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330.82 Libéralisme - Capitalisme |
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La théologie de la Libération / Jean-Marc Schiappa in La Raison, 617 (janvier 2017)
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Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 50971 RAI Périodique Libre-accès Périodiques Disponible Une théorie économique de la démocratie / Anthony Downs
Une théorie économique de la démocratie [texte imprimé] / Anthony Downs (1930-....), Auteur ; Paul-Louis Van Berg (1943-....), Traducteur . - Bruxelles : Éd. de l'Université de Bruxelles (ULB), 2013 . - 1 vol. (364 p.) : graph. ; 18 cm. - (UBlire; 27) .
ISBN : 978-2-8004-1508-6
Bibliogr. p. 341-344. Index
Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng)
Catégories : 321.7 Démocratie / Démocratisation
33 Economie politique et sociale
330.82 Libéralisme - Capitalisme
342.8 Droit électoral / droit de voteIndex. décimale : 321.7 Démocratie / Dictature Résumé : Site éditeur :
En 1957, Anthony Downs publie un ouvrage retentissant. Downs applique à la démocratie, à l’action des partis politiques et à celle des électeurs, de même qu’aux politiques publiques qui sont menées, une approche aujourd’hui centrale dans la science politique américaine : celle du choix rationnel.
Transposant de nombreux concepts et approches de la science économique, où les consommateurs et l’entreprise sont supposés agir sur la base d’une rationalité bien comprise sur un marché, Downs développe une exceptionnelle approche de logique formelle des électeurs et des partis dans le cadre d’un « marché électoral » et du fonctionnement de la démocratie.
Rompant avec des courants plus idéalistes, présentant l’action politique fondée sur des motivations altruistes dans le chef des électeurs et fixée sur le bien-être dans celui des partis, Downs contredit aussi une bonne partie des modèles naissants de sociologie électorale américaine ; celui du déterminisme sociologique de l’Ecole de Columbia et, plus tard, du déterminisme psycho-affectif de l’Ecole de Michigan. L’électeur se comporterait électoralement en collectant et en évaluant, au moindre coût possible, l’information nécessaire pour opérer le meilleur choix électoral eu égard à sa situation. En parallèle, les partis agiraient pour conserver ou conquérir un socle majoritaire.
L’ouvrage de Downs est devenu un des ouvrages scientifiques les plus lus et les plus cités au monde. Abondamment loué, critiqué ou amendé, La théorie économique de la démocratie est un livre incontournable dans l’étude de la démocratie, des partis et des comportements électoraux.
Sa traduction en français est un événement.
Note de contenu : Table des matières :
Préface, par Pascal Delwit 7
Remerciements 11
Avant-propos 13
première partie Structure de base du modèle
chapitre i – Introduction 17
I. La signification de la rationalité dans le modèle 18
A. Le concept de rationalité dans les théories économiques 18
B. Le concept de rationalité au sens restreint, dans la présente étude 20
C. L’irrationalité et la fonction de base de la rationalité politique 23
II. La structure du modèle 26
III. La relation de notre modèle avec les modèles économiques de gouvernement antérieurs 29
A. Le problème de la fausse personnification vs l’hyper-individualisme 30
B. Le problème de la fonction de bien-être social 32
C. Problèmes techniques 34
IV. Résumé 35
chapitre ii – Motivation du parti et fonction du gouvernement dans la société 37
I. Le concept de gouvernement démocratique dans le modèle 37
A. L’essence du gouvernement 37
B. L’essence du gouvernement démocratique 39
II. Le rôle des partis politiques dans le modèle 40
A. La nature des partis politiques 40
B. L’axiome de l’intérêt personnel 43
C. La motivation de l’action du parti 44
D. Le but spécifique des partis 47
III. La relation du modèle à l’éthique et à la science descriptive 47
A. Implications normatives 48
B. Implications descriptives 50
IV. Résumé 51
chapitre iii – La logique de base du vote 53
I. Revenu en utilité des activités gouvernementales 53
II. La structure logique du suffrage 55
A. Terminologie de l’analyse 55
B. Les différentiels à deux partis 56
C. Le facteur tendance et les taux de performance 58
III. Difficultés préliminaires causées par l’incertitude 62
IV. Variations dans les systèmes multipartites 64
V. Résumé 67
chapitre iv – La logique de base de la prise de décision gouvernementale 69
I. Principes fondamentaux de la prise de décision gouvernementale 69
A. Le concept d’opérations marginales 69
B. Le principe de majorité 71
II. Stratégies de l’opposition contre le principe de majorité 73
A. Equivalence complète des politiques 73
B. Une coalition de minorités 73
C. Le problème d’Arrow 79
III. Le rôle de la certitude dans le modèle 81
IV. La prédominance de la « volonté de la majorité » 82
A. La règle de la majorité passionnée 82
B. La signification politique des majorités passionnées 86
V. Le processus du budget 88
A. Les décisions budgétaires sous le principe de majorité 88
B. Décisions budgétaires dans d’autres conditions 89
VI. Relation entre les actes gouvernementaux et les fonctions d’utilité des électeurs 91
VII. Résumé 92
deuxième partie Les effets généraux de l’incertitude
chapitre v – La signification de l’incertitude 97
I. La nature de l’incertitude 97
II. Raison, connaissance et information 99
III. Les formes de l’incertitude dans notre modèle 99
IV. Résumé 101
chapitre vi – Comment l’incertitude affecte la prise de décision gouvernementale 103
I. Comment l’incertitude engendre la persuasion 104
II. Types d’électeurs autres que les agitateurs 105
III. Le rôle des seuils 107
IV. La nature et les formes du leadership dans le modèle 108
V. Le fonctionnement des intermédiaires 110
A. Le gouvernement a besoin de représentants 110
B. Intermédiaires non gouvernementaux 112
C. Les effets politiques de l’incertitude 114
VI. Résumé 116
chapitre vii – Le développement des idéologies politiques en tant que moyens d’obtenir des suffrages 119
I. Le rôle de l’incertitude 120
A. Les idéologies en univers certain 120
B. Comment l’incertitude rend les idéologies utiles aux électeurs 121
C. Comment l’incertitude rend les idéologies utiles aux partis politiques 123
D. Comment la compétition entre partis affecte les idéologies 125
II. Fiabilité, intégrité et responsabilité 126
A. Le rôle de la fiabilité et de la responsabilité dans le modèle 126
B. Nécessité de la fiabilité et de la responsabilité en politique 128
C. Comment les mobiles de chaque parti l’amènent à être honnête et responsable 130
III. Cohérence idéologique et stabilité 133
IV. Conflits entre idéologies et obtention des suffrages 135
V. Résumé 137
chapitre viii – Stabilité et évolution des idéologies partisanes 139
I. L’analogie spatiale et son usage précoce 140
II. Les effets des différentes distributions des électeurs 142
A. Dans les systèmes bipartites 142
B. Le nombre des partis en équilibre 147
C. Dans les systèmes multipartites 151
III. L’origine des nouveaux partis 153
IV. Cohérence idéologique et intégration 158
A. Modification de notre modèle pour inclure les partis à politiques multiples 158
B. Stratégies d’intégration dans les systèmes bipartites et multipartites 159
C. Chevauchement et ambiguïté dans les systèmes bipartites 161
D. Une tension fondamentale dans notre modèle 163
V. Un déterminant de base de la politique d’une nation 165
VI. Résumé 166
chapitre ix – Problèmes de rationalité avec des gouvernements de coalition 169
I. Modifications du modèle 170
II. La rationalité de l’électeur avec des coalitions 173
A. Complexité et difficulté d’être rationnel 173
B. Le problème de l’oligopole et du vote dans les systèmes multipartites 177
C. Le problème fondamental : l’absence de consensus parmi les électeurs 182
III. La rationalité du parti dans les coalitions 184
IV. Conflits entre rationalité du parti et rationalité individuelle 188
V. Résumé 191
chapitre x – Le gouvernement maximiseur de votes et l’équilibre marginal individuel 193
I. Affectation des ressources dans une économie de marché 194
A. Planification dans le secteur privé 194
B. Obstacles à l’atteinte d’un optimum de Pareto par un marché libre 199
II Planification gouvernementale et équilibre marginal individuel 204
A. La relation entre gouvernement et actualisation 204
B. Comment les actes du gouvernement peuvent empêcher un optimum de Pareto dans un univers certain 207
C. Effets de l’incertitude sur l’atteinte d’une position optimale 212
D. Un marché aux votes hypothétique 219
E. L’impact de l’indivisibilité et ses causes techniques 225
F. La distribution du revenu comme cause de blocage de l’équilibre marginal 229
III. Récapitulation et conclusions 233
IV. Résumé 235
troisième partie Effets spécifiques des coûts de l’information
Chapitre xi – S’informer 239
I. Le rôle de l’information dans la prise de décision 240
A. Le processus de prise de décision et ses coûts 240
B. La nécessité et la nature des principes de sélection 243
II. Comment choisir des principes de sélection de manière rationnelle 245
III. La quantité d’information qu’il est rationnel d’acquérir 247
IV. Le besoin de focaliser l’attention 249
V. Caractéristiques d’un système d’information rationnel 250
VI. Résumé 251
chapitre xii – Comment les citoyens rationnels réduisent les coûts de l’information 253
I. Le flux d’information gratuite 254
A. L’essence et les sources de l’information gratuite 254
B. La quantité de données gratuites que reçoivent les citoyens 257
II. Comment les fournisseurs d’information focalisent l’attention 258
A. Collecteurs d’information professionnels et éditeurs 259
B. Groupes d’intérêt 260
C. Partis politiques 260
D. Le gouvernement 260
III. Comment des citoyens rationnels réduisent les coûts des données 261
A. Le problème et ses solutions fondamentales 261
B. Le transfert des coûts d’acquisition 262
C. Délégation de l’analyse et de l’évaluation comme moyen de réduire les coûts 264
D. La relation de la délégation avec les rendementsde l’information 267
IV. L’impact différentiel du pouvoir de l’information 268
A. Variations de la capacité à utiliser des données politiques 268
B. Le coût de l’information et l’égalité de l’influence politique 270
V. Résumé 271
chapitre xiii – Les rendements de l’information et leur réduction 273
I. Acquérir de l’information pour voter 275
A. Le rôle du différentiel partisan 275
B. Les éléments d’information et leur usage dans la prise de décision 276
C. Pourquoi réduire le différentiel partisan 279
D. L’impact de l’indivisibilité 281
II. Acquérir de l’information pour influencer la politique gouvernementale 283
A. La valeur des données se mesure par leur influence 283
B. Le coût de la communication 287
C. Pourquoi les hommes d’influence sont mieux informés que les électeurs 288
D. Disparité de l’influence et de la distribution du pouvoir 293
III. Résumé 294
chapitre xiv – Les causes et les effets de l’abstention rationnelle 297
I. La participation aux élections lorsque le vote n’entraîne aucun coût 298
A. Pourquoi seuls les citoyens indifférents s’abstiennent 298
B. La nature de l’indifférence 300
II. La participation aux élections lorsque voter a un coût 302
A. Les coûts du vote et leurs effets comportementaux 302
B. Essence, volume et impact des rendements du vote 304
C. Comment des citoyens rationnels décident comment voter : résumé corrigé 309
D. La relation entre le comportement électoralet la distribution du pouvoir 310
III. Résumé 312
quatrième partie Implications dérivées et hypothèses
chapitre xv – Commentaire sur les théories économiques du comportement gouvernemental 317
I. L’inconsistance des théories économiques traditionnellesdu gouvernement 318
A. Le parti pris implicite dans la théorie traditionnelle 318
B. La faiblesse de ce point de vue 321
C. Pourquoi les économistes ont ignoré ce problème 323
II. La généralité des théories du comportement gouvernemental325
A. Essais d’appliquer une même théorie à tous les gouvernements 325
B. Pourquoi a-t-on besoin de multiples théories ? 329
III. Résumé 332
chapitre xvi – Propositions vérifiables dérivées de la théorie 335
I. Les hypothèses de base et leurs interrelations 335
II. Propositions spécifiques vérifiables 336
A. Déductions de l’hypothèse de la motivation du parti 336
B. Déductions de l’hypothèse de la rationalité du citoyen 337
C. Déductions des deux hypothèses 340
III. Résumé 340
Bibliographie 341
Index des noms 345
Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : Une théorie économique de la démocratie Type de document : texte imprimé Auteurs : Anthony Downs (1930-....), Auteur ; Paul-Louis Van Berg (1943-....), Traducteur Editeur : Bruxelles : Éd. de l'Université de Bruxelles (ULB) Année de publication : 2013 Collection : UBlire num. 27 Importance : 1 vol. (364 p.) Présentation : graph. Format : 18 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-8004-1508-6 Note générale : Bibliogr. p. 341-344. Index Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) Catégories : 321.7 Démocratie / Démocratisation
33 Economie politique et sociale
330.82 Libéralisme - Capitalisme
342.8 Droit électoral / droit de voteIndex. décimale : 321.7 Démocratie / Dictature Résumé : Site éditeur :
En 1957, Anthony Downs publie un ouvrage retentissant. Downs applique à la démocratie, à l’action des partis politiques et à celle des électeurs, de même qu’aux politiques publiques qui sont menées, une approche aujourd’hui centrale dans la science politique américaine : celle du choix rationnel.
Transposant de nombreux concepts et approches de la science économique, où les consommateurs et l’entreprise sont supposés agir sur la base d’une rationalité bien comprise sur un marché, Downs développe une exceptionnelle approche de logique formelle des électeurs et des partis dans le cadre d’un « marché électoral » et du fonctionnement de la démocratie.
Rompant avec des courants plus idéalistes, présentant l’action politique fondée sur des motivations altruistes dans le chef des électeurs et fixée sur le bien-être dans celui des partis, Downs contredit aussi une bonne partie des modèles naissants de sociologie électorale américaine ; celui du déterminisme sociologique de l’Ecole de Columbia et, plus tard, du déterminisme psycho-affectif de l’Ecole de Michigan. L’électeur se comporterait électoralement en collectant et en évaluant, au moindre coût possible, l’information nécessaire pour opérer le meilleur choix électoral eu égard à sa situation. En parallèle, les partis agiraient pour conserver ou conquérir un socle majoritaire.
L’ouvrage de Downs est devenu un des ouvrages scientifiques les plus lus et les plus cités au monde. Abondamment loué, critiqué ou amendé, La théorie économique de la démocratie est un livre incontournable dans l’étude de la démocratie, des partis et des comportements électoraux.
Sa traduction en français est un événement.
Note de contenu : Table des matières :
Préface, par Pascal Delwit 7
Remerciements 11
Avant-propos 13
première partie Structure de base du modèle
chapitre i – Introduction 17
I. La signification de la rationalité dans le modèle 18
A. Le concept de rationalité dans les théories économiques 18
B. Le concept de rationalité au sens restreint, dans la présente étude 20
C. L’irrationalité et la fonction de base de la rationalité politique 23
II. La structure du modèle 26
III. La relation de notre modèle avec les modèles économiques de gouvernement antérieurs 29
A. Le problème de la fausse personnification vs l’hyper-individualisme 30
B. Le problème de la fonction de bien-être social 32
C. Problèmes techniques 34
IV. Résumé 35
chapitre ii – Motivation du parti et fonction du gouvernement dans la société 37
I. Le concept de gouvernement démocratique dans le modèle 37
A. L’essence du gouvernement 37
B. L’essence du gouvernement démocratique 39
II. Le rôle des partis politiques dans le modèle 40
A. La nature des partis politiques 40
B. L’axiome de l’intérêt personnel 43
C. La motivation de l’action du parti 44
D. Le but spécifique des partis 47
III. La relation du modèle à l’éthique et à la science descriptive 47
A. Implications normatives 48
B. Implications descriptives 50
IV. Résumé 51
chapitre iii – La logique de base du vote 53
I. Revenu en utilité des activités gouvernementales 53
II. La structure logique du suffrage 55
A. Terminologie de l’analyse 55
B. Les différentiels à deux partis 56
C. Le facteur tendance et les taux de performance 58
III. Difficultés préliminaires causées par l’incertitude 62
IV. Variations dans les systèmes multipartites 64
V. Résumé 67
chapitre iv – La logique de base de la prise de décision gouvernementale 69
I. Principes fondamentaux de la prise de décision gouvernementale 69
A. Le concept d’opérations marginales 69
B. Le principe de majorité 71
II. Stratégies de l’opposition contre le principe de majorité 73
A. Equivalence complète des politiques 73
B. Une coalition de minorités 73
C. Le problème d’Arrow 79
III. Le rôle de la certitude dans le modèle 81
IV. La prédominance de la « volonté de la majorité » 82
A. La règle de la majorité passionnée 82
B. La signification politique des majorités passionnées 86
V. Le processus du budget 88
A. Les décisions budgétaires sous le principe de majorité 88
B. Décisions budgétaires dans d’autres conditions 89
VI. Relation entre les actes gouvernementaux et les fonctions d’utilité des électeurs 91
VII. Résumé 92
deuxième partie Les effets généraux de l’incertitude
chapitre v – La signification de l’incertitude 97
I. La nature de l’incertitude 97
II. Raison, connaissance et information 99
III. Les formes de l’incertitude dans notre modèle 99
IV. Résumé 101
chapitre vi – Comment l’incertitude affecte la prise de décision gouvernementale 103
I. Comment l’incertitude engendre la persuasion 104
II. Types d’électeurs autres que les agitateurs 105
III. Le rôle des seuils 107
IV. La nature et les formes du leadership dans le modèle 108
V. Le fonctionnement des intermédiaires 110
A. Le gouvernement a besoin de représentants 110
B. Intermédiaires non gouvernementaux 112
C. Les effets politiques de l’incertitude 114
VI. Résumé 116
chapitre vii – Le développement des idéologies politiques en tant que moyens d’obtenir des suffrages 119
I. Le rôle de l’incertitude 120
A. Les idéologies en univers certain 120
B. Comment l’incertitude rend les idéologies utiles aux électeurs 121
C. Comment l’incertitude rend les idéologies utiles aux partis politiques 123
D. Comment la compétition entre partis affecte les idéologies 125
II. Fiabilité, intégrité et responsabilité 126
A. Le rôle de la fiabilité et de la responsabilité dans le modèle 126
B. Nécessité de la fiabilité et de la responsabilité en politique 128
C. Comment les mobiles de chaque parti l’amènent à être honnête et responsable 130
III. Cohérence idéologique et stabilité 133
IV. Conflits entre idéologies et obtention des suffrages 135
V. Résumé 137
chapitre viii – Stabilité et évolution des idéologies partisanes 139
I. L’analogie spatiale et son usage précoce 140
II. Les effets des différentes distributions des électeurs 142
A. Dans les systèmes bipartites 142
B. Le nombre des partis en équilibre 147
C. Dans les systèmes multipartites 151
III. L’origine des nouveaux partis 153
IV. Cohérence idéologique et intégration 158
A. Modification de notre modèle pour inclure les partis à politiques multiples 158
B. Stratégies d’intégration dans les systèmes bipartites et multipartites 159
C. Chevauchement et ambiguïté dans les systèmes bipartites 161
D. Une tension fondamentale dans notre modèle 163
V. Un déterminant de base de la politique d’une nation 165
VI. Résumé 166
chapitre ix – Problèmes de rationalité avec des gouvernements de coalition 169
I. Modifications du modèle 170
II. La rationalité de l’électeur avec des coalitions 173
A. Complexité et difficulté d’être rationnel 173
B. Le problème de l’oligopole et du vote dans les systèmes multipartites 177
C. Le problème fondamental : l’absence de consensus parmi les électeurs 182
III. La rationalité du parti dans les coalitions 184
IV. Conflits entre rationalité du parti et rationalité individuelle 188
V. Résumé 191
chapitre x – Le gouvernement maximiseur de votes et l’équilibre marginal individuel 193
I. Affectation des ressources dans une économie de marché 194
A. Planification dans le secteur privé 194
B. Obstacles à l’atteinte d’un optimum de Pareto par un marché libre 199
II Planification gouvernementale et équilibre marginal individuel 204
A. La relation entre gouvernement et actualisation 204
B. Comment les actes du gouvernement peuvent empêcher un optimum de Pareto dans un univers certain 207
C. Effets de l’incertitude sur l’atteinte d’une position optimale 212
D. Un marché aux votes hypothétique 219
E. L’impact de l’indivisibilité et ses causes techniques 225
F. La distribution du revenu comme cause de blocage de l’équilibre marginal 229
III. Récapitulation et conclusions 233
IV. Résumé 235
troisième partie Effets spécifiques des coûts de l’information
Chapitre xi – S’informer 239
I. Le rôle de l’information dans la prise de décision 240
A. Le processus de prise de décision et ses coûts 240
B. La nécessité et la nature des principes de sélection 243
II. Comment choisir des principes de sélection de manière rationnelle 245
III. La quantité d’information qu’il est rationnel d’acquérir 247
IV. Le besoin de focaliser l’attention 249
V. Caractéristiques d’un système d’information rationnel 250
VI. Résumé 251
chapitre xii – Comment les citoyens rationnels réduisent les coûts de l’information 253
I. Le flux d’information gratuite 254
A. L’essence et les sources de l’information gratuite 254
B. La quantité de données gratuites que reçoivent les citoyens 257
II. Comment les fournisseurs d’information focalisent l’attention 258
A. Collecteurs d’information professionnels et éditeurs 259
B. Groupes d’intérêt 260
C. Partis politiques 260
D. Le gouvernement 260
III. Comment des citoyens rationnels réduisent les coûts des données 261
A. Le problème et ses solutions fondamentales 261
B. Le transfert des coûts d’acquisition 262
C. Délégation de l’analyse et de l’évaluation comme moyen de réduire les coûts 264
D. La relation de la délégation avec les rendementsde l’information 267
IV. L’impact différentiel du pouvoir de l’information 268
A. Variations de la capacité à utiliser des données politiques 268
B. Le coût de l’information et l’égalité de l’influence politique 270
V. Résumé 271
chapitre xiii – Les rendements de l’information et leur réduction 273
I. Acquérir de l’information pour voter 275
A. Le rôle du différentiel partisan 275
B. Les éléments d’information et leur usage dans la prise de décision 276
C. Pourquoi réduire le différentiel partisan 279
D. L’impact de l’indivisibilité 281
II. Acquérir de l’information pour influencer la politique gouvernementale 283
A. La valeur des données se mesure par leur influence 283
B. Le coût de la communication 287
C. Pourquoi les hommes d’influence sont mieux informés que les électeurs 288
D. Disparité de l’influence et de la distribution du pouvoir 293
III. Résumé 294
chapitre xiv – Les causes et les effets de l’abstention rationnelle 297
I. La participation aux élections lorsque le vote n’entraîne aucun coût 298
A. Pourquoi seuls les citoyens indifférents s’abstiennent 298
B. La nature de l’indifférence 300
II. La participation aux élections lorsque voter a un coût 302
A. Les coûts du vote et leurs effets comportementaux 302
B. Essence, volume et impact des rendements du vote 304
C. Comment des citoyens rationnels décident comment voter : résumé corrigé 309
D. La relation entre le comportement électoralet la distribution du pouvoir 310
III. Résumé 312
quatrième partie Implications dérivées et hypothèses
chapitre xv – Commentaire sur les théories économiques du comportement gouvernemental 317
I. L’inconsistance des théories économiques traditionnellesdu gouvernement 318
A. Le parti pris implicite dans la théorie traditionnelle 318
B. La faiblesse de ce point de vue 321
C. Pourquoi les économistes ont ignoré ce problème 323
II. La généralité des théories du comportement gouvernemental325
A. Essais d’appliquer une même théorie à tous les gouvernements 325
B. Pourquoi a-t-on besoin de multiples théories ? 329
III. Résumé 332
chapitre xvi – Propositions vérifiables dérivées de la théorie 335
I. Les hypothèses de base et leurs interrelations 335
II. Propositions spécifiques vérifiables 336
A. Déductions de l’hypothèse de la motivation du parti 336
B. Déductions de l’hypothèse de la rationalité du citoyen 337
C. Déductions des deux hypothèses 340
III. Résumé 340
Bibliographie 341
Index des noms 345
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Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 48369 321.7/DOW Livre Libre-accès Adultes Disponible
La théorie du fascisme chez Léon Trotsky : introduction [document électronique] / ERNEST MANDEL, Auteur . - [s.d.] . - 1 article en ligne (site consulté le 04/03/2019).
Ernest Mandel a rédigé cette préface pour le livre de Léon Trotsky, "Comment Vaincre le Fascisme", paru aux éditions Buchet-Chastel en 1973 (reprenant des textes datant des années 1930). Elle est reprise dans l'ouvrage "Du Fascisme",aux éditions François Maspero.
Langues : Français (fre)
Catégories : 14 Trotskisme
321.6"1922/1944" Fascisme
321.6"1933/1945" Nazisme
330.82 Libéralisme - Capitalisme
94"1918-1939" Histoire entre-deux-guerresRésumé : Introduction
La théorie du fascisme de Trotsky se présente comme un tout à six éléments ; chaque élément est pourvu d’une certaine autonomie et connaît une évolution déterminée sur la base de ses contradictions internes ; mais ils ne peuvent être compris qu’en tant que totalité close et dynamique, et seule leur interdépendance peut expliquer la montée, la victoire et le déclin de la dictature fasciste.En ligne : http://www.ernestmandel.org/new/ecrits/article/introduction-la-theorie-du Format de la ressource électronique : lien vers l'article "Introduction : la théorie du fascisme chez Léon Trotsky" Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : La théorie du fascisme chez Léon Trotsky : introduction Type de document : document électronique Auteurs : ERNEST MANDEL, Auteur Importance : 1 article en ligne (site consulté le 04/03/2019) Note générale : Ernest Mandel a rédigé cette préface pour le livre de Léon Trotsky, "Comment Vaincre le Fascisme", paru aux éditions Buchet-Chastel en 1973 (reprenant des textes datant des années 1930). Elle est reprise dans l'ouvrage "Du Fascisme",aux éditions François Maspero. Langues : Français (fre) Catégories : 14 Trotskisme
321.6"1922/1944" Fascisme
321.6"1933/1945" Nazisme
330.82 Libéralisme - Capitalisme
94"1918-1939" Histoire entre-deux-guerresRésumé : Introduction
La théorie du fascisme de Trotsky se présente comme un tout à six éléments ; chaque élément est pourvu d’une certaine autonomie et connaît une évolution déterminée sur la base de ses contradictions internes ; mais ils ne peuvent être compris qu’en tant que totalité close et dynamique, et seule leur interdépendance peut expliquer la montée, la victoire et le déclin de la dictature fasciste.En ligne : http://www.ernestmandel.org/new/ecrits/article/introduction-la-theorie-du Format de la ressource électronique : lien vers l'article "Introduction : la théorie du fascisme chez Léon Trotsky" Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di Exemplaires
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lien vers l'article - "La théorie du fascisme chez Léon Trotsky : introduction"URL La théorie libérale est-elle responsable de la crise ? / André Orléan in Philosophie magazine, 44 (novembre 2010)
[article] La théorie libérale est-elle responsable de la crise ? [texte imprimé] / André Orléan, Auteur ; Pierre Lemieux, Auteur . - 2010 . - pp. 18-19.
Langues : Français (fre)
in Philosophie magazine > 44 (novembre 2010) . - pp. 18-19
Catégories : 330.82 Libéralisme - Capitalisme
338.1 Conjoncture économique - Récession - Crise économiqueRésumé : Alors qu'on ignore si le krach du siècle est derrière ou devant nous, les experts s'écharpent sur les causes du phénomène. Pour les « économistes atterrés », c'est l'idéologie libérale qui a précipité la crise et qui est encore au pouvoir. Face à eux, des libéraux radicaux balaient ces critiques et accusent l'interventionnisme des États !
Propos recueillis parNicolas Cori
OUI : André Orléan est directeur de recherche au CNRS. C'est un spécialiste du comportement de mimétisme des acteurs de la finance. Auteur de De l'euphorie à la panique. Penser la crise financière (Éditions Rue d'Ulm, 2009), il fait partie des « économistes atterrés » qui viennent de lancer un manifeste pour dénoncer la persistance du modèle financier libéral à l'origine de la crise.
NON : Pierre Lemieux est directeur de recherche à l'Institut économique de Montréal et professeur associé à l'université du Québec en Outaouais. Il se revendique libertarien ou arnarcho-capitaliste et défend toutes les libertés individuelles, y compris celle de porter des armes. Il fait paraître fin octobre Une crise peut en cacher une autre (Les Belles Lettres).Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : La théorie libérale est-elle responsable de la crise ? Type de document : texte imprimé Auteurs : André Orléan, Auteur ; Pierre Lemieux, Auteur Année de publication : 2010 Article en page(s) : pp. 18-19 Langues : Français (fre) Catégories : 330.82 Libéralisme - Capitalisme
338.1 Conjoncture économique - Récession - Crise économiqueRésumé : Alors qu'on ignore si le krach du siècle est derrière ou devant nous, les experts s'écharpent sur les causes du phénomène. Pour les « économistes atterrés », c'est l'idéologie libérale qui a précipité la crise et qui est encore au pouvoir. Face à eux, des libéraux radicaux balaient ces critiques et accusent l'interventionnisme des États !
Propos recueillis parNicolas Cori
OUI : André Orléan est directeur de recherche au CNRS. C'est un spécialiste du comportement de mimétisme des acteurs de la finance. Auteur de De l'euphorie à la panique. Penser la crise financière (Éditions Rue d'Ulm, 2009), il fait partie des « économistes atterrés » qui viennent de lancer un manifeste pour dénoncer la persistance du modèle financier libéral à l'origine de la crise.
NON : Pierre Lemieux est directeur de recherche à l'Institut économique de Montréal et professeur associé à l'université du Québec en Outaouais. Il se revendique libertarien ou arnarcho-capitaliste et défend toutes les libertés individuelles, y compris celle de porter des armes. Il fait paraître fin octobre Une crise peut en cacher une autre (Les Belles Lettres).Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in Philosophie magazine > 44 (novembre 2010) . - pp. 18-19Réservation
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[article] Des théories qui tuent [texte imprimé] . - 2007 . - pp. 5-24.
Langues : Français (fre)
in Manière de voir > 91 (janvier-février 2007) . - pp. 5-24
Catégories : 330.1 Principes & lois économiques
330.8 Histoire des doctrines économiques
330.82 Libéralisme - Capitalisme
339 Commerce Economie mondiale Mondialisation / AltermondialismeRésumé : On parle parfois des « auteurs intellectuels » d’un délit ou d’un crime, et la justice peut les sanctionner. En formulant, dans son cabinet de travail, et même en toute indépendance, une théorie d’organisation de la société, un penseur prend le risque qu’elle soit appliquée par ceux qui en ont le pouvoir et que, par ricochet, on lui impute la paternité de ses effets négatifs, voire tragiques. Cela est arrivé à Marx, que l’Internationale de la droite et de l’extrême droite – sans que la plupart de ses dirigeants aient jamais lu une ligne de son œuvre – ont tenté de rendre rétrospectivement responsable du stalinisme. Tout comme Voltaire et Rousseau étaient censés avoir enfanté la Terreur... Les dominants excellent dans cet exercice de délégitimation des idées émancipatrices qui, si elles se diffusaient trop, conduiraient les citoyens à se révolter contre leurs privilèges. Ce qui est effectivement arrivé de nombreuses fois dans l’histoire.
Mais ce phénomène fonctionne à sens unique. La plupart des économistes, des dirigeants d’institutions financières internationales et des journalistes qui se font leurs porte-parole n’ont jamais de comptes à rendre à la société, tout simplement parce qu’ils ne font que modéliser et justifier les pratiques des possédants en leur donnant le statut de « lois naturelles » grâce à un vernis « scientifique » pas toujours mérité.
Nulle théorie économique n’a jamais eu d’effets aussi mortifères que celle du libre-échange. C’est en son nom que, au XIXe siècle, 1,5 million d’Irlandais ont péri de famine. Au cours de ces dernières décennies, elle a conduit des millions de paysans africains à la ruine ou à une émigration qui se terminait souvent par la noyade en haute mer de ceux qui tentaient d’atteindre les côtes de l’Europe du Sud. En Asie orientale, lors de la grande crise financière de 1997, le dogme de la liberté de circulation des capitaux a été la cause d’infinies souffrances. Il y a bien un Livre noir à écrire et à actualiser en permanence sur les coûts humains des théories libérales.
- Le poing invisible / Samuel Bowles
- Ordre social et dictature du marché / Denis Clerc
- Leçons d’histoire pour libre-échangistes / Ha-Joon Chang
- L’Irlande affamée par l’économie politique / Ibrahim Warde
- Et Dieu créa la mondialisation... / André BellonPermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : Des théories qui tuent Type de document : texte imprimé Année de publication : 2007 Article en page(s) : pp. 5-24 Langues : Français (fre) Catégories : 330.1 Principes & lois économiques
330.8 Histoire des doctrines économiques
330.82 Libéralisme - Capitalisme
339 Commerce Economie mondiale Mondialisation / AltermondialismeRésumé : On parle parfois des « auteurs intellectuels » d’un délit ou d’un crime, et la justice peut les sanctionner. En formulant, dans son cabinet de travail, et même en toute indépendance, une théorie d’organisation de la société, un penseur prend le risque qu’elle soit appliquée par ceux qui en ont le pouvoir et que, par ricochet, on lui impute la paternité de ses effets négatifs, voire tragiques. Cela est arrivé à Marx, que l’Internationale de la droite et de l’extrême droite – sans que la plupart de ses dirigeants aient jamais lu une ligne de son œuvre – ont tenté de rendre rétrospectivement responsable du stalinisme. Tout comme Voltaire et Rousseau étaient censés avoir enfanté la Terreur... Les dominants excellent dans cet exercice de délégitimation des idées émancipatrices qui, si elles se diffusaient trop, conduiraient les citoyens à se révolter contre leurs privilèges. Ce qui est effectivement arrivé de nombreuses fois dans l’histoire.
Mais ce phénomène fonctionne à sens unique. La plupart des économistes, des dirigeants d’institutions financières internationales et des journalistes qui se font leurs porte-parole n’ont jamais de comptes à rendre à la société, tout simplement parce qu’ils ne font que modéliser et justifier les pratiques des possédants en leur donnant le statut de « lois naturelles » grâce à un vernis « scientifique » pas toujours mérité.
Nulle théorie économique n’a jamais eu d’effets aussi mortifères que celle du libre-échange. C’est en son nom que, au XIXe siècle, 1,5 million d’Irlandais ont péri de famine. Au cours de ces dernières décennies, elle a conduit des millions de paysans africains à la ruine ou à une émigration qui se terminait souvent par la noyade en haute mer de ceux qui tentaient d’atteindre les côtes de l’Europe du Sud. En Asie orientale, lors de la grande crise financière de 1997, le dogme de la liberté de circulation des capitaux a été la cause d’infinies souffrances. Il y a bien un Livre noir à écrire et à actualiser en permanence sur les coûts humains des théories libérales.
- Le poing invisible / Samuel Bowles
- Ordre social et dictature du marché / Denis Clerc
- Leçons d’histoire pour libre-échangistes / Ha-Joon Chang
- L’Irlande affamée par l’économie politique / Ibrahim Warde
- Et Dieu créa la mondialisation... / André BellonPermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in Manière de voir > 91 (janvier-février 2007) . - pp. 5-24Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 42225 man Périodique Réserve Périodiques Disponible Thomas Hobbes in Philosophie magazine, 34 (novembre 2009)
PermalinkThomas Piketty "Les inégalités sont un choix politique" / Gaétane Poissonnier in Sciences Humaines, 321S (janvier 2020)
PermalinkThomas Piketty / THOMAS PIKETTY in Le Vif / L'Express, 42 ([17/10/2019])
PermalinkThomas Piketty / THOMAS PIKETTY in Philosophie magazine, 133 (octobre 2019)
PermalinkLe Tiers-mondisme "à la façon Banque Mondiale" / Jean-Pierre Kerckhofs in L'Ecole démocratique, 12 (octobre-décembre 2002)
PermalinkTony Blair "modernisateur" de choc / Philippe Marlière in La Revue Nouvelle, 12 (décembre 2000)
PermalinkA Toula, le marasme russe au quotidien / AGATHE DUPARC in Le Monde Diplomatique, 535 (octobre 1998)
Permalink1 - Le Traité transatlantique, c'est l'arnaque du siècle et la fin de notre démocratie (Bulletin de POUR, 1 [12/02/2016])
PermalinkLe Traité transatlantique, au péril des européens? / Benoît Thomas in Espace de Libertés, 434 (Décembre 2014)
PermalinkTransferts de pauvreté au Portugal / HERVE DIEUX in Le Monde Diplomatique, 580 (juillet 2002)
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