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32(493=40) Politique de la Wallonie / Communauté française de Belgique |
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Noces d'or en politique / Marc Vanesse in Farde Articles 2006, 1 (2006)
[article] Noces d'or en politique : soir 20/03/06. Temps fort [texte imprimé] / Marc Vanesse, Auteur . - 2006 . - 98.
Langues : Français (fre)
in Farde Articles 2006 > 1 (2006) . - 98
Catégories : 32(493) Politique de la Belgique
32(493=40) Politique de la Wallonie / Communauté française de Belgique
32-05 Homme/Femme politique Politicien
929 Biographies et témoignagesRésumé : Mandat : comment le quitter un jour.
Certains barons s'accrochent à leur mandat avec passion. Et souvent sans compassion pour leurs successuers...
Quand papy fait de la résistance
"De combien peut-on retader le voyage ?"Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : Noces d'or en politique : soir 20/03/06. Temps fort Type de document : texte imprimé Auteurs : Marc Vanesse, Auteur Année de publication : 2006 Article en page(s) : 98 Langues : Français (fre) Catégories : 32(493) Politique de la Belgique
32(493=40) Politique de la Wallonie / Communauté française de Belgique
32-05 Homme/Femme politique Politicien
929 Biographies et témoignagesRésumé : Mandat : comment le quitter un jour.
Certains barons s'accrochent à leur mandat avec passion. Et souvent sans compassion pour leurs successuers...
Quand papy fait de la résistance
"De combien peut-on retader le voyage ?"Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in Farde Articles 2006 > 1 (2006) . - 98Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire L’obligation de faire transcender nos valeurs / Pierre Galand in Espace de Libertés, 351 (mars 2007)
[article] L’obligation de faire transcender nos valeurs [texte imprimé] / Pierre Galand, Auteur . - 2007 . - p. 3.
Langues : Français (fre)
in Espace de Libertés > 351 (mars 2007) . - p. 3[article]
Titre : L’obligation de faire transcender nos valeurs Type de document : texte imprimé Auteurs : Pierre Galand, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : p. 3 Langues : Français (fre) Catégories : 061.2:21 Associations laïques / CAL
32(493=40) Politique de la Wallonie / Communauté française de BelgiquePermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in Espace de Libertés > 351 (mars 2007) . - p. 3Réservation
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Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 42494 esp Périodique Libre-accès Périodiques Disponible On n'a pas fini d'exister / Christine Kulakowski in Agenda Interculturel, 247-248 (novembre-décembre 2006)
[article] On n'a pas fini d'exister [texte imprimé] / Christine Kulakowski, Directeur de publication . - 2006 . - pp. 1-59.
Langues : Français (fre)
in Agenda Interculturel > 247-248 (novembre-décembre 2006) . - pp. 1-59
Catégories : 06.05 Associations : actions, actes et organisation
314.7 Immigration / Emigration / Diasporas / Exil
316.73 Interculturel Métissage Différence Multiculturel
32(493=40) Politique de la Wallonie / Communauté française de BelgiqueRésumé : Dossier :
[...] Conscients qu’il est impossible de retracer ici 25 ans de politique d’intégration et de projets associatifs pour «vivre ensemble», nous avons voulu, à travers ce dossier, illustrer la longue « digestion » de l’interculturel non seulement dans la société bruxelloise mais via d’autres bonnes pratiques empruntées en France et en République tchèque. Tout au long de ces pages, des analyses et théories sur l’action interculturelle (y compris un article de science fiction qui nous projette dans 25 ans et plus, et qui clôture avec audace notre dossier) alternent avec des rencontres de professionnels et des illustrations concrètes du travail qu’accomplit le CBAI (sans oublier le Quizz de la page 54 qui vous révélera ce que vous avez toujours voulu savoir sans oser nous le demander…).
Table :
Bienbvenu dans l'âge mutant / Kenan Görgün
Si c'est bien en tant qu'écrivain belge d'origine turque que je contribue à ce dossier, je voudrais, dans un second temps, et après avoir abordé ma transculturalité par le biais de la littérature, tenter d'aller plus loin et exprimer une inquiétude qui est plus de nature sociale et économique, mais où je vois des enjeux plus importants pour nos cultures
Le CBAI, c’est pas de la tarte ! / Bruno Vinikas
Le Centre bruxellois d’action interculturelle est né il y a 25 ans dans un contexte politique et économique spécifique que nous brossons ici à grands traits, en nous arrêtant sur les personnalités qui ont marqué de leur sceau l’esprit et les actions du CBAI.
Thérèse Mangot en quelques mots / Bruno Vinikas
Femme de gauche, femme de combat, femme de culture, femme libre, femme d’amour, Thérèse Mangot nous a quittés ce printemps 2006. Bruno Vinikas lui rend hommage à travers des souvenirs personnels, rehaussés d’extraits d’articles signés par Thérèse.
La communication interculturelle « sociale » / Abdellatif Chaouite
La communication interculturelle «sociale» ne se résume pas seulement en une histoire (ou un problème) de différences de codes et de références. Elle est ce qui fait l’horizon culturel quotidien de chacun de nous, dans nos rapports sociaux.
Un monde de différences : Entretien
Didier Mélon, producteur et animateur du « Monde est un village » sur les ondes de la RTBF, s’entretient avec Tanju Goban, responsable au CBAI du « Monde en Scène », le guide des productions artistiques édité en 2001 et prolongé par des rencontres musicales, initiées à l’Atelier de la Dolce Vita en 2005, où des musiciens de tous horizons, à la fois culturels et musicaux, sont invités à chercher ensemble des voies d’expressions nouvelles. Une interview qui se transforme en conversation à bâtons rompus.
La Cohésion sociale en quête identitaire / Alexandre Ansay
Dans le cadre du décret du 13 mai 2004, promulgué par la Commission communautaire française, le CBAI a été désigné par le Collège de la Commission communautaire française pour mener à bien les missions de Centre régional d’appui à la Politique de Cohésion sociale. Nous proposons ici quelques observations relatives à ce secteur qui traverse actuellement une redéfinition souhaitée par l’ensemble des acteurs concernés par le décret.
Que fait la commune ? / Dany Crutzen et Altay Manço
Cet article synthétise le contexte et les enjeux de la gestion des diversités socioculturelles par les structures communales. Se basant sur une approche systémique des politiques municipales, il propose des pistes de réflexion et de concrétisation au niveau local, dans le champ de l’interculturalité.
Entre multiculturalisme et intégration / Nicolas Dittmar
Si le concept d’« interculturalité » possède une scientificité reconnue, il convient d’en retracer la genèse, notamment en s’appuyant sur d’autres expériences européennes. Nous analysons ici la construction de la problématique interculturelle en France et en République tchèque, qui vient d’adhérer à l’Union européenne. Nous resituerons les différentes acceptions du concept de culture, afin de tenir compte des contextes nationaux dans lesquels l’éducation interculturelle est pratiquée. Puis nous comparerons des modèles français et tchèque à partir des dispositifs institutionnels mis en place pour gérer la diversité culturelle.
Emploi accès cible ? / Delphine d’Elia
L’insertion socioprofessionnelle (ISP) est un secteur incontournable de l’action sociale par son lien direct avec une préoccupation politique présente à tous les niveaux de pouvoir : l’emploi, vecteur essentiel d’intégration sociale et de développement économique. La mutation du paysage socio-économique et politique bruxellois soulève différentes questions sur les finalités, l’organisation et la méthodologie de l’ISP. Parmi ces interrogations, la place de la dimension interculturelle au sein de ses pratiques représente-t-elle une réelle nécessité ?
Diversity Manager : Entretien
L’action interculturelle a-t-elle une place dans le secteur marchand ? Comment parler en effet d’égalité des chances à des entreprises qui ont pour priorité la rentabilité ? C’est l’exercice quotidien de Jamila Ben Azzouz, qui travaille pour l’agence intérim Randstad depuis 1998. Elle nous commente les messages qu’elle envoie aux entreprises en tant que Diversity Manager, précisant ses stratégies de communication et leurs limites.
Émergence de la subjectivité interculturelle / Marc André
Quel dispositif permet aujourd’hui, aux carrefours des rencontres interculturelles, de produire une subjectivité commune, une subjectivité interculturelle ? Et donc un monde commun, une réalité partagée ?
Super nannies / Jakdo Hurrle
Une intégration informelle, ou comment la coopération entre des familles vietnamiennes et des familles tchèques conduit à « l’intégration miracle » à Cheb, ville à frontière tchéco-allemande.
Savoir se vendre / Joseph Gatugu
Les compétences interculturelles des Africains de Belgique sont variées et souvent de haut niveau. Pourtant, elles sont à peine reconnues, malmenées par moult clichés qui étiquettent les Africains d’êtres inférieurs, incompétents et forcément à assister, alors qu’ils peuvent jouer un rôle politique et social au Nord comme au Sud. Comment dès lors valoriser toute cette masse de compétences ?
Inspecteur Sylvestre : Entretien
Deux ans de formation d’agent de développement et de médiation interculturelle, puis devenir inspecteur de police : voilà un parcours inhabituel dans l’expérience du CBAI. Aussi nous a-t-il paru intéressant de questionner celui qui, aujourd’hui, est « Inspecteur brigade d’intervention et recherche à Woluwe – zone Montgomery » sur ce qu’une telle formation lui apporte au quotidien.
Radio passerelle : Entretien
Active depuis quinze ans dans une banlieue française, Radio droit de cité (huit salariés et une quarantaine de bénévoles) est un média citoyen impliquant des jeunes, des associations et autres acteurs locaux. Florian Lavenu, le directeur des programmes, nous raconte comment, concrètement, se développe un «vivre ensemble» sans distinction d’âge, de couleur, d’origine ni de sexe. Et nous donne à voir une autre représentation des banlieues.
25 ans, comme le CBAI / Loubna Ben Yaacoub et Anne-Laure Wibrin
Avoir 25 ans aujourd’hui… c’est être né la même année que le CBAI ! Qu’est-ce que ça implique de voir le jour, puis de grandir aux côtés de mouvements de défense de personnes d’origine étrangère et de mouvements de défense de l’interculturel ? Comment cette génération perçoit-elle Bruxelles? Comme une ville multiculturelle ? Sait-elle seulement à quoi renvoient ces concepts de « multiculturel » et d’« interculturel » ? C’est ce que nous avons demandé à sept Bruxellois de 25 ans d’origines différentes. Certains ont passé leur enfance dans la capitale, d’autres y sont arrivés récemment, pour étudier ou travailler.
Artisans du huitième jour : Entretien
En 1992, le Centre socioculturel des Immigrés est rebaptisé Centre bruxellois d’action interculturelle. La réalité des jeunes nés à Bruxelles a changé, et il devient nécessaire de valoriser la dynamique de l’aventure interculturelle plutôt que celle de l’immigration. La formation d’agents de développement social et culturel en milieu multiculturel organisée par le CBAI suscite l'intérêt de Caroline Mondry, aujourd’hui professeure d'histoire et de sciences sociales au Lycée Emile Max à Schaerbeek. Elle nous raconte sa découverte et son expérience de «l’interculturel».
Testez votre quotient CBAI !
Chères lectrices et chers lecteurs, dans ce numéro spécial consacré aux 25 ans du CBAI, nous vous invitons à mesurer vos connaissances sur l’historique du Centre et sur la politique d’intégration à Bruxelles. Il est clair que le fidèle lecteur de l’Agenda interculturel part favorisé dans ce jeu. À vos marques !
Et trente ans plus tard, une société cannibale ? : Jean Blairon
La rédaction de l'Agenda interculturel nous a demandé «(...) un billet «science-fiction» ou «politique-fiction» qui nous donnerait des nouvelles du futur ! Que sera l'action culturelle dans 25 ans ? Existera-t-elle encore? Avec qui ? Dans quels domaines ? Sous quelle forme ?»Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : On n'a pas fini d'exister Type de document : texte imprimé Auteurs : Christine Kulakowski, Directeur de publication Année de publication : 2006 Article en page(s) : pp. 1-59 Langues : Français (fre) Catégories : 06.05 Associations : actions, actes et organisation
314.7 Immigration / Emigration / Diasporas / Exil
316.73 Interculturel Métissage Différence Multiculturel
32(493=40) Politique de la Wallonie / Communauté française de BelgiqueRésumé : Dossier :
[...] Conscients qu’il est impossible de retracer ici 25 ans de politique d’intégration et de projets associatifs pour «vivre ensemble», nous avons voulu, à travers ce dossier, illustrer la longue « digestion » de l’interculturel non seulement dans la société bruxelloise mais via d’autres bonnes pratiques empruntées en France et en République tchèque. Tout au long de ces pages, des analyses et théories sur l’action interculturelle (y compris un article de science fiction qui nous projette dans 25 ans et plus, et qui clôture avec audace notre dossier) alternent avec des rencontres de professionnels et des illustrations concrètes du travail qu’accomplit le CBAI (sans oublier le Quizz de la page 54 qui vous révélera ce que vous avez toujours voulu savoir sans oser nous le demander…).
Table :
Bienbvenu dans l'âge mutant / Kenan Görgün
Si c'est bien en tant qu'écrivain belge d'origine turque que je contribue à ce dossier, je voudrais, dans un second temps, et après avoir abordé ma transculturalité par le biais de la littérature, tenter d'aller plus loin et exprimer une inquiétude qui est plus de nature sociale et économique, mais où je vois des enjeux plus importants pour nos cultures
Le CBAI, c’est pas de la tarte ! / Bruno Vinikas
Le Centre bruxellois d’action interculturelle est né il y a 25 ans dans un contexte politique et économique spécifique que nous brossons ici à grands traits, en nous arrêtant sur les personnalités qui ont marqué de leur sceau l’esprit et les actions du CBAI.
Thérèse Mangot en quelques mots / Bruno Vinikas
Femme de gauche, femme de combat, femme de culture, femme libre, femme d’amour, Thérèse Mangot nous a quittés ce printemps 2006. Bruno Vinikas lui rend hommage à travers des souvenirs personnels, rehaussés d’extraits d’articles signés par Thérèse.
La communication interculturelle « sociale » / Abdellatif Chaouite
La communication interculturelle «sociale» ne se résume pas seulement en une histoire (ou un problème) de différences de codes et de références. Elle est ce qui fait l’horizon culturel quotidien de chacun de nous, dans nos rapports sociaux.
Un monde de différences : Entretien
Didier Mélon, producteur et animateur du « Monde est un village » sur les ondes de la RTBF, s’entretient avec Tanju Goban, responsable au CBAI du « Monde en Scène », le guide des productions artistiques édité en 2001 et prolongé par des rencontres musicales, initiées à l’Atelier de la Dolce Vita en 2005, où des musiciens de tous horizons, à la fois culturels et musicaux, sont invités à chercher ensemble des voies d’expressions nouvelles. Une interview qui se transforme en conversation à bâtons rompus.
La Cohésion sociale en quête identitaire / Alexandre Ansay
Dans le cadre du décret du 13 mai 2004, promulgué par la Commission communautaire française, le CBAI a été désigné par le Collège de la Commission communautaire française pour mener à bien les missions de Centre régional d’appui à la Politique de Cohésion sociale. Nous proposons ici quelques observations relatives à ce secteur qui traverse actuellement une redéfinition souhaitée par l’ensemble des acteurs concernés par le décret.
Que fait la commune ? / Dany Crutzen et Altay Manço
Cet article synthétise le contexte et les enjeux de la gestion des diversités socioculturelles par les structures communales. Se basant sur une approche systémique des politiques municipales, il propose des pistes de réflexion et de concrétisation au niveau local, dans le champ de l’interculturalité.
Entre multiculturalisme et intégration / Nicolas Dittmar
Si le concept d’« interculturalité » possède une scientificité reconnue, il convient d’en retracer la genèse, notamment en s’appuyant sur d’autres expériences européennes. Nous analysons ici la construction de la problématique interculturelle en France et en République tchèque, qui vient d’adhérer à l’Union européenne. Nous resituerons les différentes acceptions du concept de culture, afin de tenir compte des contextes nationaux dans lesquels l’éducation interculturelle est pratiquée. Puis nous comparerons des modèles français et tchèque à partir des dispositifs institutionnels mis en place pour gérer la diversité culturelle.
Emploi accès cible ? / Delphine d’Elia
L’insertion socioprofessionnelle (ISP) est un secteur incontournable de l’action sociale par son lien direct avec une préoccupation politique présente à tous les niveaux de pouvoir : l’emploi, vecteur essentiel d’intégration sociale et de développement économique. La mutation du paysage socio-économique et politique bruxellois soulève différentes questions sur les finalités, l’organisation et la méthodologie de l’ISP. Parmi ces interrogations, la place de la dimension interculturelle au sein de ses pratiques représente-t-elle une réelle nécessité ?
Diversity Manager : Entretien
L’action interculturelle a-t-elle une place dans le secteur marchand ? Comment parler en effet d’égalité des chances à des entreprises qui ont pour priorité la rentabilité ? C’est l’exercice quotidien de Jamila Ben Azzouz, qui travaille pour l’agence intérim Randstad depuis 1998. Elle nous commente les messages qu’elle envoie aux entreprises en tant que Diversity Manager, précisant ses stratégies de communication et leurs limites.
Émergence de la subjectivité interculturelle / Marc André
Quel dispositif permet aujourd’hui, aux carrefours des rencontres interculturelles, de produire une subjectivité commune, une subjectivité interculturelle ? Et donc un monde commun, une réalité partagée ?
Super nannies / Jakdo Hurrle
Une intégration informelle, ou comment la coopération entre des familles vietnamiennes et des familles tchèques conduit à « l’intégration miracle » à Cheb, ville à frontière tchéco-allemande.
Savoir se vendre / Joseph Gatugu
Les compétences interculturelles des Africains de Belgique sont variées et souvent de haut niveau. Pourtant, elles sont à peine reconnues, malmenées par moult clichés qui étiquettent les Africains d’êtres inférieurs, incompétents et forcément à assister, alors qu’ils peuvent jouer un rôle politique et social au Nord comme au Sud. Comment dès lors valoriser toute cette masse de compétences ?
Inspecteur Sylvestre : Entretien
Deux ans de formation d’agent de développement et de médiation interculturelle, puis devenir inspecteur de police : voilà un parcours inhabituel dans l’expérience du CBAI. Aussi nous a-t-il paru intéressant de questionner celui qui, aujourd’hui, est « Inspecteur brigade d’intervention et recherche à Woluwe – zone Montgomery » sur ce qu’une telle formation lui apporte au quotidien.
Radio passerelle : Entretien
Active depuis quinze ans dans une banlieue française, Radio droit de cité (huit salariés et une quarantaine de bénévoles) est un média citoyen impliquant des jeunes, des associations et autres acteurs locaux. Florian Lavenu, le directeur des programmes, nous raconte comment, concrètement, se développe un «vivre ensemble» sans distinction d’âge, de couleur, d’origine ni de sexe. Et nous donne à voir une autre représentation des banlieues.
25 ans, comme le CBAI / Loubna Ben Yaacoub et Anne-Laure Wibrin
Avoir 25 ans aujourd’hui… c’est être né la même année que le CBAI ! Qu’est-ce que ça implique de voir le jour, puis de grandir aux côtés de mouvements de défense de personnes d’origine étrangère et de mouvements de défense de l’interculturel ? Comment cette génération perçoit-elle Bruxelles? Comme une ville multiculturelle ? Sait-elle seulement à quoi renvoient ces concepts de « multiculturel » et d’« interculturel » ? C’est ce que nous avons demandé à sept Bruxellois de 25 ans d’origines différentes. Certains ont passé leur enfance dans la capitale, d’autres y sont arrivés récemment, pour étudier ou travailler.
Artisans du huitième jour : Entretien
En 1992, le Centre socioculturel des Immigrés est rebaptisé Centre bruxellois d’action interculturelle. La réalité des jeunes nés à Bruxelles a changé, et il devient nécessaire de valoriser la dynamique de l’aventure interculturelle plutôt que celle de l’immigration. La formation d’agents de développement social et culturel en milieu multiculturel organisée par le CBAI suscite l'intérêt de Caroline Mondry, aujourd’hui professeure d'histoire et de sciences sociales au Lycée Emile Max à Schaerbeek. Elle nous raconte sa découverte et son expérience de «l’interculturel».
Testez votre quotient CBAI !
Chères lectrices et chers lecteurs, dans ce numéro spécial consacré aux 25 ans du CBAI, nous vous invitons à mesurer vos connaissances sur l’historique du Centre et sur la politique d’intégration à Bruxelles. Il est clair que le fidèle lecteur de l’Agenda interculturel part favorisé dans ce jeu. À vos marques !
Et trente ans plus tard, une société cannibale ? : Jean Blairon
La rédaction de l'Agenda interculturel nous a demandé «(...) un billet «science-fiction» ou «politique-fiction» qui nous donnerait des nouvelles du futur ! Que sera l'action culturelle dans 25 ans ? Existera-t-elle encore? Avec qui ? Dans quels domaines ? Sous quelle forme ?»Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in Agenda Interculturel > 247-248 (novembre-décembre 2006) . - pp. 1-59Réservation
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Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 42000 age Périodique Libre-accès Périodiques Disponible
[article] Où en est l'éducation permanente ? [texte imprimé] / Thibauld Moulaert, Directeur de publication ; Pierre Reman, Directeur de publication . - 2007 . - pp. 16-70.
Langues : Français (fre)
in La Revue Nouvelle > 11 (novembre 2007) . - pp. 16-70
Catégories : 316.4 Processus sociaux. Changement dans la société
32(493=40) Politique de la Wallonie / Communauté française de Belgique
33(493=40) Economie politique et sociale de la Wallonie / Communauté française de Belgique
37(091) Histoire de l'éducation
371 Organisation de l'éducation et de l'enseignement
374 Formation continuée / Education permanenteRésumé : Sommaire :
- Où en est l’éducation permanente ? / Pierre Reman, Thibauld Moulaert
- Paysage mouvant, réforme oblique / Thomas Lemaigre
Il y a cinq ans, le monde de l’éducation permanente ne se rend pas encore compte à quel point il a raison de s’émouvoir de la réforme annoncée par le ministre Demotte sous le slogan maladroit d’en finir avec les « branches mortes ». Le texte qui se prépare va, sous ses airs de continuité, amener quelques changements significatifs par rapport à son ancêtre de 1976. Le premier d’entre eux tient dans le lifting imposé à la définition même de l’éducation permanente. Les autres changements tiennent à ce que le monde et le secteur sont devenus en un tiers de siècle - mais il n’est pas encore sûr qu’ils aient lieu.
- Un si joli petit couple (mixte) / Pierre Georis
Si éducation permanente et insertion socioprofessionnelle (ISP) doivent faire couple, à tout le moins relèvent-ils du couple mixte. Faut-il y renoncer, au nom de la difficulté à marier des cultures si différentes ? « Évidemment oui », répondront les uns. Il n’y aurait que qui se ressemble qui s’assemblerait bien. En l’occurrence, les différences dans les démarches respectives seraient trop grandes ; le plan malin pour l’efficacité serait de centrer les initiatives d’insertion sur leur « core business », la meilleure qualification professionnelle des chômeurs pour améliorer leur probabilité d’accès à l’emploi. « Bien sûr que non », rétorqueront les autres. Ce n’est pas parce qu’on se place dans une démarche d’accès à l’emploi que perdent de leur légitimité la formation à la vie sociale, l’objectif de pouvoir former les personnes aussi à un présent et un futur de citoyens critiques, responsables et « participants » à la vie collective dans toutes ses dimensions.
- Insertion individuelle ou émancipation collective ? / Michel Goffin
Depuis le décret de 1976 qui reconnaissait l’éducation permanente, les réalités sociales, économiques et culturelles se sont transformées, ce qui n’est pas sans incidence sur les modalités de concrétisation de l’éducation tout au long de la vie. De l’éducation permanente entendue comme construction d’un projet de changement social, on est passé à une logique de formation dans une perspective de lutte contre le chômage. Pourtant, le souffle du projet émancipateur initial pourrait questionner les références actuelles - qu’est-ce qu’un emploi convenable_ ?, par exemple - et inspirer une nouvelle conception de l’éducation populaire et de nouvelles formes d’associations.
- Action syndicale et éducation permanente : des enjeux croisés / Thierry Dock, Thierry Jacques
L’éducation permanente trouve son origine dans les luttes du mouvement ouvrier. Elle permet une libération collective du monde du travail qui participe de la démocratie culturelle. Les liens étroits entre les mouvements associatifs qui prennent en charge cet outil essentiel et les organisations syndicales doivent être maintenus parce que la nécessaire interaction de l’une et de l’autre assure la pérennité de chacune.
- Un printemps pour l’éducation permanente ? / Georges Liénard, Albert Bastenier
La question de savoir si l’on assistera ou non à un véritable printemps de l’éducation permanente ne dépend pas seulement du problème de son financement. Elle concerne aussi - et peut-être surtout - la conception que l’on se fait de son rôle social. Et si son histoire passée la rend indissociable de l’inspiration progressiste des mouvements sociaux qui l’ont portée, elle n’est toutefois appropriable par personne parce que son champ d’intervention est lui-même un lieu de pouvoir et de luttes pour sa définition. L’évocation de trois domaines actuels d’intervention possible pour l’éducation permanente - la fragmentation de l’espace public, l’égalité entre les hommes et les femmes, les tensions propres aux sociétés multiculturelles - illustre en quoi les exigences d’intégration et d’émancipation sont les deux pôles en tension qui doivent structurer la réflexion sur l’éducation permanente.
- D’un décret à l’autre / Jean-Pierre Nossent
Les éducateurs permanents sont-ils les agitateurs de sens, les bricoleurs de rêves, les créateurs de social qui prennent à bras-le-corps des questions comme les conditions matérielles d’existence et l’épanouissement intellectuel nécessaires à la citoyenneté locale et mondiale ? La mécanique de l’éducation permanente est simple : autoéducation, c’est-à -dire construction de pouvoirs et, en conséquence, de savoirs. En ce sens, l’éducation permanente peut-elle être le monopole d’organisations ou doit-on parier qu’elle continuera à inventer son histoire hors des sentiers battus ? Le décret de 2003 le permettra-t-il ?
Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : Où en est l'éducation permanente ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Thibauld Moulaert, Directeur de publication ; Pierre Reman, Directeur de publication Année de publication : 2007 Article en page(s) : pp. 16-70 Langues : Français (fre) Catégories : 316.4 Processus sociaux. Changement dans la société
32(493=40) Politique de la Wallonie / Communauté française de Belgique
33(493=40) Economie politique et sociale de la Wallonie / Communauté française de Belgique
37(091) Histoire de l'éducation
371 Organisation de l'éducation et de l'enseignement
374 Formation continuée / Education permanenteRésumé : Sommaire :
- Où en est l’éducation permanente ? / Pierre Reman, Thibauld Moulaert
- Paysage mouvant, réforme oblique / Thomas Lemaigre
Il y a cinq ans, le monde de l’éducation permanente ne se rend pas encore compte à quel point il a raison de s’émouvoir de la réforme annoncée par le ministre Demotte sous le slogan maladroit d’en finir avec les « branches mortes ». Le texte qui se prépare va, sous ses airs de continuité, amener quelques changements significatifs par rapport à son ancêtre de 1976. Le premier d’entre eux tient dans le lifting imposé à la définition même de l’éducation permanente. Les autres changements tiennent à ce que le monde et le secteur sont devenus en un tiers de siècle - mais il n’est pas encore sûr qu’ils aient lieu.
- Un si joli petit couple (mixte) / Pierre Georis
Si éducation permanente et insertion socioprofessionnelle (ISP) doivent faire couple, à tout le moins relèvent-ils du couple mixte. Faut-il y renoncer, au nom de la difficulté à marier des cultures si différentes ? « Évidemment oui », répondront les uns. Il n’y aurait que qui se ressemble qui s’assemblerait bien. En l’occurrence, les différences dans les démarches respectives seraient trop grandes ; le plan malin pour l’efficacité serait de centrer les initiatives d’insertion sur leur « core business », la meilleure qualification professionnelle des chômeurs pour améliorer leur probabilité d’accès à l’emploi. « Bien sûr que non », rétorqueront les autres. Ce n’est pas parce qu’on se place dans une démarche d’accès à l’emploi que perdent de leur légitimité la formation à la vie sociale, l’objectif de pouvoir former les personnes aussi à un présent et un futur de citoyens critiques, responsables et « participants » à la vie collective dans toutes ses dimensions.
- Insertion individuelle ou émancipation collective ? / Michel Goffin
Depuis le décret de 1976 qui reconnaissait l’éducation permanente, les réalités sociales, économiques et culturelles se sont transformées, ce qui n’est pas sans incidence sur les modalités de concrétisation de l’éducation tout au long de la vie. De l’éducation permanente entendue comme construction d’un projet de changement social, on est passé à une logique de formation dans une perspective de lutte contre le chômage. Pourtant, le souffle du projet émancipateur initial pourrait questionner les références actuelles - qu’est-ce qu’un emploi convenable_ ?, par exemple - et inspirer une nouvelle conception de l’éducation populaire et de nouvelles formes d’associations.
- Action syndicale et éducation permanente : des enjeux croisés / Thierry Dock, Thierry Jacques
L’éducation permanente trouve son origine dans les luttes du mouvement ouvrier. Elle permet une libération collective du monde du travail qui participe de la démocratie culturelle. Les liens étroits entre les mouvements associatifs qui prennent en charge cet outil essentiel et les organisations syndicales doivent être maintenus parce que la nécessaire interaction de l’une et de l’autre assure la pérennité de chacune.
- Un printemps pour l’éducation permanente ? / Georges Liénard, Albert Bastenier
La question de savoir si l’on assistera ou non à un véritable printemps de l’éducation permanente ne dépend pas seulement du problème de son financement. Elle concerne aussi - et peut-être surtout - la conception que l’on se fait de son rôle social. Et si son histoire passée la rend indissociable de l’inspiration progressiste des mouvements sociaux qui l’ont portée, elle n’est toutefois appropriable par personne parce que son champ d’intervention est lui-même un lieu de pouvoir et de luttes pour sa définition. L’évocation de trois domaines actuels d’intervention possible pour l’éducation permanente - la fragmentation de l’espace public, l’égalité entre les hommes et les femmes, les tensions propres aux sociétés multiculturelles - illustre en quoi les exigences d’intégration et d’émancipation sont les deux pôles en tension qui doivent structurer la réflexion sur l’éducation permanente.
- D’un décret à l’autre / Jean-Pierre Nossent
Les éducateurs permanents sont-ils les agitateurs de sens, les bricoleurs de rêves, les créateurs de social qui prennent à bras-le-corps des questions comme les conditions matérielles d’existence et l’épanouissement intellectuel nécessaires à la citoyenneté locale et mondiale ? La mécanique de l’éducation permanente est simple : autoéducation, c’est-à -dire construction de pouvoirs et, en conséquence, de savoirs. En ce sens, l’éducation permanente peut-elle être le monopole d’organisations ou doit-on parier qu’elle continuera à inventer son histoire hors des sentiers battus ? Le décret de 2003 le permettra-t-il ?
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in La Revue Nouvelle > 11 (novembre 2007) . - pp. 16-70Exemplaires
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Où en est l'éducation permanente ? IntroductionURL Où va l'argent des partis ? / Philippe Engels in Le Vif / L'Express, 2520 ([18/05/2007])
[article] Où va l'argent des partis ? : dépenses électorales [texte imprimé] / Philippe Engels, Auteur ; François Brabant, Auteur . - 2007 . - pp. 16-23.
Langues : Français (fre)
in Le Vif / L'Express > 2520 [18/05/2007] . - pp. 16-23
Catégories : 32(493=40) Politique de la Wallonie / Communauté française de Belgique
336.1 Finances publiques
34(493) Loi sur dotation publique (financement publique des partis en Belgique)Résumé : Table :
Affiches et tracts : les partis dépensent avec modération. Les pratiques sont assainies depuis que les campagnes électorales sont financées avec de l'argent public. il y a quelques failles dans le système, certes. Mais de celles-là , personne n'aime parler.
- plafonds autorisés
- ce que coûte une campagne
- "les loups ne se mangent pas entre eux" : Marc Verdussen
- les recttes des partis
- dépenses comparées
- Quand les partis joeunt au Monopoly. Qui sont les partis riches ? Pourquoi accumuler de l'argent ? Qui gère ce patrimoine ? Quelles élements de réponsePermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : Où va l'argent des partis ? : dépenses électorales Type de document : texte imprimé Auteurs : Philippe Engels, Auteur ; François Brabant, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : pp. 16-23 Langues : Français (fre) Catégories : 32(493=40) Politique de la Wallonie / Communauté française de Belgique
336.1 Finances publiques
34(493) Loi sur dotation publique (financement publique des partis en Belgique)Résumé : Table :
Affiches et tracts : les partis dépensent avec modération. Les pratiques sont assainies depuis que les campagnes électorales sont financées avec de l'argent public. il y a quelques failles dans le système, certes. Mais de celles-là , personne n'aime parler.
- plafonds autorisés
- ce que coûte une campagne
- "les loups ne se mangent pas entre eux" : Marc Verdussen
- les recttes des partis
- dépenses comparées
- Quand les partis joeunt au Monopoly. Qui sont les partis riches ? Pourquoi accumuler de l'argent ? Qui gère ce patrimoine ? Quelles élements de réponsePermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in Le Vif / L'Express > 2520 [18/05/2007] . - pp. 16-23Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire 41 - septembre-octobre 2019 - "Où va l'école ?" Où va le reste... (Bulletin de Kairos)
PermalinkPermalinkPermalink35 - Pacte d'excellence (Bulletin de Le Vif / L'Express, 35 [01/09/2017])
PermalinkPermalinkPermalinkPermalinkLe Parlement wallon
PermalinkParlement wallon : le renouveau démocratique c’est maintenant ? / Anne-Emmanuelle Bourgaux in Politique, 93 (janvier-février 2016)
PermalinkLes partenariats public privé au service de la politique régionale du logement / Kim Eric Moric in Les Echos du logement, 3 (septembre 2007)
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