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Hamsun, Nobele et nazi / Emmanuel Hecht in Le Vif / L'Express, 09 ([05/03/2010])
[article] Hamsun, Nobele et nazi [texte imprimé] / Emmanuel Hecht, Auteur . - 2010 . - pp. 82-84.
Langues : Français (fre)
in Le Vif / L'Express > 09 [05/03/2010] . - pp. 82-84
Catégories : 321.6"1933/1945" Nazisme
821.113.5 Littérature norvégienne
Hamsun, Knut (1859-1952)Résumé :
La monumentale biographie d'un journaliste norvégien donne les clés de Knut Hamsun, génie littéraire et traître à sa patrie, romantique et réactionnaire, individualiste et admirateur du IIIe Reich.
de notre envoyé spécial
Le village norvégien de Tranøy est blanc et silencieux. La mer caresse les rochers enneigés sous un soleil pâle. La Hamsun Galleriet, galerie de peintures pour touristes, est close : le frimas (- 16 °C) est l'ennemi du chaland. La nuit, pourtant, elle est éclairée, comme toutes les maisons du village. Jadis, tout le monde se retrouvait dans ce bâtiment qui abritait un magasin, une agence postale, le guichet du vapeur, une boulangerie, un stock de charbonà Le maître des lieux, Nicolai Walso, avait fait fortune dans le hareng. C'était l'un des hommes les plus puissants du Nordland, région rude au-delà du cercle polaire. Knut Hamsun (1859-1952), prix Nobel de littérature, fut son commis. Le jeune homme de 15 ans avait de l'admiration pour ce self-made-man autoritaire et bienveillant : l'antithèse de son oncle, à qui ses parents, taraudés par la pauvreté, l'avaient confié. Pour son plus grand malheur. Knud Pedersen - il prendra plus tard un nom de plume inspiré du village voisin, Hamsund - n'avait d'yeux que pour Laura. La fille du patron était son premier amour. Dans Pan (1894), son livre le plus connu après Faim (1890), elle a les traits d'Edvarda, une jeune femme mince aux jambes interminables, un tablier noué en bas du ventre pour allonger un peu plus encore sa taille.
Edvarda Hus, la maison d'hôtes de Tranøy, a perpétué le souvenir de l'héroïne en lui empruntant son nom. La salle de lecture, mi-boudoir, mi-bibliothèque, donne sur le bâtiment où Knut connut ses premiers émois. « Le thème du livre, c'est le Nordland, les Lapons, les mystères, la superstition, le soleil de minuit, un personnage à la Rousseau qui entame une relation avec une jeune fille de cette région », explique le journaliste norvégien Ingar Sletten Kolloen, auteur d'une biographie roborative, traduite en français aux éditions Gaïa. Le personnage principal de Pan, le lieutenant Thomas Glahn, est l'achèvement du personnage hamsunien : instable chronique, vagabond en suspens, étranger à sa propre vie, fantasque, prêt à céder à ses pulsions, préférant les idées à leur accomplissementà Et ne trouvant un bref apaisement que dans la fusion avec la nature, au contact des forêts, des lacs... Ce romantisme paysan, ce lyrisme bucolique, est la marque de fabrique de l'écrivain. A l'instar de cet échange entre le lieutenant Glahn et Eva, la femme du forgeron :
« - Il y a trois choses que j'aime (à ). J'aime un rêve d'amour que j'ai eu jadis, je t'aime et j'aime ce bout de terre.
- Et qu'est-ce que tu aimes le plus ? » lui demande-t-elle.
- Le rêve. »
Le rêve fut un fabuleux matériau pour Knut Hamsun. Il le mena aussi à sa perte, en l'abusant sur Hitler, que dans ses songes il imaginait en architecte d'un monde nouveau où la Norvège, débarrassée des tutelles danoise et suédoise, pourrait savourer une souveraineté recouvrée, dans le respect des valeurs de la terre. LasÃ
La plaie réveillée
Nobel de littérature (1920) et nazi : depuis la fin de la guerre, la singularité de Knut Hamsun est un casse-tête pour les autorités. Comment honorer à la fois le génie, « père de la littérature moderne », selon Isaac Bashevis Singer, sans ignorer le traître à la patrie, soutien indéfectible de Vidkun Quisling, chef du gouvernement fantoche à la solde du IIIe Reich ? La célébration du cent cinquantième anniversaire de la naissance de l'écrivain, l'été dernier, a réveillé la plaie. Les Norvégiens optèrent pour le service minimal : une exposition à Oslo et un timbre à son effigie, tout en ménageant l'avenir avec l'annonce d'un projet de musée à Hamarøy, bourg voisin de Tranøy, où l'écrivain vécut une partie de son enfance.
« Pronazi, Knut Hamsun ? C'est incontestable. Et, pourtant, cela ne nous a pas empêchés de l'aimer. » Ingar Sletten Kolloen, qui s'est entouré d'une équipe d'universitaires pour bâtir cette biographie monumentale (1 300 pages en version originale, seulement la moitié en français), résume l'ambivalence des Norvégiens sur un auteur ambigu. « A partir des années 1930, le conquérant l'emporte sur le rêveur, tout le problème est là », suggère-t-il, renforcé dans son propos par le dépouillement des archives privées de l'écrivain, découvertes par hasard dans deux grosses boîtes. De fait, l'écrivain ne mégote pas son soutien au Reich, à Goebbels, à Hitler, qu'il rencontre en 1943. Mais l'entretien - un des meilleurs chapitres du livre - tourne mal. A près de 84 ans, Hamsun, plus sourd et têtu que jamais, ne cesse d'interrompre Hitler, au grand dam de l'interprète, et il exige la tête du représentant du Reich en Norvège plus la fin de la répression. Le Führer, bien davantage préoccupé par le front russe, le congédie. Pas rancunier, Knut Hamsun se fendra d'un message à la mort de Hitler, vantant le « guerrier au service de l'humanité » et le « réformateur d'une exceptionnelle nature ».
Ni Brasillach ni Céline
Aussi aveugle en politique qu'il est affûté dans l'examen des âmes, jamais, pourtant, il ne dénoncera ses compatriotes ni ne sombrera dans les délires antisémites. Hamsun n'est ni Brasillach ni Céline. Il sauve des juifs de la déportation et de jeunes résistants du peloton d'exécution. Lors de son procès, il se garde de faire mention de ces gestes, animé par l'orgueil, à moins que ce ne soit par « les mêmes principes suicidaires que les héros de ses romans », selon l'écrivain et intellectuel Manès Sperber.
Pronazi, Hamsun l'est d'abord par la haine des Anglais, nourrie dès l'enfance par les récits familiaux sur le blocus britannique des ports norvégiens pendant les guerres napoléoniennes et la constance de Londres à barrer les tentatives d'indépendance de la Norvège. Une alliance avec l'Allemagne, dont il souhaite la victoire dès la Première Guerre mondiale, sonnera l'heure de la revanche. Anti-anglais, Knut Hamsun est tout autant antidémocrate. Depuis ses séjours en Amérique, il est convaincu que le monde moderne, cocktail explosif de technique, d'individualisme et d'indifférence, mène l'homme à sa perte. L'issue, pour ce réactionnaire patenté, passe par un pouvoir fort et le retour à la vie agraire. Sans doute le Nobel règle-t-il ses comptes avec les élites qui l'ont longtemps snobé. Fils de paysans pauvres, expulsé du foyer familial, élève intermittent - moins de trois cents jours de scolarité dans toute son enfance - abonné aux petits boulots, émigrant famélique en Amérique, Hamsun eut une vie de chien : celle qu'il raconte dans Faim, le livre qui, paradoxalement, le rend célèbre à 31 ans. Dieu sait s' il dut ferrailler pour se faire publier par des éditeurs méprisant cet autodidacte intransigeant qui vitupérait Ibsen, icône de la littérature norvégienne. Ingar Sletten Kolloen raconte avec moult détails les épisodes d'une existence presque centenaire entre disette et prospérité, addiction et abstinence, exaltation et dépression, passions impossibles et débâcles conjugales, toujours sous-tendue par le rêve de mener de front une expérience de fermier et une carrière d'écrivain.
Le jour de l'été 1947 où il fut condamné pour collaboration à une forte amende, équivalent à une faillite, Knut Hamsun mit un point final à son quarante-deuxième livre, Sur les sentiers où l'herbe repousse : « Aujourd'hui, la Cour suprême a rendu sa sentence et moi, j'ai cessé d'écrire. » Aujourd'hui, l'heure est venue de (re)lire cet écrivain à fleur de nerfs, qui eut très tôt le pressentiment que quelque chose ne tournait pas rond. « Dieu avait fourré le doigt dans mon réseau nerveux et, modérément, très superficiellement, il avait mis un peu de désordre dans les fils. »
Knut Hamsun, rêveur et conquérant, d'Ingar Sletten Kolloen, traduit du norvégien par Eric Eydoux, éd. Gaïa, 750 p.
Victoria, de Knut Hamsun, traduit du norvégien par Ingunn Galtier et Alain-Pierre Guilhon, éd. Gaïa, 128 p.
EMMANUEL HECHT. reportage photo : patrick gripe/signatures pour le vif/l'express
Le phare de Tranøy, sur Senja, l'île où vécut Knut Hamsun. glaçant L'écrivain en 1935, déjà fasciné par le national-socialisme. projet Le musée Hamsun sera inauguré en juin prochain à Hamarøy.
Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : Hamsun, Nobele et nazi Type de document : texte imprimé Auteurs : Emmanuel Hecht, Auteur Année de publication : 2010 Article en page(s) : pp. 82-84 Langues : Français (fre) Catégories : 321.6"1933/1945" Nazisme
821.113.5 Littérature norvégienne
Hamsun, Knut (1859-1952)Résumé :
La monumentale biographie d'un journaliste norvégien donne les clés de Knut Hamsun, génie littéraire et traître à sa patrie, romantique et réactionnaire, individualiste et admirateur du IIIe Reich.
de notre envoyé spécial
Le village norvégien de Tranøy est blanc et silencieux. La mer caresse les rochers enneigés sous un soleil pâle. La Hamsun Galleriet, galerie de peintures pour touristes, est close : le frimas (- 16 °C) est l'ennemi du chaland. La nuit, pourtant, elle est éclairée, comme toutes les maisons du village. Jadis, tout le monde se retrouvait dans ce bâtiment qui abritait un magasin, une agence postale, le guichet du vapeur, une boulangerie, un stock de charbonà Le maître des lieux, Nicolai Walso, avait fait fortune dans le hareng. C'était l'un des hommes les plus puissants du Nordland, région rude au-delà du cercle polaire. Knut Hamsun (1859-1952), prix Nobel de littérature, fut son commis. Le jeune homme de 15 ans avait de l'admiration pour ce self-made-man autoritaire et bienveillant : l'antithèse de son oncle, à qui ses parents, taraudés par la pauvreté, l'avaient confié. Pour son plus grand malheur. Knud Pedersen - il prendra plus tard un nom de plume inspiré du village voisin, Hamsund - n'avait d'yeux que pour Laura. La fille du patron était son premier amour. Dans Pan (1894), son livre le plus connu après Faim (1890), elle a les traits d'Edvarda, une jeune femme mince aux jambes interminables, un tablier noué en bas du ventre pour allonger un peu plus encore sa taille.
Edvarda Hus, la maison d'hôtes de Tranøy, a perpétué le souvenir de l'héroïne en lui empruntant son nom. La salle de lecture, mi-boudoir, mi-bibliothèque, donne sur le bâtiment où Knut connut ses premiers émois. « Le thème du livre, c'est le Nordland, les Lapons, les mystères, la superstition, le soleil de minuit, un personnage à la Rousseau qui entame une relation avec une jeune fille de cette région », explique le journaliste norvégien Ingar Sletten Kolloen, auteur d'une biographie roborative, traduite en français aux éditions Gaïa. Le personnage principal de Pan, le lieutenant Thomas Glahn, est l'achèvement du personnage hamsunien : instable chronique, vagabond en suspens, étranger à sa propre vie, fantasque, prêt à céder à ses pulsions, préférant les idées à leur accomplissementà Et ne trouvant un bref apaisement que dans la fusion avec la nature, au contact des forêts, des lacs... Ce romantisme paysan, ce lyrisme bucolique, est la marque de fabrique de l'écrivain. A l'instar de cet échange entre le lieutenant Glahn et Eva, la femme du forgeron :
« - Il y a trois choses que j'aime (à ). J'aime un rêve d'amour que j'ai eu jadis, je t'aime et j'aime ce bout de terre.
- Et qu'est-ce que tu aimes le plus ? » lui demande-t-elle.
- Le rêve. »
Le rêve fut un fabuleux matériau pour Knut Hamsun. Il le mena aussi à sa perte, en l'abusant sur Hitler, que dans ses songes il imaginait en architecte d'un monde nouveau où la Norvège, débarrassée des tutelles danoise et suédoise, pourrait savourer une souveraineté recouvrée, dans le respect des valeurs de la terre. LasÃ
La plaie réveillée
Nobel de littérature (1920) et nazi : depuis la fin de la guerre, la singularité de Knut Hamsun est un casse-tête pour les autorités. Comment honorer à la fois le génie, « père de la littérature moderne », selon Isaac Bashevis Singer, sans ignorer le traître à la patrie, soutien indéfectible de Vidkun Quisling, chef du gouvernement fantoche à la solde du IIIe Reich ? La célébration du cent cinquantième anniversaire de la naissance de l'écrivain, l'été dernier, a réveillé la plaie. Les Norvégiens optèrent pour le service minimal : une exposition à Oslo et un timbre à son effigie, tout en ménageant l'avenir avec l'annonce d'un projet de musée à Hamarøy, bourg voisin de Tranøy, où l'écrivain vécut une partie de son enfance.
« Pronazi, Knut Hamsun ? C'est incontestable. Et, pourtant, cela ne nous a pas empêchés de l'aimer. » Ingar Sletten Kolloen, qui s'est entouré d'une équipe d'universitaires pour bâtir cette biographie monumentale (1 300 pages en version originale, seulement la moitié en français), résume l'ambivalence des Norvégiens sur un auteur ambigu. « A partir des années 1930, le conquérant l'emporte sur le rêveur, tout le problème est là », suggère-t-il, renforcé dans son propos par le dépouillement des archives privées de l'écrivain, découvertes par hasard dans deux grosses boîtes. De fait, l'écrivain ne mégote pas son soutien au Reich, à Goebbels, à Hitler, qu'il rencontre en 1943. Mais l'entretien - un des meilleurs chapitres du livre - tourne mal. A près de 84 ans, Hamsun, plus sourd et têtu que jamais, ne cesse d'interrompre Hitler, au grand dam de l'interprète, et il exige la tête du représentant du Reich en Norvège plus la fin de la répression. Le Führer, bien davantage préoccupé par le front russe, le congédie. Pas rancunier, Knut Hamsun se fendra d'un message à la mort de Hitler, vantant le « guerrier au service de l'humanité » et le « réformateur d'une exceptionnelle nature ».
Ni Brasillach ni Céline
Aussi aveugle en politique qu'il est affûté dans l'examen des âmes, jamais, pourtant, il ne dénoncera ses compatriotes ni ne sombrera dans les délires antisémites. Hamsun n'est ni Brasillach ni Céline. Il sauve des juifs de la déportation et de jeunes résistants du peloton d'exécution. Lors de son procès, il se garde de faire mention de ces gestes, animé par l'orgueil, à moins que ce ne soit par « les mêmes principes suicidaires que les héros de ses romans », selon l'écrivain et intellectuel Manès Sperber.
Pronazi, Hamsun l'est d'abord par la haine des Anglais, nourrie dès l'enfance par les récits familiaux sur le blocus britannique des ports norvégiens pendant les guerres napoléoniennes et la constance de Londres à barrer les tentatives d'indépendance de la Norvège. Une alliance avec l'Allemagne, dont il souhaite la victoire dès la Première Guerre mondiale, sonnera l'heure de la revanche. Anti-anglais, Knut Hamsun est tout autant antidémocrate. Depuis ses séjours en Amérique, il est convaincu que le monde moderne, cocktail explosif de technique, d'individualisme et d'indifférence, mène l'homme à sa perte. L'issue, pour ce réactionnaire patenté, passe par un pouvoir fort et le retour à la vie agraire. Sans doute le Nobel règle-t-il ses comptes avec les élites qui l'ont longtemps snobé. Fils de paysans pauvres, expulsé du foyer familial, élève intermittent - moins de trois cents jours de scolarité dans toute son enfance - abonné aux petits boulots, émigrant famélique en Amérique, Hamsun eut une vie de chien : celle qu'il raconte dans Faim, le livre qui, paradoxalement, le rend célèbre à 31 ans. Dieu sait s' il dut ferrailler pour se faire publier par des éditeurs méprisant cet autodidacte intransigeant qui vitupérait Ibsen, icône de la littérature norvégienne. Ingar Sletten Kolloen raconte avec moult détails les épisodes d'une existence presque centenaire entre disette et prospérité, addiction et abstinence, exaltation et dépression, passions impossibles et débâcles conjugales, toujours sous-tendue par le rêve de mener de front une expérience de fermier et une carrière d'écrivain.
Le jour de l'été 1947 où il fut condamné pour collaboration à une forte amende, équivalent à une faillite, Knut Hamsun mit un point final à son quarante-deuxième livre, Sur les sentiers où l'herbe repousse : « Aujourd'hui, la Cour suprême a rendu sa sentence et moi, j'ai cessé d'écrire. » Aujourd'hui, l'heure est venue de (re)lire cet écrivain à fleur de nerfs, qui eut très tôt le pressentiment que quelque chose ne tournait pas rond. « Dieu avait fourré le doigt dans mon réseau nerveux et, modérément, très superficiellement, il avait mis un peu de désordre dans les fils. »
Knut Hamsun, rêveur et conquérant, d'Ingar Sletten Kolloen, traduit du norvégien par Eric Eydoux, éd. Gaïa, 750 p.
Victoria, de Knut Hamsun, traduit du norvégien par Ingunn Galtier et Alain-Pierre Guilhon, éd. Gaïa, 128 p.
EMMANUEL HECHT. reportage photo : patrick gripe/signatures pour le vif/l'express
Le phare de Tranøy, sur Senja, l'île où vécut Knut Hamsun. glaçant L'écrivain en 1935, déjà fasciné par le national-socialisme. projet Le musée Hamsun sera inauguré en juin prochain à Hamarøy.
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in Le Vif / L'Express > 09 [05/03/2010] . - pp. 82-84Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Handi-gang / Cara Zina
Handi-gang [texte imprimé] / Cara Zina, Auteur . - Paris : Libertalia, DL 2017 . - 1 vol. (285 p.) : couv. ill. en coul. ; 18 cm.
ISBN : 978-2-37729-009-3 : 10 EUR
Langues : Français (fre)
Catégories : -056 Personnes Handicapées
323.25 Résistance passive . Désobéissance civile. Lutte non armée
329.63 Anarchisme / Libertaire (politique)
82-31 RomansIndex. décimale : 82 Fictions : roman, théâtre, poésie, bande dessinée adulte Résumé : « Depuis toujours on nous méprise, on nous ignore : le monde appartient aux valides. Il va falloir désormais compter avec nous. Nous que vous ignorez, que vous contournez et évitez de regarder. Nous, handicapés polymorphes, autistes, sourds, aveugles, IMC ou à mobilité réduite, nous voulons plus de représentations dans les médias, le corps médical, la fonction publique et au gouvernement. Nous exigeons plus de considération et plus d'aménagements. Nous sommes une force vive et il ne faudrait pas l'oublier, sinon on pourrait bien tout faire péter ! » Premier communiqué de l'Handi-Gang.
Cara Zina vit à Nancy, après de longues années passées à Lyon. Elle a publié Heureux les simples d'esprit en 2008 (Robert Laffont). Sa plume est tantôt acérée, tantôt truculente, pleine d'autodérision. Dans ce nouveau récit, le héros est un adolescent handicapé qui vit seul avec sa mère. Avec sa bande de copains, valides ou non, il entreprend de régler le problème de l'accessibilité par l'action directe.Note de contenu : Sommaire:
-« Changer mes désirs plutôt que l’ordre du monde » Descartes
-« Notre force, c’est notre conscience » Moi
-« By any means nececcary » Malcolm X
-« Ce qui ne te tue pas te rend têtu » Youssoupha
-« La maladie ne se guérit point en prononçant le nom du médicament, mais en prenant le médicament » Sankara
-« On a beau avoir une santé de fer, on finit toujours par rouiller » Jacques Prévert
-« La colère n'a point de commerce avec la prudence ; c'est la compagne de l'audace » A. Pope
-« Alors on danse ! » Stromae
-« L’Histoire l’enseigne, nos chances sont vaines » NTM
-« La peur va changer de côté » Straight Royeur
-« We need to talk about Kevin » Lionel Shriver
-« Un beau soir, l’avenir s’appelle le passé… » Aragon
-« La tête trop chaud et le cœur trop froid » Jacques Prévert dans « Les Enfants du paradis »
-« Dans toutes les larmes s’attardent un espoir » Simone de Beauvoir
-« Sache que ta meilleure amie, prolétaire, c’est la chimie » Guy Debord sous le nom de Raymond-la-Science
-« Il est grand temps de rallumer les étoiles » Apollinaire
-« La douleur, c’est la faiblesse qui quitte le corps » Michael Connelly
-« Nous ne sommes rien, soyons tout ! » Eugène Pottier
-« Il faut exiger de chacun ce que chacun peut donner » Saint-Exupéry
-« C’est l’année zéro de la rébellion ! » Bérurier noir
-« Tombée du ciel, à travers les nuages… » Jacques Higelin
-« Une fleur d’orchidée qui lui pousse dans le crâne » OTH
-« Depuis six mille ans la guerre plaît aux peuples querelleurs… » Victor Hugo
-« On ne peut pas souffrir de ce que l’on ne connaît pas » Emmanuelle Laborit
-« Va, roule, vole et nous venge ! » D’après Corneille
-« La véritable éducation consiste à pousser les gens à penser par eux-mêmes » Noam Chomsky
-« Malgré toi la vie continue, aplatis-toi, elle te passe dessus ! » Straight Royeur
-« L'amitié ne rend pas le malheur plus léger mais permet d’en partager le poids » Tahar Ben Jelloun
-« Le songe d’une nuit d’été » Shakespeare
-« Yes they can » D’après Obama
-« Être contre est un corollaire secondaire » Miguel Benasayag
-« De Paris à Marseille, un mouvement qui s’éveille » Bérurier noir
-« Nous n’aurions d’autres choix pour vivre que dans la jungle ou dans le zoo » Jean Ferrat
-« On est plus le fils de son époque que le fils de son père » Proverbe africain
-« La barbarie du capital attise la combativité des masses populaires » Georges Ibrahim Abdallah
-« Ce n’est qu’un début, continuons le combat ! » Slogan populaire de Mai 68
-« Pardonne à ton corps, pense à ton âme »
-« Et si c’était à refaire, je referais ce chemin » Aragon
-« Le temps carcéral tue l’homme social » Jean-Marc Rouillan
-« Rien n’a encore changé » La Souris déglinguéePermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : Handi-gang Type de document : texte imprimé Auteurs : Cara Zina, Auteur Editeur : Paris : Libertalia Année de publication : DL 2017 Importance : 1 vol. (285 p.) Présentation : couv. ill. en coul. Format : 18 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-37729-009-3 Prix : 10 EUR Langues : Français (fre) Catégories : -056 Personnes Handicapées
323.25 Résistance passive . Désobéissance civile. Lutte non armée
329.63 Anarchisme / Libertaire (politique)
82-31 RomansIndex. décimale : 82 Fictions : roman, théâtre, poésie, bande dessinée adulte Résumé : « Depuis toujours on nous méprise, on nous ignore : le monde appartient aux valides. Il va falloir désormais compter avec nous. Nous que vous ignorez, que vous contournez et évitez de regarder. Nous, handicapés polymorphes, autistes, sourds, aveugles, IMC ou à mobilité réduite, nous voulons plus de représentations dans les médias, le corps médical, la fonction publique et au gouvernement. Nous exigeons plus de considération et plus d'aménagements. Nous sommes une force vive et il ne faudrait pas l'oublier, sinon on pourrait bien tout faire péter ! » Premier communiqué de l'Handi-Gang.
Cara Zina vit à Nancy, après de longues années passées à Lyon. Elle a publié Heureux les simples d'esprit en 2008 (Robert Laffont). Sa plume est tantôt acérée, tantôt truculente, pleine d'autodérision. Dans ce nouveau récit, le héros est un adolescent handicapé qui vit seul avec sa mère. Avec sa bande de copains, valides ou non, il entreprend de régler le problème de l'accessibilité par l'action directe.Note de contenu : Sommaire:
-« Changer mes désirs plutôt que l’ordre du monde » Descartes
-« Notre force, c’est notre conscience » Moi
-« By any means nececcary » Malcolm X
-« Ce qui ne te tue pas te rend têtu » Youssoupha
-« La maladie ne se guérit point en prononçant le nom du médicament, mais en prenant le médicament » Sankara
-« On a beau avoir une santé de fer, on finit toujours par rouiller » Jacques Prévert
-« La colère n'a point de commerce avec la prudence ; c'est la compagne de l'audace » A. Pope
-« Alors on danse ! » Stromae
-« L’Histoire l’enseigne, nos chances sont vaines » NTM
-« La peur va changer de côté » Straight Royeur
-« We need to talk about Kevin » Lionel Shriver
-« Un beau soir, l’avenir s’appelle le passé… » Aragon
-« La tête trop chaud et le cœur trop froid » Jacques Prévert dans « Les Enfants du paradis »
-« Dans toutes les larmes s’attardent un espoir » Simone de Beauvoir
-« Sache que ta meilleure amie, prolétaire, c’est la chimie » Guy Debord sous le nom de Raymond-la-Science
-« Il est grand temps de rallumer les étoiles » Apollinaire
-« La douleur, c’est la faiblesse qui quitte le corps » Michael Connelly
-« Nous ne sommes rien, soyons tout ! » Eugène Pottier
-« Il faut exiger de chacun ce que chacun peut donner » Saint-Exupéry
-« C’est l’année zéro de la rébellion ! » Bérurier noir
-« Tombée du ciel, à travers les nuages… » Jacques Higelin
-« Une fleur d’orchidée qui lui pousse dans le crâne » OTH
-« Depuis six mille ans la guerre plaît aux peuples querelleurs… » Victor Hugo
-« On ne peut pas souffrir de ce que l’on ne connaît pas » Emmanuelle Laborit
-« Va, roule, vole et nous venge ! » D’après Corneille
-« La véritable éducation consiste à pousser les gens à penser par eux-mêmes » Noam Chomsky
-« Malgré toi la vie continue, aplatis-toi, elle te passe dessus ! » Straight Royeur
-« L'amitié ne rend pas le malheur plus léger mais permet d’en partager le poids » Tahar Ben Jelloun
-« Le songe d’une nuit d’été » Shakespeare
-« Yes they can » D’après Obama
-« Être contre est un corollaire secondaire » Miguel Benasayag
-« De Paris à Marseille, un mouvement qui s’éveille » Bérurier noir
-« Nous n’aurions d’autres choix pour vivre que dans la jungle ou dans le zoo » Jean Ferrat
-« On est plus le fils de son époque que le fils de son père » Proverbe africain
-« La barbarie du capital attise la combativité des masses populaires » Georges Ibrahim Abdallah
-« Ce n’est qu’un début, continuons le combat ! » Slogan populaire de Mai 68
-« Pardonne à ton corps, pense à ton âme »
-« Et si c’était à refaire, je referais ce chemin » Aragon
-« Le temps carcéral tue l’homme social » Jean-Marc Rouillan
-« Rien n’a encore changé » La Souris déglinguéePermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di Réservation
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Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 51035 82/ZIN Livre Libre-accès Adultes Disponible Haute École de la Fédération Wallonie-Bruxelles Charlemagne. Catégorie pédagogique. Section normale secondaire. Un projet poétique peut-il motiver des élèves de l'enseignement qualifiant à s'engager dans des tâches d'écriture et de lecture en classe? / Sapir CHMELKIN
Haute École de la Fédération Wallonie-Bruxelles Charlemagne. Catégorie pédagogique. Section normale secondaire. Un projet poétique peut-il motiver des élèves de l'enseignement qualifiant à s'engager dans des tâches d'écriture et de lecture en classe? [texte imprimé] / Sapir CHMELKIN, Auteur ; Charlyne Audin, Directeur de thèse . - Liège : Haute École de la Fédération Wallonie-Bruxelles Charlemagne, 2018-2019 . - 1 vol. (108 p.) : ill. ; 30 cm.
TFE pour l'obtention d'un titre de bachelier en Français Langue Étrangères
Langues : Français (fre)
Catégories : 37 Education Enseignement Loisirs
37.02 Pédagogie et outils pédagogiques
371.214 Programmes d'enseignement
82-1 PoésieIndex. décimale : 37 Livres Pédagogiques et sur l'enseignement Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre de série : Haute École de la Fédération Wallonie-Bruxelles Charlemagne. Catégorie pédagogique. Section normale secondaire Titre : Un projet poétique peut-il motiver des élèves de l'enseignement qualifiant à s'engager dans des tâches d'écriture et de lecture en classe? Type de document : texte imprimé Auteurs : Sapir CHMELKIN, Auteur ; Charlyne Audin, Directeur de thèse Editeur : Liège : Haute École de la Fédération Wallonie-Bruxelles Charlemagne Année de publication : 2018-2019 Importance : 1 vol. (108 p.) Présentation : ill. Format : 30 cm. Note générale : TFE pour l'obtention d'un titre de bachelier en Français Langue Étrangères Langues : Français (fre) Catégories : 37 Education Enseignement Loisirs
37.02 Pédagogie et outils pédagogiques
371.214 Programmes d'enseignement
82-1 PoésieIndex. décimale : 37 Livres Pédagogiques et sur l'enseignement Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 53440 37/CHM Livre Bureau Bureau accessible Exclu du prêt Hector / HENRY THIEL
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 25030/1 ENF.GE(-8) Livre Libre-accès Enfants Disponible Heidegger, Primo Levi et le séquoia / Max Dorra
Heidegger, Primo Levi et le séquoia : la double inconscience [texte imprimé] / Max Dorra, Auteur . - Paris : Gallimard, 2001 . - 1 vol. (202 p.) ; 19 cm. - (Connaissance de l'inconscient. Tracés) .
ISBN : 978-2-07-076307-8
Langues : Français (fre)
Catégories : 321.6"1933/1945" Nazisme
343.8:341.48 Camps concentration Général
82-4 Essais (littérature)
929 Heidegger, Martin (1889-1976)
929 Levi, Primo (1919-1987)Index. décimale : 1 Philosophie / Psychologie Résumé : Quatrième de couverture :
Cinq personnages
L'aveugle, Martin Heidegger, cherchant désespérément un objet perdu : l'être
Un chimiste juif, Primo Levi
Parménide
Freud découvrant le sens des rêves
Et un séquoia de 2600 ans
Ce que si éperdument cherchait Heidegger, l'être dans son essence même, il aurait pu le trouver pas très loin de chez lui. A quelques centaines de kilomètres de sa table de travail, primo Levi et ses codétenus étaient livrés à une expérience philosophique pure : celle de l'être nu, de la souffrance brute, l'expérience du froid, de la pluie et de la faim. Une fatigue définitive. Auschwitz.
Mais le désir de ne pas savoir était plus fort.
Ce livre pourrait être un "discours de la cécité volontaire écrit par le séquoia".
La Librairie Lekti-ecriture.com
Un séquoia, Heidegger et Primo Levi. Voici les trois principaux personnages présentés dans ce livre qui tente de percer à jour le mystère de la cécité de Martin Heidegger : pourquoi fallait-il qu'il rejoigne le nazisme, ou du moins qu'il accepte de prendre la carte du parti National Socialisme d'Hitler ?
Sans haine, bien au contraire, Max Dorra construit dans cet essai une mise en abîme : celle de Martin Heidegger et de Primo Levi, le savant juif persécuté, afin de comprendre pourquoi Heidegger n'a pas voulu voir arriver le nazisme. Le séquoia, quant à lui, du haut de ses deux mille six cent ans, représente l'immanence.
Comme l'a dit Max Dorra, ce livre aurait pu s'intituler un Discours de la cécité volontaire écrit par le séquoia.Note de contenu : Sommaire
ETRE ET SENS
* Heidegger et Primo Levi
* Le sens et la signification
* Etre écouté
CIRCULATION DU SENS
* Histoire véritable de l'humus
* le sens, comme une sève, circule
TECHNIQUE ET MONTAGE
* Un montage est la prison de l'être ; La technique
* Montages de la barbarie ; Le monde de la valeur
SI C'EST UN PHILOSOPHE
* Heidegger a manqué le coche
* Mala
Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : Heidegger, Primo Levi et le séquoia : la double inconscience Type de document : texte imprimé Auteurs : Max Dorra, Auteur Editeur : Paris : Gallimard Année de publication : 2001 Collection : Connaissance de l'inconscient Sous-collection : Tracés Importance : 1 vol. (202 p.) Format : 19 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-07-076307-8 Langues : Français (fre) Catégories : 321.6"1933/1945" Nazisme
343.8:341.48 Camps concentration Général
82-4 Essais (littérature)
929 Heidegger, Martin (1889-1976)
929 Levi, Primo (1919-1987)Index. décimale : 1 Philosophie / Psychologie Résumé : Quatrième de couverture :
Cinq personnages
L'aveugle, Martin Heidegger, cherchant désespérément un objet perdu : l'être
Un chimiste juif, Primo Levi
Parménide
Freud découvrant le sens des rêves
Et un séquoia de 2600 ans
Ce que si éperdument cherchait Heidegger, l'être dans son essence même, il aurait pu le trouver pas très loin de chez lui. A quelques centaines de kilomètres de sa table de travail, primo Levi et ses codétenus étaient livrés à une expérience philosophique pure : celle de l'être nu, de la souffrance brute, l'expérience du froid, de la pluie et de la faim. Une fatigue définitive. Auschwitz.
Mais le désir de ne pas savoir était plus fort.
Ce livre pourrait être un "discours de la cécité volontaire écrit par le séquoia".
La Librairie Lekti-ecriture.com
Un séquoia, Heidegger et Primo Levi. Voici les trois principaux personnages présentés dans ce livre qui tente de percer à jour le mystère de la cécité de Martin Heidegger : pourquoi fallait-il qu'il rejoigne le nazisme, ou du moins qu'il accepte de prendre la carte du parti National Socialisme d'Hitler ?
Sans haine, bien au contraire, Max Dorra construit dans cet essai une mise en abîme : celle de Martin Heidegger et de Primo Levi, le savant juif persécuté, afin de comprendre pourquoi Heidegger n'a pas voulu voir arriver le nazisme. Le séquoia, quant à lui, du haut de ses deux mille six cent ans, représente l'immanence.
Comme l'a dit Max Dorra, ce livre aurait pu s'intituler un Discours de la cécité volontaire écrit par le séquoia.Note de contenu : Sommaire
ETRE ET SENS
* Heidegger et Primo Levi
* Le sens et la signification
* Etre écouté
CIRCULATION DU SENS
* Histoire véritable de l'humus
* le sens, comme une sève, circule
TECHNIQUE ET MONTAGE
* Un montage est la prison de l'être ; La technique
* Montages de la barbarie ; Le monde de la valeur
SI C'EST UN PHILOSOPHE
* Heidegger a manqué le coche
* Mala
Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 46830 1/DOR Livre Libre-accès Adultes Disponible Heidegger en toutes lettres / Didier Eribon in Farde Articles 1997, (1997)
PermalinkDe Heldhaftige kermis van Jeanne De Bruyn / LIESBERT NYS in Cahiers d'Histoire du Temps Présent (CHTP), 6 (1999)
PermalinkHerinneringscultuur, herdenkingsplicht en de historici in onze democratie / Willem Erauw in Cahiers d'Histoire du Temps Présent (CHTP), 17 (2006)
PermalinkL'héritage de la résistance dans la création littéraire / Jean Novosseloff in Lettre de la Fondation de la Résistance, 48 (mars 2007)
PermalinkHéritiers d'un désastre sans mots / ANNY DAYAN-ROSENMAN in Revue d'histoire de la Shoah, 176 (septembre-décembre 2002)
PermalinkHermione Granger / Tanguy Habrand
PermalinkUn héros très discret / JACQUES AUDIARD
PermalinkHet holocaust trauma in Cynthia Ozick's "De Sjaal" / Leen Maes in Fondation Auschwitz (bulletin trimestrielle), 85 (octobre-décembre 2004)
PermalinkHet Joods Museum van Deportatie en Verzet (JMDV) en getuigenissen / WARD ADRIAENS in Cahiers de la Mémoire contemporaine, 2 (2000)
PermalinkHet levensgebod / GERHARD DURLACHER in Fondation Auschwitz (bulletin trimestrielle), 44-45 (octobre-décembre 1994)
PermalinkHet Museumproject van het Nationaal Gedenkteken Fort van Breendonck / Patrick Moreau in Cahiers de la Mémoire contemporaine, 2 (2000)
PermalinkL'heure des parents / Christian BRUEL
PermalinkL'Heure des rebelles / Lieve Joris
PermalinkHexagone / MALIK CHIBANE
PermalinkHier à Berlin / Hans Georg Noack
PermalinkL'histoire des 3 Adolf / Osamu Tezuka
PermalinkL'histoire des 3 Adolf / Osamu Tezuka
PermalinkL'histoire des 3 Adolf / Osamu Tezuka
PermalinkHistoire du Belge. La Querelle Communautaire / Stéphane Baurins in La Revue Nouvelle, 9 (septembre 2005)
Permalink127 - juillet-septembre 2015 - Histoire et conflits de mémoire en Espagne (Bulletin de Vingtième siècle)
PermalinkL'Histoire dont je suis le héros, l'héroïne : un outil pour se raconter / JULIE DUCHESNE in Entre-vues, 41-42 (juin 1999)
PermalinkL’histoire est écrite par les vainqueurs / Howard Zinn in Manière de voir, 137 (octobre 2014)
PermalinkL'histoire de France en BD. 1914-1918, la Grande guerre ! / Dominique Joly
PermalinkL'histoire de France en BD. La révolution industrielle / Dominique Joly
PermalinkHistoire des futurs / Bernard Cazes
PermalinkL'Histoire de Günter / DANIEL RONDEAU in Le Vif / L'Express, 1749 ([10/12/1999])
PermalinkHistoire de l'Holocauste / Clive A. Lawton
PermalinkPermalinkPermalinkHistoire de la littérature prolétarienne de langue française / Michel Ragon
PermalinkHistoire et mémoire chez Péguy / François Bédarida in Vingtième siècle, 73 (janvier-mars 2002)
PermalinkHistoire politique du barbelé / Olivier Razac
PermalinkHistoire et pouvoir in No Pasaran !, 46 (janvier-février 2006)
PermalinkHistoire / Martine Fournier in Sciences Humaines, HS 38 (septembre-novembre 2002)
PermalinkHistoire et roman in Vingtième siècle, 112 (octobre-décembre 2011)
PermalinkHistoire du roman américain: des insurgents aux Hippies / Marc Saporta
PermalinkL'Histoire d'un roman / PIERRE MERTENS in Espace de Libertés, 275 (novembre 1999)
PermalinkL'Histoire sur grand écran / Marc Ferro in Sciences Humaines, 135 (février 2003)
PermalinkLes histoires de Donald / Peter Florian Neumeyer
PermalinkHistoires à occire debout / SUZANNE WELLES in Libertés !, 431 (février 2007)
PermalinkPermalinkHistoires du soir pour filles rebelles / Elena Favilli
PermalinkHistoriciser le mal
PermalinkL'Historien dans l'espace public / Guy Zelis
PermalinkL'historien et le film / Christian Delage
PermalinkL'Historien et le territoires de l'extermination (I) / Henriette Asséo in Fondation Auschwitz (bulletin trimestrielle), 23 (janvier-mars 1990)
PermalinkLes Historiens allemands relisent la Shoah / Dominique Vidal
PermalinkLes historiens français et "le populaire" / Dominique Kalifa in Hermès, 42 (2005)
PermalinkHistoriografie, geschiedtheorie en de Nieuwe Retorica: een suggestie / Willem Erauw in Cahiers d'Histoire du Temps Présent (CHTP), 15 (2005)
PermalinkDe historiografie van het Italiaanse fascisme / Jan Nelis in Cahiers d'Histoire du Temps Présent (CHTP), 18 (2007)
PermalinkL'Historiographie polonaise et la Shoah : aperçu de quelques problèmes / JEAN-CHARLES SZUREK in Fondation Auschwitz (bulletin trimestrielle), 38-39 (octobre-décembre 1993)
PermalinkDe l'historisation du national-socialisme / Martin Broszat in Fondation Auschwitz (bulletin trimestrielle), 24 (avril-septembre 1990)
PermalinkPermalinkHitler parle à ses généraux
PermalinkHobsbawm Eric J. / Martine Fournier in Sciences Humaines, HS 38 (septembre-novembre 2002)
PermalinkHolocaust Films and the construction of national memory : the case of the new german cinema / ILAN AVISAR in Fondation Auschwitz (bulletin trimestrielle), 40-41 (janvier-juin 1994)
PermalinkHolocaust & jeugdliterarire teksten in Bulletin 2000 / Sporen, 30 (juli-september 2007)
PermalinkHolocauste / GERALD GREEN
PermalinkL'Holocauste lorsqu'on est enfant / Aharon Appelfeld in Nouvel Observateur, 2097 (13-19 janvier 2005)
PermalinkHommage Jacques Rozenberg / Andrée Caillet-Rozenberg
PermalinkL'Homme de l'autre côté / URI ORLEV
PermalinkHomme de couleur ! / Jérôme Ruillier
PermalinkUn homme dans la foule / Elia Kazan
PermalinkL'homme de paille / François Morel
PermalinkL'homme qui veut changer le futur / Kim Stanley Robinson in Philosophie magazine, 177 (mars 2024)
PermalinkL’Homo sovieticus a de beaux jours devant lui / Svetlana Aleksandrovna Alexievitch in Le Vif / L'Express, 46 ([13/11/2015])
PermalinkHomos in Tels Quels Magazine, 204 (Avril 2002)
PermalinkL'honneur d'un homme / Allan Massie
PermalinkPermalinkDe l'horreur à la littérature / Yves Stallonie in Magazine Littéraire, 438 (janvier 2005)
PermalinkHors des décombres du monde / Yannick Rumpala
PermalinkHôtel Problemski / Dimitri Verhulst
PermalinkHubert Boussa
Permalink113 - mars-avril-mai 2018 - Humain cherche futur (Bulletin de Secouez-vous les idées + Articulations)
PermalinkL'Humanité, l'imagination et la cinquième dimension / EDWARD BOND in Le Monde Diplomatique, 562 (janvier 2001)
PermalinkHumor and irony in two films about the Holocaust / ANDRE STEIN in Fondation Auschwitz (bulletin trimestrielle), 42-43 (juillet-septembre 1994)
PermalinkHumor is a weapon against prejudice / JAAP TANJA in Anne Frank Magazine, (1999)
Permalink16 - Humoristes belges (Bulletin de Le Vif / L'Express, 16 [22/04/2016])
PermalinkHumour belge / Fanny Legros in Philosophie magazine, 6 (février 2007)
PermalinkL'Humour comme attitude démocratique / PIERRE MANIL in Agenda Interculturel, 187 (octobre 2000)
PermalinkL'Humour, compagnon de souffrance ? in Sciences Humaines, 152 (août-septembre 2004)
PermalinkL'Humour contre la peur / Roland d' Hoop in Libertés !, 348 (novembre 1998)
PermalinkL’humour dans la lutte contre le racisme / Edgar Szoc in Signes des Temps, 2 (mars-avril 2017)
PermalinkL'Humour des français sous l'occupation / INGRID NAOUR
PermalinkPermalink75 - 4ème trimestre 2011 - L'humour ne se résigne pas, il défie (Bulletin de Echos Bruxelles Laïque)
PermalinkHumus / Fabienne Kanor
Permalink316 - octobre 2013 - Hypocrisies langagières (Bulletin de Agenda Interculturel)
PermalinkI have a dream / Jamia Wilson
PermalinkPermalinkIci Londres / JUDITH KERR
PermalinkIci, aux pentes des collines,... / MAHMOUD DARWICH in Le Monde Diplomatique, 577 (avril 2002)
PermalinkL'Idéal démocratique à l'épreuve de la Shoa / Shmuel Trigano
PermalinkIdentité inachevée / Adonis
PermalinkL'Identité juive au miroir de l'Arménie : sur les traces de Franz Werfel / CLAIRE MOURADIAN in Revue d'histoire de la Shoah, 177-178 (janvier-août 2003)
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