Philosophie magazine . 109Mention de date : mai 2017 Paru le : 01/05/2017 |
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109 - mai 2017 - Travail, je t'aime (moi non plus) [texte imprimé] . - 2017 . - 98 p. + 1 livret (16 p.).
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50572 | PHI | Périodique | Réserve | Périodiques | Disponible |
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Ajouter le résultat dans votre panierIslande. L’île qui réinvente la politique / Charles Perragin in Philosophie magazine, 109 (mai 2017)
[article] Islande. L’île qui réinvente la politique [texte imprimé] / Charles Perragin, Auteur . - 2017 . - p. 28-35.
Langues : Français (fre)
in Philosophie magazine > 109 (mai 2017) . - p. 28-35
Catégories : 172 Citoyenneté . Civisme . Solidarité . Morale sociale . Ethique sociale. Empathie
321 Formes de l'organisation politique
321.7 Démocratie / Démocratisation
Economie politique et sociale de l'Islande
Politique de l'IslandeRésumé : Alors que la crise économique et les scandales financiers avaient laissé le pays au bord de la faillite, les Islandais expérimentent tous azimuts pour redonner un nouveau souffle à l’une des plus vieilles démocraties du monde : constitution écrite par des citoyens tirés au sort, élus punks, parti pirate… le tout sans recourir à un homme providentiel. Et si cette petite île de l’Atlantique nord dessinait les contours d’une autre façon d’exercer le pouvoir ? Note de contenu : Article :
le symbolique de l'homme ordinaire
un forum constitutionnel
proxy-voting et démocratie liquide
la culture de l'éphémèrePermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : Islande. L’île qui réinvente la politique Type de document : texte imprimé Auteurs : Charles Perragin, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 28-35 Langues : Français (fre) Catégories : 172 Citoyenneté . Civisme . Solidarité . Morale sociale . Ethique sociale. Empathie
321 Formes de l'organisation politique
321.7 Démocratie / Démocratisation
Economie politique et sociale de l'Islande
Politique de l'IslandeRésumé : Alors que la crise économique et les scandales financiers avaient laissé le pays au bord de la faillite, les Islandais expérimentent tous azimuts pour redonner un nouveau souffle à l’une des plus vieilles démocraties du monde : constitution écrite par des citoyens tirés au sort, élus punks, parti pirate… le tout sans recourir à un homme providentiel. Et si cette petite île de l’Atlantique nord dessinait les contours d’une autre façon d’exercer le pouvoir ? Note de contenu : Article :
le symbolique de l'homme ordinaire
un forum constitutionnel
proxy-voting et démocratie liquide
la culture de l'éphémèrePermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in Philosophie magazine > 109 (mai 2017) . - p. 28-35Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 50572 PHI Périodique Réserve Périodiques Disponible Travail, je t’aime (moi non plus) in Philosophie magazine, 109 (mai 2017)
[article] Travail, je t’aime (moi non plus) : dossier [texte imprimé] . - 2017 . - p. 42-61 + 16 p.
Langues : Français (fre)
in Philosophie magazine > 109 (mai 2017) . - p. 42-61 + 16 p.
Catégories : 17 Morale Ethique Philosophie pratique Valeurs
331 Travail Organisation du travail
331.101 Théorie du travail
331.4 Conditions de travailRésumé : Et si nous avions un rapport véritablement amoureux à notre travail, avec toutes les complications que cela implique : passion, jalousie, angoisse d’abandon et scènes de rupture ?
Telle est l’hypothèse qui nous donne l’occasion d’esquisser, sur le modèle des Fragments d’un discours amoureux de Roland Barthes, de nouveaux « Fragments d’un discours laborieux ».
Et maintenant, prenons la plume ! Que dirions-nous à notre « cher travail » si nous lui écrivions une lettre, d’amour ou de rupture ? Des lecteurs de Philosophie magazine se sont prêtés à l’exercice : nous publions ici un émouvant florilège.
Quelle place alors donner au travail dans sa vie ? Cette question était déjà en débat entre les révolutionnaires du XIXe siècle. Ainsi, Marx, s’il condamne l’aliénation capitaliste, affirme néanmoins la valeur primordiale du travail dans l’expérience humaine. Au contraire, Fourier, Proudhon et Lafargue cherchent à le réinventer.
De fait, pour reprendre un mot de Fourier, de plus en plus de nos contemporains découvrent le plaisir de « papillonner » professionnellement. Loin des servitudes du salariat en milieu pyramidal, ils sont séduits par le choix de l’indépendance. Mais comment échapper dès lors à la solitude anxieuse de l’autoentrepreneur ? Enquête du côté des nouvelles coopératives de free-lances et autres espaces de coworking qui tentent de concilier le meilleur des deux mondes, la sécurité et la liberté. Pari gagné ?
Note de contenu : Articles
Fragments d’un discours laborieux Par Alexandre Lacroix
Et si, pour comprendre ce que chacun de nous vit au quotidien dans son travail, il fallait s’éloigner un peu du langage de l’économie et du droit ? Telle est notre proposition : détourner le vocabulaire de l’amour pour cerner la part affective et intime de l’expérience professionnelle.
Cher travail, Par Michel Eltchaninoff
Nous l’adorons, le détestons, lui faisons des reproches, le quittons. Alors pourquoi ne pas écrire une lettre à notre travail pour lui livrer la vérité de nos sentiments ? Défi superbement relevé par des lecteurs de Philosophie magazine dont nous publions neuf missives passionnées et cruelles.
Trois idées pour s’éclater en boîte Par Martin Duru
Faut-il libérer le travail des chaînes du Capital comme le souhaitait Marx ? Ou plutôt se libérer du travail comme l’affirmèrent trois de ses contemporains, Fourier, Proudhon et Lafargue ? Éléments d’un débat plus que jamais actuel.
50 nuances de coworking Par Martin Legros, Marie Denieuil
Ils sont de plus en plus nombreux à tourner le dos au salariat classique, à reprendre les rênes de leur carrière sans avoir un patron sur le dos, à développer plusieurs activités. Qui sont ces nouveaux travailleurs pour qui labeur ne doit pas rimer avec toujours, comme l’amour jadis, mais avec liberté, plaisir, solidarité et coopération ? Enquête.
+ Cahier central : texte intégral de Bertrand Russell, "Éloge de l'oisiveté" (1932)Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : Travail, je t’aime (moi non plus) : dossier Type de document : texte imprimé Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 42-61 + 16 p. Langues : Français (fre) Catégories : 17 Morale Ethique Philosophie pratique Valeurs
331 Travail Organisation du travail
331.101 Théorie du travail
331.4 Conditions de travailRésumé : Et si nous avions un rapport véritablement amoureux à notre travail, avec toutes les complications que cela implique : passion, jalousie, angoisse d’abandon et scènes de rupture ?
Telle est l’hypothèse qui nous donne l’occasion d’esquisser, sur le modèle des Fragments d’un discours amoureux de Roland Barthes, de nouveaux « Fragments d’un discours laborieux ».
Et maintenant, prenons la plume ! Que dirions-nous à notre « cher travail » si nous lui écrivions une lettre, d’amour ou de rupture ? Des lecteurs de Philosophie magazine se sont prêtés à l’exercice : nous publions ici un émouvant florilège.
Quelle place alors donner au travail dans sa vie ? Cette question était déjà en débat entre les révolutionnaires du XIXe siècle. Ainsi, Marx, s’il condamne l’aliénation capitaliste, affirme néanmoins la valeur primordiale du travail dans l’expérience humaine. Au contraire, Fourier, Proudhon et Lafargue cherchent à le réinventer.
De fait, pour reprendre un mot de Fourier, de plus en plus de nos contemporains découvrent le plaisir de « papillonner » professionnellement. Loin des servitudes du salariat en milieu pyramidal, ils sont séduits par le choix de l’indépendance. Mais comment échapper dès lors à la solitude anxieuse de l’autoentrepreneur ? Enquête du côté des nouvelles coopératives de free-lances et autres espaces de coworking qui tentent de concilier le meilleur des deux mondes, la sécurité et la liberté. Pari gagné ?
Note de contenu : Articles
Fragments d’un discours laborieux Par Alexandre Lacroix
Et si, pour comprendre ce que chacun de nous vit au quotidien dans son travail, il fallait s’éloigner un peu du langage de l’économie et du droit ? Telle est notre proposition : détourner le vocabulaire de l’amour pour cerner la part affective et intime de l’expérience professionnelle.
Cher travail, Par Michel Eltchaninoff
Nous l’adorons, le détestons, lui faisons des reproches, le quittons. Alors pourquoi ne pas écrire une lettre à notre travail pour lui livrer la vérité de nos sentiments ? Défi superbement relevé par des lecteurs de Philosophie magazine dont nous publions neuf missives passionnées et cruelles.
Trois idées pour s’éclater en boîte Par Martin Duru
Faut-il libérer le travail des chaînes du Capital comme le souhaitait Marx ? Ou plutôt se libérer du travail comme l’affirmèrent trois de ses contemporains, Fourier, Proudhon et Lafargue ? Éléments d’un débat plus que jamais actuel.
50 nuances de coworking Par Martin Legros, Marie Denieuil
Ils sont de plus en plus nombreux à tourner le dos au salariat classique, à reprendre les rênes de leur carrière sans avoir un patron sur le dos, à développer plusieurs activités. Qui sont ces nouveaux travailleurs pour qui labeur ne doit pas rimer avec toujours, comme l’amour jadis, mais avec liberté, plaisir, solidarité et coopération ? Enquête.
+ Cahier central : texte intégral de Bertrand Russell, "Éloge de l'oisiveté" (1932)Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in Philosophie magazine > 109 (mai 2017) . - p. 42-61 + 16 p.Réservation
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Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 50572 PHI Périodique Réserve Périodiques Disponible “La honte du milieu d’où l’on vient ne nous quitte jamais” / Didier Eribon in Philosophie magazine, 109 (mai 2017)
[article] “La honte du milieu d’où l’on vient ne nous quitte jamais” [texte imprimé] / Didier Eribon, Auteur . - 2017 . - p. 64-69.
Langues : Français (fre)
in Philosophie magazine > 109 (mai 2017) . - p. 64-69
Catégories : 316 Sociologie
316.4 Processus sociaux. Changement dans la société
316.6 Psychologie sociale
329.18 Tendance d'extrême droite
Inégalités sociales / PrécaritéRésumé : Sociologue et philosophe, Didier Eribon défend la “ pensée critique” contre toute forme de réaction. Lui qui a signé “Retour à Reims”, actuel best-seller en Allemagne, revient sur l’abandon des classes populaires et la montée du Front national.
« Assez bourgeois, mais qui a le mérite d’être calme », nous dit Didier Eribon du bar d’hôtel où nous nous retrouvons, comme pour s’excuser. C’est que le sociologue et philosophe français a choisi son camp : contre les conservateurs et les réactionnaires ! Fils d’un père ouvrier et d’une mère femme de ménage, il s’est forgé une identité de « transfuge », à laquelle il ne cesse de revenir, constatant avec désarroi l’abandon des classes populaires et une implacable reproduction sociale, dont il s’est sorti, par accident, au contact de la littérature. Lui qui a dû aussi batailler avec son identité gay a fait de son histoire personnelle et de celle de sa famille le symptôme d’un malaise social, en empruntant sa méthode à Pierre Bourdieu autant qu’à Michel Foucault et à Annie Ernaux. Il rend compte de cette « auto-analyse » dans Retour à Reims, où, retrouvant sa ville natale et son milieu d’origine dont il s’est éloigné depuis trente ans, il entame une réflexion sur les classes sociales et les raisons du vote des classes populaires pour le Front national à partir de son expérience personnelle. Cet ouvrage rencontre aujourd’hui, après la France, un grand succès en Allemagne. Là-bas, il est accueilli comme une star de la pensée critique – 80 000 exemplaires vendus en moins d’un an et quatorze tirages. Le metteur en scène allemand Thomas Ostermeier, qui brille sur les scènes européennes par l’acuité de ses adaptations, l’a suivi à Reims pour réaliser avec lui un documentaire, qu’il intégrera à un prochain spectacle. Returning to Reims sera joué au théâtre à Manchester puis à la Schaubühne à Berlin. Et en France, qui sait ? Espérons-le. Entre deux voyages, le sociologue, enseignant à l’université d’Amiens, pose donc un pied à Paris. Il nous accorde près de trois heures d’entretien, après avoir vérifié qui nous sommes. En effet, cet habitué des tribunes se méfie de la presse. Il identifie des amis et des ennemis dans le champ politique, intellectuel et institutionnel, prêt à dégainer contre les conservateurs de tout poil. Ami de Foucault, dont il s’est fait l’héritier, Didier Eribon a beaucoup écrit sur la question gay. Il est prolixe lorsqu’il est question de littérature, de Genet, de « l’abject » Jouhandeau ou de Proust. Et finalement fort réservé lorsqu’il s’agit de parler de lui. Car derrière les prises de position tranchées, Didier Eribon reste comme traversé par une fracture, habité par une histoire personnelle dont il ne s’est pas complètement tiré, et qui, succès faisant, maintenant le dépasse.Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : “La honte du milieu d’où l’on vient ne nous quitte jamais” Type de document : texte imprimé Auteurs : Didier Eribon, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 64-69 Langues : Français (fre) Catégories : 316 Sociologie
316.4 Processus sociaux. Changement dans la société
316.6 Psychologie sociale
329.18 Tendance d'extrême droite
Inégalités sociales / PrécaritéRésumé : Sociologue et philosophe, Didier Eribon défend la “ pensée critique” contre toute forme de réaction. Lui qui a signé “Retour à Reims”, actuel best-seller en Allemagne, revient sur l’abandon des classes populaires et la montée du Front national.
« Assez bourgeois, mais qui a le mérite d’être calme », nous dit Didier Eribon du bar d’hôtel où nous nous retrouvons, comme pour s’excuser. C’est que le sociologue et philosophe français a choisi son camp : contre les conservateurs et les réactionnaires ! Fils d’un père ouvrier et d’une mère femme de ménage, il s’est forgé une identité de « transfuge », à laquelle il ne cesse de revenir, constatant avec désarroi l’abandon des classes populaires et une implacable reproduction sociale, dont il s’est sorti, par accident, au contact de la littérature. Lui qui a dû aussi batailler avec son identité gay a fait de son histoire personnelle et de celle de sa famille le symptôme d’un malaise social, en empruntant sa méthode à Pierre Bourdieu autant qu’à Michel Foucault et à Annie Ernaux. Il rend compte de cette « auto-analyse » dans Retour à Reims, où, retrouvant sa ville natale et son milieu d’origine dont il s’est éloigné depuis trente ans, il entame une réflexion sur les classes sociales et les raisons du vote des classes populaires pour le Front national à partir de son expérience personnelle. Cet ouvrage rencontre aujourd’hui, après la France, un grand succès en Allemagne. Là-bas, il est accueilli comme une star de la pensée critique – 80 000 exemplaires vendus en moins d’un an et quatorze tirages. Le metteur en scène allemand Thomas Ostermeier, qui brille sur les scènes européennes par l’acuité de ses adaptations, l’a suivi à Reims pour réaliser avec lui un documentaire, qu’il intégrera à un prochain spectacle. Returning to Reims sera joué au théâtre à Manchester puis à la Schaubühne à Berlin. Et en France, qui sait ? Espérons-le. Entre deux voyages, le sociologue, enseignant à l’université d’Amiens, pose donc un pied à Paris. Il nous accorde près de trois heures d’entretien, après avoir vérifié qui nous sommes. En effet, cet habitué des tribunes se méfie de la presse. Il identifie des amis et des ennemis dans le champ politique, intellectuel et institutionnel, prêt à dégainer contre les conservateurs de tout poil. Ami de Foucault, dont il s’est fait l’héritier, Didier Eribon a beaucoup écrit sur la question gay. Il est prolixe lorsqu’il est question de littérature, de Genet, de « l’abject » Jouhandeau ou de Proust. Et finalement fort réservé lorsqu’il s’agit de parler de lui. Car derrière les prises de position tranchées, Didier Eribon reste comme traversé par une fracture, habité par une histoire personnelle dont il ne s’est pas complètement tiré, et qui, succès faisant, maintenant le dépasse.Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in Philosophie magazine > 109 (mai 2017) . - p. 64-69Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 50572 PHI Périodique Réserve Périodiques Disponible Documents numériques
Article en ligneURL Rousseau et la tentation de l’abstention / Céline Spector in Philosophie magazine, 109 (mai 2017)
[article] Rousseau et la tentation de l’abstention [texte imprimé] / Céline Spector, Personne interviewée ; Victorine de Oliveira, Auteur . - 2017 . - p. 71-75.
Langues : Français (fre)
in Philosophie magazine > 109 (mai 2017) . - p. 71-75
Catégories : 172 Citoyenneté . Civisme . Solidarité . Morale sociale . Ethique sociale. Empathie
177 Morale et société. Respect humain
179.9 Vertus et qualités diverses Fidélité Persévérance
929 Rousseau, Jean-JacquesRésumé : « Face à la corruption de la vie politique et de certaines élites qui préfèrent jouir en secret des paradis fiscaux ou s’octroyer l’impunité tout en défendant ardemment la sévérité pénale, qui ne serait pas tenté de brider son dévouement et de s’abstenir de “participer” ? »
+ Les rêveries du promeneur solitiare, extrait analysé par Céline Spector
+ La Galaxie Rousseau par VDOPermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : Rousseau et la tentation de l’abstention Type de document : texte imprimé Auteurs : Céline Spector, Personne interviewée ; Victorine de Oliveira, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 71-75 Langues : Français (fre) Catégories : 172 Citoyenneté . Civisme . Solidarité . Morale sociale . Ethique sociale. Empathie
177 Morale et société. Respect humain
179.9 Vertus et qualités diverses Fidélité Persévérance
929 Rousseau, Jean-JacquesRésumé : « Face à la corruption de la vie politique et de certaines élites qui préfèrent jouir en secret des paradis fiscaux ou s’octroyer l’impunité tout en défendant ardemment la sévérité pénale, qui ne serait pas tenté de brider son dévouement et de s’abstenir de “participer” ? »
+ Les rêveries du promeneur solitiare, extrait analysé par Céline Spector
+ La Galaxie Rousseau par VDOPermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in Philosophie magazine > 109 (mai 2017) . - p. 71-75Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 50572 PHI Périodique Réserve Périodiques Disponible