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316 - octobre 2013 - Hypocrisies langagières (Bulletin de Agenda Interculturel)
[n° ou bulletin] 316 - octobre 2013 - Hypocrisies langagières : Politiquement correct et société multiculturelle : quels rapports ? [texte imprimé] . - 2013 . - 31 p.
Langues : Français (fre)
Catégories : 316.77 Communication
32.019 Propagande / Communication politique / Médias et politique
323.118 Racisme. Rejet. Préjugés. Discriminations. Ségrégation raciale. Xénophobie
81 Linguistique Langue
82-5 Eloquence Discours
Inégalités sociales / Précarité
Tsiganes / Roms / Gitans / Gens du VoyageRésumé : Le "politiquement incorrect" est une notion fourre-tout, que l’on entend souvent associée à la complainte "on ne peut plus rien dire !", voire aux justifications de discours franchement racistes. Le "discours politiquement correct" peut aussi être utilisé en combinaison avec la langue de bois, pour laquelle il constitue un outil précieux, puisque ces "euphémismes pudiques" cachent le sens plus qu’ils ne le changent. Comment désembourber notre expression de ces pièges à pensée ? Note de contenu : Sommaire
[Edito] Hypocrisies langagières / Céline Remy
Petite histoire d’une précaution oratoire / Céline Remy
"Langue de bois" et "discours politiquement correct" ne sont pas des termes interchangeables. Bien qu’on leur oppose, à tous les deux, le franc-parler, la sincérité, l’audace voire le cynisme, ils sont apparus dans des contextes différents, pour répondre à des besoins différents. Si leur fond philosophique est le même, celui d’une maîtrise du langage personnel pour satisfaire une norme collective, langue de bois et politiquement correct trouvent leurs origines dans des blocs opposés de la guerre froide : le premier à l’Est, le second à l’Ouest, basé sur l’utopie humaniste contemporaine.
Formatage des esprits et novlangue moderne / Dominique Breton
Le novlangue, créé par George Orwell dans 1984, est sans doute la meilleure description fictionnelle du formatage des esprits par le langage. C’est sur un principe similaire de manipulation du lexique et de brouillage des référents (tant au niveau individuel que collectif) que repose fondamentalement le novlangue contemporain, amalgamant les différentes modalités et fonctions de deux phénomènes discursifs majeurs : la "langue de bois" et le "DPC" ou "discours politiquement correct".
Ateliers d’écriture cynique / Delphine d’Elia et Judith Hassoun
Au CBAI, l’expérience des "conférences gesticulées" de Franck Lepage (de la coopérative d’éducation populaire Le Pavé) a fait des petits. Cet appel puissant à une désintoxication du langage nous a poussés à proposer un atelier anti-langue de bois dans nos formations. Les objectifs : éveiller son sens critique face aux discours convenus, dérouiller l’expression afin d’appeler un chat un chat, et "vérifier collectivement que nous ne sommes pas dupes individuellement".
Les paradoxes du politiquement correct / Daniel Vander Gucht
Sur notre "vieux continent", et singulièrement dans les nations qui prônent l’assimilation plutôt que le multiculturalisme comme modèle d’intégration, l’imposition du politiquement correct semble participer pour l’opinion publique d’une forme de censure intolérable. Cette manière de brider notre franc-parler instaurerait ainsi une "pensée unique" qui paverait la voie à un régime totalitaire à la Big Brother. Aux États-Unis d’Amérique, pas moins attachés que nous à la liberté d’expression garantie par le premier amendement de leur constitution, ces pratiques passent pourtant pour progressistes et émancipatrices.
Décoloniser la langue : Entretien avec Michel Bernard
Un atelier d’écriture basé sur les œuvres d’Aimé Césaire et de Frantz Fanon, pour comprendre les lignes de force des deux auteurs et les intégrer dans sa propre écriture : c’est ce que proposera "Le coin bleu" le 30 novembre. Les objectifs : chercher à écrire au plus près de son être, plier la langue à son vouloir-dire, décoloniser l’écriture des aliénations. Entretien avec l’auteur, philosophe et metteur en scène à l’origine de ce projet, Michel Bernard.
Que veut l’anti-politiquement correct ? / Faysal G. Riad
En France comme ailleurs, l’expression "politiquement correct" s’emploie généralement comme quolibet permettant à un argumentateur réactionnaire de disqualifier toute thèse adverse. Presque personne ne se dit "politiquement correct" à proprement parler : pour le raciste, le sexiste, l’homophobe, le politiquement correct c’est toujours, de manière informelle, cette prétendue "chape de plomb", cette idéologie écrasante qui serait brutalement et arbitrairement imposée à tous de manière indistincte par cet autre, ce triste sire qui défend l’égalité, combat les injustices et n’aime pas les discriminations.
La cyberhaine en un clic / François Deleu
Depuis 2006, le Centre pour l’égalité des chances et la lutte contre le racisme travaille sur la problématique de la cyberhaine. Si à l’époque le phénomène pouvait paraître nouveau et n’engendrait qu’un nombre minime de signalements, aujourd’hui, tout surfeur a déjà été confronté au discours de haine sur Internet et le nombre de signalements transmis au Centre a augmenté considérablement.
Une cohésion sociale politiquement correcte ? / Jacqueline Fastrès et Jean Blairon
Que peut-on et ne peut-on pas dire sur nos politiques de cohésion sociale ? Si la nature "correcte" ou "incorrecte politiquement" d’un discours varie en fonction du contexte de l’énonciation, qu’en est-il de la forme choisie ? Certains modes d’expression, telle l’allégorie picturale, sont-ils plus tolérés que d’autres, permettant de dire plus, ou de faire passer la critique plus facilement ? Des allégories d’hier peuvent-elles nous aider à dire les réalités d’aujourd’hui ?
L’amer à boire / Marc André
Sur ses différents terrains, l’action sociale est organisée par des politiques, des décrets, des dispositifs ou encore des projets. Dès lors, pour les travailleurs sociaux (c’est-à -dire les personnes qui ont réussi à décrocher un emploi dans l’un ou l’autre de ces dispositifs), le "politiquement correct" c’est souvent la langue de bois de l’organisation ou du dispositif qui les emploie. Le "politiquement correct", c’est le vocabulaire obligatoire qu’ils doivent utiliser pour obtenir des subsides, rédiger des rapports, décrire et évaluer leurs actions. Sans forcément en être dupes…
In ou Out ? : Entretien avec Gwenaël Breës
Le cinéma Nova est devenu en quinze ans d’existence une référence en Belgique pour l’approche alternative et non conventionnelle de sa programmation. Gwenaël Breës, co-fondateur, en connaît bien le parcours institutionnel. À partir de celui-ci, il nous livre un regard aiguisé sur l’évolution des interactions entre le secteur de l’éducation permanente et ses bailleurs de fonds. Un regard croisé avec celui de Maria-Miguel Sierra, directrice de la "Voix des femmes". Observatoire privilégié des différentes problématiques liées aux femmes migrantes et issues de l’immigration, cette association réalise un travail soutenu de plaidoyer et d’interpellation politique.
Recherche
Quand les Roms sont arrivés…/ Christiane Bechtold
Mi-octobre 2011, quelque quarante Roms serbes, demandeurs d’asile, sont logés dans un petit village luxembourgeois, du jour au lendemain sur initiative du gouvernement, sans que les villageois en aient été informés au préalable. Quelles sont les représentations que partagent les villageois à propos de ces Roms ? Y a-t-il une chance que les préjugés puissent s’estomper ? Quelles promesses d’évolution?
Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=bulletin_ [n° ou bulletin]
Titre : 316 - octobre 2013 - Hypocrisies langagières : Politiquement correct et société multiculturelle : quels rapports ? Type de document : texte imprimé Année de publication : 2013 Importance : 31 p. Langues : Français (fre) Catégories : 316.77 Communication
32.019 Propagande / Communication politique / Médias et politique
323.118 Racisme. Rejet. Préjugés. Discriminations. Ségrégation raciale. Xénophobie
81 Linguistique Langue
82-5 Eloquence Discours
Inégalités sociales / Précarité
Tsiganes / Roms / Gitans / Gens du VoyageRésumé : Le "politiquement incorrect" est une notion fourre-tout, que l’on entend souvent associée à la complainte "on ne peut plus rien dire !", voire aux justifications de discours franchement racistes. Le "discours politiquement correct" peut aussi être utilisé en combinaison avec la langue de bois, pour laquelle il constitue un outil précieux, puisque ces "euphémismes pudiques" cachent le sens plus qu’ils ne le changent. Comment désembourber notre expression de ces pièges à pensée ? Note de contenu : Sommaire
[Edito] Hypocrisies langagières / Céline Remy
Petite histoire d’une précaution oratoire / Céline Remy
"Langue de bois" et "discours politiquement correct" ne sont pas des termes interchangeables. Bien qu’on leur oppose, à tous les deux, le franc-parler, la sincérité, l’audace voire le cynisme, ils sont apparus dans des contextes différents, pour répondre à des besoins différents. Si leur fond philosophique est le même, celui d’une maîtrise du langage personnel pour satisfaire une norme collective, langue de bois et politiquement correct trouvent leurs origines dans des blocs opposés de la guerre froide : le premier à l’Est, le second à l’Ouest, basé sur l’utopie humaniste contemporaine.
Formatage des esprits et novlangue moderne / Dominique Breton
Le novlangue, créé par George Orwell dans 1984, est sans doute la meilleure description fictionnelle du formatage des esprits par le langage. C’est sur un principe similaire de manipulation du lexique et de brouillage des référents (tant au niveau individuel que collectif) que repose fondamentalement le novlangue contemporain, amalgamant les différentes modalités et fonctions de deux phénomènes discursifs majeurs : la "langue de bois" et le "DPC" ou "discours politiquement correct".
Ateliers d’écriture cynique / Delphine d’Elia et Judith Hassoun
Au CBAI, l’expérience des "conférences gesticulées" de Franck Lepage (de la coopérative d’éducation populaire Le Pavé) a fait des petits. Cet appel puissant à une désintoxication du langage nous a poussés à proposer un atelier anti-langue de bois dans nos formations. Les objectifs : éveiller son sens critique face aux discours convenus, dérouiller l’expression afin d’appeler un chat un chat, et "vérifier collectivement que nous ne sommes pas dupes individuellement".
Les paradoxes du politiquement correct / Daniel Vander Gucht
Sur notre "vieux continent", et singulièrement dans les nations qui prônent l’assimilation plutôt que le multiculturalisme comme modèle d’intégration, l’imposition du politiquement correct semble participer pour l’opinion publique d’une forme de censure intolérable. Cette manière de brider notre franc-parler instaurerait ainsi une "pensée unique" qui paverait la voie à un régime totalitaire à la Big Brother. Aux États-Unis d’Amérique, pas moins attachés que nous à la liberté d’expression garantie par le premier amendement de leur constitution, ces pratiques passent pourtant pour progressistes et émancipatrices.
Décoloniser la langue : Entretien avec Michel Bernard
Un atelier d’écriture basé sur les œuvres d’Aimé Césaire et de Frantz Fanon, pour comprendre les lignes de force des deux auteurs et les intégrer dans sa propre écriture : c’est ce que proposera "Le coin bleu" le 30 novembre. Les objectifs : chercher à écrire au plus près de son être, plier la langue à son vouloir-dire, décoloniser l’écriture des aliénations. Entretien avec l’auteur, philosophe et metteur en scène à l’origine de ce projet, Michel Bernard.
Que veut l’anti-politiquement correct ? / Faysal G. Riad
En France comme ailleurs, l’expression "politiquement correct" s’emploie généralement comme quolibet permettant à un argumentateur réactionnaire de disqualifier toute thèse adverse. Presque personne ne se dit "politiquement correct" à proprement parler : pour le raciste, le sexiste, l’homophobe, le politiquement correct c’est toujours, de manière informelle, cette prétendue "chape de plomb", cette idéologie écrasante qui serait brutalement et arbitrairement imposée à tous de manière indistincte par cet autre, ce triste sire qui défend l’égalité, combat les injustices et n’aime pas les discriminations.
La cyberhaine en un clic / François Deleu
Depuis 2006, le Centre pour l’égalité des chances et la lutte contre le racisme travaille sur la problématique de la cyberhaine. Si à l’époque le phénomène pouvait paraître nouveau et n’engendrait qu’un nombre minime de signalements, aujourd’hui, tout surfeur a déjà été confronté au discours de haine sur Internet et le nombre de signalements transmis au Centre a augmenté considérablement.
Une cohésion sociale politiquement correcte ? / Jacqueline Fastrès et Jean Blairon
Que peut-on et ne peut-on pas dire sur nos politiques de cohésion sociale ? Si la nature "correcte" ou "incorrecte politiquement" d’un discours varie en fonction du contexte de l’énonciation, qu’en est-il de la forme choisie ? Certains modes d’expression, telle l’allégorie picturale, sont-ils plus tolérés que d’autres, permettant de dire plus, ou de faire passer la critique plus facilement ? Des allégories d’hier peuvent-elles nous aider à dire les réalités d’aujourd’hui ?
L’amer à boire / Marc André
Sur ses différents terrains, l’action sociale est organisée par des politiques, des décrets, des dispositifs ou encore des projets. Dès lors, pour les travailleurs sociaux (c’est-à -dire les personnes qui ont réussi à décrocher un emploi dans l’un ou l’autre de ces dispositifs), le "politiquement correct" c’est souvent la langue de bois de l’organisation ou du dispositif qui les emploie. Le "politiquement correct", c’est le vocabulaire obligatoire qu’ils doivent utiliser pour obtenir des subsides, rédiger des rapports, décrire et évaluer leurs actions. Sans forcément en être dupes…
In ou Out ? : Entretien avec Gwenaël Breës
Le cinéma Nova est devenu en quinze ans d’existence une référence en Belgique pour l’approche alternative et non conventionnelle de sa programmation. Gwenaël Breës, co-fondateur, en connaît bien le parcours institutionnel. À partir de celui-ci, il nous livre un regard aiguisé sur l’évolution des interactions entre le secteur de l’éducation permanente et ses bailleurs de fonds. Un regard croisé avec celui de Maria-Miguel Sierra, directrice de la "Voix des femmes". Observatoire privilégié des différentes problématiques liées aux femmes migrantes et issues de l’immigration, cette association réalise un travail soutenu de plaidoyer et d’interpellation politique.
Recherche
Quand les Roms sont arrivés…/ Christiane Bechtold
Mi-octobre 2011, quelque quarante Roms serbes, demandeurs d’asile, sont logés dans un petit village luxembourgeois, du jour au lendemain sur initiative du gouvernement, sans que les villageois en aient été informés au préalable. Quelles sont les représentations que partagent les villageois à propos de ces Roms ? Y a-t-il une chance que les préjugés puissent s’estomper ? Quelles promesses d’évolution?
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Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 48606 AGE Périodique Libre-accès Périodiques Disponible L’idéal de simplicité in Philosophie magazine, 111 (été 2017)
[article] L’idéal de simplicité [texte imprimé] . - 2017 . - p. 52-75 + livret 16 p.
Langues : Français (fre)
in Philosophie magazine > 111 (été 2017) . - p. 52-75 + livret 16 p.
Catégories : 179 Questions diverses de morale
364.1 Bien-être socialRésumé : Alors que la vie en société prend un tour de plus en plus complexe, nous sommes nombreux à nous interroger sur la meilleure manière de simplifier notre rapport à l’existence. Mais encore faut-il préciser ce que recouvre l’idée de simplicité : cette dernière n’est-elle pas plus mystérieuse qu’il n’y paraît ?
En pratique, à quoi ressemble une activité guidée par l’idéal de sobriété ? Une mathématicienne, un maître d’arts martiaux, une designer, un cuisinier et une spécialiste de l’organisation du travail nous font part de leurs stratégies, sous l’œil bienveillant et acéré du philosophe Olivier Rey, fin lecteur d’Ivan Illich.
S’il y a une pratique qui ignore bien souvent la limpidité, c’est la philosophie ! Les grands penseurs ont-ils raison de sophistiquer leur vocabulaire et leurs argumentations ? Entre Frédéric Schiffter, pour qui la prose des grands moralistes classiques est un modèle, et Françoise Dastur, spécialiste de la phénoménologie, le débat est frontal.
Ce dossier s’achève par un très beau dialogue. Fabienne Verdier est une peintre inspirée par la voie du Tao. Edgar Morin est, depuis la parution de son grand œuvre La Méthode, le penseur de la complexité. Avec une complicité sincère, ils évoquent cet insaisissable instant où émerge un trait, une énergie, une formule qui embrasse, intensifie, transforme l’existence !Note de contenu : Articles
Déliés, plutôt que pleins Par Alexandre Lacroix
À l’ère du trop-plein, l’aspiration à cultiver des vies plus sobres tente nombre de nos contemporains. Mais sur quel chemin s’engager pour accéder à la simplicité : l’épure, l’effort ou l’innocence ?
Ils reviennent à l’élémentaire Par Cédric Enjalbert, Samuel Lacroix
Nos cinq témoins sont habités par les difficiles vertus de la sobriété. À l’instar du philosophe Olivier Rey qui commente leurs étonnantes expériences.
La pensée doit-elle s’exprimer dans un langage accessible ? Par Martin Duru
La prose de Kant, Hegel ou Heidegger en a découragé plus d’un. Faut-il donc faire le plein de mots obscurs pour s’aventurer dans le monde des idées ? Le débat est ouvert entre Frédéric Schiffter, pourfendeur du bluff conceptuel, et Françoise Dastur, qui fait de cette difficulté une condition pour sortir de notre confort intellectuel.
Fabienne Verdier/Edgar Morin. L’union des contraires Par Michel Eltchaninoff
Lorsque le penseur de la complexité et l’artiste de l’ascèse inspirée par la Chine se rencontrent, on découvre qu’au terme d’un long travail de transformation, la sophistication peut aboutir à la simplicité la plus enfantine.
+ cahier central :extraits de "Walden ou la vie dans les bois" (1854) de Henry David ThoreauPermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : L’idéal de simplicité Type de document : texte imprimé Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 52-75 + livret 16 p. Langues : Français (fre) Catégories : 179 Questions diverses de morale
364.1 Bien-être socialRésumé : Alors que la vie en société prend un tour de plus en plus complexe, nous sommes nombreux à nous interroger sur la meilleure manière de simplifier notre rapport à l’existence. Mais encore faut-il préciser ce que recouvre l’idée de simplicité : cette dernière n’est-elle pas plus mystérieuse qu’il n’y paraît ?
En pratique, à quoi ressemble une activité guidée par l’idéal de sobriété ? Une mathématicienne, un maître d’arts martiaux, une designer, un cuisinier et une spécialiste de l’organisation du travail nous font part de leurs stratégies, sous l’œil bienveillant et acéré du philosophe Olivier Rey, fin lecteur d’Ivan Illich.
S’il y a une pratique qui ignore bien souvent la limpidité, c’est la philosophie ! Les grands penseurs ont-ils raison de sophistiquer leur vocabulaire et leurs argumentations ? Entre Frédéric Schiffter, pour qui la prose des grands moralistes classiques est un modèle, et Françoise Dastur, spécialiste de la phénoménologie, le débat est frontal.
Ce dossier s’achève par un très beau dialogue. Fabienne Verdier est une peintre inspirée par la voie du Tao. Edgar Morin est, depuis la parution de son grand œuvre La Méthode, le penseur de la complexité. Avec une complicité sincère, ils évoquent cet insaisissable instant où émerge un trait, une énergie, une formule qui embrasse, intensifie, transforme l’existence !Note de contenu : Articles
Déliés, plutôt que pleins Par Alexandre Lacroix
À l’ère du trop-plein, l’aspiration à cultiver des vies plus sobres tente nombre de nos contemporains. Mais sur quel chemin s’engager pour accéder à la simplicité : l’épure, l’effort ou l’innocence ?
Ils reviennent à l’élémentaire Par Cédric Enjalbert, Samuel Lacroix
Nos cinq témoins sont habités par les difficiles vertus de la sobriété. À l’instar du philosophe Olivier Rey qui commente leurs étonnantes expériences.
La pensée doit-elle s’exprimer dans un langage accessible ? Par Martin Duru
La prose de Kant, Hegel ou Heidegger en a découragé plus d’un. Faut-il donc faire le plein de mots obscurs pour s’aventurer dans le monde des idées ? Le débat est ouvert entre Frédéric Schiffter, pourfendeur du bluff conceptuel, et Françoise Dastur, qui fait de cette difficulté une condition pour sortir de notre confort intellectuel.
Fabienne Verdier/Edgar Morin. L’union des contraires Par Michel Eltchaninoff
Lorsque le penseur de la complexité et l’artiste de l’ascèse inspirée par la Chine se rencontrent, on découvre qu’au terme d’un long travail de transformation, la sophistication peut aboutir à la simplicité la plus enfantine.
+ cahier central :extraits de "Walden ou la vie dans les bois" (1854) de Henry David ThoreauPermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in Philosophie magazine > 111 (été 2017) . - p. 52-75 + livret 16 p.Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 50605 PHI Périodique Réserve Périodiques Disponible Identité et action collective / ALESSANDRO PIZZORNO in Sciences Humaines, 103 (mars 2000)
[article] Identité et action collective : interview de A. Pizzorno qui voit un phénomène permanent derrière les formes de l'engagement politique : la quête d'identité et la reconnaissance [texte imprimé] / ALESSANDRO PIZZORNO ; PHILIPPE CABIN . - 2000 . - pp. 38 - 41.
Langues : Français (fre)
in Sciences Humaines > 103 (mars 2000) . - pp. 38 - 41[article]
Titre : Identité et action collective : interview de A. Pizzorno qui voit un phénomène permanent derrière les formes de l'engagement politique : la quête d'identité et la reconnaissance Type de document : texte imprimé Auteurs : ALESSANDRO PIZZORNO ; PHILIPPE CABIN Année de publication : 2000 Article en page(s) : pp. 38 - 41 Langues : Français (fre) Catégories : 159.9 Psychologie
316.35 Groupes / Identités / Communautés
323.21 Militantisme Participation Engagement
364.122 Modifications socialesPermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in Sciences Humaines > 103 (mars 2000) . - pp. 38 - 41Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 15926/1 P/2106 Périodique Réserve Périodiques Disponible Identité exprimée : identité non menacée ? / JACQUES MEYERS in Agenda Interculturel, 177 (octobre 1999)
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 14126/1 P/1872 Périodique Libre-accès Périodiques Disponible Identité et violence. L’illusion du destin d’Amartya Sen / Albert Bastenier in La Revue Nouvelle, 5-6 (mai-juin 2008)
[article] Identité et violence. L’illusion du destin d’Amartya Sen [texte imprimé] / Albert Bastenier, Auteur . - 2008 . - pp. 66-73.
Langues : Français (fre)
in La Revue Nouvelle > 5-6 (mai-juin 2008) . - pp. 66-73
Catégories : 0(082) Critique / extrait document / citations
338 Politique économique
364.23 Famine.Détresse. Pauvreté. Dette (surendettement)Résumé : L’économiste indien Amartya Sen est connu pour ses travaux sur les mécanismes fondamentaux de la pauvreté, de la famine et du développement, sur les inégalités entre les hommes et les femmes et sur les indicateurs sociaux du bien-être en général. C’est surtout sa thèse sur la «capabilité» qui a retenu l’attention, c’est-à -dire les fonctionnements de base qui assurent aux individus les moyens minima de contrôle sur le cours de leur vie. En 1998, il a reçu le prix Nobel d’économie pour l’ensemble de son œuvre. Tout en cherchant à le contester de l’intérieur, il reste toutefois inscrit dans le courant dominant de la théorie économique néoclassique, partageant les hypothèses de la théorie du choix rationnel et de l’individualisme méthodologique. C’est donc un intellectuel tout à la fois facile et difficile à classer. Et ceci d’autant plus qu’il s’agit, en outre, d’un humaniste qui n’hésite pas à s’impliquer dans les grands débats de son temps. À ce titre, il pourrait d’ailleurs tout aussi bien être présenté comme philosophe, historien ou analyste politique. [...] Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : Identité et violence. L’illusion du destin d’Amartya Sen Type de document : texte imprimé Auteurs : Albert Bastenier, Auteur Année de publication : 2008 Article en page(s) : pp. 66-73 Langues : Français (fre) Catégories : 0(082) Critique / extrait document / citations
338 Politique économique
364.23 Famine.Détresse. Pauvreté. Dette (surendettement)Résumé : L’économiste indien Amartya Sen est connu pour ses travaux sur les mécanismes fondamentaux de la pauvreté, de la famine et du développement, sur les inégalités entre les hommes et les femmes et sur les indicateurs sociaux du bien-être en général. C’est surtout sa thèse sur la «capabilité» qui a retenu l’attention, c’est-à -dire les fonctionnements de base qui assurent aux individus les moyens minima de contrôle sur le cours de leur vie. En 1998, il a reçu le prix Nobel d’économie pour l’ensemble de son œuvre. Tout en cherchant à le contester de l’intérieur, il reste toutefois inscrit dans le courant dominant de la théorie économique néoclassique, partageant les hypothèses de la théorie du choix rationnel et de l’individualisme méthodologique. C’est donc un intellectuel tout à la fois facile et difficile à classer. Et ceci d’autant plus qu’il s’agit, en outre, d’un humaniste qui n’hésite pas à s’impliquer dans les grands débats de son temps. À ce titre, il pourrait d’ailleurs tout aussi bien être présenté comme philosophe, historien ou analyste politique. [...] Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in La Revue Nouvelle > 5-6 (mai-juin 2008) . - pp. 66-73Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Identités et politique
PermalinkIdentités et religions / Xavier Molénat in Sciences Humaines, HS 41 (juin-août 2003)
PermalinkDe l'idéologie du libre-échange / Georges Corm in Manière de voir, 74 (avril-mai 2004)
PermalinkIl était une fois le développement / MICHAEL SINGELTON in Agenda Interculturel, 156 (septembre 1997)
PermalinkPermalinkIllétrisme - analphabétisme in L'Observatoire, 20 (1998)
PermalinkL'Illusion économique / Emmanuel Todd
PermalinkLes Illusions du libre-échange au Québec / DORVAL BRUNELLE in Le Monde Diplomatique, 539 (février 1999)
PermalinkL'Illusoire retour à la terre en Indonésie / JEAN BREMAN in Le Monde Diplomatique, 535 (octobre 1998)
PermalinkIls viennent pour de l'argent, qu'on disait... / JENNIE DE GRAVE in Osmoses, 23 (avril-juin 2002)
PermalinkImages = Bilder = Pictures / MUSEE INTERNATIONAL DE LA CROIX-ROUGE ET DU CROISSANT-ROUGE
Permalink142 - janvier-février 2011 - Images de la précarité (Bulletin de La Chronique de la Ligue des droits de l'Homme)
PermalinkL'Immense détresse des Rom / Dorothée Klein in Le Vif / L'Express, 1742 ([22/10/1999])
PermalinkL'Immigration clandestine de main-d'oeuvre dans la région bruxelloise / LOFTI SLIMANE
PermalinkImmigration et misère ? / GEORGES BIRAULT in No Pasaran !, 51 (novembre 1997)
PermalinkLes Immigrés vieillissent aussi / KATERINE DESMET in Agenda Interculturel, 178 (novembre 1999)
Permalink36 - Immo (Bulletin de Le Vif / L'Express, 36 [09/09/2016])
PermalinkImpact spocial de la crise asiatique / JOHN EVANS in Le Monde Diplomatique, 530 (mai 1998)
PermalinkImparfait marché / Sébastien Groyer in Philosophie magazine, 14 (novembre 2007)
PermalinkImpérialisme Humanitaire / Jean Bricmont
PermalinkL'Impôt / CHARLY in Alternative Libertaire, 21 (janvier 2003)
PermalinkPermalinkPermalinkInclusion sociale: regards européens in L'Observatoire, 54 (septembre 2007)
PermalinkEn Inde, comment remporter les élections avec un bilan désastreux / Christophe Jaffrelot in Le Monde Diplomatique, 784 (juillet 2019)
PermalinkEn Inde, expansion de la guérilla naxalite / CEDRIC GOUVERNEUR in Le Monde Diplomatique, 645 (Décembre 2007)
PermalinkL'Inde n'a aucune raison d'être reconnaissante envers Mère Teresa / SANDAL EDAMARUKU in Alternative Libertaire, 31 (décembre 2003)
PermalinkEn Inde, la nouvelle lutte des castes / Christophe Jaffrelot in Alternatives internationales Hors-série, 1 (octobre 2003)
PermalinkInde / Aurélie Leroy in Espace de Libertés, 417 (mars 2013)
PermalinkLes Indiennes entrent en résistance / JULIE AURAY in Alternatives internationales, 9 (juillet-août 2003)
PermalinkDe l'indifférence / CHRISTIAN DELACAMPAGNE
PermalinkIndividu, échange et gratuité in No Pasaran !, 8 (avril 2002)
PermalinkIndustrialisation, hiérarchie au travail et hiérarchies sociales au 20è siècle / SYLVIE SCHWEITZER in Vingtième siècle, 54 (avril-juin 1997)
PermalinkL'inegale répartition des richesses
PermalinkL'Inégalité raciste / VERONIQUE DE RUDDER
PermalinkL'Inégalité sociale à l'école ignore les frontières / Nico Hirtt in L'Ecole démocratique, 8 (octobre-décembre 2001)
Permalink267 - février 2015 - Inégalités (Bulletin de Sciences Humaines)
PermalinkLes Inégalités en Belgique / Marie-Thérèse Bonsignore in Entre-vues, 41-42 (juin 1999)
PermalinkInégalités : des classes sociales aux constellations / PASCAL PARADIS in Sciences Humaines, HS 34 (septembre-novembre 2001)
PermalinkLes Inégalités dans l'enseignement : première synthèse in Politique, 24 (avril 2002)
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PermalinkIntégrer, insérer, oui... mais à quel fin ? / PHILIPPE VIENNE in Eduquer Hors série, (Mars 2002 supplément Eduquer n 38)
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PermalinkInventer la culture de l'entre-deux chaises / FRANçOISE RAES in Farde Articles 1999, (1999)
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PermalinkL'invention du social / Jacques Donzelot
PermalinkL'invention des vacances in Sciences Humaines, 305 (juillet 2018)
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