Mention de date : 2009
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45426 | cah | Périodique | Libre-accès | Périodiques | Disponible |
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Dépouillements


De bestraffing van de collaboratie na de Tweede Wereldoorlog / Koen Aerts in Cahiers d'Histoire du Temps Présent (CHTP), 21 (2009)
[article] De bestraffing van de collaboratie na de Tweede Wereldoorlog [texte imprimé] / Koen Aerts, Auteur . - 2009 . - pp. 55-92.
Langues : Néerlandais (dut)
in Cahiers d'Histoire du Temps Présent (CHTP) > 21 (2009) . - pp. 55-92
Catégories : 316.4 Processus sociaux. Changement dans la société
32(493=393) Politique de la Flandre (Belgique)
94(100)"1939/45" Collaboration Seconde Guerre mondiale
94(493)"19" Histoire de la Belgique au XXe siècleRésumé : LA RÉPRESSION DE LA COLLABORATION APRÈS LA SECONDE GUERRE MONDIALE
Représentation et recherche
La représentation et la perception de la répression après la Seconde Guerre mondiale fut pendant longtemps en Belgique plutôt matière à débat sociétal qu’à recherches historiques (académiques). Les tentatives pour contenir le passé de guerre dans un discours officiel national apparurent très vite infructueuses. La représentation dominante à propos de la répression de la collaboration n’était au départ rien de plus qu’une construction nationaliste flamande. La répression était interprétée dans ces milieux comme un règlement de compte belge ou même francophone à l’égard du Mouvement flamand. Le statut de victime fut activement cultivé sur le plan politique et devint partie intégrante d’une revendication d’identité propre à part entière.
C’est seulement dans les années 1980 que cette représentation dominante fut pour la première fois mise à mal avec succès. Les émissions de Maurice De Wilde sur l’Ordre nouveau battirent en brèche le discours monotone (nationaliste) flamand. Les polémiques exacerbées à la télévision ainsi que les violents billets d’opinion et lettres des lecteurs dans la presse écrite montrèrent la nécessité d’une recherche historique de qualité sur ce passé. Cette période marqua aussi le début des recherches historiques scientifiques sur le passé de guerre dans différentes universités belges. À la Katholieke Universiteit Leuven, Luc Huyse, Steven Dhondt et leur équipe avaient commencé ce qui en 1991 déboucherait sur la première étude fondamentale et élaborée de manière scientifique sur la répression de la collaboration. Comme sociologues (du droit), ils constataient que la Belgique était malade des années 40. Cela fut la même année encore souligné par le succès électoral de l’extrême droite en Flandre. Huyse et Dhondt concluaient que la Belgique était confrontée à un traumatisme. Tant sur le plan législatif que scientifique, on chercha cependant de manière assidue des remèdes pour extirper cette maladie. Au niveau fédéral, on adopta en 1995 la loi contre le négationnisme et le Parlement flamand formula en 2002 quelques recommandations au sujet de la manière de traiter le passé de guerre. Le traumatisme parut de cette façon quelque peu conjuré au niveau de la collectivité sociétale et politique. Par le rejet et la condamnation du passé fautif, la Flandre essayait d’entrer dans le 21e siècle sur des bases saines.
L’actualité du débat perdit en pertinence et l’accent sur un passé non assumé se déplaça par le biais de nouveaux sujets et angles d’approche vers l’étude d’un passé insoupçonné, qu’elle soit ou non réalisée dans une perspective comparative internationale. L’instrumentalisation du passé en vue de soutenir la nation, qu’elle ait été flamande ou belge, a été remplacée par une approche plus historique où de manière assez paradoxale cette fois, du moins parmi les historiens (académiques), un large consensus paraît tout de même se développer par rapport à la noirceur du passé de guerre et à sa liquidation. L’attention est de plus en plus portée sur la collaboration en Belgique francophone et la thèse d’une répression anti-flamande a perdu de sa vigueur.Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : De bestraffing van de collaboratie na de Tweede Wereldoorlog Type de document : texte imprimé Auteurs : Koen Aerts, Auteur Année de publication : 2009 Article en page(s) : pp. 55-92 Langues : Néerlandais (dut) Catégories : 316.4 Processus sociaux. Changement dans la société
32(493=393) Politique de la Flandre (Belgique)
94(100)"1939/45" Collaboration Seconde Guerre mondiale
94(493)"19" Histoire de la Belgique au XXe siècleRésumé : LA RÉPRESSION DE LA COLLABORATION APRÈS LA SECONDE GUERRE MONDIALE
Représentation et recherche
La représentation et la perception de la répression après la Seconde Guerre mondiale fut pendant longtemps en Belgique plutôt matière à débat sociétal qu’à recherches historiques (académiques). Les tentatives pour contenir le passé de guerre dans un discours officiel national apparurent très vite infructueuses. La représentation dominante à propos de la répression de la collaboration n’était au départ rien de plus qu’une construction nationaliste flamande. La répression était interprétée dans ces milieux comme un règlement de compte belge ou même francophone à l’égard du Mouvement flamand. Le statut de victime fut activement cultivé sur le plan politique et devint partie intégrante d’une revendication d’identité propre à part entière.
C’est seulement dans les années 1980 que cette représentation dominante fut pour la première fois mise à mal avec succès. Les émissions de Maurice De Wilde sur l’Ordre nouveau battirent en brèche le discours monotone (nationaliste) flamand. Les polémiques exacerbées à la télévision ainsi que les violents billets d’opinion et lettres des lecteurs dans la presse écrite montrèrent la nécessité d’une recherche historique de qualité sur ce passé. Cette période marqua aussi le début des recherches historiques scientifiques sur le passé de guerre dans différentes universités belges. À la Katholieke Universiteit Leuven, Luc Huyse, Steven Dhondt et leur équipe avaient commencé ce qui en 1991 déboucherait sur la première étude fondamentale et élaborée de manière scientifique sur la répression de la collaboration. Comme sociologues (du droit), ils constataient que la Belgique était malade des années 40. Cela fut la même année encore souligné par le succès électoral de l’extrême droite en Flandre. Huyse et Dhondt concluaient que la Belgique était confrontée à un traumatisme. Tant sur le plan législatif que scientifique, on chercha cependant de manière assidue des remèdes pour extirper cette maladie. Au niveau fédéral, on adopta en 1995 la loi contre le négationnisme et le Parlement flamand formula en 2002 quelques recommandations au sujet de la manière de traiter le passé de guerre. Le traumatisme parut de cette façon quelque peu conjuré au niveau de la collectivité sociétale et politique. Par le rejet et la condamnation du passé fautif, la Flandre essayait d’entrer dans le 21e siècle sur des bases saines.
L’actualité du débat perdit en pertinence et l’accent sur un passé non assumé se déplaça par le biais de nouveaux sujets et angles d’approche vers l’étude d’un passé insoupçonné, qu’elle soit ou non réalisée dans une perspective comparative internationale. L’instrumentalisation du passé en vue de soutenir la nation, qu’elle ait été flamande ou belge, a été remplacée par une approche plus historique où de manière assez paradoxale cette fois, du moins parmi les historiens (académiques), un large consensus paraît tout de même se développer par rapport à la noirceur du passé de guerre et à sa liquidation. L’attention est de plus en plus portée sur la collaboration en Belgique francophone et la thèse d’une répression anti-flamande a perdu de sa vigueur.Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in Cahiers d'Histoire du Temps Présent (CHTP) > 21 (2009) . - pp. 55-92Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 45426 cah Périodique Libre-accès Périodiques Disponible Entrepreneurs humanitaires / Jean-Benoît Falisse in Cahiers d'Histoire du Temps Présent (CHTP), 21 (2009)
[article] Entrepreneurs humanitaires : Médecins sans frontières Belgium : Médecins sans frontières Belgique, genèse d’une ONG atypique, 1980-1987 [texte imprimé] / Jean-Benoît Falisse, Auteur . - 2009 . - pp. 11-54.
Langues : Français (fre)
in Cahiers d'Histoire du Temps Présent (CHTP) > 21 (2009) . - pp. 11-54
Catégories : 06.05 Associations : actions, actes et organisation
364.40 Aide Humanitaire
Médecins sans frontières (MSF)Résumé : À partir de la fi n des années 1970, le mouvement Médecins sans frontières (MSF) s’est progressivement imposé comme une figure majeure du monde de l’aide humanitaire et de la coopération au développement. Originellement française, l’organisation MSF essaime et une section belge se constitue en 1980. En quelques années, cette dernière fonctionne avec un volume financier, humain et technique comparable à celui de sa maison-mère française et développe ses propres modes d’action et d’organisation En s’appuyant entre autres sur des documents internes inédits et sur des interviews d’anciens dirigeants de MSF, cet article se penche sur les rouages de la ‘machine MSF Belgique’ durant ses premières années d’existence (1980-1987). Au-delà des clichés qui sont trop souvent la seule histoire disponible des organisations non gouvernementales (ONG), c’est une organisation au professionnalisme élevé qui apparait. Animés d’une conception nouvelle de l’aide humanitaire – technique et centrée sur l’apolitisme –, les MSF belges mettent en place une structure opérationnelle proche de celle d’une entreprise privée classique. Comptant sur une base de recrutement de qualité composée de jeunes diplômés de l’Institut de médecine tropicale d’Anvers, l’organisation développe des outils (kits, guide-lines, formations, etc,) et des compétences, forgés notamment à l’épreuve de sa première mission de longue durée, au Tchad. MSF Belgique va rapidement jouir d’une réputation d’excellence et son image, érigée en modèle, va pénétrer l’ensemble de la société, institutions comprises. L’organisation pourra alors compter sur d’importants financements institutionnels, notamment de la part du Fonds européen de développement (FED), et sur diverses collaborations techniques pointues (universités, ONG, entreprises).
Enfin, cet article revient sur la crise identitaire et de leadership que MSF traverse au milieu des années 1980, crise qui amène MSF Belgique à réaffirmer et à réinventer l’apolitisme de son discours et de ses interventions.
Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : Entrepreneurs humanitaires : Médecins sans frontières Belgium : Médecins sans frontières Belgique, genèse d’une ONG atypique, 1980-1987 Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Benoît Falisse, Auteur Année de publication : 2009 Article en page(s) : pp. 11-54 Langues : Français (fre) Catégories : 06.05 Associations : actions, actes et organisation
364.40 Aide Humanitaire
Médecins sans frontières (MSF)Résumé : À partir de la fi n des années 1970, le mouvement Médecins sans frontières (MSF) s’est progressivement imposé comme une figure majeure du monde de l’aide humanitaire et de la coopération au développement. Originellement française, l’organisation MSF essaime et une section belge se constitue en 1980. En quelques années, cette dernière fonctionne avec un volume financier, humain et technique comparable à celui de sa maison-mère française et développe ses propres modes d’action et d’organisation En s’appuyant entre autres sur des documents internes inédits et sur des interviews d’anciens dirigeants de MSF, cet article se penche sur les rouages de la ‘machine MSF Belgique’ durant ses premières années d’existence (1980-1987). Au-delà des clichés qui sont trop souvent la seule histoire disponible des organisations non gouvernementales (ONG), c’est une organisation au professionnalisme élevé qui apparait. Animés d’une conception nouvelle de l’aide humanitaire – technique et centrée sur l’apolitisme –, les MSF belges mettent en place une structure opérationnelle proche de celle d’une entreprise privée classique. Comptant sur une base de recrutement de qualité composée de jeunes diplômés de l’Institut de médecine tropicale d’Anvers, l’organisation développe des outils (kits, guide-lines, formations, etc,) et des compétences, forgés notamment à l’épreuve de sa première mission de longue durée, au Tchad. MSF Belgique va rapidement jouir d’une réputation d’excellence et son image, érigée en modèle, va pénétrer l’ensemble de la société, institutions comprises. L’organisation pourra alors compter sur d’importants financements institutionnels, notamment de la part du Fonds européen de développement (FED), et sur diverses collaborations techniques pointues (universités, ONG, entreprises).
Enfin, cet article revient sur la crise identitaire et de leadership que MSF traverse au milieu des années 1980, crise qui amène MSF Belgique à réaffirmer et à réinventer l’apolitisme de son discours et de ses interventions.
Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in Cahiers d'Histoire du Temps Présent (CHTP) > 21 (2009) . - pp. 11-54Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 45426 cah Périodique Libre-accès Périodiques Disponible Agents secrets à la frontière belgo-allemande / Philippe Beck in Cahiers d'Histoire du Temps Présent (CHTP), 21 (2009)
[article] Agents secrets à la frontière belgo-allemande : Des services de renseignements belges, alliés et allemands entre 1920 et 1940 dans la région d’Eupen [texte imprimé] / Philippe Beck, Auteur ; Etienne Verhoeyen (1945-....), Auteur . - 2009 . - pp. 93-134.
Langues : Français (fre)
in Cahiers d'Histoire du Temps Présent (CHTP) > 21 (2009) . - pp. 93-134
Catégories : 353(493=30) Communauté germanophone
355.40 Service secret. Espionnage
94(100)"1939/45" Histoire Seconde Guerre mondiale
94(100)"1939/45" Collaboration Seconde Guerre mondiale
94(493)"19" Histoire de la Belgique au XXe siècleRésumé : À la suite du traité de Versailles, le territoire à prédominance germanophone de la région d’Eupen, Malmedy et Saint-Vith fut annexé à la Belgique après 1920. Connu généralement sous le vocable de Cantons rédimés en vertu d’arguments nationalistes et en référence à la situation d’avant 1815, le territoire reçut le nom officieux de cantons de l’Est. De nombreux habitants désapprouvèrent l’annexion, qui signifiait en outre l’acquisition de la nationalité belge. Grand nombre d’entre eux continuèrent à se sentir allemands. Il n’est donc pas étonnant que les services secrets allemands (surtout l’Abwehr et la Geheime Staatspolizei) pratiquèrent la subversion organisée dans les cantons de l’Est. L’Heimattreue Front fut fondé avec l’appui allemand. Les services allemands pouvaient facilement recruter des agents dans ce milieu. Ceci dit, il y eut aussi des habitants des cantons de l’Est qui s’identifièrent pleinement à la Belgique..
Dans le même temps, les cantons de l’Est servirent de banc d’essai pour les services secrets belges, français et britanniques. Depuis 1918, leur attention se portait essentiellement vers l’Allemagne. Il existait un organisme de renseignements servant de structure coordinatrice, au sein duquel les principaux responsables des trois services étaient représentés. Cette organisation était connue sous le nom de Box (Bureau of Exchange). Elle disposait notamment de collaborateurs dans les cantons de l’Est. La figure centrale parmi ces agents était Peter Schmitz d’Eupen, un militant pacifiste qui travaillait pour des journaux pro-belges et publia un roman contre la guerre. L’activité de Schmitz et de ses collaborateurs ne resta pas longtemps secrète pour le contre-espionnage allemand, qui engagea des agents contre eux. Pour un certain nombre de collaborateurs de Schmitz, cette infiltration allemande conduisit à l’arrestation et à la détention en Allemagne. Cet article est en grande partie basé sur un matériel archivistique non encore utilisé à ce jour et donne à voir pour la première fois le travail concret du BOX et des trois services secrets ‘occidentaux.
Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : Agents secrets à la frontière belgo-allemande : Des services de renseignements belges, alliés et allemands entre 1920 et 1940 dans la région d’Eupen Type de document : texte imprimé Auteurs : Philippe Beck, Auteur ; Etienne Verhoeyen (1945-....), Auteur Année de publication : 2009 Article en page(s) : pp. 93-134 Langues : Français (fre) Catégories : 353(493=30) Communauté germanophone
355.40 Service secret. Espionnage
94(100)"1939/45" Histoire Seconde Guerre mondiale
94(100)"1939/45" Collaboration Seconde Guerre mondiale
94(493)"19" Histoire de la Belgique au XXe siècleRésumé : À la suite du traité de Versailles, le territoire à prédominance germanophone de la région d’Eupen, Malmedy et Saint-Vith fut annexé à la Belgique après 1920. Connu généralement sous le vocable de Cantons rédimés en vertu d’arguments nationalistes et en référence à la situation d’avant 1815, le territoire reçut le nom officieux de cantons de l’Est. De nombreux habitants désapprouvèrent l’annexion, qui signifiait en outre l’acquisition de la nationalité belge. Grand nombre d’entre eux continuèrent à se sentir allemands. Il n’est donc pas étonnant que les services secrets allemands (surtout l’Abwehr et la Geheime Staatspolizei) pratiquèrent la subversion organisée dans les cantons de l’Est. L’Heimattreue Front fut fondé avec l’appui allemand. Les services allemands pouvaient facilement recruter des agents dans ce milieu. Ceci dit, il y eut aussi des habitants des cantons de l’Est qui s’identifièrent pleinement à la Belgique..
Dans le même temps, les cantons de l’Est servirent de banc d’essai pour les services secrets belges, français et britanniques. Depuis 1918, leur attention se portait essentiellement vers l’Allemagne. Il existait un organisme de renseignements servant de structure coordinatrice, au sein duquel les principaux responsables des trois services étaient représentés. Cette organisation était connue sous le nom de Box (Bureau of Exchange). Elle disposait notamment de collaborateurs dans les cantons de l’Est. La figure centrale parmi ces agents était Peter Schmitz d’Eupen, un militant pacifiste qui travaillait pour des journaux pro-belges et publia un roman contre la guerre. L’activité de Schmitz et de ses collaborateurs ne resta pas longtemps secrète pour le contre-espionnage allemand, qui engagea des agents contre eux. Pour un certain nombre de collaborateurs de Schmitz, cette infiltration allemande conduisit à l’arrestation et à la détention en Allemagne. Cet article est en grande partie basé sur un matériel archivistique non encore utilisé à ce jour et donne à voir pour la première fois le travail concret du BOX et des trois services secrets ‘occidentaux.
Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in Cahiers d'Histoire du Temps Présent (CHTP) > 21 (2009) . - pp. 93-134Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 45426 cah Périodique Libre-accès Périodiques Disponible De artistieke reisbeurs in dienst van de Belgische koloniale propaganda / Tessa Lobbes in Cahiers d'Histoire du Temps Présent (CHTP), 21 (2009)
[article] De artistieke reisbeurs in dienst van de Belgische koloniale propaganda [texte imprimé] / Tessa Lobbes, Auteur . - 2009 . - pp.135-171.
Langues : Néerlandais (dut)
in Cahiers d'Histoire du Temps Présent (CHTP) > 21 (2009) . - pp.135-171
Catégories : 32(493) Politique de la Belgique
32.019 Propagande / Communication politique / Médias et politique
325 Colonisation
7.05 Utilisation de l'art
94(493) Histoire de la BelgiqueRésumé : LA BOURSE DE VOYAGE ARTISTIQUE AU SERVICE DE LA PROPAGANDE COLONIALE BELGE
Le Ministère des colonies et les artistes coloniaux pendant l’Entre-deux-guerres La propagande artistique coloniale constitue un aspect presque complètement oublié du passé colonial belge. La collaboration entre les artistes coloniaux belges et le Ministère des colonies dans le cadre de la propagande coloniale pendant l’Entre-deux guerres occupe une place centrale dans cet article. L’expression ‘artistes coloniaux’ renvoie principalement aux peintres et sculpteurs blancs qui au cours de la période coloniale, soit d’environ 1880 à 1960, entreprirent une mission artistique au Congo. D’un point de vue institutionnel, l’accent est surtout mis sur une caractérisation de la politique des bourses de voyage artistiques du Ministère des colonies.
L’Entre-deux-guerres constitua une période cruciale pour l’institutionnalisation de l’art africanisant comme moyen de propagande. Une première collaboration importante entre les artistes coloniaux et les autorités coloniales se manifesta déjà peu avant la Première Guerre mondiale. Mais c’est seulement dans l’Entre-deux-guerres que le Ministère des colonies élabora une politique systématique de bourses de voyage. Au cours de ces années, un vent d’africanophilie souffla sur les villes européennes. La fascination culturelle pour l’Afrique soi-disant intuitive et authentique fut ressentie comme un antidote à la mentalité rationnelle occidentale sclérosée. Autour du nombre croissant d’africanistes naquit un réseau artistico-culturel africanophile sous la forme de l’Association des écrivains et artistes coloniaux. Par le biais de cette association naquit un important réseau où des fonctionnaires coloniaux comme le mécène africanophile Gaston-Denys Périer et des artistes purent se rencontrer et se stimuler. De son côté, le Ministère des colonies renforça son rôle de diffuseur de propagande. Pendant l’Entre-deux-guerres, presque tous les partis politiques comme aussi les autorités coloniales prêtèrent attention à l’éducation populaire visuelle et à la propagande par la photographie, la cinématographie et l’art. La démocratisation fi t en sorte que les masses populaires qui souvent étaient illettrées, furent également amenées à être convaincues.
Le moteur du développement de la politique artistique coloniale ne fut cependant pas le Ministère des colonies. Le stimulant vint en effet du milieu artistico-culturel africanophile qui tint des expositions et des plaidoyers en faveur de l’institution d’une bourse de voyage. Ainsi, le Ministère des colonies devint de plus en plus convaincu de la force de l’instrument de propagande artistique. L’attrait de l’art africain reposait notamment sur le rayonnement exotique de la palette colorée et sur la possibilité, via des toiles et des images monumentales, de convaincre le peuple de la splendeur coloniale. Ce n’est qu’à la fi n des années 1920 que le réseau artistico-culturel parvint à ses fi ns. Le ministre des Colonies accorda en effet à l’époque une bourse de voyage artistique officielle aux peintres Fernand Allard l’Olivier et Henri Kerels dans le cadre des grandes missions en faveur du pavillon colonial de l’Exposition universelle d’Anvers de 1930. L’important succès public d’Allard l’Olivier, la naissance du tourisme de luxe et la plus intense collaboration entre le Ministère des colonies et l’Association des écrivains et artistes coloniaux belges, entre autres, stimulèrent le Ministère des colonies à poursuivre le développement de la politique des bourses de voyage pendant les années 1930. Cette politique des bourses de voyage brilla cependant souvent par son inconstance et son indécision. Une crise économique persistante et une retenue officielle pour développer une vraie politique en furent à la base. Les procédures informelles, l’absence de budget fixe et les préférences des fonctionnaires y contribuèrent. Néanmoins l’institution de la bourse de voyage coloniale fut une condition importante et même essentielle au développement de la propagande artistique.
À partir des années 1930, les autorités coloniales développèrent l’habitude de subsidier deux missions artistiques par an. Ainsi une dizaine d’artistes belges comme André Hallet, Clément Serneels et Jane Tercafs reçurent des bourses de voyage pour les territoires d’outre-mer. La bourse était totalement associée à la propagande coloniale puisque les autorités faisaient effectuer des missions ou acquéraient des oeuvres d’art en échange des subsides. Les thèmes officiels favoris étaient les synthèses historicisantes sur l’impact de la présence belge au Congo, des portraits et scènes ethnographiques exotiques et l’exaltation de figures coloniales et d’évènements historiques mémorables. Un aperçu de la politique des bourses de voyage coloniales pendant l’Entre-deuxguerres montre clairement que le Ministère des colonies a investi dans ce domaine culturel principalement selon un angle d’approche utilitaire et très peu pour des motifs artistiques. De cette manière, les autorités coloniales purent faire jouer un rôle à cet art exotique dans la propagande populaire visuelle moderne en faveur du Congo et du Ruanda-Urundi.
Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : De artistieke reisbeurs in dienst van de Belgische koloniale propaganda Type de document : texte imprimé Auteurs : Tessa Lobbes, Auteur Année de publication : 2009 Article en page(s) : pp.135-171 Langues : Néerlandais (dut) Catégories : 32(493) Politique de la Belgique
32.019 Propagande / Communication politique / Médias et politique
325 Colonisation
7.05 Utilisation de l'art
94(493) Histoire de la BelgiqueRésumé : LA BOURSE DE VOYAGE ARTISTIQUE AU SERVICE DE LA PROPAGANDE COLONIALE BELGE
Le Ministère des colonies et les artistes coloniaux pendant l’Entre-deux-guerres La propagande artistique coloniale constitue un aspect presque complètement oublié du passé colonial belge. La collaboration entre les artistes coloniaux belges et le Ministère des colonies dans le cadre de la propagande coloniale pendant l’Entre-deux guerres occupe une place centrale dans cet article. L’expression ‘artistes coloniaux’ renvoie principalement aux peintres et sculpteurs blancs qui au cours de la période coloniale, soit d’environ 1880 à 1960, entreprirent une mission artistique au Congo. D’un point de vue institutionnel, l’accent est surtout mis sur une caractérisation de la politique des bourses de voyage artistiques du Ministère des colonies.
L’Entre-deux-guerres constitua une période cruciale pour l’institutionnalisation de l’art africanisant comme moyen de propagande. Une première collaboration importante entre les artistes coloniaux et les autorités coloniales se manifesta déjà peu avant la Première Guerre mondiale. Mais c’est seulement dans l’Entre-deux-guerres que le Ministère des colonies élabora une politique systématique de bourses de voyage. Au cours de ces années, un vent d’africanophilie souffla sur les villes européennes. La fascination culturelle pour l’Afrique soi-disant intuitive et authentique fut ressentie comme un antidote à la mentalité rationnelle occidentale sclérosée. Autour du nombre croissant d’africanistes naquit un réseau artistico-culturel africanophile sous la forme de l’Association des écrivains et artistes coloniaux. Par le biais de cette association naquit un important réseau où des fonctionnaires coloniaux comme le mécène africanophile Gaston-Denys Périer et des artistes purent se rencontrer et se stimuler. De son côté, le Ministère des colonies renforça son rôle de diffuseur de propagande. Pendant l’Entre-deux-guerres, presque tous les partis politiques comme aussi les autorités coloniales prêtèrent attention à l’éducation populaire visuelle et à la propagande par la photographie, la cinématographie et l’art. La démocratisation fi t en sorte que les masses populaires qui souvent étaient illettrées, furent également amenées à être convaincues.
Le moteur du développement de la politique artistique coloniale ne fut cependant pas le Ministère des colonies. Le stimulant vint en effet du milieu artistico-culturel africanophile qui tint des expositions et des plaidoyers en faveur de l’institution d’une bourse de voyage. Ainsi, le Ministère des colonies devint de plus en plus convaincu de la force de l’instrument de propagande artistique. L’attrait de l’art africain reposait notamment sur le rayonnement exotique de la palette colorée et sur la possibilité, via des toiles et des images monumentales, de convaincre le peuple de la splendeur coloniale. Ce n’est qu’à la fi n des années 1920 que le réseau artistico-culturel parvint à ses fi ns. Le ministre des Colonies accorda en effet à l’époque une bourse de voyage artistique officielle aux peintres Fernand Allard l’Olivier et Henri Kerels dans le cadre des grandes missions en faveur du pavillon colonial de l’Exposition universelle d’Anvers de 1930. L’important succès public d’Allard l’Olivier, la naissance du tourisme de luxe et la plus intense collaboration entre le Ministère des colonies et l’Association des écrivains et artistes coloniaux belges, entre autres, stimulèrent le Ministère des colonies à poursuivre le développement de la politique des bourses de voyage pendant les années 1930. Cette politique des bourses de voyage brilla cependant souvent par son inconstance et son indécision. Une crise économique persistante et une retenue officielle pour développer une vraie politique en furent à la base. Les procédures informelles, l’absence de budget fixe et les préférences des fonctionnaires y contribuèrent. Néanmoins l’institution de la bourse de voyage coloniale fut une condition importante et même essentielle au développement de la propagande artistique.
À partir des années 1930, les autorités coloniales développèrent l’habitude de subsidier deux missions artistiques par an. Ainsi une dizaine d’artistes belges comme André Hallet, Clément Serneels et Jane Tercafs reçurent des bourses de voyage pour les territoires d’outre-mer. La bourse était totalement associée à la propagande coloniale puisque les autorités faisaient effectuer des missions ou acquéraient des oeuvres d’art en échange des subsides. Les thèmes officiels favoris étaient les synthèses historicisantes sur l’impact de la présence belge au Congo, des portraits et scènes ethnographiques exotiques et l’exaltation de figures coloniales et d’évènements historiques mémorables. Un aperçu de la politique des bourses de voyage coloniales pendant l’Entre-deuxguerres montre clairement que le Ministère des colonies a investi dans ce domaine culturel principalement selon un angle d’approche utilitaire et très peu pour des motifs artistiques. De cette manière, les autorités coloniales purent faire jouer un rôle à cet art exotique dans la propagande populaire visuelle moderne en faveur du Congo et du Ruanda-Urundi.
Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in Cahiers d'Histoire du Temps Présent (CHTP) > 21 (2009) . - pp.135-171Réservation
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Exemplaires(1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 45426 cah Périodique Libre-accès Périodiques Disponible Démarches wallonnes en temps de guerre / Catherine Lanneau in Cahiers d'Histoire du Temps Présent (CHTP), 21 (2009)
[article] Démarches wallonnes en temps de guerre : Deux France très courtisées [texte imprimé] / Catherine Lanneau, Auteur . - 2009 . - pp. 173-210.
Langues : Français (fre)
in Cahiers d'Histoire du Temps Présent (CHTP) > 21 (2009) . - pp. 173-210
Catégories : 323.173 Séparatisme Indépendance
353(493=40) Wallonie / Communauté française Wallonie-Bruxelles
94(100)"1939/45" Histoire Seconde Guerre mondiale
94(44)"19" Histoire de France au XXe siècle
94(493)"19" Histoire de la Belgique au XXe siècleRésumé : Démêler l’écheveau des démarches entreprises par certains Wallons pour trouver, de 1940 à 1944, une oreille française sensible à leurs rêves d’annexion s’apparente à une enquête policière rétrospective. Au fi l de documents restés longtemps enfouis apparaît toute l’ambiguïté d’une francophilie persistante et exacerbée, alors même que les ‘autorités françaises’ auxquelles les militants wallons tentent désespérément de se raccrocher sont, elles aussi, ballottées au gré du contexte politico-militaire. On trouve ainsi le très peu consistant Mouvement national wallon, adepte de l’annexion du nord de la France à la Wallonie par la grâce allemande et courtisan d’un petit parti ‘ultra’ de la collaboration parisienne. Il est vertueusement dénoncé à Vichy par l’un des siens, maréchaliste et défenseur de l’intégrité territoriale française. Pour l’activité de Georges Thone, il est possible, grâce à des archives inédites – fonds peu exploités du quai d’Orsay et papiers privés permettant de pallier certaines lacunes d’une valise providentielle –, de reconstituer la genèse du ‘bureau Sarrien’ et de mieux cerner l’intérêt qu’avait Vichy à garder aussi longtemps dans son jeu la carte wallonne. Jadis rival et désormais compère de Thone, l’abbé Mahieu continuera à battre le fer vichyste tant qu’il restera chaud ou tiède, mais envisagera dès l’été 1942 de lui adjoindre un fer gaulliste, hypothèse de travail qui inquiète autant sinon plus le gouvernement belge de Londres, ses diplomates et la Sûreté de l’État. Le très mythifié voyage de François Simon à Alger début 1944 et ses tentatives pour être reçu par le général de Gaulle, l’appui temporaire qu’il trouve dans certaines officines du Renseignement français et les réactions immédiates des Belges de Londres constituent le quatrième volet d’une activité wallonne débordante. Les documents retrouvés permettent assurément de décrire le ‘rattachisme’ ou ‘réunionisme’ comme ayant rencontré auprès des sphères dirigeantes françaises, qu’elles siègent à Vichy, Londres ou Alger, de la curiosité, certes, mais surtout un attentisme tantôt opportuniste, tantôt méfiant. Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : Démarches wallonnes en temps de guerre : Deux France très courtisées Type de document : texte imprimé Auteurs : Catherine Lanneau, Auteur Année de publication : 2009 Article en page(s) : pp. 173-210 Langues : Français (fre) Catégories : 323.173 Séparatisme Indépendance
353(493=40) Wallonie / Communauté française Wallonie-Bruxelles
94(100)"1939/45" Histoire Seconde Guerre mondiale
94(44)"19" Histoire de France au XXe siècle
94(493)"19" Histoire de la Belgique au XXe siècleRésumé : Démêler l’écheveau des démarches entreprises par certains Wallons pour trouver, de 1940 à 1944, une oreille française sensible à leurs rêves d’annexion s’apparente à une enquête policière rétrospective. Au fi l de documents restés longtemps enfouis apparaît toute l’ambiguïté d’une francophilie persistante et exacerbée, alors même que les ‘autorités françaises’ auxquelles les militants wallons tentent désespérément de se raccrocher sont, elles aussi, ballottées au gré du contexte politico-militaire. On trouve ainsi le très peu consistant Mouvement national wallon, adepte de l’annexion du nord de la France à la Wallonie par la grâce allemande et courtisan d’un petit parti ‘ultra’ de la collaboration parisienne. Il est vertueusement dénoncé à Vichy par l’un des siens, maréchaliste et défenseur de l’intégrité territoriale française. Pour l’activité de Georges Thone, il est possible, grâce à des archives inédites – fonds peu exploités du quai d’Orsay et papiers privés permettant de pallier certaines lacunes d’une valise providentielle –, de reconstituer la genèse du ‘bureau Sarrien’ et de mieux cerner l’intérêt qu’avait Vichy à garder aussi longtemps dans son jeu la carte wallonne. Jadis rival et désormais compère de Thone, l’abbé Mahieu continuera à battre le fer vichyste tant qu’il restera chaud ou tiède, mais envisagera dès l’été 1942 de lui adjoindre un fer gaulliste, hypothèse de travail qui inquiète autant sinon plus le gouvernement belge de Londres, ses diplomates et la Sûreté de l’État. Le très mythifié voyage de François Simon à Alger début 1944 et ses tentatives pour être reçu par le général de Gaulle, l’appui temporaire qu’il trouve dans certaines officines du Renseignement français et les réactions immédiates des Belges de Londres constituent le quatrième volet d’une activité wallonne débordante. Les documents retrouvés permettent assurément de décrire le ‘rattachisme’ ou ‘réunionisme’ comme ayant rencontré auprès des sphères dirigeantes françaises, qu’elles siègent à Vichy, Londres ou Alger, de la curiosité, certes, mais surtout un attentisme tantôt opportuniste, tantôt méfiant. Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in Cahiers d'Histoire du Temps Présent (CHTP) > 21 (2009) . - pp. 173-210Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 45426 cah Périodique Libre-accès Périodiques Disponible "L'identité des Belges germanophones est une non-identitée" / Christoph Brüll in Cahiers d'Histoire du Temps Présent (CHTP), 21 (2009)
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 45426 cah Périodique Libre-accès Périodiques Disponible Genadeloze genadedood / Gie Van den Berghe in Cahiers d'Histoire du Temps Présent (CHTP), 21 (2009)
[article] Genadeloze genadedood : Nazi-euthanasie en propaganda [texte imprimé] / Gie Van den Berghe (1945-....), Auteur . - 2009 . - pp. 227-243.
Langues : Néerlandais (dut)
in Cahiers d'Histoire du Temps Présent (CHTP) > 21 (2009) . - pp. 227-243
Catégories : 32.019 Propagande / Communication politique / Médias et politique
321.6"1933/1945" Nazisme
341.485-056 Massacre des Handicapés "Opération T4" "Action 14f13"Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : Genadeloze genadedood : Nazi-euthanasie en propaganda Type de document : texte imprimé Auteurs : Gie Van den Berghe (1945-....), Auteur Année de publication : 2009 Article en page(s) : pp. 227-243 Langues : Néerlandais (dut) Catégories : 32.019 Propagande / Communication politique / Médias et politique
321.6"1933/1945" Nazisme
341.485-056 Massacre des Handicapés "Opération T4" "Action 14f13"Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in Cahiers d'Histoire du Temps Présent (CHTP) > 21 (2009) . - pp. 227-243Réservation
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