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2084-2085 - 2010 - La rémunération des mandataires locaux (Bulletin de Courrier Hebdomadaire) / Jean Faniel
[n° ou bulletin] 2084-2085 - 2010 - La rémunération des mandataires locaux [texte imprimé] / Jean Faniel (1977-....), Auteur . - 2011 . - 84 p. ; 27 cm.
Langues : Français (fre)
Catégories : 32-05 Homme/Femme politique Politicien
331.2 Salaires Rémunérations
352 Administrations locales communales
352(493) Ville belge
353 Administrations régionnales
353(493) Provinces. Régions (Belgique)Résumé : La rémunération des mandataires politiques est l’objet de la curiosité du grand public. Elle suscite de l’hostilité à l’égard du personnel politique. La difficulté de trouver les informations pertinentes tend à alimenter le sentiment d’opacité et donc les critiques entourant la rémunération des principales fonctions politiques.
Après avoir examiné la rémunération des parlementaires et des ministres dans un précédent numéro du Courrier hebdomadaire, Jean Faniel s’intéresse ici à la rémunération des mandataires locaux. Utilisant la même méthodologie, l’auteur présente les données recueillies en les ramenant, lorsque cela s’avère possible, à des rémunérations mensuelles nettes, permettant ainsi des comparaisons directes. Est ainsi passée en revue la rémunération des mandataires provinciaux d’abord (conseillers, députés et gouverneurs), celle des mandataires communaux ensuite (conseillers, bourgmestres, échevins et présidents du conseil de l’action sociale).
L’objectif du CRISP n’est pas de mettre les représentants politiques sur la sellette, ni de verser dans une certaine forme de sensationnalisme. Il est plutôt d’éclairer un aspect méconnu de l’affectation de certains moyens publics et de permettre de situer la rémunération des fonctions politiques par rapport à d’autres, par exemple dans le secteur privé.Note de contenu : Table :
- Introduction
1. Précisions méthodologiques
2. Mandataires provinciaux
Origines de la rémunération
Conseillers provinciaux
Députés permanents
Régime actuel
Conseillers provinciaux
Députés provinciaux
Gouverneurs de province et gouverneur adjoint
Gouverneur, vice-gouverneur et collège juridictionnel de l'arrondissement administratif de Bruxelles-Capitale
Limitations
3. Mandataires communaux
Origines de la rémunération
Conseillers communaux
Bourgmestres et échevins
Mandataires des CPAS
Mandataires des districts intracommunaux
Régime actuel
Conseillers communaux et membres du conseil de l'action sociale
Bourgmestres, échevins, présidents et vice-présidents du conseil de l'action sociale
Mandataires des districts communaux
Limitations
Conclusion
Annexes (tableauxPermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=bulletin_ [n° ou bulletin]
Titre : 2084-2085 - 2010 - La rémunération des mandataires locaux Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean Faniel (1977-....), Auteur Année de publication : 2011 Importance : 84 p. Format : 27 cm Langues : Français (fre) Catégories : 32-05 Homme/Femme politique Politicien
331.2 Salaires Rémunérations
352 Administrations locales communales
352(493) Ville belge
353 Administrations régionnales
353(493) Provinces. Régions (Belgique)Résumé : La rémunération des mandataires politiques est l’objet de la curiosité du grand public. Elle suscite de l’hostilité à l’égard du personnel politique. La difficulté de trouver les informations pertinentes tend à alimenter le sentiment d’opacité et donc les critiques entourant la rémunération des principales fonctions politiques.
Après avoir examiné la rémunération des parlementaires et des ministres dans un précédent numéro du Courrier hebdomadaire, Jean Faniel s’intéresse ici à la rémunération des mandataires locaux. Utilisant la même méthodologie, l’auteur présente les données recueillies en les ramenant, lorsque cela s’avère possible, à des rémunérations mensuelles nettes, permettant ainsi des comparaisons directes. Est ainsi passée en revue la rémunération des mandataires provinciaux d’abord (conseillers, députés et gouverneurs), celle des mandataires communaux ensuite (conseillers, bourgmestres, échevins et présidents du conseil de l’action sociale).
L’objectif du CRISP n’est pas de mettre les représentants politiques sur la sellette, ni de verser dans une certaine forme de sensationnalisme. Il est plutôt d’éclairer un aspect méconnu de l’affectation de certains moyens publics et de permettre de situer la rémunération des fonctions politiques par rapport à d’autres, par exemple dans le secteur privé.Note de contenu : Table :
- Introduction
1. Précisions méthodologiques
2. Mandataires provinciaux
Origines de la rémunération
Conseillers provinciaux
Députés permanents
Régime actuel
Conseillers provinciaux
Députés provinciaux
Gouverneurs de province et gouverneur adjoint
Gouverneur, vice-gouverneur et collège juridictionnel de l'arrondissement administratif de Bruxelles-Capitale
Limitations
3. Mandataires communaux
Origines de la rémunération
Conseillers communaux
Bourgmestres et échevins
Mandataires des CPAS
Mandataires des districts intracommunaux
Régime actuel
Conseillers communaux et membres du conseil de l'action sociale
Bourgmestres, échevins, présidents et vice-présidents du conseil de l'action sociale
Mandataires des districts communaux
Limitations
Conclusion
Annexes (tableauxPermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=bulletin_ Réservation
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Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 46672 COU Périodique Libre-accès Périodiques Disponible La Renaissance du nationalisme flamand in Courrier Hebdomadaire, 675-676 ([07/03/1975])
[article] La Renaissance du nationalisme flamand : après 1945 : création d'un mouvement de jeunesse rénové et apparition d'une presse d'opposition [texte imprimé] . - 1975 . - pp. 12 - 46.
Langues : Français (fre)
in Courrier Hebdomadaire > 675-676 [07/03/1975] . - pp. 12 - 46
Catégories : (493) Belgique
061.213 Organisations de jeunesse
070 Presse Journalisme Médias
329.17 Tendance nationaliste
329.18 Tendance d'extrême droite
329.18(091) Histoire de l'extrême droite
329.18(493) Were Di
329.18-055.1(493) VMO (Vlaamse Militanten Orde)
329.18-055.1(493) Voorpost (B)
329.4(493) Volksunie (VU)
353(493=393) Flandre
929 Dillen, Karel
94(493)"19" Histoire de la Belgique au XXe sièclePermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : La Renaissance du nationalisme flamand : après 1945 : création d'un mouvement de jeunesse rénové et apparition d'une presse d'opposition Type de document : texte imprimé Année de publication : 1975 Article en page(s) : pp. 12 - 46 Langues : Français (fre) Catégories : (493) Belgique
061.213 Organisations de jeunesse
070 Presse Journalisme Médias
329.17 Tendance nationaliste
329.18 Tendance d'extrême droite
329.18(091) Histoire de l'extrême droite
329.18(493) Were Di
329.18-055.1(493) VMO (Vlaamse Militanten Orde)
329.18-055.1(493) Voorpost (B)
329.4(493) Volksunie (VU)
353(493=393) Flandre
929 Dillen, Karel
94(493)"19" Histoire de la Belgique au XXe sièclePermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in Courrier Hebdomadaire > 675-676 [07/03/1975] . - pp. 12 - 46Réservation
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Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 18434/1 P/2469 Périodique Réserve Périodiques Disponible René Noël et l'Union démocratique et progressiste, 1971-1982 / Fabrice Maerten in Cahiers d'Histoire du Temps Présent (CHTP), 15 (2005)
[article] René Noël et l'Union démocratique et progressiste, 1971-1982 : À la recherche d'un autre communisme dans un Borinage en crises [texte imprimé] / Fabrice Maerten, Auteur . - 2005 . - pp. 435-459.
Article en français - Résumé en néerlandais et en anglais
Langues : Français (fre)
in Cahiers d'Histoire du Temps Présent (CHTP) > 15 (2005) . - pp. 435-459
Catégories : 329.14(091) Histoire des partis de gauche, du socialisme
329.15 Tendance communiste / Communisme (politique) / extrême gauche
353(493) Hainaut, province
94(493)"19" Histoire de la Belgique au XXe siècleRésumé : Le Borinage constitue a priori pendant la majeure partie du 20e siècle un terrain de prédilection pour la propagation du communisme. En effet, sa population est, en tout cas jusqu'au début des années 60, largement ouvrière. En outre, elle est contrainte à un niveau de vie peu élevé et soumise à des crises économiques répétées qui finiront par démanteler le tissu industriel local et provoquer un important chômage endémique. Pourtant, jamais le Parti communiste ne parviendra à ébranler de manière significative un Parti socialiste tout-puissant dans la région dès la fin du 19e siècle.
L'objet de l'article est de mettre en lumière ce qui constitue sans doute le dernier épisode marquant de cette lutte inégale. L'Union démocratique et progressiste, tentative spécifique de répandre le communisme dans le Borinage, y entama en effet pendant quelques années le crédit des socialistes. Le succès initial de l'UDP doit beaucoup à la personnalité de son fondateur, le sénateur communiste René Noël, qui sut tirer profit de son excellente réputation acquise à la tête de la commune de Cuesmes pour obtenir aux communales de 1971 le plébiscite d'une population montoise à la recherche d'un homme et d'un programme providentiels aptes à la faire sortir de la crise.
Mais la réussite fut de courte durée. Seule des quatre composantes censées constituer l'Union, le Parti communiste formait un ensemble vraiment solide. Les trois autres, notamment le groupe des démocrates-chrétiens dont l'état d'esprit marqua l'initiative, n'étaient pas assez robustes pour résister aux pressions extérieures. En outre, Noël était pratiquement à lui seul le ciment d'un mouvement plutôt hétéroclite. Ce dernier unissait en effet des éléments d'un monde ouvrier sur le déclin à une fraction des employés et des fonctionnaires ne se reconnaissant pas dans la société de consommation. Sans la présence effective de son homme orchestre, l'UDP fut de fait incapable de se développer en dehors du Borinage. Mais même là , la cohabitation s'avéra difficile lorsque survinrent les premiers échecs. Le mouvement était déjà bien malade lorsque s'abattit la grande crise des années 70. Celle-ci, en faisant disparaître l'ancienne classe ouvrière et se réfugier la population salariée des vieux bassins industriels sous la protection du puissant PSB, accéléra simplement le processus de désintégration de l'organisation.
Vu sous un certain angle – celui de l'acharnement à promouvoir des réformes de structures anticapitalistes et à rêver d'entreprises gérées par les ouvriers – l'UDP et son leader furent le reflet d'un groupe social en voie d'extinction, incapable ou refusant de percevoir les profondes mutations économiques, sociales et culturelles à l'œuvre à l'époque. Mais on ne peut nier la hardiesse et l'esprit novateur d'un projet faisant fi des véritables murailles idéologiques séparant alors les salariés de Wallonie, attentif aux dimensions non matérielles de la vie en société et promoteur d'une participation plus active des citoyens à la construction de leur Cité. En somme, le mouvement se situait à la croisée de deux chemins, étant à la fois symbolique du crépuscule des partis communistes et annonciateur de l'éclosion prochaine des formations écologistes.Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : René Noël et l'Union démocratique et progressiste, 1971-1982 : À la recherche d'un autre communisme dans un Borinage en crises Type de document : texte imprimé Auteurs : Fabrice Maerten, Auteur Année de publication : 2005 Article en page(s) : pp. 435-459 Note générale : Article en français - Résumé en néerlandais et en anglais Langues : Français (fre) Catégories : 329.14(091) Histoire des partis de gauche, du socialisme
329.15 Tendance communiste / Communisme (politique) / extrême gauche
353(493) Hainaut, province
94(493)"19" Histoire de la Belgique au XXe siècleRésumé : Le Borinage constitue a priori pendant la majeure partie du 20e siècle un terrain de prédilection pour la propagation du communisme. En effet, sa population est, en tout cas jusqu'au début des années 60, largement ouvrière. En outre, elle est contrainte à un niveau de vie peu élevé et soumise à des crises économiques répétées qui finiront par démanteler le tissu industriel local et provoquer un important chômage endémique. Pourtant, jamais le Parti communiste ne parviendra à ébranler de manière significative un Parti socialiste tout-puissant dans la région dès la fin du 19e siècle.
L'objet de l'article est de mettre en lumière ce qui constitue sans doute le dernier épisode marquant de cette lutte inégale. L'Union démocratique et progressiste, tentative spécifique de répandre le communisme dans le Borinage, y entama en effet pendant quelques années le crédit des socialistes. Le succès initial de l'UDP doit beaucoup à la personnalité de son fondateur, le sénateur communiste René Noël, qui sut tirer profit de son excellente réputation acquise à la tête de la commune de Cuesmes pour obtenir aux communales de 1971 le plébiscite d'une population montoise à la recherche d'un homme et d'un programme providentiels aptes à la faire sortir de la crise.
Mais la réussite fut de courte durée. Seule des quatre composantes censées constituer l'Union, le Parti communiste formait un ensemble vraiment solide. Les trois autres, notamment le groupe des démocrates-chrétiens dont l'état d'esprit marqua l'initiative, n'étaient pas assez robustes pour résister aux pressions extérieures. En outre, Noël était pratiquement à lui seul le ciment d'un mouvement plutôt hétéroclite. Ce dernier unissait en effet des éléments d'un monde ouvrier sur le déclin à une fraction des employés et des fonctionnaires ne se reconnaissant pas dans la société de consommation. Sans la présence effective de son homme orchestre, l'UDP fut de fait incapable de se développer en dehors du Borinage. Mais même là , la cohabitation s'avéra difficile lorsque survinrent les premiers échecs. Le mouvement était déjà bien malade lorsque s'abattit la grande crise des années 70. Celle-ci, en faisant disparaître l'ancienne classe ouvrière et se réfugier la population salariée des vieux bassins industriels sous la protection du puissant PSB, accéléra simplement le processus de désintégration de l'organisation.
Vu sous un certain angle – celui de l'acharnement à promouvoir des réformes de structures anticapitalistes et à rêver d'entreprises gérées par les ouvriers – l'UDP et son leader furent le reflet d'un groupe social en voie d'extinction, incapable ou refusant de percevoir les profondes mutations économiques, sociales et culturelles à l'œuvre à l'époque. Mais on ne peut nier la hardiesse et l'esprit novateur d'un projet faisant fi des véritables murailles idéologiques séparant alors les salariés de Wallonie, attentif aux dimensions non matérielles de la vie en société et promoteur d'une participation plus active des citoyens à la construction de leur Cité. En somme, le mouvement se situait à la croisée de deux chemins, étant à la fois symbolique du crépuscule des partis communistes et annonciateur de l'éclosion prochaine des formations écologistes.Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in Cahiers d'Histoire du Temps Présent (CHTP) > 15 (2005) . - pp. 435-459Réservation
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Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 40545/1 p/5213 Périodique Libre-accès Périodiques Disponible La rentrée poltique 2005 / Ligue de l'Enseignement et de l'Education Permanente - LEEP in Eduquer, 52 (octobre 2005)
[article] La rentrée poltique 2005 : les dossiers d'Eduquer [texte imprimé] / Ligue de l'Enseignement et de l'Education Permanente - LEEP, Auteur ; Patrick Hullebroeck, Auteur . - 2005 . - pp. 1-20.
Langues : Français (fre)
in Eduquer > 52 (octobre 2005) . - pp. 1-20
Catégories : 282 Eglise catholique romaine
353(493=40) Wallonie / Communauté française Wallonie-Bruxelles
37 Education Enseignement Loisirs
37.02 Pédagogie et outils pédagogiques
371.214 Programmes d'enseignementRésumé : Depuis plusieurs décennies, on assiste en Communuaté française, au recentrage progressif des diff"érents réseaux de l'enseignement public et privé sur les standards du service public.Les mentalités etr la sociologie de l'enseignement libre confessionnel évoluent parallèlement.
Le tournant conservateur de l'Eglise catholiqe appelle aujourd'hui à des clarifications
Sommaire :
Humanisme et éducation :
A. L'humanisme n'est pas une théologie : 1. le retour du religieux - 2. l'Europe, terre d'humanisme et de libertés - 3.le projet politique de l'église catholique pour l'Europe - 4. l'école du libre examen
B. Des questions de société : : 1. le Pacte associatif - 2. le foulard islamique - 3. l'homoparentalité et adoption
C. Des questions d'enseignement : 1. l'accès à l'enseignement supérieur - 2. les bâtiments scolaires - 3. le statut des directeurs - 4. le contrat pour l'école
Plus les 10 priorités de la LEEP
Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : La rentrée poltique 2005 : les dossiers d'Eduquer Type de document : texte imprimé Auteurs : Ligue de l'Enseignement et de l'Education Permanente - LEEP, Auteur ; Patrick Hullebroeck, Auteur Année de publication : 2005 Article en page(s) : pp. 1-20 Langues : Français (fre) Catégories : 282 Eglise catholique romaine
353(493=40) Wallonie / Communauté française Wallonie-Bruxelles
37 Education Enseignement Loisirs
37.02 Pédagogie et outils pédagogiques
371.214 Programmes d'enseignementRésumé : Depuis plusieurs décennies, on assiste en Communuaté française, au recentrage progressif des diff"érents réseaux de l'enseignement public et privé sur les standards du service public.Les mentalités etr la sociologie de l'enseignement libre confessionnel évoluent parallèlement.
Le tournant conservateur de l'Eglise catholiqe appelle aujourd'hui à des clarifications
Sommaire :
Humanisme et éducation :
A. L'humanisme n'est pas une théologie : 1. le retour du religieux - 2. l'Europe, terre d'humanisme et de libertés - 3.le projet politique de l'église catholique pour l'Europe - 4. l'école du libre examen
B. Des questions de société : : 1. le Pacte associatif - 2. le foulard islamique - 3. l'homoparentalité et adoption
C. Des questions d'enseignement : 1. l'accès à l'enseignement supérieur - 2. les bâtiments scolaires - 3. le statut des directeurs - 4. le contrat pour l'école
Plus les 10 priorités de la LEEP
Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in Eduquer > 52 (octobre 2005) . - pp. 1-20Réservation
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Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 40816/1 p/5376 Périodique Libre-accès Périodiques Disponible 43159 péda Périodique Service Pédagogique - Disponible Réparations, annexions ou rectifications ? / Christoph Brüll in Cahiers d'Histoire du Temps Présent (CHTP), 16 (novembre 2005)
[article] Réparations, annexions ou rectifications ? : Le problème de la frontière belgo-allemande après la Seconde Guerre mondiale, 1945-1949 [texte imprimé] / Christoph Brüll, Auteur . - 2005 . - pp. 91-131.
Langues : Français (fre)
in Cahiers d'Histoire du Temps Présent (CHTP) > 16 (novembre 2005) . - pp. 91-131
Catégories : 321.01 Pouvoirs.Frontières
327 Relations internationales
353(493=30) Communauté germanophone
94(100)"1939/45" Histoire Seconde Guerre mondiale
94(430) Histoire de l'Allemagne
94(493)"19" Histoire de la Belgique au XXe siècleRésumé : - Article en français - Résumé en néerlandais et en anglais
Résumé :
Les problèmes autour de la frontière belgo-allemande resurgis après 1945 font partie de ces épisodes oubliés de l'histoire des deux pays. L'article met en évidence la naissance des revendications belges et leur contexte. Si dans les milieux gouvernementaux, représentés par le ministre des Affaires étrangères, Paul-Henri Spaak, il existe surtout la volonté de "réparer" les anomalies du tracé frontalier fixé dans les années 1920, certains milieux belges – dans un climat de ressentiments anti-allemands et d'incertitude générale à propos de l'avenir de l'Allemagne – présentent des revendications territoriales et des demandes de réparations assez importantes en compensation aux biens belges volés et pillés par les Allemands au temps de l'occupation. Une des voix les plus importantes de ces milieux est le Comité belge du Rhin (CBR) qui, en collaboration avec des comités étrangers, élève de nombreuses revendications d'ordre économique et territorial à l'égard de l'Allemagne vaincue. Dans leur vision la plus maximaliste, le CBR demande soit l'annexion, soit l'utilisation de toute l'infrastructure du bassin industriel s'étendant entre Aix-la-Chapelle et Cologne. Persuadé que l'annexion de territoires allemands importants comportant une partie relativement grande de la population allemande ne contribuerait pas à la stabilité de la paix en Europe occidentale, le gouvernement prend en 1946 la décision de ne demander que très peu de territoires allemands dans le sens d'une "rectification" de frontière. Les revendications belges à l'égard de l'Allemagne sont ainsi formulées dans trois mémorandums de novembre 1946 et de janvier 1947. Le volet des revendications territoriales rencontre la faveur des Alliés anglo-saxons. Mais il faudra attendre l'année 1948 pour en arriver à un traitement diplomatique de la question frontalière. Entre-temps, l'on assiste de part et d'autre de la frontière belgo-allemande à la formation de deux blocs, l'un en faveur d'un rattachement de communes allemandes à la Belgique, l'autre contre celui-ci. De nombreuses pétitions parviennent alors au ministère des Affaires étrangères de Bruxelles. On n'arrivera pourtant jamais à spécifier le taux de "Pro-Belges" par rapport aux "Pro-Allemands". L'opinion publique allemande s'oppose vigoureusement à toute amputation de la frontière occidentale de l'Allemagne. Le plus grand adversaire des rectifications de frontière est le ministre-président de Rhénanie du Nord-Westphalie, Karl Arnold, qui dans cette affaire devient une sorte de "ministre des Affaires étrangères de la zone britannique".
Par une décision d'un comité de travail des Six Puissances (États-Unis, Royaume-Uni, France et Benelux), datant de mars 1949, la Belgique se voit octroyée le droit de rattacher provisoirement 30 km² de territoire allemand habité par 3.850 Allemands. Cependant, en avril 1949 le gouvernement belge renonce à la plus grande partie de ces territoires, de sorte que seulement 500 Allemands soient finalement soumises à une administration militaire belge. Cette administration militaire tient compte du caractère provisoire de ces rattachements, le tracé définitif de la frontière étant soumis à un traité de paix entre la Belgique et l'Allemagne. Un traité bilatéral sera finalement conclu en 1956. Le tracé frontalier négocié sera alors accepté par les Alliés occidentaux.
La décision de renonciation du gouvernement belge qui repose en fait sur de simples considérations économiques est présentée devant l'opinion publique belge et allemande comme "grand geste européen" ou comme "première réconciliation belgo-allemande" et contribue largement à l'image positive dont jouit Paul-Henri Spaak dans l'Allemagne des années 1950 et dans l'historiographie allemande.
Abordant un sujet traditionnel de l'histoire diplomatique, la fixation de frontières à l'issue d'un conflit armé, l'article considère la question de la frontière belgo-allemande comme un indicateur des relations belgo-allemandes après 1945.Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : Réparations, annexions ou rectifications ? : Le problème de la frontière belgo-allemande après la Seconde Guerre mondiale, 1945-1949 Type de document : texte imprimé Auteurs : Christoph Brüll, Auteur Année de publication : 2005 Article en page(s) : pp. 91-131 Langues : Français (fre) Catégories : 321.01 Pouvoirs.Frontières
327 Relations internationales
353(493=30) Communauté germanophone
94(100)"1939/45" Histoire Seconde Guerre mondiale
94(430) Histoire de l'Allemagne
94(493)"19" Histoire de la Belgique au XXe siècleRésumé : - Article en français - Résumé en néerlandais et en anglais
Résumé :
Les problèmes autour de la frontière belgo-allemande resurgis après 1945 font partie de ces épisodes oubliés de l'histoire des deux pays. L'article met en évidence la naissance des revendications belges et leur contexte. Si dans les milieux gouvernementaux, représentés par le ministre des Affaires étrangères, Paul-Henri Spaak, il existe surtout la volonté de "réparer" les anomalies du tracé frontalier fixé dans les années 1920, certains milieux belges – dans un climat de ressentiments anti-allemands et d'incertitude générale à propos de l'avenir de l'Allemagne – présentent des revendications territoriales et des demandes de réparations assez importantes en compensation aux biens belges volés et pillés par les Allemands au temps de l'occupation. Une des voix les plus importantes de ces milieux est le Comité belge du Rhin (CBR) qui, en collaboration avec des comités étrangers, élève de nombreuses revendications d'ordre économique et territorial à l'égard de l'Allemagne vaincue. Dans leur vision la plus maximaliste, le CBR demande soit l'annexion, soit l'utilisation de toute l'infrastructure du bassin industriel s'étendant entre Aix-la-Chapelle et Cologne. Persuadé que l'annexion de territoires allemands importants comportant une partie relativement grande de la population allemande ne contribuerait pas à la stabilité de la paix en Europe occidentale, le gouvernement prend en 1946 la décision de ne demander que très peu de territoires allemands dans le sens d'une "rectification" de frontière. Les revendications belges à l'égard de l'Allemagne sont ainsi formulées dans trois mémorandums de novembre 1946 et de janvier 1947. Le volet des revendications territoriales rencontre la faveur des Alliés anglo-saxons. Mais il faudra attendre l'année 1948 pour en arriver à un traitement diplomatique de la question frontalière. Entre-temps, l'on assiste de part et d'autre de la frontière belgo-allemande à la formation de deux blocs, l'un en faveur d'un rattachement de communes allemandes à la Belgique, l'autre contre celui-ci. De nombreuses pétitions parviennent alors au ministère des Affaires étrangères de Bruxelles. On n'arrivera pourtant jamais à spécifier le taux de "Pro-Belges" par rapport aux "Pro-Allemands". L'opinion publique allemande s'oppose vigoureusement à toute amputation de la frontière occidentale de l'Allemagne. Le plus grand adversaire des rectifications de frontière est le ministre-président de Rhénanie du Nord-Westphalie, Karl Arnold, qui dans cette affaire devient une sorte de "ministre des Affaires étrangères de la zone britannique".
Par une décision d'un comité de travail des Six Puissances (États-Unis, Royaume-Uni, France et Benelux), datant de mars 1949, la Belgique se voit octroyée le droit de rattacher provisoirement 30 km² de territoire allemand habité par 3.850 Allemands. Cependant, en avril 1949 le gouvernement belge renonce à la plus grande partie de ces territoires, de sorte que seulement 500 Allemands soient finalement soumises à une administration militaire belge. Cette administration militaire tient compte du caractère provisoire de ces rattachements, le tracé définitif de la frontière étant soumis à un traité de paix entre la Belgique et l'Allemagne. Un traité bilatéral sera finalement conclu en 1956. Le tracé frontalier négocié sera alors accepté par les Alliés occidentaux.
La décision de renonciation du gouvernement belge qui repose en fait sur de simples considérations économiques est présentée devant l'opinion publique belge et allemande comme "grand geste européen" ou comme "première réconciliation belgo-allemande" et contribue largement à l'image positive dont jouit Paul-Henri Spaak dans l'Allemagne des années 1950 et dans l'historiographie allemande.
Abordant un sujet traditionnel de l'histoire diplomatique, la fixation de frontières à l'issue d'un conflit armé, l'article considère la question de la frontière belgo-allemande comme un indicateur des relations belgo-allemandes après 1945.Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in Cahiers d'Histoire du Temps Présent (CHTP) > 16 (novembre 2005) . - pp. 91-131Réservation
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Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 40936/1 p/5476 Périodique Libre-accès Périodiques Disponible Répondre au nationalisme / Henri Goldman in Politique, 6 (avril-mai 1998)
PermalinkRésistance et Collaboration : Histoire, pardon et réconciliation / Yannis Thanassekos in Fondation Auschwitz (bulletin trimestrielle), 76-77 (juillet-décembre 2002)
PermalinkLa Résistance dans le triangle Liège-Maastricht-Aix-la-Chapelle / GUY VANWISSEN in Résistance liégeoise, 122 (4e trimestre 1991)
PermalinkLa Résistance, facteur d'émancipation des femmes ? L'exemple du Hainaut / Fabrice Maerten in Cahiers d'Histoire du Temps Présent (CHTP), 4 (1998)
PermalinkRésistance en Flandre / Jan Laplasse in Bulletin du Cegesoma (30-50), 40 (juin 2007)
PermalinkRésister pour exister / Jean-Michel Teheux
PermalinkRésister pour exister / Présences et Actions Culturelles
PermalinkLa Résistible ascension de l'extrême droite / Communauté française de Belgique
PermalinkRésolution sur l'Holocauste in Farde Articles 2005, 1 (2005)
PermalinkLes Résolutions du rapport Columberg : texte intégral in Farde Articles 1998, (1998)
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