Catégories
Documents disponibles dans cette catégorie (1953)
Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la recherche
Etendre la recherche sur niveau(x) vers le haut et vers le bas
Le patrimoine industriel de la Wallonie / Pierre Paquet
Le patrimoine industriel de la Wallonie [texte imprimé] / Pierre Paquet, Directeur de publication ; Anne-Françoise Cannella, Auteur ; Gaëtane Warzée-Lammertyn, Auteur . - Namur : Région Wallonne, 1994 . - 1 vol. (539 p.) : ill. en coul. ; 30 cm. - (Le Patrimoine de Wallonie) .
ISBN : 2-87114-113-4
Langues : Français (fre)
Catégories : 33(493)(091) Histoire économique et sociale de la Belgique
351.71 Travaux publics Patrimoine
622 Industries Minières
66 Industries chimiques et app.
67 Industries et métiers divers. Technologie mécanique
779 Collections d'images photographiques
94(493) Histoire de la BelgiqueNote de contenu : Sous-classement par lieu dans un classement thématique :
- la construction électrique, mécanique et métallique
- l'industrie agro-alimentaire
- l'industrie chimique
- l'industrie extractive et les activités dérivées
- l'industrie manufacturière
- l'industrie métallurgique et sidérurgique
- l'industrie verrière
- les sites particuliers et les équipeme,nts liés à l'industrialisationPermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : Le patrimoine industriel de la Wallonie Type de document : texte imprimé Auteurs : Pierre Paquet, Directeur de publication ; Anne-Françoise Cannella, Auteur ; Gaëtane Warzée-Lammertyn, Auteur Editeur : Namur : Région Wallonne Année de publication : 1994 Collection : Le Patrimoine de Wallonie Importance : 1 vol. (539 p.) Présentation : ill. en coul. Format : 30 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-87114-113-4 Langues : Français (fre) Catégories : 33(493)(091) Histoire économique et sociale de la Belgique
351.71 Travaux publics Patrimoine
622 Industries Minières
66 Industries chimiques et app.
67 Industries et métiers divers. Technologie mécanique
779 Collections d'images photographiques
94(493) Histoire de la BelgiqueNote de contenu : Sous-classement par lieu dans un classement thématique :
- la construction électrique, mécanique et métallique
- l'industrie agro-alimentaire
- l'industrie chimique
- l'industrie extractive et les activités dérivées
- l'industrie manufacturière
- l'industrie métallurgique et sidérurgique
- l'industrie verrière
- les sites particuliers et les équipeme,nts liés à l'industrialisationPermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire
Le patrimoine au prisme de l’immigration : le cas de la présence espagnole en Belgique [document électronique] / Maite Molina Mármol, Auteur . - Liège : Institut d'Histoire Ouvrière, Economique et Social (IHOES), 6 juillet 2015 . - 1 fichier PDF (6 p.). - (Analyse de l'IHOES; 141) .
Langues : Français (fre)
Catégories : 314.7 Immigration / Emigration / Diasporas / Exil
323.23 Troubles politiques . Manifestation . Commémoration
351.71 Travaux publics Patrimoine
352(493) Bruxelles
352(493) Liège, commune
37:17 Travail de Mémoire
725.94 Monuments
94(460)"1936-1939" Guerre d'Espagne
94(493)"19" Histoire de la Belgique au XXe siècleRésumé : Introduction
S’intéresser à la visibilité de la présence immigrée dans l’espace public requiert d’emblée une double précision. D’une part, l’inscription dans un patrimoine – étymologiquement, « l’héritage du père » – est l’objet d’une compétition, a fortiori réservée à ce qui relève du national : les étrangers sont donc a priori exclus de l’inscription dans ce domaine et de la reconnaissance qui en découle. D’autre part, l’immigré a longtemps été considéré comme un homme sans racines, dépourvu d’histoire. Caractérisé par une « double absence »1 – jamais réellement présent dans le pays d’accueil où son passage n’est conçu que comme provisoire et ne pouvant retrouver sa place dans le milieu d’origine après son expérience –, l’immigré entretient dans cette perspective une relation problématique avec la mémoire : « […] que peut transmettre un pauvre démuni socialement et culturellement tel qu’un immigré, si ce n’est un héritage impossible, une culture d’origine, des valeurs inadaptées au monde dans lequel lui-même et ses enfants vivent ? »2.
Ces constats peuvent aujourd’hui être largement nuancés, après que se soient multipliées dans les années 2000 les recherches sur la « mémoire » des populations immigrées3 et que se soient développées les initiatives autour de la préservation de leur patrimoine. Il s’agit ici de s’intéresser plus précisément au cas de l’immigration espagnole en Belgique qui constituera le point de départ d’une réflexion sur la patrimonialisation : Qu’est-ce qui fait patrimoine ? Qu’est-ce qui est jugé digne de figurer dans l’espace public ? Quand et pourquoi ? Quelles références sont convoquées ? De quels enjeux relève ce processus ?En ligne : http://www.ihoes.be/PDF/IHOES_Analyse141.pdf Format de la ressource électronique : Lien pour télécharger "Le patrimoine au prisme de l’immigration" Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : Le patrimoine au prisme de l’immigration : le cas de la présence espagnole en Belgique Type de document : document électronique Auteurs : Maite Molina Mármol, Auteur Editeur : Liège : Institut d'Histoire Ouvrière, Economique et Social (IHOES) Année de publication : 6 juillet 2015 Collection : Analyse de l'IHOES num. 141 Importance : 1 fichier PDF (6 p.) Langues : Français (fre) Catégories : 314.7 Immigration / Emigration / Diasporas / Exil
323.23 Troubles politiques . Manifestation . Commémoration
351.71 Travaux publics Patrimoine
352(493) Bruxelles
352(493) Liège, commune
37:17 Travail de Mémoire
725.94 Monuments
94(460)"1936-1939" Guerre d'Espagne
94(493)"19" Histoire de la Belgique au XXe siècleRésumé : Introduction
S’intéresser à la visibilité de la présence immigrée dans l’espace public requiert d’emblée une double précision. D’une part, l’inscription dans un patrimoine – étymologiquement, « l’héritage du père » – est l’objet d’une compétition, a fortiori réservée à ce qui relève du national : les étrangers sont donc a priori exclus de l’inscription dans ce domaine et de la reconnaissance qui en découle. D’autre part, l’immigré a longtemps été considéré comme un homme sans racines, dépourvu d’histoire. Caractérisé par une « double absence »1 – jamais réellement présent dans le pays d’accueil où son passage n’est conçu que comme provisoire et ne pouvant retrouver sa place dans le milieu d’origine après son expérience –, l’immigré entretient dans cette perspective une relation problématique avec la mémoire : « […] que peut transmettre un pauvre démuni socialement et culturellement tel qu’un immigré, si ce n’est un héritage impossible, une culture d’origine, des valeurs inadaptées au monde dans lequel lui-même et ses enfants vivent ? »2.
Ces constats peuvent aujourd’hui être largement nuancés, après que se soient multipliées dans les années 2000 les recherches sur la « mémoire » des populations immigrées3 et que se soient développées les initiatives autour de la préservation de leur patrimoine. Il s’agit ici de s’intéresser plus précisément au cas de l’immigration espagnole en Belgique qui constituera le point de départ d’une réflexion sur la patrimonialisation : Qu’est-ce qui fait patrimoine ? Qu’est-ce qui est jugé digne de figurer dans l’espace public ? Quand et pourquoi ? Quelles références sont convoquées ? De quels enjeux relève ce processus ?En ligne : http://www.ihoes.be/PDF/IHOES_Analyse141.pdf Format de la ressource électronique : Lien pour télécharger "Le patrimoine au prisme de l’immigration" Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Documents numériques
Fichier PDF "Le patrimoine au prisme de l’immigration : le cas de la présence espagnole en Belgique"Adobe Acrobat PDF 2316 - 2016 - Les patriotes flamands et la construction de la nation (Bulletin de Courrier Hebdomadaire) / Bruno De Wever
[n° ou bulletin] 2316 - 2016 - Les patriotes flamands et la construction de la nation [texte imprimé] / Bruno De Wever, Auteur ; Frans-Jos Verdoodt, Auteur ; Antoon Vrints, Auteur . - 2016 . - 36 p. ; 27 cm.
Langues : Français (fre)
Catégories : 323.15 Minorité / communauté nationale ou ethnique
329.17 Tendance nationaliste
329.4(493) Nieuw-Vlaamse Alliantie (N-VA)
342.1 Peuple Nation Autorité
94(100)"1914/18" Histoire Première Guerre mondiale
94(493) Histoire de la BelgiqueRésumé : Site revue :
L’historien tchèque Miroslav Hroch, théoricien du nationalisme mondialement reconnu, a élaboré la théorie selon laquelle le succès d’un mouvement national est étroitement lié aux conditions sociales dans lesquelles il se développe. Il s’est notamment intéressé aux « petites » nations, c’est-à -dire aux groupes ethniques subalternes qui évoluent sur le territoire d’un État-nation dominant. Selon sa théorie, pour que le processus de construction d’une petite nation soit couronné de succès, deux éléments doivent être rencontrés. D’une part, le programme des groupes qui veulent constituer ou valoriser cette petite nation doit se fondre avec les intérêts du monde ouvrier et des élites capitalistes. D’autre part, il faut que l’ensemble des classes sociales qui composent la société soutiennent la petite nation. Alors, celle-ci cesse d’être subordonnée à la grande nation au sein de laquelle elle s’est développée.
Ce Courrier hebdomadaire a pour objectif d’appliquer spécifiquement les idées de M. Hroch au Mouvement flamand. Elles sont en effet particulièrement adaptées à l’analyse historico-sociale du processus de construction de la nation flamande, depuis le XIXe siècle jusqu’à aujourd’hui. Comment la « petite » nation flamande s’est-elle développée dans l’État-nation belge dominant ? Comment les rôles se sont-ils inversés, la nation flamande prenant le dessus sur la nation belge ? Pour le comprendre, cet essai aborde le contexte social dans lequel ont évolué les fondateurs de la nation flamande et le programme social qu’ils ont élaboré pour la nation flamande. Les auteurs montrent que, pendant longtemps, le Mouvement flamand n’est pas parvenu à intégrer le monde ouvrier et le patronat au sein de la nation flamande, qui est dès lors demeurée subordonnée à la nation belge. Ce n’est que dans les années 1960 que la situation a évolué, en raison de changements socio-économiques et socio-culturels survenus à cette époque. La nation flamande a alors cessé d’être « petite » par rapport à la nation belge.Note de contenu : Table des matières
INTRODUCTION
1. LA THÉORIE DE MIROSLAV HROCH
2. LES PATRIOTES ET LE PEUPLE
3. LES PATRIOTES, ENTRE AVANT-GARDE ET DÉMOCRATIE
4. LE PEUPLE POUR LA PATRIE CONCLUSIONPermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=bulletin_ [n° ou bulletin]
Titre : 2316 - 2016 - Les patriotes flamands et la construction de la nation Type de document : texte imprimé Auteurs : Bruno De Wever, Auteur ; Frans-Jos Verdoodt, Auteur ; Antoon Vrints, Auteur Année de publication : 2016 Importance : 36 p. Format : 27 cm Langues : Français (fre) Catégories : 323.15 Minorité / communauté nationale ou ethnique
329.17 Tendance nationaliste
329.4(493) Nieuw-Vlaamse Alliantie (N-VA)
342.1 Peuple Nation Autorité
94(100)"1914/18" Histoire Première Guerre mondiale
94(493) Histoire de la BelgiqueRésumé : Site revue :
L’historien tchèque Miroslav Hroch, théoricien du nationalisme mondialement reconnu, a élaboré la théorie selon laquelle le succès d’un mouvement national est étroitement lié aux conditions sociales dans lesquelles il se développe. Il s’est notamment intéressé aux « petites » nations, c’est-à -dire aux groupes ethniques subalternes qui évoluent sur le territoire d’un État-nation dominant. Selon sa théorie, pour que le processus de construction d’une petite nation soit couronné de succès, deux éléments doivent être rencontrés. D’une part, le programme des groupes qui veulent constituer ou valoriser cette petite nation doit se fondre avec les intérêts du monde ouvrier et des élites capitalistes. D’autre part, il faut que l’ensemble des classes sociales qui composent la société soutiennent la petite nation. Alors, celle-ci cesse d’être subordonnée à la grande nation au sein de laquelle elle s’est développée.
Ce Courrier hebdomadaire a pour objectif d’appliquer spécifiquement les idées de M. Hroch au Mouvement flamand. Elles sont en effet particulièrement adaptées à l’analyse historico-sociale du processus de construction de la nation flamande, depuis le XIXe siècle jusqu’à aujourd’hui. Comment la « petite » nation flamande s’est-elle développée dans l’État-nation belge dominant ? Comment les rôles se sont-ils inversés, la nation flamande prenant le dessus sur la nation belge ? Pour le comprendre, cet essai aborde le contexte social dans lequel ont évolué les fondateurs de la nation flamande et le programme social qu’ils ont élaboré pour la nation flamande. Les auteurs montrent que, pendant longtemps, le Mouvement flamand n’est pas parvenu à intégrer le monde ouvrier et le patronat au sein de la nation flamande, qui est dès lors demeurée subordonnée à la nation belge. Ce n’est que dans les années 1960 que la situation a évolué, en raison de changements socio-économiques et socio-culturels survenus à cette époque. La nation flamande a alors cessé d’être « petite » par rapport à la nation belge.Note de contenu : Table des matières
INTRODUCTION
1. LA THÉORIE DE MIROSLAV HROCH
2. LES PATRIOTES ET LE PEUPLE
3. LES PATRIOTES, ENTRE AVANT-GARDE ET DÉMOCRATIE
4. LE PEUPLE POUR LA PATRIE CONCLUSIONPermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=bulletin_ Réservation
Réserver ce document
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 50604 COU Périodique Libre-accès Périodiques Disponible Des patriotes trop peu connus / François (Rik) Wolgarten in Résistance liégeoise, 135 (1e trimestre 1995)
[article] Des patriotes trop peu connus : sur la résistance dans les cantons de l'est [texte imprimé] / François (Rik) Wolgarten . - 1995 . - pp. 34 - 35.
Langues : Français (fre)
in Résistance liégeoise > 135 (1e trimestre 1995) . - pp. 34 - 35
Catégories : 353(493=30) Communauté germanophone
94(100)"1939/45" Histoire Seconde Guerre mondiale
94(100)"1939/45" Résistance Seconde Guerre mondiale
94(493)"19" Histoire de la Belgique au XXe sièclePermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : Des patriotes trop peu connus : sur la résistance dans les cantons de l'est Type de document : texte imprimé Auteurs : François (Rik) Wolgarten Année de publication : 1995 Article en page(s) : pp. 34 - 35 Langues : Français (fre) Catégories : 353(493=30) Communauté germanophone
94(100)"1939/45" Histoire Seconde Guerre mondiale
94(100)"1939/45" Résistance Seconde Guerre mondiale
94(493)"19" Histoire de la Belgique au XXe sièclePermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in Résistance liégeoise > 135 (1e trimestre 1995) . - pp. 34 - 35Réservation
Réserver ce document
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 15004/1 P/1980 Périodique Réserve Périodiques Disponible Patronen van polarisatie / Antoon Vrints in Cahiers d'Histoire du Temps Présent (CHTP), 15 (2005)
[article] Patronen van polarisatie : Homicide in België tijdens de Tweede Wereldoorlog [texte imprimé] / Antoon Vrints, Auteur . - 2005 . - pp. 177-204.
Article en néerlandais - Résumé en français et en anglais
Langues : Néerlandais (dut)
in Cahiers d'Histoire du Temps Présent (CHTP) > 15 (2005) . - pp. 177-204
Catégories : 31 Statistique Démographie
316.47 Relation sociale . Violence . Torture
343.6 Infractions contre la personne / Trafic / Assassinat
94(100)"1939/45" Histoire Seconde Guerre mondiale
94(100)"1939/45" Vie quotidienne Occupation Seconde Guerre mondiale
94(493)"19" Histoire de la Belgique au XXe siècle
94(493)"1939/45" Résistance BelgiqueRésumé : Modèles de polarisation. Les homicides en Belgique pendant la Seconde Guerre mondiale
Pendant la seconde moitié de l'occupation, le total des homicides s'accroît en Belgique d'une manière jusque-là inconnue. Derrière ce développement se cache une conjonction complexe de deux facteurs. D'un côté, se révèle une escalade de la violence politique entre Belges : compte tenu de la violence structurelle de l'occupant, un certain nombre de groupes de résistance font appel à la terreur comme arme politique contre la collaboration. Une spirale infernale d'action et de réaction est enclenchée qui prendra à l'été 1944 le caractère d'une mini-guerre civile. Par ailleurs, la paupérisation massive de larges couches de la population et l'érosion simultanée du monopole étatique de la violence sous l'occupation mènent à l'apparition d'un terreau favorable au banditisme. Les deux phénomènes sont fortement stimulés par la promulgation du travail obligatoire en Allemagne à l'automne 1942.
Derrière l'augmentation globale du total des homicides se cachent de grandes différences régionales. En gros, on peut distinguer le nord-ouest du pays, où la situation reste relativement calme, et le sud-est, où le nombre d'homicides explose. Le modèle clairement distinct sur le plan géographique des chiffres des homicides indique que pendant l'occupation une forme beaucoup plus forte de polarisation sociétale se manifeste dans le sud-est que dans le nord-ouest du pays. Sur le plan politique, la tension est beaucoup moins prononcée dans le nord-ouest, où vit la grande majorité des néerlandophones, que dans le sud-est, qui couvre l'ensemble de la Wallonie. Des différences ayant trait aux rapports de force politiques et à l'identification nationale conduisent à ce qu'au nord-ouest la résistance soit plus faible et la collaboration moins isolée. Sur le plan social aussi, les tensions sont plus grandes dans le sud-est que dans le nord-ouest du pays. L'étroite marge de manœuvre dont disposent les travailleurs des régions industrielles (en grande partie situées dans le sud-est) pour affronter les problèmes provoqués par l'occupation (pénurie, travail obligatoire) ne constitue pas seulement un stimulant supplémentaire pour entrer en résistance, mais explique aussi pourquoi dans le sud-est, il est question dans une beaucoup plus large mesure de banditisme.Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : Patronen van polarisatie : Homicide in België tijdens de Tweede Wereldoorlog Type de document : texte imprimé Auteurs : Antoon Vrints, Auteur Année de publication : 2005 Article en page(s) : pp. 177-204 Note générale : Article en néerlandais - Résumé en français et en anglais Langues : Néerlandais (dut) Catégories : 31 Statistique Démographie
316.47 Relation sociale . Violence . Torture
343.6 Infractions contre la personne / Trafic / Assassinat
94(100)"1939/45" Histoire Seconde Guerre mondiale
94(100)"1939/45" Vie quotidienne Occupation Seconde Guerre mondiale
94(493)"19" Histoire de la Belgique au XXe siècle
94(493)"1939/45" Résistance BelgiqueRésumé : Modèles de polarisation. Les homicides en Belgique pendant la Seconde Guerre mondiale
Pendant la seconde moitié de l'occupation, le total des homicides s'accroît en Belgique d'une manière jusque-là inconnue. Derrière ce développement se cache une conjonction complexe de deux facteurs. D'un côté, se révèle une escalade de la violence politique entre Belges : compte tenu de la violence structurelle de l'occupant, un certain nombre de groupes de résistance font appel à la terreur comme arme politique contre la collaboration. Une spirale infernale d'action et de réaction est enclenchée qui prendra à l'été 1944 le caractère d'une mini-guerre civile. Par ailleurs, la paupérisation massive de larges couches de la population et l'érosion simultanée du monopole étatique de la violence sous l'occupation mènent à l'apparition d'un terreau favorable au banditisme. Les deux phénomènes sont fortement stimulés par la promulgation du travail obligatoire en Allemagne à l'automne 1942.
Derrière l'augmentation globale du total des homicides se cachent de grandes différences régionales. En gros, on peut distinguer le nord-ouest du pays, où la situation reste relativement calme, et le sud-est, où le nombre d'homicides explose. Le modèle clairement distinct sur le plan géographique des chiffres des homicides indique que pendant l'occupation une forme beaucoup plus forte de polarisation sociétale se manifeste dans le sud-est que dans le nord-ouest du pays. Sur le plan politique, la tension est beaucoup moins prononcée dans le nord-ouest, où vit la grande majorité des néerlandophones, que dans le sud-est, qui couvre l'ensemble de la Wallonie. Des différences ayant trait aux rapports de force politiques et à l'identification nationale conduisent à ce qu'au nord-ouest la résistance soit plus faible et la collaboration moins isolée. Sur le plan social aussi, les tensions sont plus grandes dans le sud-est que dans le nord-ouest du pays. L'étroite marge de manœuvre dont disposent les travailleurs des régions industrielles (en grande partie situées dans le sud-est) pour affronter les problèmes provoqués par l'occupation (pénurie, travail obligatoire) ne constitue pas seulement un stimulant supplémentaire pour entrer en résistance, mais explique aussi pourquoi dans le sud-est, il est question dans une beaucoup plus large mesure de banditisme.Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in Cahiers d'Histoire du Temps Présent (CHTP) > 15 (2005) . - pp. 177-204Réservation
Réserver ce document
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 40545/1 p/5213 Périodique Libre-accès Périodiques Disponible La Patrouille des enfants juifs / Dominique Zachary
PermalinkPaul Colin n'avait jamais admis le Traité de Versailles / Christian Laporte in Farde Articles 2002, (2002)
PermalinkPaul de Groot à ANvers : les années de jeunesse d'un agitateur : 1900-1923 / JAN-WILLEM STUTJE in Cahiers d'Histoire du Temps Présent (CHTP), 1 (Novembre 1996)
PermalinkPaul Halter, numéro 151.610 / Paul Halter
PermalinkAU PAYS DES DIMANCHES NOIRS / François Brabant in Wilfried, 24 (automne 2023)
PermalinkPermalinkLe PCB 1939-1944 / José Gotovitch in Bulletin du Cegesoma (30-50), 18 (1988)
PermalinkLes Peintres belges dans la tourmente / Virginie Devillez in Cahiers d'Histoire du Temps Présent (CHTP), 2 (Mai 1997)
PermalinkPélerinage à la Caserne Dossin / DJAMAL ZAHAF in MRAX info, 121 (octobre 2000)
PermalinkDu pélerinage de l'Yser au Vlaams Blok / DAVID LEFEBURE in RésistanceS-Info-Net, 88 (28/07/02)
Permalink