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D'après une image de Daesh / Juan Branco
D'après une image de Daesh [texte imprimé] / Juan Branco, Auteur . - Paris : Éditions Lignes, 2017 . - 1 vol. (49 p.) ; 20 cm.
ISBN : 978-2-35526-164-0
Langues : Français (fre)
Catégories : 1 Philosophie Psychologie
297 Islam & Intégrisme islamique (islamisme)
341.485 Génocide . Massacre . Epuration ethnique
343.917 Délinquance politique Terrorisme
Daech / Etat Islamique (EI)Index. décimale : 1 Philosophie / Psychologie Résumé : SITE EDITEUR
Les attentats, les assassinats de masses suscitent l’effroi et l’indignation, d’abord. Mais qu’entraînent-ils pour la pensée ? Partant des « images » de cette guerre, et s’appuyant sur Kleist et Bataille, Juan Branco se livre ici à une brève et dense méditation sur les régimes de représentation de la violence et de la mort dans des systèmes politiques qui croyaient s’en être débarrassés.Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : D'après une image de Daesh Type de document : texte imprimé Auteurs : Juan Branco, Auteur Editeur : Paris : Éditions Lignes Année de publication : 2017 Importance : 1 vol. (49 p.) Format : 20 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-35526-164-0 Langues : Français (fre) Catégories : 1 Philosophie Psychologie
297 Islam & Intégrisme islamique (islamisme)
341.485 Génocide . Massacre . Epuration ethnique
343.917 Délinquance politique Terrorisme
Daech / Etat Islamique (EI)Index. décimale : 1 Philosophie / Psychologie Résumé : SITE EDITEUR
Les attentats, les assassinats de masses suscitent l’effroi et l’indignation, d’abord. Mais qu’entraînent-ils pour la pensée ? Partant des « images » de cette guerre, et s’appuyant sur Kleist et Bataille, Juan Branco se livre ici à une brève et dense méditation sur les régimes de représentation de la violence et de la mort dans des systèmes politiques qui croyaient s’en être débarrassés.Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 50389 1/BRA Livre Libre-accès Adultes Disponible Les archives fantômes / Serge Margel
Les archives fantômes : recherches anthropologiques sur les institutions de la culture [texte imprimé] / Serge Margel, Auteur . - Paris : Éditions Lignes, 2012 . - 1 vol. (93 p.) ; 20 x 13 cm.
ISBN : 978-2-35526-116-9
Langues : Français (fre)
Catégories : 316.35 Groupes / Identités / Communautés
37:17 Travail de Mémoire
930.25 Archives (lieux et documents)Index. décimale : 37:17 Travail de Mémoire Résumé : ULB :
Le passage du document, de l'objet à l'archive, processus de fabrication de la mémoire, est analysé comme un symbole de pouvoir, d'instauration d'un discours dominant, de légitimation d'une souveraineté. Les archives ont aussi une fonction sociale, celle de transformer le temps en mémoire et de définir une identité culturelle.
Site éditeur :
Le geste performatif de déplacement qui fait de l’objet une archive contient implicitement tout autant qu’il révèle la mise en scène politique du grand partage des cultures, des espaces et des temps, de la mémoire et de l’histoire. Il faudra, montre ici Serge Margel, lire, déchiffrer, décrypter, dans ce déplacement de l’objet, l’instituant d’un lieu à l’autre, d’un temps à d’autres temps, l’histoire d’une domination, voire d’une barbarie, la construction d’un discours dominant, la légitimation d’une souveraineté.
Ce livre est composé de deux textes. Le premier porte sur les liens entre l’archive et le témoignage, en partant de ce que l’on aura nommé en France « les nouvelles archives », de Foucault à Derrida, en passant par de Certeau, Pomian, Farge et Hartog. Le second texte concerne plus directement le statut de l’archive dans la revue Documents (1929-1930), créée et dirigée par Georges Bataille, avec entre autres Michel Leiris et Marcel Griaule, où se posent et s’interrogent les liens entre l’ethnographie, les beaux-arts et la littérature.
Les Archives fantômes interroge les pouvoirs de l’archive dans nos mondes contemporains. Comment l’archive peut-elle faire revivre un passé qui a disparu ? Selon quel dispositif technique et médiatique peut-elle faire ressurgir quelque chose qui n’existe plus ? C’est ce que l’auteur propose de nommer ici « le pouvoir fantomal de l’archive », ou « les archives fantômes », que représente tout document, et dont la force ou la fonction sociale consiste justement à faire survivre les événements en témoignages, à transformer le temps en mémoire, à délacer le passé en histoire.
On ne trouve pas des archives déjà toutes faites : elles se fabriquent, se constituent, s’instituent, par des pratiques sociales qui changent de périodes en périodes. Les archives peuvent être d’État, collectives, comme elles peuvent se dire personnelles, ou privées. Mais dans tous les cas, elles constituent des identités, une mémoire, un rapport au passé, autant de valeurs culturelles qui n’existent que sur le mode fantomal des archives.
À partir de là , Serge Margel montre que l’archive entretient un rapport complexe avec la « réalité » qu’elle représente, qu’elle fait survivre, mais aussi à laquelle elle se réfère, qu’elle indique et transmet, ou dont elle est le témoignage. D’un côté, elle porte sur quelque chose qui a déjà eu lieu, dans le passé, dans l’histoire, mais d’un autre côté, elle concerne encore ses propres modalités d’écriture, d’interprétation, qui l’inscrivent dans le champ de l’histoire. Qu’en est-il donc de l’archive, aux confins de l’écriture et du savoir, comme aux frontières de la littérature et des sciences de l’homme, anthropologie, ethnologie, historiographie, et même psychanalyse ?
Cette ligne de répartition ou de distribution des frontières, que constitue et institue l’écriture des archives, ou les archives fantômes, Serge Margel se propose de les considérer en termes politiques – à partir d’un choix de textes, de références et d’auteurs, qui ouvrent eux-mêmes une nouvelle politique des archives. Les archives, ce sont d’abord et avant tout des « objets » et des « lieux » politiques : des objets érigés en documents témoins d’une culture, et des lieux où ces mêmes objets se consignent, se conservent et se présentent. Il n’y a pas de lieux d’archives, encore moins d’objets d’archives, avant ce « grand partage » politique, qui statue autant qu’il légifère sur les relations d’espace et de temps, ou sur les conditions d’une contemporanéité des cultures. Autrement dit, il n’y a ni lieu ni objet, pour les archives, avant la possibilité de déplacer une trace en document, de transposer un fait en enregistrement, et donc d’instituer un événement en valeur culturelle.
Or, ce geste performatif de déplacement, qui sort l’objet de son contexte de production, pour l’isoler, le consigner, le préserver – l’archiver –, contient implicitement tout autant qu’il révèle la mise en scène politique du grand partage des cultures, des espaces et des temps, de la mémoire aussi et de l’histoire. Il faudra lire, déchiffrer, décrypter, dans ce déplacement de l’objet, l’instituant d’un lieu à l’autre, d’un temps à d’autres temps, l’histoire d’une domination, voire d’une barbarie, la construction d’un discours dominant, la légitimation d’une souveraineté.
On pourra lire, en toute leur « fraîcheur », la découverte du Nouveau Monde, l’histoire du colonialisme, l’occidentalisation et la destruction des cultures – disons une certaine écriture de la modernité. Dans le déplacement de l’objet, on verra donc s’élaborer un processus non seulement de production mais aussi de destruction culturelle, un processus paradoxal et complexe d’institution de la culture, en somme où s’écrit, et se lit, en pleine histoire des « temps modernes », l’incessante recomposition du grand partage politique des archives, qui lui dicte son autorité, sa légitimité, sa souveraineté.
Serge Margel vit entre Genève et Paris. Il enseigne la philosophie à l’université de Lausanne et à la Haute école d’art et de design de Genève. Il a publié plusieurs ouvrages aux Éditions Galilée, dont Le Silence des prophètes, en 2006, et Aliénation. Antonin Artaud. Les généalogies hybrides, en 2008 et aux Éditions Hermann, L’Avenir de la métaphysique en 2011. Dans la même collection a déjà paru : La Société du spectral (2012).Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : Les archives fantômes : recherches anthropologiques sur les institutions de la culture Type de document : texte imprimé Auteurs : Serge Margel, Auteur Editeur : Paris : Éditions Lignes Année de publication : 2012 Importance : 1 vol. (93 p.) Format : 20 x 13 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-35526-116-9 Langues : Français (fre) Catégories : 316.35 Groupes / Identités / Communautés
37:17 Travail de Mémoire
930.25 Archives (lieux et documents)Index. décimale : 37:17 Travail de Mémoire Résumé : ULB :
Le passage du document, de l'objet à l'archive, processus de fabrication de la mémoire, est analysé comme un symbole de pouvoir, d'instauration d'un discours dominant, de légitimation d'une souveraineté. Les archives ont aussi une fonction sociale, celle de transformer le temps en mémoire et de définir une identité culturelle.
Site éditeur :
Le geste performatif de déplacement qui fait de l’objet une archive contient implicitement tout autant qu’il révèle la mise en scène politique du grand partage des cultures, des espaces et des temps, de la mémoire et de l’histoire. Il faudra, montre ici Serge Margel, lire, déchiffrer, décrypter, dans ce déplacement de l’objet, l’instituant d’un lieu à l’autre, d’un temps à d’autres temps, l’histoire d’une domination, voire d’une barbarie, la construction d’un discours dominant, la légitimation d’une souveraineté.
Ce livre est composé de deux textes. Le premier porte sur les liens entre l’archive et le témoignage, en partant de ce que l’on aura nommé en France « les nouvelles archives », de Foucault à Derrida, en passant par de Certeau, Pomian, Farge et Hartog. Le second texte concerne plus directement le statut de l’archive dans la revue Documents (1929-1930), créée et dirigée par Georges Bataille, avec entre autres Michel Leiris et Marcel Griaule, où se posent et s’interrogent les liens entre l’ethnographie, les beaux-arts et la littérature.
Les Archives fantômes interroge les pouvoirs de l’archive dans nos mondes contemporains. Comment l’archive peut-elle faire revivre un passé qui a disparu ? Selon quel dispositif technique et médiatique peut-elle faire ressurgir quelque chose qui n’existe plus ? C’est ce que l’auteur propose de nommer ici « le pouvoir fantomal de l’archive », ou « les archives fantômes », que représente tout document, et dont la force ou la fonction sociale consiste justement à faire survivre les événements en témoignages, à transformer le temps en mémoire, à délacer le passé en histoire.
On ne trouve pas des archives déjà toutes faites : elles se fabriquent, se constituent, s’instituent, par des pratiques sociales qui changent de périodes en périodes. Les archives peuvent être d’État, collectives, comme elles peuvent se dire personnelles, ou privées. Mais dans tous les cas, elles constituent des identités, une mémoire, un rapport au passé, autant de valeurs culturelles qui n’existent que sur le mode fantomal des archives.
À partir de là , Serge Margel montre que l’archive entretient un rapport complexe avec la « réalité » qu’elle représente, qu’elle fait survivre, mais aussi à laquelle elle se réfère, qu’elle indique et transmet, ou dont elle est le témoignage. D’un côté, elle porte sur quelque chose qui a déjà eu lieu, dans le passé, dans l’histoire, mais d’un autre côté, elle concerne encore ses propres modalités d’écriture, d’interprétation, qui l’inscrivent dans le champ de l’histoire. Qu’en est-il donc de l’archive, aux confins de l’écriture et du savoir, comme aux frontières de la littérature et des sciences de l’homme, anthropologie, ethnologie, historiographie, et même psychanalyse ?
Cette ligne de répartition ou de distribution des frontières, que constitue et institue l’écriture des archives, ou les archives fantômes, Serge Margel se propose de les considérer en termes politiques – à partir d’un choix de textes, de références et d’auteurs, qui ouvrent eux-mêmes une nouvelle politique des archives. Les archives, ce sont d’abord et avant tout des « objets » et des « lieux » politiques : des objets érigés en documents témoins d’une culture, et des lieux où ces mêmes objets se consignent, se conservent et se présentent. Il n’y a pas de lieux d’archives, encore moins d’objets d’archives, avant ce « grand partage » politique, qui statue autant qu’il légifère sur les relations d’espace et de temps, ou sur les conditions d’une contemporanéité des cultures. Autrement dit, il n’y a ni lieu ni objet, pour les archives, avant la possibilité de déplacer une trace en document, de transposer un fait en enregistrement, et donc d’instituer un événement en valeur culturelle.
Or, ce geste performatif de déplacement, qui sort l’objet de son contexte de production, pour l’isoler, le consigner, le préserver – l’archiver –, contient implicitement tout autant qu’il révèle la mise en scène politique du grand partage des cultures, des espaces et des temps, de la mémoire aussi et de l’histoire. Il faudra lire, déchiffrer, décrypter, dans ce déplacement de l’objet, l’instituant d’un lieu à l’autre, d’un temps à d’autres temps, l’histoire d’une domination, voire d’une barbarie, la construction d’un discours dominant, la légitimation d’une souveraineté.
On pourra lire, en toute leur « fraîcheur », la découverte du Nouveau Monde, l’histoire du colonialisme, l’occidentalisation et la destruction des cultures – disons une certaine écriture de la modernité. Dans le déplacement de l’objet, on verra donc s’élaborer un processus non seulement de production mais aussi de destruction culturelle, un processus paradoxal et complexe d’institution de la culture, en somme où s’écrit, et se lit, en pleine histoire des « temps modernes », l’incessante recomposition du grand partage politique des archives, qui lui dicte son autorité, sa légitimité, sa souveraineté.
Serge Margel vit entre Genève et Paris. Il enseigne la philosophie à l’université de Lausanne et à la Haute école d’art et de design de Genève. Il a publié plusieurs ouvrages aux Éditions Galilée, dont Le Silence des prophètes, en 2006, et Aliénation. Antonin Artaud. Les généalogies hybrides, en 2008 et aux Éditions Hermann, L’Avenir de la métaphysique en 2011. Dans la même collection a déjà paru : La Société du spectral (2012).Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 48241 37:17/MAR Livre Libre-accès Adultes Disponible Collapsus / Maurice Rajsfus
Collapsus : survivre avec Auschwitz en mémoire [texte imprimé] / Maurice Rajsfus (1928-2020) , Auteur . - Paris : Éditions Lignes, impr. 2005 . - 1 vol. (190 p.) : couv. ill. ; 19 cm. - (Essais, ISSN 1777-3938) .
ISBN : 978-2-84938-044-4
Langues : Français (fre)
Catégories : 351.74 Force publique - police
37:17 Travail de Mémoire
929 Rajsfus, Maurice
94(100)"1939/45" Collaboration Seconde Guerre mondiale
94(44)"19" Histoire de France au XXe siècle
Judéocide / ShoahIndex. décimale : 929 Biographies Résumé : Site éditeur :
Comment, en 1941, l’administration, la police et les transports ont-ils pu si volontiers organiser les rafles et participer à la déportation des juifs de France ? Comment, aujourd’hui, se convaincre que les autorités « légitimes » de l’État, dans des conditions comparables, se comporteraient différemment ?
Président de l’Observatoire des libertés publiques qui publie chaque mois le bulletin d’information Que fait la police ?, et auteur d’une trentaine d’ouvrages à caractère historique et politique, notamment sur tous les abus commis au nom de l’État français, Maurice Rajsfus s’intéresse ici en particulier à la Seconde Guerre mondiale et au rôle des forces répressives, hier comme aujourd’hui.
Réflexion atypique relancée par la commémoration massive de la tragique histoire des rafles, de l’extermination et de la déportation, le propos de Collapsus est d’emblée polémique. Si ce récit, à la fois historiographique et autobiographique, est singulier, c’est parce que, loin d’en rester aux faits du passé, la réflexion élargit son objet à tout système de terreur, à tout génocide, désignant ainsi sa véritable question : la condition humaine.
Se contenter de ressasser des témoignages plaintifs n’est pas la meilleure façon d’éviter que tout un peuple ne voue trop vite à l’oubli un passé aussi effroyable qu’inacceptable. La manie de la commémoration – en faisant couler des larmes sur ceux qui sont morts il y a soixante ans, en désignant des coupables pour mieux s’en excepter –, n’est-elle pas aussi le moyen de masquer les génocides présents, d’éluder la question de ce qui, en l’homme, rend possible l’inimaginable ?Note de contenu : Sommaire :
Avertissement
Introduction
i. Tourisme concentrationnaire
ii. Lorsque l’histoire s’emballe
iii. Réclusion rue Louis-Besquel
iv. En flottant sur le caniveau
v. On m’a oublié en chemin...
vi. De l’usage pervers des autobus
vii. Ceux qui vivent du profil
viii. Les pourvoyeurs d’Auschwitz
ix. En suffoquant au Struthof
x. Concentrer pour mieux tuer
xi. France profonde, morne plaine
xii. Commémoration. À propos du 16 juillet 1942
xiii. La colère
xiv. Le train du cauchemar
xv. Le bourreau n’est jamais seul
xvi. L’héritage de la persécution
xvii. La dernière étape
xviii. Les rapaces, les charognards et les « ayants droit »
xix. Autour du carmel d’Auschwitz
xx. sous la cendre
Conclusion
Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : Collapsus : survivre avec Auschwitz en mémoire Type de document : texte imprimé Auteurs : Maurice Rajsfus (1928-2020) , Auteur Editeur : Paris : Éditions Lignes Année de publication : impr. 2005 Collection : Essais, ISSN 1777-3938 Importance : 1 vol. (190 p.) Présentation : couv. ill. Format : 19 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-84938-044-4 Langues : Français (fre) Catégories : 351.74 Force publique - police
37:17 Travail de Mémoire
929 Rajsfus, Maurice
94(100)"1939/45" Collaboration Seconde Guerre mondiale
94(44)"19" Histoire de France au XXe siècle
Judéocide / ShoahIndex. décimale : 929 Biographies Résumé : Site éditeur :
Comment, en 1941, l’administration, la police et les transports ont-ils pu si volontiers organiser les rafles et participer à la déportation des juifs de France ? Comment, aujourd’hui, se convaincre que les autorités « légitimes » de l’État, dans des conditions comparables, se comporteraient différemment ?
Président de l’Observatoire des libertés publiques qui publie chaque mois le bulletin d’information Que fait la police ?, et auteur d’une trentaine d’ouvrages à caractère historique et politique, notamment sur tous les abus commis au nom de l’État français, Maurice Rajsfus s’intéresse ici en particulier à la Seconde Guerre mondiale et au rôle des forces répressives, hier comme aujourd’hui.
Réflexion atypique relancée par la commémoration massive de la tragique histoire des rafles, de l’extermination et de la déportation, le propos de Collapsus est d’emblée polémique. Si ce récit, à la fois historiographique et autobiographique, est singulier, c’est parce que, loin d’en rester aux faits du passé, la réflexion élargit son objet à tout système de terreur, à tout génocide, désignant ainsi sa véritable question : la condition humaine.
Se contenter de ressasser des témoignages plaintifs n’est pas la meilleure façon d’éviter que tout un peuple ne voue trop vite à l’oubli un passé aussi effroyable qu’inacceptable. La manie de la commémoration – en faisant couler des larmes sur ceux qui sont morts il y a soixante ans, en désignant des coupables pour mieux s’en excepter –, n’est-elle pas aussi le moyen de masquer les génocides présents, d’éluder la question de ce qui, en l’homme, rend possible l’inimaginable ?Note de contenu : Sommaire :
Avertissement
Introduction
i. Tourisme concentrationnaire
ii. Lorsque l’histoire s’emballe
iii. Réclusion rue Louis-Besquel
iv. En flottant sur le caniveau
v. On m’a oublié en chemin...
vi. De l’usage pervers des autobus
vii. Ceux qui vivent du profil
viii. Les pourvoyeurs d’Auschwitz
ix. En suffoquant au Struthof
x. Concentrer pour mieux tuer
xi. France profonde, morne plaine
xii. Commémoration. À propos du 16 juillet 1942
xiii. La colère
xiv. Le train du cauchemar
xv. Le bourreau n’est jamais seul
xvi. L’héritage de la persécution
xvii. La dernière étape
xviii. Les rapaces, les charognards et les « ayants droit »
xix. Autour du carmel d’Auschwitz
xx. sous la cendre
Conclusion
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 48890 929/RAJ Livre Libre-accès Adultes Disponible Esclavage réparation / LOUIS SALA-MOLINS
Esclavage réparation : les lumières des capucins et les lueurs des pharisiens [texte imprimé] / LOUIS SALA-MOLINS, Auteur . - Paris : Éditions Lignes, DL 2014 . - 1 vol. (120 p.) ; 20 cm.
ISBN : 978-2-35526-132-9 : 16 EUR
Bibliogr. p. 21-22
Langues : Français (fre)
Catégories : 325.3 Colonisation/ décolonisation
326 Esclavage. Servage. Travail forcé. Traite des êtres humains
34 Loi Droit Jurisprudence
37:17 Travail de MémoireIndex. décimale : 37:17 Travail de Mémoire Résumé : 4ème couv.:
Crimes contre l'humanité - "imprescriptibles", dit le droit d'aujourd'hui -, la traite et l'esclavage des Noirs exigent réparation.
"Impossible", rétorque l'État.
"Absurde", arrêtent d'illustres magistrats
"Grotesque", osent des historiens et des publicistes fameux.
Mensonges.
Avant que Versailles ne se couvre de honte en promulguant le "Code Noir" de l'esclavage, deux capucins de rien du tout, un Espagnol et un Français, risquent tout pour dire le droit de toujours et marteler qu'il exige réparation. Auprès de leurs victimes et de leurs descendances. Scandaleusement éblouissant.
Il y a presque trente ans, Louis Sala-Molins sort des limbes le "Code Noir" et dénonce les accommodements des grands des Lumières avec les trafics négriers et l'esclavage des Noirs. "Anathème", crient des historiens et des philosophes. Il récidive ici en offrant un porte-voix à Francisco José de Jaca et Epiphane de Moiransn deux clercs oubliés de la fin du XVIIe siècle que l'Histoire s'est fait un devoir de museler.Note de contenu : Table:
Prologue
Notice bibliographique
-Le mot de la fin...
-...Et toute l'histoire
-"Trop tôt". Est-il jamais temps ?
-"Conclusions" et "Esclaves libres"
-Francisco José De Jaca, "Conclusions sur la liberté des Noirs et de leurs ascendants autrefois païens et désormais chrétiens"
-Epiphane De Moirans, "Esclaves libres ou défense juridique de la liberté naturelle des esclaves"
Prologue
-De la fin au commencement
-Aperçu du corps du texte
-Les maîtres des Noirs sont tenus de leur restituer les fruits de leur travail
-Suite de l'obligation de réparation
-Les maîtres sont tenus non seulement de restituer aux Noirs la liberté et le prix de leur travail, mais aussi de leur donner réparation pour les fruits dérobés et les dommages supportés
-Le roi et le Conseil des Indes tranchent la question
En guise de conclusion
Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : Esclavage réparation : les lumières des capucins et les lueurs des pharisiens Type de document : texte imprimé Auteurs : LOUIS SALA-MOLINS, Auteur Editeur : Paris : Éditions Lignes Année de publication : DL 2014 Importance : 1 vol. (120 p.) Format : 20 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-35526-132-9 Prix : 16 EUR Note générale : Bibliogr. p. 21-22 Langues : Français (fre) Catégories : 325.3 Colonisation/ décolonisation
326 Esclavage. Servage. Travail forcé. Traite des êtres humains
34 Loi Droit Jurisprudence
37:17 Travail de MémoireIndex. décimale : 37:17 Travail de Mémoire Résumé : 4ème couv.:
Crimes contre l'humanité - "imprescriptibles", dit le droit d'aujourd'hui -, la traite et l'esclavage des Noirs exigent réparation.
"Impossible", rétorque l'État.
"Absurde", arrêtent d'illustres magistrats
"Grotesque", osent des historiens et des publicistes fameux.
Mensonges.
Avant que Versailles ne se couvre de honte en promulguant le "Code Noir" de l'esclavage, deux capucins de rien du tout, un Espagnol et un Français, risquent tout pour dire le droit de toujours et marteler qu'il exige réparation. Auprès de leurs victimes et de leurs descendances. Scandaleusement éblouissant.
Il y a presque trente ans, Louis Sala-Molins sort des limbes le "Code Noir" et dénonce les accommodements des grands des Lumières avec les trafics négriers et l'esclavage des Noirs. "Anathème", crient des historiens et des philosophes. Il récidive ici en offrant un porte-voix à Francisco José de Jaca et Epiphane de Moiransn deux clercs oubliés de la fin du XVIIe siècle que l'Histoire s'est fait un devoir de museler.Note de contenu : Table:
Prologue
Notice bibliographique
-Le mot de la fin...
-...Et toute l'histoire
-"Trop tôt". Est-il jamais temps ?
-"Conclusions" et "Esclaves libres"
-Francisco José De Jaca, "Conclusions sur la liberté des Noirs et de leurs ascendants autrefois païens et désormais chrétiens"
-Epiphane De Moirans, "Esclaves libres ou défense juridique de la liberté naturelle des esclaves"
Prologue
-De la fin au commencement
-Aperçu du corps du texte
-Les maîtres des Noirs sont tenus de leur restituer les fruits de leur travail
-Suite de l'obligation de réparation
-Les maîtres sont tenus non seulement de restituer aux Noirs la liberté et le prix de leur travail, mais aussi de leur donner réparation pour les fruits dérobés et les dommages supportés
-Le roi et le Conseil des Indes tranchent la question
En guise de conclusion
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Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 52031 37:17/SAL Livre Libre-accès Adultes Disponible
[périodique] Voir les bulletins disponibles Rechercher dans ce périodique Lignes [texte imprimé] . - Paris : Éditions Lignes.
Langues : Français (fre)
En ligne : http://www.editions-lignes.com/Revue-lignes,6.html Format de la ressource électronique : Revue Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [périodique] Voir les bulletins disponibles Rechercher dans ce périodique
Titre : Lignes Type de document : texte imprimé Editeur : Paris : Éditions Lignes Langues : Français (fre) En ligne : http://www.editions-lignes.com/Revue-lignes,6.html Format de la ressource électronique : Revue Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di PermalinkLa pensée dispersée / Enzo Traverso
PermalinkLa piraterie dans l'âme / Jean-Paul Curnier
PermalinkDe quoi Sarkozy est-il le nom ? / Alain Badiou
PermalinkSauvons-nous de nos sauveurs / Slavoj Žižek
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