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Résister / Jacques Baumel
Résister : histoire secrète des années d'Occupation [texte imprimé] / Jacques Baumel, Auteur . - Paris : A. Michel, DL 2003 . - 1 vol. (604 p.) : couv. ill. , ill. ; 18 cm.
ISBN : 978-2-253-15608-6
Index
Langues : Français (fre)
Catégories : 94(100)"1939/45" Histoire Seconde Guerre mondiale
94(100)"1939/45" Résistance Seconde Guerre mondiale
94(100)"1939/45" Vie quotidienne Occupation Seconde Guerre mondiale
94(44)"19" Histoire de France au XXe siècleIndex. décimale : 940.532 Occupation / Résistance / Collaboration Résumé : Jacques Baumel appartient au très petit nombre de Français qui, dès la défaite de 1940, cherchèrent à prolonger le combat contre l'occupant. Durant l'hiver 40-41, il rejoint Henri Frenay, fondateur du plus important mouvement de résistance, Combat. Quatre années durant, il vivra en clandestin, réussissant à échapper aux innombrables arrestations qui déciment les combattants de l'ombre. Le récit qu'il brosse de cette existence constitue un témoignage aussi inattendu que précieux. Devenu secrétaire général des Mouvements unis de Résistance (MUR), Jacques Baumel organise la plupart des réunions où s'affrontent les hommes et les thèses qui dessinent le futur visage de la France : conflit entre Moulin et Frenay sur la place de la résistance intérieure par rapport aux Français libres de Londres ; conflit entre Moulin et Brossolette sur le retour des partis au sein du CNR ; conflit entre les MUR et la résistance communiste. Véritable histoire secrète de la Résistance, le témoignage de Jacques Baumel multiplie les révélations, les portraits sans complaisance, et permet de comprendre, de l'affaire de Caluire à l'assassinat d'Henriot, la nature des débats qui contribuèrent à façonner la France de la Libération. Fait " Compagnon de la Libération " par le général de Gaulle, Jacques Baumel lui est resté fidèle tout au long de sa vie politique
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Titre : Résister : histoire secrète des années d'Occupation Type de document : texte imprimé Auteurs : Jacques Baumel, Auteur Editeur : Paris : A. Michel Année de publication : DL 2003 Importance : 1 vol. (604 p.) Présentation : couv. ill. , ill. Format : 18 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-253-15608-6 Note générale : Index Langues : Français (fre) Catégories : 94(100)"1939/45" Histoire Seconde Guerre mondiale
94(100)"1939/45" Résistance Seconde Guerre mondiale
94(100)"1939/45" Vie quotidienne Occupation Seconde Guerre mondiale
94(44)"19" Histoire de France au XXe siècleIndex. décimale : 940.532 Occupation / Résistance / Collaboration Résumé : Jacques Baumel appartient au très petit nombre de Français qui, dès la défaite de 1940, cherchèrent à prolonger le combat contre l'occupant. Durant l'hiver 40-41, il rejoint Henri Frenay, fondateur du plus important mouvement de résistance, Combat. Quatre années durant, il vivra en clandestin, réussissant à échapper aux innombrables arrestations qui déciment les combattants de l'ombre. Le récit qu'il brosse de cette existence constitue un témoignage aussi inattendu que précieux. Devenu secrétaire général des Mouvements unis de Résistance (MUR), Jacques Baumel organise la plupart des réunions où s'affrontent les hommes et les thèses qui dessinent le futur visage de la France : conflit entre Moulin et Frenay sur la place de la résistance intérieure par rapport aux Français libres de Londres ; conflit entre Moulin et Brossolette sur le retour des partis au sein du CNR ; conflit entre les MUR et la résistance communiste. Véritable histoire secrète de la Résistance, le témoignage de Jacques Baumel multiplie les révélations, les portraits sans complaisance, et permet de comprendre, de l'affaire de Caluire à l'assassinat d'Henriot, la nature des débats qui contribuèrent à façonner la France de la Libération. Fait " Compagnon de la Libération " par le général de Gaulle, Jacques Baumel lui est resté fidèle tout au long de sa vie politique
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Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 48024 940.532/BAU Livre Libre-accès Adultes Disponible Le retour à l'ordre / Virginie Devillez
Le retour à l'ordre : art et politique en Belgique de 1918 à 1945 [texte imprimé] / Virginie Devillez , Auteur . - Bruxelles : Labor : Bruxelles : Dexia, 2003 . - 1 vol. (431 p. : couv. ill., ill. ; 31cm.
ISBN : 978-2-8040-1793-4
Sources, bibliorgaphie, abbréviations, index
Langues : Français (fre)
Catégories : 32.019 Propagande / Communication politique / Médias et politique
7.0 Art en général
7.05 Utilisation de l'art
94"1918-1939" Histoire entre-deux-guerres
94(100)"1939/45" Histoire Seconde Guerre mondiale
94(100)"1939/45" Collaboration Seconde Guerre mondiale
94(493)"19" Histoire de la Belgique au XXe siècleIndex. décimale : 940.532 Occupation / Résistance / Collaboration Résumé : Article du Monde Diplomatique (janvier 2004) :
L’art belge sous la férule nazie
Quand la Belgique, le 28 mai 1940, capitule devant l’Allemagne, ses ministres ont déjà pris le chemin de l’exil. Toutefois, avant de partir, ils ont promulgué, le 10 mai, un arrêté. Celui-ci exige que leurs charges soient assumées, en leur absence, par les secrétaires généraux de leurs ministères. Le personnel politique ayant disparu, un gouvernement du type de celui de Vichy, comme en France, était difficile à instaurer. Les occupants se sont donc trouvés devant de simples fonctionnaires avec lesquels il leur fallait essayer de composer.
Les bouleversements radicaux ont ainsi été épargnés au système administratif belge, même si l’administrateur militaire allemand s’est efforcé résolument de soumettre les récalcitrants. Le département de l’instruction publique a été dirigé à Bruxelles, jusqu’à la Libération, par Marcel Nyns, déjà en fonctions avant la guerre. En revanche, Hitler ayant exprimé sa volonté que des avantages soient accordés aux Flamands, le responsable du secteur des Beaux-Arts fut limogé, au bénéfice d’un conservateur de musée d’Anvers, Jozef Muls. Mais, quelle chance, le nouveau promu était honnête. Durant toute l’Occupation, il essaya de ne pas avantager les artistes flamands, et il alla jusqu’à se risquer, au nom de l’Etat, à acheter des tableaux à des peintres juifs.
Cependant, la Belgique, de 1939 à la fin de 1944, n’en a pas moins été « nazifiée ». Virginie Devillez le met en lumière dans tous ses méandres (1). Avec force détails, elle analyse la politique culturelle en Flandre et en Wallonie, instituée avec le concours de littérateurs et d’artistes qui, par conviction ou par opportunisme, ont cédé devant les manipulations des autorités allemandes. Cela depuis les critiques d’art Colin, Eamans et Marlier, anciens chantres des avant-gardes, jusqu’au romancier « prolétarien » Pierre Hubermont, nommé en 1941 président de la Communauté culturelle wallone.
Le travail de Virginie Devillez donne à comprendre la collaboration « à la belge » en éclairant la crise qui règne dans les années 1930. Beaucoup d’intellectuels et d’artistes s’adaptent alors au prétendu besoin d’ordre qui est, avant la guerre, proclamé çà et là en Europe, et cette adaptation ouvre un peu plus tard leur passage, sans problèmes de conscience, à l’apologie de tous les thèmes fascistes. Ils vont exalter l’artisanat, le métier, les sujets classiques et, pour les Flamands, le dynamisme intrinsèque de la « germanité ».
En fait, l’Occupation allemande a été en Belgique, comme partout, la source des plus infâmes persécutions. Le faux-semblant d’une vie culturelle sans heurts, où les cinémas, les théâtres, les salles de concert et d’exposition reprennent des activités à peu près normales dès la fin mai 1940, a permis une répression d’autant plus aisée contre les juifs, les communistes et les résistants. Les écrivains et les artistes, au contraire de ce qui s’est passé en France, se sont peu rassemblés, en effet, en une opposition organisée. Trois bulletins ayant pour titre Art et Liberté ont simplement été publiés dans la clandestinité de 1941 à 1943, à l’initiative d’un Front de l’indépendance animé par un lithographe, Welchar, et par un professeur de mathématiques féru d’art, Jean Lagneau.
Devant l’amoncellement des compromissions et des lâchetés, le bilan tiré par Virginie Devillez dans un livre qui est richement documenté et illustré laisse un goût amer. Alors que le critique d’art Richard Dupierreux, ayant récupéré, avec la Libération, sa chronique au journal Le Soir, annonce le 15 septembre 1944 un nécessaire « nettoyage de la maison », elle constate que, finalement, les sanctions n’ont pas été nombreuses. Pourquoi ? « Les réseaux d’amitié et les relations professionnelles préexistant à la guerre » ont prévalu.
Lionel Richard.
Note de contenu : Table :
1. le temps des crises
* Splendeurs et misère de l'administration des Beaux-Arts
Ministres et fonctionnaires / acquisitions, expositions et inquisition
* Les beaux-arts en dépression
1929-1932 : es années noires / 1932-1934 : l'heure de la prise en compte
* Conclusion : de la nécessité d'agir
2. Le temps des espoirs et des doutes
* Les enseignements de l'Exposition universelle de Bruxelles 1935
la consécration de l'Art moderne / "Quand les trois arts se donnent la main" / Conclusion : Bruxelles 1935, un expérience pilote
* Les leçons et les déceptions de l'Exposition internationale de Paris 1937
la revalorisation des Arts industriels et de leur enseignement / des lendemains qui déchantent / conclusion : une politique à deux vitesses / Conclusion : une politique à deux vitesses
* Les congés payés et l'émergence d'une "volonté culturelle"
le rôle social des musées / "Pour une politique des beaux-Arts" / Conclusion
3. Les temps sombres
* Les arts "occupés"
"En art comme en politique, la révolution est de droite" / Les nouvelles instances culturelles / retour à la "normalité" / la germanisation en douce / Conclusion
* Les fausses continuités
le Nouvel ordre culturel / L'Art politique / Conclusion
4. Épilogue
5. Conclusion
Annexes : tableaux œuvres d'art, artistes, dépenses publiques, etcPermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : Le retour à l'ordre : art et politique en Belgique de 1918 à 1945 Type de document : texte imprimé Auteurs : Virginie Devillez , Auteur Editeur : Bruxelles : Labor Année de publication : 2003 Autre Editeur : Bruxelles : Dexia Importance : 1 vol. (431 p. Présentation : couv. ill., ill. Format : 31cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-8040-1793-4 Note générale : Sources, bibliorgaphie, abbréviations, index Langues : Français (fre) Catégories : 32.019 Propagande / Communication politique / Médias et politique
7.0 Art en général
7.05 Utilisation de l'art
94"1918-1939" Histoire entre-deux-guerres
94(100)"1939/45" Histoire Seconde Guerre mondiale
94(100)"1939/45" Collaboration Seconde Guerre mondiale
94(493)"19" Histoire de la Belgique au XXe siècleIndex. décimale : 940.532 Occupation / Résistance / Collaboration Résumé : Article du Monde Diplomatique (janvier 2004) :
L’art belge sous la férule nazie
Quand la Belgique, le 28 mai 1940, capitule devant l’Allemagne, ses ministres ont déjà pris le chemin de l’exil. Toutefois, avant de partir, ils ont promulgué, le 10 mai, un arrêté. Celui-ci exige que leurs charges soient assumées, en leur absence, par les secrétaires généraux de leurs ministères. Le personnel politique ayant disparu, un gouvernement du type de celui de Vichy, comme en France, était difficile à instaurer. Les occupants se sont donc trouvés devant de simples fonctionnaires avec lesquels il leur fallait essayer de composer.
Les bouleversements radicaux ont ainsi été épargnés au système administratif belge, même si l’administrateur militaire allemand s’est efforcé résolument de soumettre les récalcitrants. Le département de l’instruction publique a été dirigé à Bruxelles, jusqu’à la Libération, par Marcel Nyns, déjà en fonctions avant la guerre. En revanche, Hitler ayant exprimé sa volonté que des avantages soient accordés aux Flamands, le responsable du secteur des Beaux-Arts fut limogé, au bénéfice d’un conservateur de musée d’Anvers, Jozef Muls. Mais, quelle chance, le nouveau promu était honnête. Durant toute l’Occupation, il essaya de ne pas avantager les artistes flamands, et il alla jusqu’à se risquer, au nom de l’Etat, à acheter des tableaux à des peintres juifs.
Cependant, la Belgique, de 1939 à la fin de 1944, n’en a pas moins été « nazifiée ». Virginie Devillez le met en lumière dans tous ses méandres (1). Avec force détails, elle analyse la politique culturelle en Flandre et en Wallonie, instituée avec le concours de littérateurs et d’artistes qui, par conviction ou par opportunisme, ont cédé devant les manipulations des autorités allemandes. Cela depuis les critiques d’art Colin, Eamans et Marlier, anciens chantres des avant-gardes, jusqu’au romancier « prolétarien » Pierre Hubermont, nommé en 1941 président de la Communauté culturelle wallone.
Le travail de Virginie Devillez donne à comprendre la collaboration « à la belge » en éclairant la crise qui règne dans les années 1930. Beaucoup d’intellectuels et d’artistes s’adaptent alors au prétendu besoin d’ordre qui est, avant la guerre, proclamé çà et là en Europe, et cette adaptation ouvre un peu plus tard leur passage, sans problèmes de conscience, à l’apologie de tous les thèmes fascistes. Ils vont exalter l’artisanat, le métier, les sujets classiques et, pour les Flamands, le dynamisme intrinsèque de la « germanité ».
En fait, l’Occupation allemande a été en Belgique, comme partout, la source des plus infâmes persécutions. Le faux-semblant d’une vie culturelle sans heurts, où les cinémas, les théâtres, les salles de concert et d’exposition reprennent des activités à peu près normales dès la fin mai 1940, a permis une répression d’autant plus aisée contre les juifs, les communistes et les résistants. Les écrivains et les artistes, au contraire de ce qui s’est passé en France, se sont peu rassemblés, en effet, en une opposition organisée. Trois bulletins ayant pour titre Art et Liberté ont simplement été publiés dans la clandestinité de 1941 à 1943, à l’initiative d’un Front de l’indépendance animé par un lithographe, Welchar, et par un professeur de mathématiques féru d’art, Jean Lagneau.
Devant l’amoncellement des compromissions et des lâchetés, le bilan tiré par Virginie Devillez dans un livre qui est richement documenté et illustré laisse un goût amer. Alors que le critique d’art Richard Dupierreux, ayant récupéré, avec la Libération, sa chronique au journal Le Soir, annonce le 15 septembre 1944 un nécessaire « nettoyage de la maison », elle constate que, finalement, les sanctions n’ont pas été nombreuses. Pourquoi ? « Les réseaux d’amitié et les relations professionnelles préexistant à la guerre » ont prévalu.
Lionel Richard.
Note de contenu : Table :
1. le temps des crises
* Splendeurs et misère de l'administration des Beaux-Arts
Ministres et fonctionnaires / acquisitions, expositions et inquisition
* Les beaux-arts en dépression
1929-1932 : es années noires / 1932-1934 : l'heure de la prise en compte
* Conclusion : de la nécessité d'agir
2. Le temps des espoirs et des doutes
* Les enseignements de l'Exposition universelle de Bruxelles 1935
la consécration de l'Art moderne / "Quand les trois arts se donnent la main" / Conclusion : Bruxelles 1935, un expérience pilote
* Les leçons et les déceptions de l'Exposition internationale de Paris 1937
la revalorisation des Arts industriels et de leur enseignement / des lendemains qui déchantent / conclusion : une politique à deux vitesses / Conclusion : une politique à deux vitesses
* Les congés payés et l'émergence d'une "volonté culturelle"
le rôle social des musées / "Pour une politique des beaux-Arts" / Conclusion
3. Les temps sombres
* Les arts "occupés"
"En art comme en politique, la révolution est de droite" / Les nouvelles instances culturelles / retour à la "normalité" / la germanisation en douce / Conclusion
* Les fausses continuités
le Nouvel ordre culturel / L'Art politique / Conclusion
4. Épilogue
5. Conclusion
Annexes : tableaux œuvres d'art, artistes, dépenses publiques, etcPermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 45932 940.532/DEV Livre Libre-accès Adultes Exclu du prêt La Rose Blanche / FONDATION ROSE BLANCHE (MUNICH)
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 29672/1 940.532/FON Livre Libre-accès Adultes Disponible La Rose blanche / Inge Scholl
La Rose blanche : six allemands contre le nazisme [texte imprimé] / Inge Scholl . - Paris : Editions de Minuit, 1998 . - p. 156. - (Documents) .
ISBN : 2-7073-0260-0
Langues : Français (fre)
Catégories : 0(082) Critique / extrait document / citations
32.019 Propagande / Communication politique / Médias et politique
321.6"1933/1945" Nazisme
94(100)"1939/45" Histoire Seconde Guerre mondiale
94(100)"1939/45" Résistance Seconde Guerre mondiale
94(430) Histoire de l'Allemagne
94(430)"1939/45" La Rose BlancheIndex. décimale : 940.532 Occupation / Résistance / Collaboration Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : La Rose blanche : six allemands contre le nazisme Type de document : texte imprimé Auteurs : Inge Scholl Editeur : Paris : Editions de Minuit Année de publication : 1998 Collection : Documents Importance : p. 156 ISBN/ISSN/EAN : 2-7073-0260-0 Langues : Français (fre) Catégories : 0(082) Critique / extrait document / citations
32.019 Propagande / Communication politique / Médias et politique
321.6"1933/1945" Nazisme
94(100)"1939/45" Histoire Seconde Guerre mondiale
94(100)"1939/45" Résistance Seconde Guerre mondiale
94(430) Histoire de l'Allemagne
94(430)"1939/45" La Rose BlancheIndex. décimale : 940.532 Occupation / Résistance / Collaboration Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 13544/1 940.532/SCH Livre Libre-accès Adultes Exclu du prêt La rose et l'edelweiss / Roger Faligot
La rose et l'edelweiss : ces ados qui combattaient le nazisme, 1933-1945 [texte imprimé] / Roger Faligot (1952-....), Auteur . - Paris : La Découverte, impr. 2009 . - 1 vol. (381 p.) : couv. ill. ; 24 cm. - (Cahiers libres, ISSN 0526-8370) .
ISBN : 978-2-7071-5420-0 : 22,65 €
Bibliogr. p. 365-379
Langues : Français (fre)
Catégories : -053.2 Enfants / Jeunes
061.213 Organisations de jeunesse
323.25 Résistance passive . Désobéissance civile. Lutte non armée
323.26 Résistance armée . Lutte active. Sabotage . Guérilla
929 Biographies et témoignages
94(100)"1939/45" Résistance Seconde Guerre mondialeIndex. décimale : 940.532 Occupation / Résistance / Collaboration Résumé : site éditeur :
Connaissez-vous la Rose blanche, les Pirates de l’edelweiss, la Main noire ou la Bande du Boul’mich ? Dans toute l’Europe occupée, ces groupes d’« enfants de la liberté », âgés de douze à dix-neuf ans, ont combattu le nazisme. Obligeant souvent les adultes à s’engager, ils ont été de tous les maquis : français, italiens, soviétiques, polonais… Roger Faligot retrace, dans ce premier livre sur le sujet, la poignante épopée de ces centaines de milliers d’ados – collégiens, apprentis, mômes des rues, tout jeunes étudiants, scouts –, qui, à partir de simples gestes de solidarité, se sont ensuite engagés dans la Résistance au péril de leur vie.
En Allemagne, les Pirates de l’edelweiss combattent dès 1933 le parti nazi. Au Danemark, le club Churchill allume la mèche de l’action secrète. À Auschwitz, Róza Robota et ses camarades de déportation font sauter un four crématoire. En France, l’auteur fait revivre les manifs lycéennes du 11 novembre 1940 ; les opérations de la Main noire contre les chefs nazis en Alsace, la chasse au renseignement des enfants-espions de Lorraine ; la mystérieuse histoire de la Bretonne Anne Corre, les actions de guérilla de Thomas Elek pour l’Affiche rouge à Paris.
Ce palpitant récit, nourri de documents et de témoignages inédits, pose la question de savoir pourquoi ces ados n’apparaissent pas dans l’histoire officielle de la Résistance. Enfin, ces différentes trajectoires n’ont pas fini de faire réfléchir, jeunes et moins jeunes, sur toutes les manières de dire « non » et d’organiser sa révolte face à l’oppression.Note de contenu : Table :
Introduction : Les ados dans la Résistance, un sujet tabou ?
- Chapitre 1 – Trois trains et une stèle au Pirate inconnu
- Chapitre 2 – La fronde des lycéens du 11 novembre
- Chapitre 3 – Le peuple des enfants au pas de l’oie
- Chapitre 4 – Les justiciers de la Main noire
- Chapitre 5 – L’«armée des petites ombres» dans la Ville lumière
- Chapitre 6 – Les gavroches du Drapeau rouge
- Chapitre 7 – Espions, scouts et cadets de la France libre
- Chapitre 8 - Les petits princes à l’étoile jaune
- Chapitre 9 - Jeunes amazones du Komsomol
- Chapitre 10 – Pirates de l’edelweiss, swing kids et Rose blanche
- Chapitre 11 – Les Vikings masqués du club Churchill
- Chapitre 12 – Róza et les révoltés d’Auschwitz
- Chapitre 13 – Le photographe et les « scouts gris » de Varsovie
- Chapitre 14 – Piccoli partigiani d’Italia e di Corsica -Chapitre 15 – Anne Corre, un mystère breton
- Chapitre 16 – Été 1944, au Bataillon des enfants perdus
- Conclusion : Guy Môquet et « les enfants de la liberté »
- Sources et bibilographie.Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : La rose et l'edelweiss : ces ados qui combattaient le nazisme, 1933-1945 Type de document : texte imprimé Auteurs : Roger Faligot (1952-....), Auteur Editeur : Paris : La Découverte Année de publication : impr. 2009 Collection : Cahiers libres, ISSN 0526-8370 Importance : 1 vol. (381 p.) Présentation : couv. ill. Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7071-5420-0 Prix : 22,65 € Note générale : Bibliogr. p. 365-379 Langues : Français (fre) Catégories : -053.2 Enfants / Jeunes
061.213 Organisations de jeunesse
323.25 Résistance passive . Désobéissance civile. Lutte non armée
323.26 Résistance armée . Lutte active. Sabotage . Guérilla
929 Biographies et témoignages
94(100)"1939/45" Résistance Seconde Guerre mondialeIndex. décimale : 940.532 Occupation / Résistance / Collaboration Résumé : site éditeur :
Connaissez-vous la Rose blanche, les Pirates de l’edelweiss, la Main noire ou la Bande du Boul’mich ? Dans toute l’Europe occupée, ces groupes d’« enfants de la liberté », âgés de douze à dix-neuf ans, ont combattu le nazisme. Obligeant souvent les adultes à s’engager, ils ont été de tous les maquis : français, italiens, soviétiques, polonais… Roger Faligot retrace, dans ce premier livre sur le sujet, la poignante épopée de ces centaines de milliers d’ados – collégiens, apprentis, mômes des rues, tout jeunes étudiants, scouts –, qui, à partir de simples gestes de solidarité, se sont ensuite engagés dans la Résistance au péril de leur vie.
En Allemagne, les Pirates de l’edelweiss combattent dès 1933 le parti nazi. Au Danemark, le club Churchill allume la mèche de l’action secrète. À Auschwitz, Róza Robota et ses camarades de déportation font sauter un four crématoire. En France, l’auteur fait revivre les manifs lycéennes du 11 novembre 1940 ; les opérations de la Main noire contre les chefs nazis en Alsace, la chasse au renseignement des enfants-espions de Lorraine ; la mystérieuse histoire de la Bretonne Anne Corre, les actions de guérilla de Thomas Elek pour l’Affiche rouge à Paris.
Ce palpitant récit, nourri de documents et de témoignages inédits, pose la question de savoir pourquoi ces ados n’apparaissent pas dans l’histoire officielle de la Résistance. Enfin, ces différentes trajectoires n’ont pas fini de faire réfléchir, jeunes et moins jeunes, sur toutes les manières de dire « non » et d’organiser sa révolte face à l’oppression.Note de contenu : Table :
Introduction : Les ados dans la Résistance, un sujet tabou ?
- Chapitre 1 – Trois trains et une stèle au Pirate inconnu
- Chapitre 2 – La fronde des lycéens du 11 novembre
- Chapitre 3 – Le peuple des enfants au pas de l’oie
- Chapitre 4 – Les justiciers de la Main noire
- Chapitre 5 – L’«armée des petites ombres» dans la Ville lumière
- Chapitre 6 – Les gavroches du Drapeau rouge
- Chapitre 7 – Espions, scouts et cadets de la France libre
- Chapitre 8 - Les petits princes à l’étoile jaune
- Chapitre 9 - Jeunes amazones du Komsomol
- Chapitre 10 – Pirates de l’edelweiss, swing kids et Rose blanche
- Chapitre 11 – Les Vikings masqués du club Churchill
- Chapitre 12 – Róza et les révoltés d’Auschwitz
- Chapitre 13 – Le photographe et les « scouts gris » de Varsovie
- Chapitre 14 – Piccoli partigiani d’Italia e di Corsica -Chapitre 15 – Anne Corre, un mystère breton
- Chapitre 16 – Été 1944, au Bataillon des enfants perdus
- Conclusion : Guy Môquet et « les enfants de la liberté »
- Sources et bibilographie.Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di Réservation
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Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 45733 940.532/FAL Livre Libre-accès Adultes Disponible 46264 940.532/FAL Livre Réserve - Disponible Du rouge au tricolore / José Gotovitch
PermalinkDu rouge au tricolore : les communistes belges de 1939 à 1944 / José Gotovitch
PermalinkLa route du maquis
PermalinkDes S.S. au parlement, des Résistants en prison
PermalinkLe saboteur / Charles Wighton
PermalinkLe Sang versé nous unit / WLADYSLAW BARTOSZEWSKI
PermalinkSanglante randonnée / Olivier Pigoreau
PermalinkSans armes face à Hitler / Jacques Sémelin
PermalinkSchaerbeek résistance
PermalinkScouts résistants de la Cité Ardente / Guy Weber
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