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321.7 Démocratie / Démocratisation |
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Le Pouvoir enchaîné / POL ZIMMER in La Revue Nouvelle, 11 (novembre 2002)
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Le pouvoir illégitime / Olivier Pinot de Villechenon
Le pouvoir illégitime [texte imprimé] / Olivier Pinot de Villechenon (1950-....), Auteur ; Francis Mollet-Viéville (1918-2008), Préfacier, etc. . - Paris : Lettres du monde, 1993 . - 1 vol. (II-91 p.) ; 23 cm.
ISBN : 978-2-7301-0069-4
Langues : Français (fre)
Catégories : 32(44) Politique de la France
321.01 Pouvoirs.Frontières
321.17 Féodalité / Monarchie / Royauté
321.7 Démocratie / Démocratisation
321.77 République
323.2 Relation peuple/Etat
328 Parlements. Gouvernements. Représentation du peupleIndex. décimale : 321.7 Démocratie / Dictature Résumé : Quatrième de couverture :
Le pouvoir : pour quoi ? pour qui ? pour le bien-être du peuple ! c'est sa seule légitimité. Pourtant les politiques, aujourd'hui, croient pouvoir gouverner selon leur "bon plaisir", pourvu qu'ils aient été régulièrement élus.
Olivier Pinot de Villechenon redécouvre l'idée d'Aristote et de bien d'autres selon laquelle la véritable légitimité naît du respect des fins du pouvoir et non pas seulement de son mode de dévolution. Il montre que le positivisme sert d'habillage à l'absolutisme sous la Ve République.
L'absolutisme républicain n'est pas plus légitime que son ancêtre monarchique. De Gaulle, s'il excédait ses pouvoirs, a su démissionner après avoir été désavoué. Avec ses successeurs, l'absolutisme connaît l'outrance. Le président absolu devient un satrape omnipotent.
Le pouvoir absolu n'est pas fort : il est autoritaire et parasite.
Comment peut-il redevenir légitime ?
Par une inflexion de la pratique politique, afin de retrouver l'esprit fondateur de la Ve République, par une séparation des rôles entre :
- ceux qui doivent agir (le Parlement, le Gouvernement et les Tribunaux);
- ceux qui doivent déterminer les fins supérieures du pouvoir et garantir leur respect (le Peuple consulté par referendum, le Président et le Conseil Constitutionnel).Note de contenu : Sommaire :
Introduction
Première partie : Légitimité et absolutisme
Le rattachement de la légitimité du pouvoir à son origine
L'influence des doctrines positives
Deuxième partie : Légitimité et démocratie
Une conception strictement légaliste de la légitimité n'est pas compatible avec la démocratie
La légitimité démocratique repose, en dernière analyse sur l'organisation des pouvoirs
Troisième partie: Légitimité et institutions de la Ve Républiques
La légitimité repose sur le principe d'une séparation téléologique des pouvoirs, sur équilibre des pouvoirs qui traduise la hiérarchie de leurs missions, la hiérarchie des normes
Application actuelle et souhaitable de ce printemps dans les institutions de la V République
ConclusionPermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : Le pouvoir illégitime Type de document : texte imprimé Auteurs : Olivier Pinot de Villechenon (1950-....), Auteur ; Francis Mollet-Viéville (1918-2008), Préfacier, etc. Editeur : Paris : Lettres du monde Année de publication : 1993 Importance : 1 vol. (II-91 p.) Format : 23 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7301-0069-4 Langues : Français (fre) Catégories : 32(44) Politique de la France
321.01 Pouvoirs.Frontières
321.17 Féodalité / Monarchie / Royauté
321.7 Démocratie / Démocratisation
321.77 République
323.2 Relation peuple/Etat
328 Parlements. Gouvernements. Représentation du peupleIndex. décimale : 321.7 Démocratie / Dictature Résumé : Quatrième de couverture :
Le pouvoir : pour quoi ? pour qui ? pour le bien-être du peuple ! c'est sa seule légitimité. Pourtant les politiques, aujourd'hui, croient pouvoir gouverner selon leur "bon plaisir", pourvu qu'ils aient été régulièrement élus.
Olivier Pinot de Villechenon redécouvre l'idée d'Aristote et de bien d'autres selon laquelle la véritable légitimité naît du respect des fins du pouvoir et non pas seulement de son mode de dévolution. Il montre que le positivisme sert d'habillage à l'absolutisme sous la Ve République.
L'absolutisme républicain n'est pas plus légitime que son ancêtre monarchique. De Gaulle, s'il excédait ses pouvoirs, a su démissionner après avoir été désavoué. Avec ses successeurs, l'absolutisme connaît l'outrance. Le président absolu devient un satrape omnipotent.
Le pouvoir absolu n'est pas fort : il est autoritaire et parasite.
Comment peut-il redevenir légitime ?
Par une inflexion de la pratique politique, afin de retrouver l'esprit fondateur de la Ve République, par une séparation des rôles entre :
- ceux qui doivent agir (le Parlement, le Gouvernement et les Tribunaux);
- ceux qui doivent déterminer les fins supérieures du pouvoir et garantir leur respect (le Peuple consulté par referendum, le Président et le Conseil Constitutionnel).Note de contenu : Sommaire :
Introduction
Première partie : Légitimité et absolutisme
Le rattachement de la légitimité du pouvoir à son origine
L'influence des doctrines positives
Deuxième partie : Légitimité et démocratie
Une conception strictement légaliste de la légitimité n'est pas compatible avec la démocratie
La légitimité démocratique repose, en dernière analyse sur l'organisation des pouvoirs
Troisième partie: Légitimité et institutions de la Ve Républiques
La légitimité repose sur le principe d'une séparation téléologique des pouvoirs, sur équilibre des pouvoirs qui traduise la hiérarchie de leurs missions, la hiérarchie des normes
Application actuelle et souhaitable de ce printemps dans les institutions de la V République
ConclusionPermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 46764 321.7/PIN Livre Libre-accès Adultes Disponible
[n° ou bulletin] vol. 32 n°1 - 2013 - Pouvoir, participation et capacité [document électronique] / Fabrizio Cantelli, Directeur de publication ; Francis Garon, Directeur de publication ; Nathalie Schiffino, Directeur de publication . - 2013 . - 1 page web (consulter le 30/05/2018).
Langues : Français (fre)
Catégories : 31 Statistique Démographie
316 Sociologie
321.7 Démocratie / Démocratisation
323.21 Militantisme Participation EngagementNote de contenu : Sommaire
Introduction
Participation et pouvoirs : pour une lecture renouvelée
Fabrizio Cantelli, Francis Garon et Nathalie Schiffino
p. 3–19
Articles
Mini-publics et démocratie délibérative
Hervé Pourtois
p. 21–41
Résumé
La légitimité du recours aux mini-publics est souvent justifiée par les défenseurs de la théorie délibérative de la démocratie par le fait que ceux-ci seraient un analogon de la délibération publique par le grand public. Cet article analyse cette justification et identifie quatre défis qui se posent à elle : l’autonomie interne des mini-publics, le risque de fragmentation des enjeux sociaux, l’ontologie sociale individualiste et surtout le défi de la démocratie de masse. Il conclut sur la nécessité de considérer plutôt les mini-publics comme des moyens visant à stimuler le débat au sein du grand public.
De la capacité, de la compétence, de l’empowerment, repenser l’anthropologie de la participation
Jean-Louis Genard
p. 43–62
Résumé
Le plus souvent étudiée dans le contexte des évolutions du politique et du passage présumé d’une démocratie représentative vers une démocratie davantage participative ou délibérative, la question de la participation est abordée ici sous l’angle d’une transformation de nos coordonnées anthropologiques. Les exigences et les attentes de participation se retrouvent en effet dans de multiples domaines qui excèdent de loin la seule sphère du politique, allant du monde de l’entreprise et de ses cercles de qualité jusqu’à la production de biens en kit sollicitant les capacités de montage des acheteurs. Cette extension du domaine de la participation s’appuie en réalité sur un certain nombre de présupposés anthropologiques. Ceux-ci prêtent aux acteurs des capacités et des compétences qu’ils sont censés détenir, à moins qu’ils ne soient appelés à les enrichir par des stratégies d’empowerment si elles leur font défaut ou sont insuffisantes. Ils leur attribuent aussi un potentiel de motivation indispensable à l’actualisation de ces compétences et capacités. Le texte soutient que l’évaluation des personnes ainsi que la configuration de nombreux dispositifs sociaux récents tendent de plus en plus à s’ajuster à ce nouveau référentiel anthropologique. Il en va ainsi de la participation politique bien sûr, mais aussi des nouvelles politiques sociales, des formations au « pouvoir d’agir », des objectifs éducatifs, des politiques de développement ou de santé. Revenant plus spécifiquement sur la question de la participation politique, le texte montre comment ces nouvelles coordonnées anthropologiques reconfigurent la question de l’expertise en réorganisant les partages entre expertises ordinaire et spécialisée et, du coup, le partage entre les espaces où peut prendre place une démocratie participative et ceux qui demeurent confiés à l’expertise technocratique.
Deux conceptions de l’empowerment
Fabrizio Cantelli
p. 63–87
Résumé
La catégorie d’empowerment devient omniprésente quand il s’agit de participation. Pourtant, peu de travaux en ont exploré sociologiquement les contours, les propriétés et la portée. Il s’agit de prendre distance avec une approche unidimensionnelle de la catégorie, qui l’appréhende comme une solution démocratique ou une régression liée à un usage managérial. Notre démarche comparative élargie considère plusieurs espaces-temps, ce qui permet de rendre compte de deux manières très différentes de penser le pouvoir et d’agir sur des capacités. Cet article interroge deux conceptions de l’empowerment, soit deux philosophies du pouvoir sous-jacentes : une gestionnaire et une civique. Pour saisir les conceptions gestionnaires de l’empowerment, notre article s’appuie sur un spectre allant du cas spécifique de la Banque mondiale (Empowerment Team) à plusieurs acteurs de la santé en relation avec les institutions européennes. Concernant les conceptions civiques de l’empowerment, l’enquête repose sur le mouvement des droits civiques aux États-Unis et le Blackpower dans les années 1960, tout en s’interrogeant sur l’héritage contemporain.
Les ambivalences de la démocratie urbaine : Une lecture par John Dewey
Louise Carlier
p. 89–106
Résumé
Cet article traite la question de la participation sous l’angle des compétences et des pouvoirs qui s’y jouent et qui sont attribués aux différents acteurs dans le cours même de sa mise en oeuvre. Il s’appuie sur l’ethnographie d’un dispositif participatif engagé par des acteurs de la société civile, les États généraux de Bruxelles, faisant intervenir universitaires, associations et citoyens, qui se sont déroulés de septembre 2008 à mai 2009. En prenant appui sur John Dewey et les approches pragmatiques, il s’agit de décrire l’ambivalence de dispositifs participatifs qui, tout en cherchant à nourrir de nouvelles capacités citoyennes, limitent également l’empowerment du public.
L’émancipation coopérative face à la compétence participative
Jérôme Boissonade
p. 107–127
Résumé
Nous souhaitons interroger la pertinence des notions de compétences et de capacités comme concepts critiques pragmatistes opératoires face aux nouveaux processus de domination, notamment ceux exercés par les institutions. Pour ce faire, nous nous appuyons dans ce texte sur l’expérience croisée d’un conseil de quartier et d’une accession sociale à la propriété à gestion coopérative. La démocratie participative exige des capacités spécifiques qui sont en effet perturbées par cette expérience coopérative dont le rapport à la décision repose sur le faire et la dimension capacitaire sur les prises élaborées à cet effet. Il s’agit donc moins pour les accédants concernés d’obtenir une reconnaissance publique de capacités pouvant conduire à un accès à la décision, que de construire de manière coopérative des prises d’émancipation critique vis-à -vis de ces dispositifs participatifs. Ce passage d’une compétence participative à une émancipation coopérative permet à la fois de surmonter l’instrumentalisation capacitaire et de mieux travailler l’articulation entre la constitution des prises et la portée critique des processus d’émancipation.
Conclusion
Visages de la participation et capacités critiques des citoyens
Nathalie Schiffino, Francis Garon et Fabrizio Cantelli
p. 129–142
En ligne : https://www.erudit.org/fr/revues/ps/2013-v32-n1-ps0839/ Format de la ressource électronique : Articles en ligne Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=bulletin_ [n° ou bulletin]
Titre : vol. 32 n°1 - 2013 - Pouvoir, participation et capacité Type de document : document électronique Auteurs : Fabrizio Cantelli, Directeur de publication ; Francis Garon, Directeur de publication ; Nathalie Schiffino, Directeur de publication Année de publication : 2013 Importance : 1 page web (consulter le 30/05/2018) Langues : Français (fre) Catégories : 31 Statistique Démographie
316 Sociologie
321.7 Démocratie / Démocratisation
323.21 Militantisme Participation EngagementNote de contenu : Sommaire
Introduction
Participation et pouvoirs : pour une lecture renouvelée
Fabrizio Cantelli, Francis Garon et Nathalie Schiffino
p. 3–19
Articles
Mini-publics et démocratie délibérative
Hervé Pourtois
p. 21–41
Résumé
La légitimité du recours aux mini-publics est souvent justifiée par les défenseurs de la théorie délibérative de la démocratie par le fait que ceux-ci seraient un analogon de la délibération publique par le grand public. Cet article analyse cette justification et identifie quatre défis qui se posent à elle : l’autonomie interne des mini-publics, le risque de fragmentation des enjeux sociaux, l’ontologie sociale individualiste et surtout le défi de la démocratie de masse. Il conclut sur la nécessité de considérer plutôt les mini-publics comme des moyens visant à stimuler le débat au sein du grand public.
De la capacité, de la compétence, de l’empowerment, repenser l’anthropologie de la participation
Jean-Louis Genard
p. 43–62
Résumé
Le plus souvent étudiée dans le contexte des évolutions du politique et du passage présumé d’une démocratie représentative vers une démocratie davantage participative ou délibérative, la question de la participation est abordée ici sous l’angle d’une transformation de nos coordonnées anthropologiques. Les exigences et les attentes de participation se retrouvent en effet dans de multiples domaines qui excèdent de loin la seule sphère du politique, allant du monde de l’entreprise et de ses cercles de qualité jusqu’à la production de biens en kit sollicitant les capacités de montage des acheteurs. Cette extension du domaine de la participation s’appuie en réalité sur un certain nombre de présupposés anthropologiques. Ceux-ci prêtent aux acteurs des capacités et des compétences qu’ils sont censés détenir, à moins qu’ils ne soient appelés à les enrichir par des stratégies d’empowerment si elles leur font défaut ou sont insuffisantes. Ils leur attribuent aussi un potentiel de motivation indispensable à l’actualisation de ces compétences et capacités. Le texte soutient que l’évaluation des personnes ainsi que la configuration de nombreux dispositifs sociaux récents tendent de plus en plus à s’ajuster à ce nouveau référentiel anthropologique. Il en va ainsi de la participation politique bien sûr, mais aussi des nouvelles politiques sociales, des formations au « pouvoir d’agir », des objectifs éducatifs, des politiques de développement ou de santé. Revenant plus spécifiquement sur la question de la participation politique, le texte montre comment ces nouvelles coordonnées anthropologiques reconfigurent la question de l’expertise en réorganisant les partages entre expertises ordinaire et spécialisée et, du coup, le partage entre les espaces où peut prendre place une démocratie participative et ceux qui demeurent confiés à l’expertise technocratique.
Deux conceptions de l’empowerment
Fabrizio Cantelli
p. 63–87
Résumé
La catégorie d’empowerment devient omniprésente quand il s’agit de participation. Pourtant, peu de travaux en ont exploré sociologiquement les contours, les propriétés et la portée. Il s’agit de prendre distance avec une approche unidimensionnelle de la catégorie, qui l’appréhende comme une solution démocratique ou une régression liée à un usage managérial. Notre démarche comparative élargie considère plusieurs espaces-temps, ce qui permet de rendre compte de deux manières très différentes de penser le pouvoir et d’agir sur des capacités. Cet article interroge deux conceptions de l’empowerment, soit deux philosophies du pouvoir sous-jacentes : une gestionnaire et une civique. Pour saisir les conceptions gestionnaires de l’empowerment, notre article s’appuie sur un spectre allant du cas spécifique de la Banque mondiale (Empowerment Team) à plusieurs acteurs de la santé en relation avec les institutions européennes. Concernant les conceptions civiques de l’empowerment, l’enquête repose sur le mouvement des droits civiques aux États-Unis et le Blackpower dans les années 1960, tout en s’interrogeant sur l’héritage contemporain.
Les ambivalences de la démocratie urbaine : Une lecture par John Dewey
Louise Carlier
p. 89–106
Résumé
Cet article traite la question de la participation sous l’angle des compétences et des pouvoirs qui s’y jouent et qui sont attribués aux différents acteurs dans le cours même de sa mise en oeuvre. Il s’appuie sur l’ethnographie d’un dispositif participatif engagé par des acteurs de la société civile, les États généraux de Bruxelles, faisant intervenir universitaires, associations et citoyens, qui se sont déroulés de septembre 2008 à mai 2009. En prenant appui sur John Dewey et les approches pragmatiques, il s’agit de décrire l’ambivalence de dispositifs participatifs qui, tout en cherchant à nourrir de nouvelles capacités citoyennes, limitent également l’empowerment du public.
L’émancipation coopérative face à la compétence participative
Jérôme Boissonade
p. 107–127
Résumé
Nous souhaitons interroger la pertinence des notions de compétences et de capacités comme concepts critiques pragmatistes opératoires face aux nouveaux processus de domination, notamment ceux exercés par les institutions. Pour ce faire, nous nous appuyons dans ce texte sur l’expérience croisée d’un conseil de quartier et d’une accession sociale à la propriété à gestion coopérative. La démocratie participative exige des capacités spécifiques qui sont en effet perturbées par cette expérience coopérative dont le rapport à la décision repose sur le faire et la dimension capacitaire sur les prises élaborées à cet effet. Il s’agit donc moins pour les accédants concernés d’obtenir une reconnaissance publique de capacités pouvant conduire à un accès à la décision, que de construire de manière coopérative des prises d’émancipation critique vis-à -vis de ces dispositifs participatifs. Ce passage d’une compétence participative à une émancipation coopérative permet à la fois de surmonter l’instrumentalisation capacitaire et de mieux travailler l’articulation entre la constitution des prises et la portée critique des processus d’émancipation.
Conclusion
Visages de la participation et capacités critiques des citoyens
Nathalie Schiffino, Francis Garon et Fabrizio Cantelli
p. 129–142
En ligne : https://www.erudit.org/fr/revues/ps/2013-v32-n1-ps0839/ Format de la ressource électronique : Articles en ligne Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=bulletin_ Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Documents numériques
Articles en ligne (Érudit)URL Le pouvoir rend fou... / Isabelle Philippon in Le Vif / L'Express, 2508 ([23/02/2007])
[article] Le pouvoir rend fou... [texte imprimé] / Isabelle Philippon, Auteur ; Philippe Engels, Auteur ; Pascale Gruber, Auteur . - 2007 . - pp. 30-38.
Langues : Français (fre)
in Le Vif / L'Express > 2508 [23/02/2007] . - pp. 30-38
Catégories : 070 Presse Journalisme Médias
32(493=40) Politique de la Wallonie / Communauté française de Belgique
32-05 Homme/Femme politique Politicien
321.7.02 Démagogie Populisme
324(493) Elections Belgique 2007Résumé : ... et personne ne se soigne ! Tout le monde n'a pas le profil pour réussir en politique. Quant à ceux qui y font carrière, ils courent plus de risques de devenir mégalos, paranos ou schizos. Pour endurer, pendant des années, le stress et la pression liés à de hautes fonctions, il faut avoir une personnalité un brin « déséquilibrée », assure le psychologue Pascal de Sutter (UCL), expert auprès de l'Otan pour les questions de psychologie politique et auteur du livre Ces fous qui nous gouvernent. Voyage sur le divan de responsables politiques qui n'ont pas demandé à s'y allonger...
- La dictature de l'image
Les responsables politiques ont bien compris l'importance de leur look. Mais savent-ils qu'un timbre de voix aigu est perçu comme lié à une personnalité soumise et qu'il ne faut jamais dévoiler ses dents du dessous ?
Encarts :
- Ces psys qui nous gouvernent
- De la manip au coaching
« Connais l'adversaire et, surtout, connais-toi toi-même, et tu seras invincible », disait Sun Zi, auteur chinois de L'Art de la guerre (vie-vesiècle av. J.-C. ). Mise en pratique
- Leurs trucs pour ne pas devenir (encore plus) fous
Comment font-ils pour ne pas perdre les pédales malgré le stress permanent et les rudes contraintes de la politique ? : Elio Di Rupo, Joëlle milquet et Isabelle Durant
- Soyez normaux, mijne heren !
- Les femmes et les enfants après ?Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : Le pouvoir rend fou... Type de document : texte imprimé Auteurs : Isabelle Philippon, Auteur ; Philippe Engels, Auteur ; Pascale Gruber, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : pp. 30-38 Langues : Français (fre) Catégories : 070 Presse Journalisme Médias
32(493=40) Politique de la Wallonie / Communauté française de Belgique
32-05 Homme/Femme politique Politicien
321.7.02 Démagogie Populisme
324(493) Elections Belgique 2007Résumé : ... et personne ne se soigne ! Tout le monde n'a pas le profil pour réussir en politique. Quant à ceux qui y font carrière, ils courent plus de risques de devenir mégalos, paranos ou schizos. Pour endurer, pendant des années, le stress et la pression liés à de hautes fonctions, il faut avoir une personnalité un brin « déséquilibrée », assure le psychologue Pascal de Sutter (UCL), expert auprès de l'Otan pour les questions de psychologie politique et auteur du livre Ces fous qui nous gouvernent. Voyage sur le divan de responsables politiques qui n'ont pas demandé à s'y allonger...
- La dictature de l'image
Les responsables politiques ont bien compris l'importance de leur look. Mais savent-ils qu'un timbre de voix aigu est perçu comme lié à une personnalité soumise et qu'il ne faut jamais dévoiler ses dents du dessous ?
Encarts :
- Ces psys qui nous gouvernent
- De la manip au coaching
« Connais l'adversaire et, surtout, connais-toi toi-même, et tu seras invincible », disait Sun Zi, auteur chinois de L'Art de la guerre (vie-vesiècle av. J.-C. ). Mise en pratique
- Leurs trucs pour ne pas devenir (encore plus) fous
Comment font-ils pour ne pas perdre les pédales malgré le stress permanent et les rudes contraintes de la politique ? : Elio Di Rupo, Joëlle milquet et Isabelle Durant
- Soyez normaux, mijne heren !
- Les femmes et les enfants après ?Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in Le Vif / L'Express > 2508 [23/02/2007] . - pp. 30-38Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Pouvoirs et démocratie à tous les étages ? in Echos Bruxelles Laïque, 58 (3e trimestre 2007)
[article] Pouvoirs et démocratie à tous les étages ? : Sommaire du n°58 [texte imprimé] . - 2007 . - 62 p.
Langues : Français (fre)
in Echos Bruxelles Laïque > 58 (3e trimestre 2007) . - 62 p.
Catégories : 03 Dictionnaire. Référence. Adresses. Définitions
070.13 Liberté de la presse Censure
32(4) Politique Union Européenne
321.7 Démocratie / Démocratisation
342.727 Liberté d'expression - blasphèmeRésumé : Articles :
- l'Europe au risque de la démocratie : la critique libérale
- Retour sur la démocratie / C. Gobin
- Les trompe-l'oeil de la lutte internationale contre les changements climatiques / Benjamin Denis
- Les traités sur l'investissement privé à l'étranger : contexte et enjeux sociopolitiques / JC Deroubaix et M. Robert
- Droit international et démocratie modniale / Ch. De Brie
- Le Terrorisme international : un enjeu pour la construction d'une justice mondiale ? / L. Weerts
- Livre-examen : "Les Lobbies à l'assaut de l'Europe" de B. Lecherbonnier (Albin Michel, 2007) / O. Welke
- Pour la solidarité ou le pouvoir des partenariats / O. Welke
- l'Europe et les clandestins / D. Duez
- Des solidarités à venir dont les migrants ouvrent la voie / M. Bietlot
- Quel avenir pour Bruxelles ? / C. Sägesser
- Médias et pouvoir : la régression impériale / O. Mukuna : son article censuré sur l'affaire Clearstream et le journaliste Denis Robert
- Vers un cinquième pouvoir ? La blogosphère contre-attaque !Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : Pouvoirs et démocratie à tous les étages ? : Sommaire du n°58 Type de document : texte imprimé Année de publication : 2007 Article en page(s) : 62 p. Langues : Français (fre) Catégories : 03 Dictionnaire. Référence. Adresses. Définitions
070.13 Liberté de la presse Censure
32(4) Politique Union Européenne
321.7 Démocratie / Démocratisation
342.727 Liberté d'expression - blasphèmeRésumé : Articles :
- l'Europe au risque de la démocratie : la critique libérale
- Retour sur la démocratie / C. Gobin
- Les trompe-l'oeil de la lutte internationale contre les changements climatiques / Benjamin Denis
- Les traités sur l'investissement privé à l'étranger : contexte et enjeux sociopolitiques / JC Deroubaix et M. Robert
- Droit international et démocratie modniale / Ch. De Brie
- Le Terrorisme international : un enjeu pour la construction d'une justice mondiale ? / L. Weerts
- Livre-examen : "Les Lobbies à l'assaut de l'Europe" de B. Lecherbonnier (Albin Michel, 2007) / O. Welke
- Pour la solidarité ou le pouvoir des partenariats / O. Welke
- l'Europe et les clandestins / D. Duez
- Des solidarités à venir dont les migrants ouvrent la voie / M. Bietlot
- Quel avenir pour Bruxelles ? / C. Sägesser
- Médias et pouvoir : la régression impériale / O. Mukuna : son article censuré sur l'affaire Clearstream et le journaliste Denis Robert
- Vers un cinquième pouvoir ? La blogosphère contre-attaque !Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in Echos Bruxelles Laïque > 58 (3e trimestre 2007) . - 62 p.Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 43313 ech Périodique Réserve Périodiques Disponible La Pratique dans les démocraties libérales / LAURENCE MOREL in Pouvoirs, 77 (Avril 1996)
PermalinkPrécis de la démocratie / JEAN BAECHLER
PermalinkPremières victoires in Manière de voir, 83 (octobre-novembre 2005)
Permalinkvol. 7 n°1 - 2007 - Premiers scrutins et contrôle de constitutionnalité en RDC (Bulletin de Fédéralisme-Régionalisme) / Bob Kabamba
PermalinkPrendre Parti ? in Le Monde Diplomatique, 730 (Janvier 2015)
PermalinkPrendre le pouvoir ? avec John Holloway et Juan Carlos Monedero (cofondateur de Podemos) / Juan Carlos Monedero in Ballast, 6 (printemps 2017)
PermalinkPréparons la République / Paul-Henry Gendebien in Farde Articles 2002, (2002)
PermalinkUn président "bolivarien" pour le Vénézuela / PABLO AIQUEL in Le Monde Diplomatique, 560 (NOVEMBRE 2000)
PermalinkUn président de l'Europe ? / Martine Dubuisson in Farde Articles 2002, (2002)
PermalinkLe Président Obama, du Prix Nobel aux drones / Chase Madar in Le Monde Diplomatique, 703 (Octobre 2012)
PermalinkPrésidents traqués / Ignacio Ramonet in Le Monde Diplomatique, 569 (août 2001)
PermalinkPresse et démocratie / MAMINE PIROTTE in Salut & Fraternité, 13 (Juin 1995)
PermalinkDe la presse people au populaire médiatique / Philippe Marion in Hermès, 42 (2005)
PermalinkLa Presse péruvienne mise au pas / GUILEMETTE FAURE in Le Monde Diplomatique, 532 (juillet 1998)
PermalinkPrétentieuse et bricolée / JOE VERHOEVEN in Politique, 23 (février 2002)
PermalinkLe principe démocratie / Albert Ogien
PermalinkLe "printemps arabe"
PermalinkPrintemps arabe: quel bilan ? in Le Vif / L'Express, 24 ([17/06/2011])
PermalinkPermalinkEn prison, les laissés-pour-compte de la réconciliation / GERARD DELTEIL in Le Monde Diplomatique, 538 (janvier 1999)
PermalinkPermalinkLe prix de la démocratie / Julia Cagé
PermalinkLe Problème de Gulliver / LUC HUYSE in Courrier Hebdomadaire, 1807 (2003)
PermalinkLe procès des droits de l’homme, de Justine Lacroix et Jean-Yves Pranchère / Florence Delmotte in La Revue Nouvelle, 1 (janvier 2017)
PermalinkLe Processus démocratique modèle : USA in Alternative Libertaire, 7 (octobre 2001 (243))
Permalink97 - juillet-août-septembre 2021 - Production et médiation du savoir scientifique en démocratie (Bulletin de Aide-Mémoire)
PermalinkProfession homme politique / Jacques Ch. Lemaire
PermalinkProgramme de sensibilisation à la problématisation de l'exercice de la démocratie à l'école / Marc Gourlé in Entre-vues, 28 (décembre 1995)
PermalinkDu progrès / Pierre-André Taguieff
PermalinkLe Projet de loi relatif aux organisations criminelles / Georges-Henri Beauthier in La Revue Nouvelle, 12 (décembre 1997)
PermalinkProjet politique et projet pédagogique / BERNARD CHARLOT in Politique, HS (avril 2003)
PermalinkPermalinkLes prophètes du mensonge / Leo Löwenthal
PermalinkA propos des états généraux de la culture / Michel Boermans in Le Journal de Culture et Démocratie, 13 (printemps 2005)
PermalinkA propos de politique culturel / JUAN MANUEL BONET in Vingtième siècle, 74 (avril-juin 2002)
PermalinkA propos de République / Marcel Deprez in Farde Articles 2000, (2000)
PermalinkLes psychologues font aussi leur analyse démocratique / Véronique de Keyser in Farde Articles 2001, (2001)
Permalink"Le public a trouvé sa joie existentielle dans le fait d'être "contre" " / Jean-Marie Pottier in Philosophie magazine, 136 (février 2020)
PermalinkLe Qatar se veut un modèle pour le Golfe / Pascal Boniface in Le Monde Diplomatique, 603 (juin 2004)
PermalinkQu'est-ce qu'un bon Président? in Philosophie magazine, 53 (octobre 2011)
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PermalinkQu'est-ce que la démocratie ? / Simone Goyard-Fabre
PermalinkQu'est-ce que le populisme ? / Jan-Werner Müller
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