans la fonction publique
8. Organigrammes des services de l'Aryanisation économique du CGQJ (SCAP, DGAE, SCAE)
9. Nomination des administrateurs provisoires par la préfecture de Police de Paris
10. Nomination des administrateurs provisoires par le CGQJ
11. Affiche annonçant la vente d'un immeuble juif à Reims (mai 1943)
12. Note sur la mise oeuvre et les résultats de la spoliation à Paris et en zone nord
13. Procédures et résultats de la spoliation en zone sud
14. Organisation de la PQJ et de la SEC
15. Tableaux résumant l'activité de la SEC
16. Double d'un rapport d'arrestation de la SEC (remis au service des Archives du CGQJ)
17. Note sur l'UGIF et sur ses relations avec le CGQJ
18. Note historiographique sur la "solution finale de la question juive"
Chronologie du 17 juin 1940 au 30 décembre 1949Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 42640 940.531/JOL Livre Libre-accès Adultes Disponible